"@volran J'ai oublié de préciser que si tu le cherches en physique, ça risque d'être un peu compliqué. A ma connaissance, c'est un jeu qui coûte un bras.
Après il reste des moyens détournés."
"@volran Si tu parles d'Haunting Ground oui, le jeu vaut grandement le coup.
Un chef d'œuvre un peu oublié de la PS2 qui a posé les bases de pas mal de choses notamment pour la conception moderne du stalker et du Run and Hide (dans la continuité de Clock Tower).
Je rajoute que l'univers est plutôt singulier, même encore aujourd'hui, avec quelque chose de porté vers l'alchimie et des conceptions plus séculaires de l'horreur.
Et enfin ça porte un discours assez osé pour l'époque sur le male gaze et la dépossession, la sexualisation du corps féminin. (Certains pourraient crier au jeu woke de nos jours)"
"Personnellement je suis de plus en plus persuadé que le jeu va pas mal emprunté à Haunting Ground (qui est déjà en partie une version abandonnée du 4). En regardant les trailer et en écoutant les voix, la dynamique entre Grace et le mec encapuchonné me fait pas mal penser à la dynamique Riccardo / Fiona."
"Ah bas je comprends pourquoi les exec de Xbox tirent la gueule depuis quelques années.
Mais bon voilà après avoir convaincu le board de lâcher des milliards pour Bethesda et Activision, retour à la réalité."
"C'est bête, le jeu arrivait à proposer quelque chose d'original dans le tas de merde qu'est le Gaas mais bon peu de contenu au début avec quelques problèmes c'est rédhibitoire."
"Licence increvable, mais le plus dur ça sera sûrement le jeu suivant, quelle reinvention vont ils nous sortir pour relancer la sauce comme le 4 et le 7 avant lui.
Après, je pense qu'une partie de la hype ne vient pas vraiment du jeu en lui même mais juste des rumeurs autour de Leon de retour (même si je le pense avec des pincettes car je me demande combien de personnes ont eu vent des rumeurs en réalité)."
"La hype, il y en a toujours eu mais le problème c'est qu'il y a double mouvement contradictoire entre une polarisation de plus en plus poussée des avis et une individualisation de plus en plus poussée des personnes.
Le truc commun aux deux est un sentiment d'appartenance et de distinction, où chacun essaye de sa rassurer sur ses choix personnels, son ressenti au risque de les imposer à tout le monde comme la réalité objective.
Faut juste lâcher prise, sans tomber dans le relativisme à la con ("les goûts et les couleurs")."
"La hype, il y en a toujours eu mais le problème c'est qu'il y a double mouvement contradictoire entre une polarisation de plus en plus poussée des avis et une individualisation de plus en plus poussée des personnes.
Le truc commun aux deux est un sentiment d'appartenance et de distinction, où chacun essaye de sa rassurer sur ses choix personnels, son ressenti au risque de les imposer à tout le monde comme la réalité objective.
Faut juste lâcher prise."