Infos en vrac
On peut vu qu'il y a apparemment du pognon à se faire et aucun risque.
Le procès de l’attaque du RER D par des adolescents en gare de Grigny (Essonne) s’est soldé mardi soir par des avertissements et des condamnations à du sursis, loin du tourbillon médiatique et politique que cette affaire avait suscité. Cinq jeunes ont été condamnés à des peines de prison avec sursis dont trois à 10 mois, les autres ont reçu de la part du tribunal des avertissements solennels, une mesure de protection judiciaire ou 70 heures de travaux d’intérêt général (TIG). Un seul prévenu parmi les onze jeunes âgés de 15 à 17 ans a été relaxé.
Pendant ce temps, l'UMP risque de payer 4 à 8 millions d'euros pour avoir moins de 30% de femmes sur leur liste électorale.
Et Taubira qui veut réduire les peines pour aider à la réinsertion.
Réduire les peines ?
Mais bientôt, on nous donnera une prime pour foutre la merde
La justice française

publié le 12/06/2013 à 18:24 par
shanks
Infos en vrac
Un camion transportant près de 1 000 de chats dans un quarantaine de cages a eu un accident dans la ville de Changsha, mardi en Chine, laissant la vie sauve à la plupart de ces félins promis aux abattoirs et aux restaurants de la grande métropole de Guangdong, rapporte l'agence officielle Chine nouvelle, reprise par plusieurs médias anglo-saxons. L'homme qui conduisait le camion a été transporté à l'hôpital. Et dans un premier temps les autorités ont abandonné les chats, entassés par fois à 25 dans les cages, à leur triste sort.
Ce n'est que grâce à la mobilisation des riverains, encadrés par quelques policiers, à travers le réseau social Weibo que la grande partie des félins ont la vie sauve.


Des dizaines de volontaires se sont rapidement rendus sur les lieux de l'accident pour donner de la nourriture, de l'eau et du lait aux chats faméliques, déshydratés et parfois très mal en point. Tous n'ont pas survécu. Selon l'ONG Care for Chinese Animals, certains habitants ont négocié le rachat des chats auprès du propriétaire. Les autres ont été confiés au Changsha Small Animal Protection Association.
La consommation de chat n'est pas réglementée en Chine, et les ONG comme Care for Chinese Animals se battent depuis des années contre la vente de félins aux restaurateurs dans des conditions déplorables, comme l'incident de Changsha est venu le rappeler. Si les chatons ne sont pas mangés car ils porteraient malheur, les chats, eux, se vendent à peu près 1 euro le kilo. Selon le journal China Daily, près de 4 millions de chats sont mangés tous les ans.
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publié le 18/01/2013 à 03:10 par
shanks
Infos en vrac
Quatre familles de Boulogne-Billancourt, près de Paris, dont les enfants ont été condamnés pour trafic de drogue, doivent quitter leur logement HLM pour avoir troublé la vie du quartier, une décision rare qui fait débat.
En juin, la cour d'appel de Versailles a prononcé la résiliation des baux de ces familles et a ordonné la libération "sans délai" des logements ou "à défaut" a autorisé leur expulsion à l'issue de la trêve hivernale le 15 mars.
Usage d'un scooter à une vitesse excessive au sein de la résidence, trafic de cannabis, dégradations: ces "troubles de jouissance", selon le terme légal, ont valu de nombreux avertissements à ces locataires, selon une décision de la cour consultée par l'AFP.
"La persistance de ces troubles graves pendant plusieurs années justifie la résiliation du bail sans qu'il soit besoin de rechercher l'implication factuelle des locataires dans les faits", a tranché la juridiction.
Une décision vécue comme "une double peine (...) totalement injuste" par le frère de l'un des jeunes condamnés pour trafic de drogue interviewé par RMC.
"On n'a pas d'autre endroit où aller. Ils ne veulent pas nous reloger, qu'est-ce qu'on va faire? Mon frère était majeur à l'époque des faits. Il a fait une connerie, mais c'est pas la famille qui doit prendre pour lui", a réagi sur Europe 1 une autre personne concernée par l'expulsion.
Une pétition de soutien aux familles sommées de quitter leurs logements circule dans ce quartier d'immeubles de brique, proche de la Seine, qui regroupe un millier de logements.
"Il y a trois ans c'était plus chaud mais ça s'est calmé avec les arrestations", témoigne un habitant sous couvert d'anonymat.
300 demandes aboutissent chaque année
Le ministre délégué à la Ville François Lamy doit discuter la semaine prochaine d'un dispositif pour accompagner les familles de jeunes délinquants dans les HLM avec la ministre déléguée à la famille Dominique Bertinotti et le président de l'Union sociale pour l'habitat (USH) Jean-Louis Dumont, a indiqué à l'AFP son cabinet.
"Il faut, bien entendu, que l'on ne mette pas ces familles à la rue", a souligné le ministre sur Europe 1.
De telles expulsions sont "exceptionnelles", explique l'USH qui représente 760 organismes HLM: "c'est très difficile parce qu'il faut des preuves et que des voisins portent plainte".
Chaque année, 600 demandes d'expulsion pour des troubles de voisinage ou des troubles de jouissance (bruit, tapage nocturne pour l'essentiel) sont déposées en France et seules 300 aboutissent, à l'issue d'une procédure judiciaire.
L'article 7 de la loi du 6 juillet 1989 précise que le locataire doit "user paisiblement des locaux" et "répondre des dégradations et pertes qui surviennent".
Christian Dupuy, le président de l'office départemental d'HLM des Hauts-de-Seine (OPDHLM 92) qui a saisi la justice il y a plusieurs années pour rompre les baux des locataires, affirme que le cas des familles de Boulogne-Billancourt n'est pas inédit, "ni pour le département ni pour un autre bailleur en France".
Sébastien Pietrasanta, maire PS d'Asnières, autre commune des Hauts-de-Seine, explique avoir "déjà demandé à des bailleurs sociaux la résiliation d'un bail locatif pour trouble de jouissance sans l'obtenir", soulignant "la réticence de certaines bailleurs et la lenteur de la justice dans sa prise de décision".
L'édile salue une "décision courageuse" tout en craignant que le problème se déplace "dans un autre quartier".
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Je retiens la dernière phrase qui est évidente. Pousser le problème ailleurs ne le résoudra pas. D'un autre coté, il est vrai que pour l'avoir vu, beaucoup de parents sont très "jemenfoutise" sur le comportement de leurs gosses dans les quartiers. Que le gamin traîne dans le hall d'immeuble, bon... Mais les "une roue" jusqu'à trois heures du mat... Pour avoir tenté de faire le con dans ma jeunesse (10 ans quoi), je me faisais dérouiller à coups de ceintures, et ce dans la même cité.
Et vous, qu'en pensez vous ? :JulienC:
publié le 11/01/2013 à 17:47 par
shanks
Infos en vrac
C'est le jeu de la carotte et du bâton appliqué à l'aide sociale. En Grande-Bretagne, les personnes souffrant d'obésité pourraient être contraintes de se mettre au sport, sous peine de voir leurs aides sociales coupées, a indiqué RTL vendredi 4 janvier.
Cette idée, présentée à la fois comme une mesure de santé publique et une façon de faire face aux coupes budgétaires, a été émise jeudi par la municipalité conservatrice de Westminster, à Londres, et défendue par un groupe de réflexion local, a rapporté mardi le Financial Times (lien en anglais, pour abonnés).
Des cartes magnétiques pour pointer
Rappelant que les autorités locales ont lancé des programmes permettant aux médecins de prescrire des séances d'activité physique, telles que de la natation, de la marche ou encore du yoga, le conseil de Westminster indique qu'il serait possible de s'assurer du respect de cette prescription grâce aux cartes magnétiques utilisées pour accéder aux salles de sport. Et en cas de non respect de cette ordonnance, le patient serait sanctionné. Plus précisément, ses aides sociales seraient coupées.
"Quand des activités sportives sont prescrites à un résident, les aides sociales pourraient être utilisées soit pour récompenser, soit pour encourager le résident", justifie le texte.
Le coût de l'obésité
Dans le cadre d'une refonte des missions de service public, le bien-être et la santé publique se gèrent désormais à l'échelon local, indique le Financial Times. Ainsi, cette suggestion du conseil de Westminster intervient alors que la municipalité s'interroge sur les conséquences budgétaires de ces nouvelles prérogatives dans un contexte d'augmentation du nombre d'obèses au Royaume-Uni.
"L'obésité (...) progresse au Royaume-Uni, de telle sorte que 25% des adultes sont obèses. 17% des fillettes de 10-11 ans, et 20% des garçons du même âge sont obèses", indique un rapport du Collège royal de médecine de Londres (PDF, en anglais), publié mardi. Il précise que "le coût de l'obésité s'élève à 5 milliards de livres [6,3 milliards d'euros] et aura doublé d'ici 2050".
"Du coup, ce sont les aides sociales qui trinquent en premier", rapelle RTL. "L'aide au logement pour les moins de 25 ans a déjà disparu. Idem pour le principe qui indexait ces aides sur l'inflation."
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Autant l'obésité est un problème (je parle du vrai obèse qui détruit sa santé), autant ce genre de mesure

publié le 06/01/2013 à 01:15 par
shanks
Infos en vrac
ho ho ho ?
La directrice a-t-elle cédé ?
Pour certains parents de l'école maternelle du Grand-Clos, cela ne fait aucun doute : la raison de l'annulation de la visite du bonhomme rouge à la barbe blanche est d'ordre "religieuse". Une maman témoigne, ce mercredi, dans "Le Parisien - Aujourd'hui en France" : "La directrice m'a expliqué qu'elle ne voulait pas se faire taper sur les doigts par certaines familles musulmanes", dit-elle.
Un problème confirmé par l'adjoint au maire de Montargis, chargé de l'enfance. Il ajoute que "chaque année, des familles menacent de boycotter l'école, le jour de la visite du Père Noël". La directrice aurait donc cédé. Pour certains, "c'en est trop". Il s'agit, selon eux, d'une "islamisation d'un établissement scolaire".
Tradition païenne
"Erreur", répond l'académie d'Orléans-Tours. "Cela n'a aucun sens, c'est une erreur d'interprétation. Officiellement, le motif d'annulation de la venue du Père Noël dans cette petite école est d'ordre financier. La décision a été prise le 26 octobre dernier, lors du conseil d'école.
Reste que face à la polémique, le maire UMP de Montargis demande des explications à l'académie, tout comme à la direction de l'école maternelle. Il rappelle que le Père Noël est une tradition païenne. Aucune connotation religieuse...
La directrice, quand à elle, se confie à "La République du Centre" : "On vit un enfer", dit-elle, les yeux rougit. "Un mal incroyable est fait à l'école et aux enfants". Elle annonce son intention de porter plainte.
UP :
"La nouvelle avait suscité le mécontentement de plusieurs parents qui ont fait état auprès de la mairie des "pressions d'une dizaine de familles musulmanes". Jean-Pierre Door (maire de la ville) a affirmé mercredi qu'il n'y aurait "aucune pression sur les élus et sur la ville" et que la fête aurait lieu "quoi qu'il arrive".
publié le 05/12/2012 à 19:30 par
shanks