Larian Studios bosse sur deux nouveaux projets, mais n'a pas oublié Baldur's Gate III
Lors d'un nouveau billet de blog, Larian Studios a tenu à légèrement préciser ses plans d'avenir, désormais en dehors des Royaumes Oubliés : ce n'est pas un mais deux projets qui sont actuellement sur la table pour permettre au studio de développer « ses propres licences ». L'équipe évite soigneusement de préciser si chacun des jeux sera donc une nouvelle IP ou si au moins une ré-exploitera le copieux univers de Divinity.
En tout cas, les idées sont déjà en place, aussi bien dans le gameplay que la narration, pour que Larian ponde « le meilleur travail » jamais effectué jusqu'à présent par les développeurs. La barre est haute il faut avouer.
Et Baldur's Gate III ? Il n'est pas oublié car une team dédiée continue comme promis de continuer d'améliorer l'expérience au maximum :
- Le futur patch 7 offrira des améliorations narratives au niveau des « fins maléfiques » avec nouvelles cinématiques, tout en ajoutant l'attendu support des mods (on ignore si le cross-platform sera proposé d'emblée pour les consoles).
- A l'avenir, Larian n'a pas oublié d'ajouter le mode photo et une option cross-play, tout en promettant de toujours améliorer les performances et la stabilité.
posted the 04/19/2024 at 06:44 AM by
Gamekyo
Ce qui m’intéresserait c’est qu'ils proposent un RPG style japonais.
Et la passion surtout !
Certes, mais passion et industrie font mauvais ménage...
Souvent la passion conduit à prendre des risques, et des risques, Larian Studio, au regard du bébé dont il a accouché, a pris beaucoup, beaucoup de risques, sans savoir si tout les efforts fournis (apparemment démesurés), allaient commercialement payer. En ça, je suis admiratif de la direction de ce studio, lequel je ne connaissais pas avant Baldur's Gate III.
Mais oui, ça me rappelle un peu l'époque où sortait pour la première fois des jeux comme The Last Remnant, Catherine, NIER, Resonance of Fate, ou bien encore la licence Trauma Center et bien d'autres, y compris antérieurs, le jeu vidéo était alors encore jeune et les éditeurs de tout bords avaient encore ce courage de proposer des concept...
D'ailleurs malgré le côté frileux des gros éditeurs à financer des nouveaux projets originaux comme ceux que tu cites, nous avons tout de même la chance d'avoir aujourd'hui les indépendants qui savent encore démontrer que les idées priment finalement sur le budget et que les prises de risque peuvent payer.