Premier constat : ça crève xD pour une vielle feignasse comme moi c’est chaud, j’avais des courbatures au bras le lendemain



Contrairement à ce que je croyais, l’alimentation n’est pas obligatoire, on peut tout aussi bien jouer avec des piles (4 piles R6) j’ai donc gardé le jeu durant 1 jour (c’est long quoi !) sans savoir que je pouvais y jouer xD

Mais bref, une fois rendu compte de ma connerie (nan mais oh pas folle la guêpe ) je met les piles, j’allume la petite bécane en forme de bouclier orné du logo Roto et je saisi ma petite épée.




La console (à placer sur sa tv), l’épée (sans fil, juste du plastoc et des bandes réfléchissantes sur la lame) et la petite carte mémoire en forme de bouquin




Séance de calibrage, on tranche verticalement puis horizontalement au centre de l’écran, et si tout va bien on confirme en faisant un geste verticale ou un geste horizontal pour dire non (et c’est comme ça que l’on communiquera à travers tout le jeu).
Mais rentrons dans le vif du sujet, le jeu démarre par la discussion entre notre héros (encore anonyme) et le Roi, celui ci nous baragouine quelque chose en jap et commence alors un petit tutorial dans la cour contre un pantin de bois. On nous apprend les bases, je frappe dans le tas, toutes les directions sont reconnu, on s’y croirait. A force de frapper, ma jauge de furie se remplie et se déclenche, l’écran se fige et tel un QTE je dois trancher 5 cibles dans le bon timing pour faire un max de dégâts. Certaines combinaisons sont d’ailleurs à apprendre genre « diagonale, rien, verticale, rien, diagonale » et permettent de faire de gros combos. A noter que notre jauge de furie se révèle uniquement lors des affrontements contre les boss en temps normal.
Voilà pour se mettre en train.


Arrive notre première mission, il suffit de pointer l’épée sur le téléviseur pour avancer (le jeu est sur rail) jusqu'à ce qu’un ennemi débarque, et en voilà justement un (un slime bien entendu), je lui fait sa fête à lui et ses acolytes puis arrive un peu plus loin une série de chauve-souris, là le jeu nous incite à utiliser toutes les directions de coups et ce à différentes hauteurs pour buter les séries d’ennemis qui arrivent. La console reconnait très bien nos gestes, selon que l’on veuille taper sur la gauche ou la droite de l’écran, pas de problème, pas besoin de pointer quoi que ce soit comme sur l’opus wii.

Nouvelle étape intéressante, le premier boss, celui ci nous fait découvrir le système de parade. En effet en se mettant en garde, un bouclier bleu transparent apparait à l’écran, on peut alors le déplacer pour parer les attaques ennemis.
Voilà qui pimente pas mal les affrontements. Une fois battue, cette créature se révèle être notre allié et nous accompagnera durant notre périple.



Le héros et son nouveau compagnon



Le jeu reprend et je croise un magicien, nouvel élément de gameplay, il me donne la magie de feu. Pour l’actionner il suffit de se mettre en garde et de faire un geste en avant. Ceci ouvre un menu et il suffit ensuite de trancher l’orbe souhaitée.

Petite mise en pratique un peu plus loin avec le premier « vrai » boss du jeu. Je fait ma magie et lui balance une rafale de flammes dans la gueule, par chance il y est hyper sensible et meurt comme un gros naze
J’arrive alors dans un village (juste un écran, aucun déplacement n’est permis) et cause aux villageois, *bien sur je ne comprends que dalle*, là le magicien se repointe et me demande certainement si j’en ai terminé. L’écran de stats apparaît, je gagne de l’xp et je monte au level 2. C’est aussi à ce moment que l’on peut nommer son perso.

Lorsque l’on termine un niveau, on retourne sur le menu à partir duquel on peut choisir sa mission (on peut recommencer un niveau déjà fini), acheter des objets chez le roi ou s’entrainer et apprendre des séquences de furies.


La deuxième mission est assez semblable à la première (et certainement à toutes les autres, le jeu restant assez limité) mais cette fois ci un petit défi s’offre à nous. Un embranchement sur la route nous conduits chez un magicien qui se propose de nous offrir la magie de soin si l’on réussit à buter 100 slimes en 1mn 30 …. *J’accepte le défi, fait le vide dans mon esprit, tend mes muscles à leur maximum (genre Broly quoi ) et c’est partiiiiiii
…
..
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Et ça crève pas mal xD mais j’ai réussit (faut dire que c’était pas très dure non plus hum)*


Pour le reste rien a signaler si ce n’est que j’ai galéré sur le boss et qu’il m’a fallut refaire le premier niveau pour monter en level et lui éclater la gueule



Voici le premier niveau




Plus le jeu avance et plus les combats deviennent intéressants, il faut bien se protéger, frapper dans les bonnes directions, utiliser sa magie et ses furies. Intéressant et dure d’ailleurs, mais la présence de level peut rendre tout ça accessible sans être un dieu du reflexe. Les lieux visités semblent assez variés, puisque étant au quatrième niveau, j’ai déjà traversé des routes, des forets, des grottes et un marais.


Niveau musiques et bruitages on retrouve très vite ses marques , c’est du pure Dragon Quest, et les graphismes bien qu’assez sommaire ne trahissent aucunement le design d’Akira Toriyama.
La durée de vie quand à elle s’annonce assez faible, il semble n’y avoir que 8 niveaux (sachant qu’un niveau dure moins de 10 mn)


Les points forts de ce jeu sont donc l’immersion (comment on s’éclate avec notre épée en plastoc lol) et la licence Dragon Quest bien sur, utilisée à merveille ici.


En gros, étant fan de la licence, je m’éclate vraiment.

Kenshin Dragon Quest : Lui ça faisait un moment que je le cherchais et je suis heureux d’avoir enfin pu mettre la main dessus. J’avais adoré le moyen Dragon Quest Swords sur wii donc là avec mon joujou en plastique ça sera surement l’éclate xD mais j’ai pas encore l’alim pour y jouer mais la boite défonce ()







Assault Suits Valken : Ce Run’n Gun typé mecha est plus connu chez nous sous le nom de Cybernator. Et je peux vous dire que c’est une vraie bombe, la réalisation est assez incroyable je trouve. Par contre le jeu est sacrément balèze, je n’arrive pas à le finir







Front Mission Gun Hazard : Ou quand le tactical de Square fait dans le Run’n Gun. Le jeu est assez proche de Assault Suits Valken mais comporte une bonne partie RPG apparemment avec la customisation de notre Wanzer. Je n’ai pas beaucoup joué au jeu pour l’instant mais ça s’annonce excellent.







Yoshi Island : Alors lui c’était mon jeu préféré à l’époque, je l’avais refait à l’occasion de sa sortie sur GBA et c’est avec grand plaisir que j’y rejoue en ce moment sur SFC. Tout est parfait dans ce jeu, et la boite est sublime







Starfox Assault : Un jeu super sympa mais en même temps très moyen :s Les phases en vol sont top de chez top mais celles sur terre sont vraiment à revoir, la jouabilité y est vraiment galère. Sinon les graphismes vont du chouette au moyen et le contenu est assez rachitique. Cela dit j’ai quand même adoré xD

Ni-Oh








Ni-Oh fut d’abord connu pour être un gros projet cross media entre la société de jeux vidéo Koei et la société cinématographique Kurosawa Production. Annoncé en 2004 sous le nom de code Oni et basé sur un script du célèbre réalisateur Akira Kurosawa (les 7 samouraïs), ce projet devait se décliné sous la forme d’un film, réalisé par Hisao Kurosawa (fils d’Akira Kurosawa) et celle d’un jeu, développait par Koei et produit par Kô Shibusawa, créateur de la série Kessen.





Koei organisa même un casting pour son jeu, à la recherche d’"un héros de type occidental entre 20 et 40 ans, mesurant plus d'1m75 et pesant plus de 70 kgs, ainsi que d’une héroïne âgée de 16 à 22 ans.".



C’est à l’E3 2005 que Koei présente une première vidéo, le jeu est alors renommé Ni-Oh pour l'occasion.

Prévu pour une sortie en 2007 sur ps3, le joueur incarnait un puissant guerrier blond aux yeux bleus, issu d’un père japonais et d’une mère européenne, dans un japon féodal à l’époque Sengoku. Le but étant bien entendu de buter des ennemis par paquet de dix, à l'instar d'un Dynasty Warriors.








Cet ambitieux projet fut malheureusement annulé (film, jeu et tout autre media), sans réelles raisons (budget trop imposant ?).

The Magical Ninjya : Jiraya Kenzan







The Magical Ninjya : Jiraya Kenzan est un projet Playstation 2 de Capcom dévoilé lors du TGS 2003. Développé par Capcom Production Studio 3 (Dino Crisis 3, Nightmare Before Christmas, Breath of Fire) il s’agissait d’un jeu d’action/plate forme dans lequel on incarnait Jiraya, un jeune ninja ayant la capacité d’invoquer des créatures.

Le jeu pouvait être parcouru à 2 joueurs en coopération, le deuxième joueur pouvant sélectionner un autre ninja ou directement l'une des créatures acquises par Jiraya. L'univers du jeu et son aspect coop rappelleront sans doute la série des Goemon aux amateurs.









Comme vous pourrez le voir sur les artworks suivants, le chara design était confié à Susumu Matsushita, le dessinateur des couvertures du célèbre Famitsu ayant déjà travaillé sur des licences de jeux vidéos comme Takahashi Meijin/Adventure Island et Maximo. Une touche artistique apportant pas mal de fraicheur.









Prévu pour une sortie courant 2004, le jeu fut annulé sans plus de détails et alla rejoindre les Dead Phoenix, Maximo 3, Ghouls’ N Ghosts Online et autres Red Dead Revolver aux rayons des projets supprimés par l’éditeur durant l'ère 128 bits. Dommage …