GameInformer 8,75/10
Sable ends in the same way it starts, at home with family. The narrative payoff is not actually about your final choice, and that may rub more goal-oriented players the wrong way. However, I found the conclusion a fitting end to a side quest-filled exploration game. For those who love to explore, I can’t recommend Sable enough. Every element – beautiful graphics, compelling traversal, and player-driven plot – works together to ensure I simply lose myself in the world.
Sable se termine de la même manière qu'il commence, à la maison en famille. Le gain narratif ne concerne pas réellement votre choix final, et cela peut froisser,dans le mauvais sens, les joueurs plus axés sur les objectifs. Cependant, j'ai trouvé que la conclusion était une fin appropriée à un jeu d'exploration rempli de quêtes secondaires. Pour ceux qui aiment explorer, je ne saurais trop recommander Sable. Chaque élément - de beaux graphismes, une traversée fascinante et une intrigue axée sur le joueur - fonctionne harmonieusement pour m'assurer que je me perds simplement dans ce monde.
JVC 14/20
Hommage visuel à Mœbius, Sable séduit d'abord par ses traits et ses couleurs si captivantes. On lui accorde également une exploration riche d'une grande liberté et de quelques mystères happants. Mais la technique en dents de scie fait terriblement défaut au voyage. Et l'univers manque d'une certaine consistance, peinant à nous engager complètement durant sa longue balade.
IGN 7/10
Sable’s unique art style, memorable characters and quests, and engaging open-ended formula are going to stick with me for a long time. But the numerous technical issues, wonky camera, and bland puzzles all make this otherwise compelling odyssey a lot rockier. Those issues can be frustratingly frequent distractions, but when they did manage to fade into the background I found myself mesmerized by Sable’s bizarre world of creepy worms, masked weirdos, and hoverbikes.
Le style artistique unique de Sable, ses personnages, ses quêtes mémorables, sa formule ouverte et engageante vont rester avec moi pendant longtemps. Mais les nombreux problèmes techniques, la caméra bancale et les énigmes fades rendent cette odyssée autrement fascinante beaucoup plus rocailleux. Ces problèmes peuvent être des distractions frustrantes et fréquentes, mais quand ils ont réussi à se fondre dans le décor, je me suis retrouvé hypnotisé par le monde bizarre de Sable composé de vers effrayants, de cinglés masqués et d'aéroglisseurs.
Gameblog 6/10
Si Sable parvient sans mal à nous aspirer dans son univers prompt à l'exploration et aux rencontres grâce à une direction artistique saisissante et une bande-son planante de très haute volée, la partie technique bat tellement de l'aile que la caravane cale parfois pour franchir une simple bute. Prompt aux bugs de collision les plus étonnants, Sable propose pourtant une aventure onirique et sensorielle qui invite à prendre son temps, pour mieux se laisser bercer par son univers charmeur, mais parfois frustrant. Ceux qui parviendront à lui pardonner ses nombreuses failles de collision profiteront tout de même d'un titre reposant, qui propose de suivre le sens du vent pour découvrir ses protagonistes et sa direction artistique aux accents chromatiques sacrément osés. Est-ce finalement si étonnant ? Il parait que dans le désert, les nuits sont aussi froides que les journées ensoleillées...
Gamekult 4/10
D'ici quelques semaines ou quelques mois, les patchs auront probablement corrigé le tir sur le plan technique, du moins en partie. Mais comment Sable pourrait-il faire pour masquer tous ses errements, les autres, les vrais, ceux qui écornent notre plaisir de jeu et réduisent nos 10 heures de promenade à une simple promotion pour le talent graphique ? Beaucoup trop longue, cette aventure manque de rythme et de passion. Sa narration maladroite cadenasse son discours. À pied, les trajets deviennent vite pénibles, et comme l'aérocycle n'est pas non plus une fusée, tout est fastidieux, ou au mieux anecdotique. Voilà un jeu séduisant et sympathique à qui l'on veut bien pardonner beaucoup de choses, mais, fatalement, devant des mécaniques aussi artificielles, cette résolution vacille. Une belle coquille vide après trois ans d'attente.
PS : Je rajouterais des tests au fur et à mesure.
D'ici quelques semaines ou quelques mois, les patchs auront probablement corrigé le tir sur le plan technique, du moins en partie. Mais comment Sable pourrait-il faire pour masquer tous ses errements, les autres, les vrais, ceux qui écornent notre plaisir de jeu et réduisent nos 10 heures de promenade à une simple promotion pour le talent graphique ? Beaucoup trop longue, cette aventure manque de rythme et de passion. Sa narration maladroite cadenasse son discours. À pied, les trajets deviennent vite pénibles, et comme l'aérocycle n'est pas non plus une fusée, tout est fastidieux, ou au mieux anecdotique. Voilà un jeu séduisant et sympathique à qui l'on veut bien pardonner beaucoup de choses, mais, fatalement, devant des mécaniques aussi artificielles, cette résolution vacille. Une belle coquille vide après trois ans d'attente.
Combien de fois les notes n était pas top et un jeu m à plu !