Tout est dans le titre. Ca se passe sur IGN et c'est une session de jeu "classique" (pas d'évènements particuliers, à la cool) avec Sean Murray (Ancien de Criterion et maintenant l'un des boss d'Hello Games, les devs du jeu), qui utilise un vaisseau de bas niveau (avec une bonne capacité de stockage).
Plus vous amassez des ressources, découvrez des planètes, des espèces et plus vous vous ferez de blé. Ce qui vous permettra donc de rejoindre le centre de la galaxie plus vite en investissant vos brouzoufs dans un vaisseau qui fera passer votre ancienne monture pour une vulgaire 2CV sidérale.
Si vous mourrez sans avoir vendu ou sécurisé vos ressources (7:05, vous pouvez apercevoir un comptoir), vous les perdrez. Vous pourrez créer des alliages particuliers avec les ressources trouvées, améliorer votre vaisseau (son armement, ses protections..).
Décors destructibles sur certaines parties visiblement (9:40).
Certaines planètes seront radioactives et vous devrez tout d'abord posséder la technologie ou les équipements nécessaires pour les visiter.
Batailles spatiales présentes (11:15), des pirates étant actifs dans l'univers, attention à ne pas vous retrouver encerclé.
On voit l'utilisation du scanner planétaire (13:50), qui relève les points d'intérêts (reliques, comptoirs commerciaux, ressources...). Les sentinelles, le système de défense de cet univers, ne vous attaqueront pas lorsque vous choperez des cristaux (peu de valeur).
On pourra visiblement nommer les espèces découvertes et les autres joueurs devront se taper le nom de votre choix dans leurs parties.
Plus vous approcherez du centre de l'univers et plus la difficulté augmentera. Atteindre le centre serait "une sorte de nouveau début".



Pour ceux qui souhaiteraient un peu de lecture (en anglais), un papier du New Yorker sur le jeu et le lien de l'article d'IGN France (Avec la retranscription de la conversation). Si vous voulez avoir le tournis, Kotaku a un court texte sur les chiffres du jeu et sa durée de vie potentielle si vous accrochez (Indice: le terme "épopée" est misérable pour la qualifier).