Bonsoir les gamer! On commence ce week end spécial Gameboy tout de suite avec une belle petite daube qui pique et qui pue! Mais n'ayez crainte, on a aussi prévu de bons petits jeux Gameboy pour vous!
Aaah, les années 90 ! Cette période bénie du jeu vidéo qui a eu le luxe d'assister à un phénomène auquel aucune autre décennie n'a eu droit : celle de voir s'affirmer des perles de jeu aussi bien en 2D tout ce qui a de plus classique qu'en 3D super novatrice.
Années 90, là aussi où Nintendo bouffait à tout les râtelier, et où ils pouvait se le permettre ! La toute puissance de la Gameboy et la grande popularité de la Super Nintendo même face aux consoles à disque laser de SONY et SEGA reçurent leur lot de jeu qui n'aurait jamais dut leur parvenir en toute logique. Un jeu destiné exclusivement à l'arcade qui s'apprête à débarquer sur consoles 32-bits (Street Fighter Alpha 2)? Et hop, la SNES l'a aussi, on sait pas comment, mais elle l'a. Un jeu PC qui cartonne, qui fait un gros fuck a toute les valeurs familiales que Nintendo véhicule, et hop, la SNES se le tape quand même (oué, on parle encore de Doom). Un jeu sorti sur les quelques derniers modèle d'Amiga début 90, avec de sublime sprites 2D et plein de couleur ? Qu'a cela ne tienne, Nintendo commande un portage, quitte à rendre le jeu moche et tout gris (Bubble Ghost entre autre). Un autre jeu résolument nouvelle génération, en 3D intégrale destiné à faire briller PS1 et autre Saturn, et ben non, on le fout aussi en 2D joliment taillé pour la Gameboy Color... (Croc 2) Bref, dans les années 90, Nintendo était partout, et bouffait tout ce qu'ils pouvaient ! À l'époque, pas de soucis, les éditeurs tiers leur faisait un nombre incalculable de fleur, même si l'arrivé de SONY sur le marché les a mis au régime assez rapidement en terme de jeu exclusif choppé ''par défaut''.
C'est ainsi avec un de ce genre de jeu que je viens à vous aujourd'hui. Star Wars : Yoda Stories, à la base sorti sur PC en 1997 et on ne sait trop pourquoi ni comment, transférer sur Gameboy en 1999 avec à la clé quelques changement pour s'adapter au petit hardware japonais. Profitant d'un regain de patate de la série cinématographique de George Lucas, avec l’Épisode I sorti en mai 1999 (sur PC les jeux Star Wars sont increvables et très populaires, même sans un film à côté pour booster les ventes), Star Wars : Yoda Stories, comme son nom l'indique, ne s'intéresse en réalité pas du tout aux événements contés dans la nouvelle trilogie. Et hop, LucasArt prend tout le monde à contre-pied ! Raisons de plus pour s'y intéresser...
La guerre fait rage, l'Empire Galactique, mené par le cruel Dark Vador, et dirigé dans l'ombre par le maléfique Empereur Palpatine ne cesse de persécuter l'intégralité de la Galaxie. L'Alliance Rebelle lutte, mais l'Empire est trop massif, trop puissant, sur Hoth, la planète glacière où les rebelles avaient établi leur campement secret, le jeune Luke Skywalker entre en contact avec son ancien mentor maître de la Force : Obi-Wan Kenobi ! Hoth tombe, et tandis que le vieux Jedi conseille à Luke de partir trouver un certain Yoda sur Dagobah, les rebelles sont contraint de s'enfuir et de s'éparpiller à travers la voie lactée.
En désespoir de cause, et désireux de mieux maitriser la Force pour peut-être devenir capable de remporter la victoire face à Vador et ses armées, Skywalker s'envole vers la planète marécageuse pour y rencontrer le fameux maître Yoda, petite créature malicieuse et à première vue pas très équilibrée mentalement, mais pourtant doté d'un savoir ancestral d'une valeur inestimable. Commence alors un périple initiatique pour devenir un véritable Chevalier Jedi...
Ainsi, les évènements de Yoda Stories prennent directement place entre l'Episode V et VI, la rencontre première entre Luke et Yoda dans L'Empire contre-attaque ne durant tout au plus que 48 heures standard, ici, c'est un véritable entrainement avec moult épreuves qui vous attend. Les développeurs ne se sont pas enquiquiner outre mesure pour respecter la trame chronologique des films, puisque le jeu vous proposera de vivre des événements qui vous mèneront sur diverses planètes que Luke ne visite absolument pas dans les long métrage. Et c'est tant mieux pour nous, dans un sens, ça permet de varié les lieux de l'action.
Techniquement, tout d'abord, le jeu déçois pas mal. Alors certes, il faut garder en tête que cela reste de la Gameboy. Mais quand on voit les jeux du même genre sorti en 1999, tel The Legend of Zelda: Link's Awakening DX (pourtant bâtit sur la base graphique d'un jeu sorti 6 ans plus tôt!), on se dit que Yoda Stories aurait mérité du travail supplémentaire. Plusieurs choses sont incriminées: les décors, vides et un peu grossiers. Les bâtisses d'extérieur, si de manière architecturale respectent bien l'univers visuel de l’œuvre de Lucas, reste tout de même graphiquement un poil pauvre. Mais le pire, c'est l'intérieur, affreusement vide, sans vie ni détail d'aucune sorte, et doté d'un jeu de couleur monochrome bien souvent marron/gris immonde. Comparé aux intérieur de Link's Awakening (pot de terre cuite, table, cheminée avec feu dans l’âtre, lit, personnages divers, tapis de sol...), il n'y a pas photo.
Le jeu de couleur d'ensemble du soft est assez souvent déplaisant à l’œil. Certaine couche de pixel colorés de façon monochrome font plus penser à du vieux ZX Spectrum de 1983 qu'a une Gameboy de 1999... Mention spéciale à Dagobah, qui, avec son vert fluo flashy ne rappelle absolument pas l'ambiance marécageuse de la planète cachette de Yoda dans les films! Pire encore (sisi je vous assure, y'a pire), certain élément du décors sont incrustés de telle façon qu'il n'y aucune différenciation nette et précise, si ce n'est la couleur du pixel qui change. On se croirait devant un vieux jeu flash tout pourrie sur navigateur... La version PC de 1997, plus sobre, avec bien plus de détails graphiques et des sprites mieux assemblés pour réellement éviter que le décors ne fasse "assemblage de Lego" est bien plus méritante de ce côté. Même si en 1997, on est en droit d'attendre autre chose que de la 2D pixelisée d'un PC (Tomb Raider II, Resident Evil, Star Wars : Jedi Knight : Dark Forces II...)
Autre gros soucis d'ordre technique, la vitesse de déplacement de votre personnage, mais aussi des ennemis, bien trop rapide! Difficile, d'un côté, de viser au blaster tant les cibles sont mouvantes et esquive facilement vos tirs. Et compliqué, d'un autre côté, de venir au corps à corps avec un sabre laser tant Luke se voit propulser en avant à la moindre pression sur la croix directionnele!
Pourtant, le soft n'est pas totalement à jeter à la poubelle d'un point de vue technique, puisque les portraits des personnages dans les cut-scene (Vador, Yoda, Luke...) sont admirablement bien foutues. Aussi, les map des diverses planètes à visiter sont fort bien étendues et quand bien même les villas et différents intérieurs ne présentent que peu d’intérêt, les cartes en elle-même fourmillent de maisons, d'entrepôts, de magasins et de diverses structures. Le tout accompagné de nombreux personnages très reconnaissables (Par exemple, la planète des sables fourmillera de Jawas et de pillards Tusken (hommes des sables), on pourra même reconnaitre des chasseurs de primes tels que Greedo ou Labria dans les cantinas. Vous tomberez aussi sur des TB-TT sur Hoth et sur des Ewoks sur Endor.) et qui auront toujours un petit truc à vous dire, un secret à vous confier ou un objet à vous échanger. Pour le coup, l'ambiance des environnements de la saga de space opera de Lucas est bien rendue, en particulier dans la cantina de Mos Eisley de Tatooine.
Question gameplay, le jeu adopte cette fameuse vue de haut ''mais pas tout à fait'' rendu célèbre par les The Legend of Zelda où on dirige le jeune Luke Skywalker, envoyé par Maître Yoda en mission afin d'améliorer ses compétences et devenir un véritable Jedi. Le déroulement des missions est simple : vous atterrissez dans un spatio-port où parfois quelques part dans la nature à bord de votre fameux X-Wing, là où vous pourrez revenir vous soigner via un droïde médical qui vous y attendra ; ensuite vous partez à l'exploration des lieux, trouvez des objets spéciaux à échanger avec des PNJ en échange de diverses choses (services, information, laisser-passer...), et entre tout cela, vous nettoyer certaine zone de leur mauvaises populations afin de débloquer différentes situations. Un pur jeu d'aventure en somme !
La grandeur de la map, et le fait que certain pour ne pas dire tous les objets importants sont cachés vicieusement, donne ses lettres de noblesses à la boussole et au localisateur. Ce dernier est en réalité une carte numérique, vous dévoilant donc l’entièreté de la map de la mission, et se trouve toujours dans les deux ou trois premiers écrans de la zone d'arrivée. Ne le manquer donc surtout pas et faites l'effort de fouiller de fond en comble les alentours de la piste d'atterrissage de votre X-Wing, sous peine de passer de (trop) nombreuses minutes à fouiller des décors vides et inertes à la recherche d'un putain d'outil à refiler au premier Jawa venu... en échange de quoi il vous donnera un énième bidule électronique à troquer à son cousin contre un machin qui fait bip...
Vous l'aurez compris, les missions ne sont guère passionnantes dans l'ensemble et au fond, on a du mal à comprendre en quoi fouiller dans les moindre recoins d'une ville paumée sur Tatooine (planète désert, je le rappelle) à la recherche d'un truc-muche qui fait de la lumière servira à Luke pour devenir un Jedi, censé déplacer des tonnes avec son esprit (moi aussi je sais élever des tonnes rien qu'en pensant à quelque chose... ) ou être capable de manipuler une arme aussi mortelle qu'un sabre-laser.
''Truc-muche'', ''bidule''... pourquoi n'appelle-t-on pas les choses par leur nom ici ? Tout simplement parce que les objets à récolter et à confier aux PNJ ne se ressemblent pas forcément par rapport à leur aspect visuel, mais partage parfois leur nom. Ce qui fait qu'on tombe bien souvent sur une cellule d’énergie ou une carte magnétique qui tantôt à une forme carré, tantôt ronde, tantôt triangulaire... idem avec les collecteur d'énergie ou les coupleur de module ou que sais-je encore... C'est compliqué de s'y retrouver avec quelques objets dans son inventaire d'autant que l'anglais intégral du jeu n'aide pas. Sans compter que les PNJ tiennent bien souvent des propos incohérents et inutiles, on finit bien vite par tourner en rond les trois quart du temps...
Pour en finir avec le fameux localisateur que vous trouverez toujours tout proche de votre zone d'atterrissage, il vous donnera également des indices supplémentaires quant aux actions restantes –ou non- à accomplir (''cette zone requiert un objet'', ''un objet se trouve ici'', ''zone verrouillée''). Seront également indiqués les téléporteurs (transports permettant de voyager instantanément à l’autre bout de la map, certains seront à activer, d’autres seront déjà opérationnels), le spatioport (zone de départ) et une ''zone inconnue'', qui indique l'endroit où la scène finale de la mission doit se dérouler, la fin du niveau en somme. Autant dire, définitivement, que sans cet appareil, vos partie de Star Wars : Yoda Stories, vont devenir terriblement longue et emmerdante.
Petite subtilité qui donne bel et bien son genre aventure à Star Wars : Yoda Stories, le fait de pouvoir faire apparaître ce bon vieux Ben Kenobi à divers endroit lors des missions afin qu'il vous apprennent un petit truc sur votre histoire où sur le maniement de la Force. Ainsi vous remettra-t-il un item nommé subtilement ''The Force'' à chaque fois que vous l'invoquerez, et qui, équipé comme arme vous donnera les super capacités bien connues des Jedi. Pousser un objet par télékinésie, activer un mécanisme à distance, influencer les esprit faibles pour que les ennemis s'entre-tue par exemple (où vous libère le passage...). Les possibilités importantes ne sont en réalité guère nombreuse et à de rares occasions vous aurez à vous servir de tout ces pouvoirs pour réellement remplir les objectifs et boucler les épreuves importantes de chaque missions. Et pour cause, puisque la jauge de pouvoir diminue bien vite à chaque utilisation, et une fois vide, vous serez contraint d'aller la remplir auprès de Kenobi telle une fontaine à fée dans un Zelda... Contraignant, soulant, occasionnant des aller et retour incessant, ce genre de pouvoir est donc hautement dispensable quand bien même ils auraient put amener une super diversification de l'action dans le jeu. Très dommage !
En tout, 15 niveaux paveront votre apprentissage Jedi. Autant dire que le soft a de quoi vous tenir en haleine un bon moment. Bien entendu, un système de sauvegarde par mots de passe est présent sur Yoda Stories. Un code vous sera donc attribué à chaque niveau terminé. Pratique, car aucune sauvegarde n’est possible en cours de partie et votre chemin est long.
Pour finir, le son ! La saga Star Wars, tant cinématographique que vidéoludique est connue pour sa bande-son magistrale, fantastique, épique, sensationnelle et j'en passe... Aussi, la petite 8-bit de Nintendo nous a prouvé que malgré un processeur sonore faible, une petite dose de créativité et une mélodie sympathique peuvent constituer une piste de qualité. Mario Land II, The Legend of Zelda : Link's Awakening, Pokémon Red & Blue, Kirby, ou encore Mystic Quest entre autre nous l'ont démontré. Parfois même, d'autre jeux, porté à partir d'un hardware plus puissant, ont sut adapter leur mélodies à la Gameboy, comme Donkey Kong Land ou Killer Instinct.
Tout ça pour dire qu'avec ce Star Wars : Yoda Stories, qui nous fait découvrir des lieux divers et variés dans la fabuleuse galaxie qu'a créé Lucas, on aurait put obtenir une OST délicieuse, avec des musiques entrainante et des changement d'ambiance bien probante. Hélas, il n'en est rien, et pire ! Les quelques premières notes archi connu du premier couplet de la fanfare d'ouverture des films se répète ici en boucle. Saupoudré ici et là d'insignifiants bruitages de blaster ou de différents vrombissements de machineries quelconques, l'ambiance sonore du soft s'avère pauvre. Agaçante très vite, on en arrive à couper le son de la machine pendant plus des trois quart du jeu, si tant est qu'on désire en venir à bout...
Au final, ce Star Wars : Yoda Stories n'est pas infiniment mauvais, c'est juste qu'il s'avère être l'un des pires, si ce n'est le pire jeu Star Wars jamais produit. Il y a deux ou trois détails qui lui évite la peine de mort par crémation m'enfin... Il est clair qu'en 1999, tant la Gameboy que les autres consoles ont vu passer pas mal d'autres jeux étalons dans le genre. Et pas que des Zelda, d'ailleurs ! Yoda Stories avait tout pour réussir dés le début, un univers fascinant, un gameplay simple, un petit hardware facile à maitriser... mais le produit final est bien trop vide, trop léger pour convaincre ! Ennuyeux, pas très beau, voire même casse-bonbons avec ses quatres notes de musiques qui se répètent en boucle... Quand bien même elle ne se base pas sur les évènements conter dans l’Épisode I, sortie au cinéma la même année, on se demande finalement si la production éditée par THQ ne cherche pas à surfer sur le regain soudain de popularité qu'aura bénéficié La Guerre des Étoiles.
de tous les star wars gb celui là ne m'a jamais tenté voir je l'avais oublié. par contre empire strike ou je ne sais plus quel autre semblait sympa(je ne sais plus lequel j'ai ou l'on finissait avec l'étoile noir).
je l'avais sur pc, j'en garde pas un souvenir impérissable mais c'était pas trop mal, c'était un jeu d'une gamme spéciale de lucas arts à très petit prix et destiné à être joué en fenêtré au bureau quand ton patron regarde pas (y avait également indiana jones a desktop adventure dans la même gamme)
J'ai bien sûr connu, j'en garde malheureusement un mauvais souvenir, par contre le volet Empire Strike Back sur Super Nintendo était quand à lui gigantesque.
Je me souviens uniquement de la jaquette du jeu. Je n'y ai jamais joué, et je suis très surpris qu'on ne joue pas Yoda, mais Luke. Vu le titre du jeu c'est un peu mensonger
Hyoga57 Je ne te le fais pas dire, la trilogie Super Star Wars est avec les Rogue Squadron, mes préférés
kalas28w la trilogie Gameboy est un portage de cette même trilogie à la base sortie sur SNES (qui elle même est dérivé des version NES, c'est le bordel, hein? ) et était chouette à leur niveau. Mais les meilleurs jeux 8/16-bits de Star Wars restent la trilogie originale sur SNES
stardustx exact! Et même que ce jeu et quelques autres était livré avec certain appareil tournant sous Windows 98 pré-installée sur l'appareil d'époque. mais bon, Windows 98 quoi
anakaris j'aimai bien 98 moi, c'était pas pire que win 95 et c'était la dernière version de windows avec un vrai mode DOS directement accessible sans bidouille (fallait bidouiller sur millenium si mes souvenirs sont bons et ceux d'après adieu le vrai mode DOS)
chronokami merci beaucoup , la 1ere review de Doc arrive vers 22h, ça va chier
darksly oh punaise même à 3€ complet dés que tu le vois, COURT!!
Son prix relativement excessif s'explique par sa ''rareté'', je crois qu'il n'est sorti qu'aux USA, me demande pas comment j'ai réussi à me le procurer, je l'ai depuis des lustres ^^'
Le seul jeu Star Wars que j'ai eu, jusqu'à faire la magnifique rencontre avec Jedi Academy sur PC vers 2005 ou 2006, et là ce fut la révélation divine quoi...
Imagine l'écart de plaisir que j'ai eu en jouant à Yoda Story et Jedi Academy à quelques semaines d'intervalle
ninjacondor putain ils ont réellement tous osé dans le monde du jeu vidéo quoi , autant le film est vraiment drôle et sympa, autant l’intérêt du jeu doit être le 0 absolue
anakaris Honte à moi, je ne connaissais même pas l'existence d'un tel jeu sur Game Boy, d'autant plus qu'il touche à la saga Star Wars ! Merci pour la découverte ! Donc le jeu se concentre réellement sur le temps que passe Luke chez Yoda à s'entraîner, par contre ça a l'air d'être une sacrée bouse si je puis dire
Néanmoins on reconnait sur les différents screen l'interface en général des jeux Gameboy de cette époque.
Hyoga57 Je ne te le fais pas dire, la trilogie Super Star Wars est avec les Rogue Squadron, mes préférés
kalas28w la trilogie Gameboy est un portage de cette même trilogie à la base sortie sur SNES (qui elle même est dérivé des version NES, c'est le bordel, hein?
stardustx exact! Et même que ce jeu et quelques autres était livré avec certain appareil tournant sous Windows 98 pré-installée sur l'appareil d'époque. mais bon, Windows 98 quoi
darksly oh punaise
Son prix relativement excessif s'explique par sa ''rareté'', je crois qu'il n'est sorti qu'aux USA, me demande pas comment j'ai réussi à me le procurer, je l'ai depuis des lustres ^^'
Aucun interêt ce type c'est ahurissant, rien que de la rage et du dénigrement, sans arrêt...
Merci pour ces tests de passionné (je suppose) juste pour partager avec nous !
Imagine l'écart de plaisir que j'ai eu en jouant à Yoda Story et Jedi Academy à quelques semaines d'intervalle
C'est justement parce que je suis fan de Star Wars que j'ai été très triste de voir un tel jeu souiller mon univers favoris!