A trois mois de la sortie de l'un des FPS les plus attendus de ces dernières années, Sony et Guerilla balancent les hors-d'oeuvre. Loin d'être définitive, cette version preview nous permet toutefois de constater le travail effectué depuis près de quatre ans de développement.
"Killzone était la première manche d'un duel entre humains et Helghasts, Killzone 2 n'est autre que la suite directe de ces événements. Mais cette fois-ci, ce sont les troupes de l'ISA qui envahissent le fief Helghast, à savoir la planète Helghan. L'objectif est d'y capturer le leader ennemi et de montrer à ces brutes qui voient rouge de quoi sont capables les terriens. Nous aurons l'occasion de revenir plus en détails sur le scénario lors du test de la version finale mais ne vous attendez cependant pas à vivre une aventure instable aux bouleversements de situations imprévisibles. Killzone 2 possède pourtant bien un petit côté hollywoodien par sa réalisation, avouons-le, assez exceptionnelle et immersive au possible. Préparez-vous simplement à un enchaînement de batailles épiques sur fond apocalyptique ou tout explose aux quatre coins de l'écran. Le tout étant ponctué de cut-scenes d'une rare beauté, misant sur une animation des plus réussies. En tout cas, le joueur évolue bien souvent dans une confusion sonore sans précédent. En résumé, vous êtes immergé du début à la fin dans un combat sans précédent entre deux races prêtes à tout pour assurer leur survie. Mais rien de surprenant pour autant, le fameux trailer E3 2005 avait largement donné le ton.
Encore en phase de fignolage intensif, Killzone 2 ne nous a donc été livré qu'à moitié dans cette version preview. Un cadeau d'environ 5 heures pour découvrir en profondeur les 40 premiers pour cent du jeu de Guerilla. De quoi nous permettre de tabler sur une campagne solo avoisinant les 12 heures de jeu en optant pour le second niveau de difficulté sur une échelle de quatre, le seul que nous avons pu tester ici. Pour l'heure, difficile d'être vraiment catégorique concernant la qualité technique de Killzone 2, la version toussotant en effet quelques bugs plus ou moins voyants qui seront sans doute corrigés d'ici la sortie du FPS. Difficile également de juger une IA elle aussi soumise à des réactions en cours de calibrage. On se contentera de confirmer la robustesse des Helghasts, du même acabit que dans le premier volet et la tendance des alliés à ne pas trop se ménager. Souvent à découvert, ceux-ci ont toutefois le mérite de progresser à votre rythme et d'être particulièrement efficaces au corps-à-corps. Tout juste pourra-t-on pester contre la passivité de nos collègues au moment de venir en aide à un soldat blessé. Il n'incombera alors qu'à vous d'aller lui donner le petit coup de taser magique pour le remettre sur pied. Une action tantôt banale, tantôt héroïque en fonction de la position occupée par le blessé. Quoi qu'il en soit, sa régénération est complète et immédiate, à l'instar de celle du joueur, automatique. En cas de chute de santé, ce dernier n'a en effet qu'à s'abriter quelques instants pour reprendre du poil de la bête.
La progression est assez linéaire et soumise aux déclenchements de scripts alliés et ennemis, bien que certains théâtres de guerre proposent au joueur une toute petite liberté dans sa progression. Mais de manière générale, les objectifs qui lui sont un à un fixés ne peuvent être remplis que d'une unique manière. Rejoindre un groupe de résistants, déposer des explosifs, survivre à un assaut Helghast, éliminer leurs armes de destruction massive... Du grand classique. Mais ce qui marque en jouant à Killzone 2, c'est qu'en dépit du fait qu'il ne réinvente nullement le genre, il s'avère être une expérience d'une rare intensité, aidée par un level-design franchement bien pensé. Très accessible, Killzone 2 mise également sur des mécanismes de jeu tout à fait adaptés à l'urgence des situations. Peu de commandes à mémoriser, une visée précise et surtout le moins de temps mort possible. Par exemple, si le Sixaxis est utilisé pour ouvrir des valvdges ou fixer des explosifs, le mouvement à effectuer n'a rien de compliqué et s'inscrit plutôt bien dans le gameplay de Killzone 2. A d'autres reprises, vous n'aurez qu'à appuyer sur rond pour prendre appui sur un allié afin de sauter un mur, avant de l'aider à votre tour à franchir l'obstacle. Au final, le classicisme du jeu de Guerilla devrait permettre à un maximum de joueurs de tenter l'aventure, pendant que les puristes apprécieront de leur côté les efforts de mise en scène ainsi que la résistance de certains boss. Affaire à suivre. "
Rivaol , le 04 décembre 2008
publié le 04/12/2008 à 09:35 par
kurosama
"A trop vouloir manger à tous les râteliers, Sonic s'embourbe dans une diversité de genres qui ne lui sied guère. Très réussi au niveau visuel et expurgé de bon nombre des problèmes de jouabilité qui entachaient l'épisode précédent, Sonic Unleashed se montre beaucoup moins convaincant sur le plan du gameplay. Phases de jour impressionnantes mais courtes et peu interactives, phases de nuit hors de propos et vite redondantes : le constat est sévère. Pourtant, force est de constater qu'on s'y amuse, et que si Unleashed est un Sonic plus que moyen, cela reste un titre beaucoup plus recommandable que ne l'était l'opus précédent. La série est donc sur la bonne voie, mais beaucoup de travail reste à accomplir pour lui permettre de retrouver ses lettres de noblesse."
La note : 13/20
publié le 28/11/2008 à 20:26 par
kurosama
" Tomb Raider Underworld se présentait comme le meilleur épisode de la saga mais se pose uniquement comme un "simple" très bon jeu. Accumulant quelques bugs gênants et divers défauts de gameplay, le titre de Crystal Dynamics n'en reste pas moins très abordable. En somme, malgré ces soucis, ce titre reste fort plaisant grâce à son level-design aussi torturé que celui du TR original, sa plus grande accessibilité, son ambiance enchanteresse et une volonté de terminer en beauté une trilogie en revenant à la source mythologique et familiale."
Note : 15/20..je vais me laisser tenter.
publié le 21/11/2008 à 22:47 par
kurosama
Enfin, juste le verdict :
"Broken Bond est l'archétype même de la suite faisant plaisir. Ubisoft a en effet réglé la plupart des problèmes de Rise of a Ninja tout en ayant grandement amélioré le mode Aventure. Le tout n'est pas encore parfait mais on se rapproche petit à petit d'une adaptation indispensable à tout fan du manga original. En somme, pour un éventuel troisième épisode, il faudrait que les développeurs se penchent sur les combats encore un peu statiques mais en l'état, autant profiter de ce que nous avons : un excellent titre." la note : 16/20.
publié le 20/11/2008 à 19:17 par
kurosama
Voici donc un extrait de la critique de ce film ( par filmsactu.com ) que j'attends ..verdict..et note donc :
5/20
" Autant balancer la vérité d'un coup, comme une masse sur le coin de la tronche : Resident Evil Degeneration, c'est mauvais. Point ! Plus la peine d'espérer quoi que ce soit, en encore moins un éventuel rattrapage du gouffre artistique des trois films live, cet opus ne volant guère plus haut. On a beau partir à la pêche aux qualités maigrement éparpillées, strictement rien à bord de l'entreprise ne porte le film en sa faveur : cheap, laid, inintéressant, bourré de péripéties de soap ou tout simplement ennuyant. Cette vaine tentative de Capcom a néanmoins le mérite d'afficher une vérité que l'on s'était peut-être borné à ne pas vouloir voir... Resident Evil n'est peut-être tout simplement pas fait pour le grand écran, que ce soit porté par un glandu de clippeur ou par les propres créateurs du jeu original."..
umm...ça m'empechera pas de me l'acheter..mais quand meme 5..argh ! snif !
publié le 20/11/2008 à 05:14 par
kurosama