Quelques jours après son élimination surprise en Coupe de France face à Lens (1-2 ap), l’Olympique Lyonnais avait une belle occasion de relancer la machine en recevant une équipe d’Ajaccio à la dérive pour le compte de la 25e journée de Ligue 1. Privés de Yoann Gourcuff, les Gones comptaient sur leur doublette d’attaquants Lacazette/Gomis pour faire plier la défense ajaccienne. Mais loin d’arriver en victime expiatoire, les Corses pouvaient se réconforter en se rappelant qu’ils ont obtenu l’une de leurs deux victoires de la saison face à l’OL. D’autant plus encourageant qu’ils ont enregistré leur second succès la semaine dernière, contre Rennes.

Et dès les premières minutes, les Acéistes gênaient considérablement les Gones par leur impact physique. Mais les locaux se créaient les plus belles occasions, entre un but de Gomis refusé pour hors-jeu (5e) et une frappe contrée de Miguel Lopes, claquée de justesse par Ochoa (16e). Des occasions qui avaient le mérite de libérer l’OL. Multipliant les mouvements collectifs, les Lyonnais se montraient dangereux mais ni Fofana (23e) ni Gomis (29e, 33e) n’accrochaient le cadre du portier mexicain. Finalement, c’est sur un exploit personnel que l’OL était récompensé juste avant la pause : pas attaqué aux 20 mètres, Gueïda Fofana voyait Memo Ochoa avancé et enroulait une belle frappe lobée pour ouvrir le score (1-0, 43e). Le scénario idéal pour une équipe lyonnaise en demi-teinte jusqu’alors.

Au retour des vestiaires, l’OL intensifiait sa domination, bien aidé par la stérilité offensive des Acéistes. Entré à la place de Lacazette, sorti en boitant, Jimmy Briand manquait l’immanquable, Ochoa déviant en corner sa frappe à bout portant (58e). Dans la foulée, le Mexicain s’envolait pour claquer une frappe de Ferri. Comme souvent ces dernières semaines, la solution pour l’OL va venir du couloir gauche de l’intenable Bedimo. Quelques minutes après avoir offert une occasion en or à Briand, le Camerounais s’offrait un nouveau raid solitaire dans la défense avant de centrer en retrait. Cette fois, Briand parvenait à pousser le ballon au fond de la tête seul face au but vide (2-0, 68e). A 2-0, l’OL semblait alors maîtriser les débats mais comme souvent, les Gones se laissaient aller et l’ACA ne manquait pas de se relancer grâce à Oliech (2-1, 81e). Un suspense de courte durée puisque Gomis venait clore les débats dans les derniers instants (3-1, 90e). Lyon réalise une belle opération en prenant la cinquième place, devant l’OM et juste derrière Saint-Etienne. Deux équipes qui s’affrontent ce soir, et qui ont déjà la pression.

L’homme du match : Bedimo ( 8 ) : à l’image de ses récentes prestations, l’ancien Montpelliérain a dynamité son couloir gauche. Très incisif sur ses montées, il a mis au supplice l’arrière-garde ajaccienne. Sur deux de ses exploits en solitaire, Jimmy Briand a d’abord manqué l’immanquable avant d’inscrire le but du break. Aucun doute, celui que Louis Nicollin qualifiait de « crêpe » l’an passé est au sommet de son art.

Lyon :

- A. Lopes (6) : soirée paradoxale pour le portier lyonnais, qui n’a pas eu grand-chose à faire durant cette rencontre. Mais sur le deuxième tir cadré adverse, le Portugais était contraint d’aller chercher le ballon au fond de ses filets, crucifié par Oliech. Rassurant dans les dernières minutes.

- M. Lopes (4,5) : aligné pour la deuxième fois de la semaine après sa blessure, le latéral portugais n’a guère apporté offensivement et s’est montré bien fébrile dans son couloir. De nouveau blessé, il a dû céder sa place à Tolisso (84e)

- Bisevac (4,5) : prestation en demi-teinte pour le roc serbe aujourd’hui. Bisevac a parfois manqué d’autorité, à l’image d’un tacle manqué qui a offert à Ajaccio une situation de contre idéale, heureusement mal exploitée. A noter qu’il aurait pu obtenir un pénalty, ceinturé par un adversaire sur corner.

- Umtiti (6) : le jeune défenseur lyonnais a tenu son rang dans cette rencontre. Solide dans les duels, il a souvent joué le pompier de service pour couvrir les erreurs de ses coéquipiers et annihilé les quelques offensives dangereuses de l’ACA. Rassurant.

- Gonalons (6) : comme à son habitude, le capitaine lyonnais a cravaché dans l’ombre, avalant les kilomètres et enchaînant les interceptions. Mais comme souvent cette saison, il a parfois pêché dans sa relance et ralentit le jeu des siens. Des imprécisions compensées par un engagement de tout instant.

- Fofana (6,5) : s’il brille souvent par son abattage dans l’entrejeu, l’ancien capitaine des Bleuets s’est aujourd’hui fait remarquer par son apport offensif. Après avoir manqué une belle occasion, le numéro 6 lyonnais a ouvert le score d’une frappe lumineuse des 20 mètres. Grand homme du premier acte, il a cependant baissé le pied en seconde période. Dommage.

- Ferri (5) : préféré à Mvuemba, le jeune lyonnais a eu du mal à se mettre au diapason de ses coéquipiers. Dominé dans l’impact physique face à l’athlétique milieu acéiste, le joueur de poche a souvent manqué de spontanéité dans ses transmissions. Du mieux en deuxième période. Averti pour un vilain geste d’agacement (73e). Remplacé par B. Koné (75e).

- Grenier (7) : positionné derrière ses attaquants en l’absence de Gourcuff, le numéro 7 lyonnais a livré une belle prestation cet après-midi. Alternant jeu long et jeu court avec intelligence, il a brillé dans ses transmissions et fluidifié le jeu de son équipe. A l’origine de beaucoup des situations chaudes lyonnaises, il a de nouveau brillé sur coup de pieds arrêtés.

- Gomis (7) : auteur d’un but refusé dès la cinquième minute, Gomis a longtemps travaillé dans l’ombre ce soir. A coups de remises et de déviations, il a participé aux plus beaux mouvements lyonnais sans se créer beaucoup d’occasions jusque dans les dernières minutes. Libéré après le but du break, il s’est offert un festival avant de buter sur Ochoa (78e) mais a finalement été récompensé par le but du 3-1 (90e). Mérité.

- Lacazette (6) : l’homme en très grande forme côté lyonnais s’est encore montré en jambes aujourd’hui. Alliant vivacité et engagement de tous les instants, il a été la cible privilégiée des défenseurs acéistes. Il a malheureusement trop souvent cherché la solution individuelle. Touché après une béquille, il est remplacé par Briand (53e). Le numéro 19 lyonnais inscrira le but du break quelques minutes après avoir manqué l’immanquable.

Ajaccio :

- Ochoa (7) : le portier mexicain a certes encaissé trois buts, mais il a du reste abattu un travail impressionnant. Entre une grosse parade sur une frappe lobée de Miguel Lopes (16e), un arrêt réflexe à bout portant devant Briand, une belle détente sur une tentative de Ferri (58e) ou encore une vigilance devant Gomis (78e) et Grenier (87e), il a parfaitement répondu présent. Dommage qu’il ait été lâché par sa défense...

- Mostefa (3,5) : le latéral n’est que rarement monté aux avant-postes, et a préféré, devant la possession lyonnaise, assurer sa tâche défensive. Néanmoins, il fut souvent déposé sur son côté par Bedimo, lequel s’est payé quelques montées sans être aucunement inquiété. Comme sur le second but lyonnais, où il n’a tout simplement pas bougé...

- Dielna (5) : le central corse a réalisé un match correct. Il a notamment fait admirer son sens de l’anticipation, lui qui a bien coupé les trajectoires de certaines transmissions. Il le fallait, devant un attaquant à forte densité de jeu comme Gomis. Sa copie est quelque peu gâchée par son laxisme sur le second but lyonnais (68e).

- Perozo (2) : le jeune vénézuélien n’a pas vécu un après-midi de tout repos à Gerland. Souvent absent au marquage, voire perdu, comme on a pu le voir sur les deux premiers buts lyonnais, il s’est avéré être un véritable point faible. Son ceinturage sur Bisevac dans la surface aurait également pu coûter aux siens un pénalty (54e)...

- Tonucci (3,5) : le central italien s’est affirmé en leader de défense efficace une petite partie de l’après-midi, durant laquelle il fut solide au marquage et vigilant, à l’image de son superbe tacle sur Ferri dans la surface (31e). Il a malheureusement cédé aux mauvais moments, lui qui fut coupable d’un certain laxisme sur les trois buts adverses.

- Diarra (5,5) : un bon match de l’ailier malien repositionné latéral, qui n’a pas ménagé ses efforts dans son couloir gauche. A rarement cédé sur son côté, et s’est également montré offensivement, entre un centre parfait pour Lasne (7e) et plusieurs montées rageuses. Remplacé par Gonçalves (71e).

- André (5) : le jeune milieu a plutôt bien tenu son rang dans son duel avec Ferri dans l’entrejeu. Une belle activité, mais trop de discrétion dans le secteur offensif, où l’on attendait davantage de sa part.

- Faty (4) : héros du dernier succès corse face à Rennes, le milieu n’a pas fait preuve de la même efficacité à Gerland. Dans son rôle de destructeur du jeu adverse, il a commis beaucoup de fautes, à l’instar de celle sur Lacazette, qui a par la suite manqué de profiter à Lopes (16e). Quelques maladresses qui se sont accompagnées d’errements, c’est lui, qui lâche Fofana au marquage sur le premier but lyonnais (43e).

- Lasne (5,5) : sans aucun doute l’un des Acéistes les plus en vue cet après-midi à Gerland. Le milieu de terrain a fait preuve d’un remarquable engagement, à la récupération comme dans les bons coups offensifs. L’une de ses têtes a d’ailleurs provoqué le premier frisson du match, le ballon ayant flirté avec le poteau (7e). Une envie communicative, qui s’est néanmoins éteinte au fil des minutes. Remplacé par Iakovenko (86e).

- Cavalli (6,5) : son équipe ayant été globalement privée de ballons, le maître à jouer corse a rarement touché le cuir. Mais sur les quelques touchers dont il a bénéficié, il fut l’auteur de fulgurances techniques, d’une frappe non cadrée (34e), et de quelques caviars sur coups de pieds arrêtés ou dans le jeu, comme avec ce subtil ballon placé dans la course de Tallo (49e), ou encore cet assist astucieux pour Oliech (81e). Un match plein, en somme.

- Tallo (4) : très en jambes, le jeune attaquant a multiplié les appels, ses prises de profondeur prenant à défaut l’arrière garde lyonnaise à plusieurs reprises. Seulement, en matière de finition et de dernier geste, l’Ivoirien a pêché, à l’instar de ce superbe ballon de Cavalli non fructifié (49e). Trop de déchet pour pouvoir s’avérer décisif. Remplacé par Oliech (62e), lequel n’a eu besoin que d’un ballon pour trouver le chemin des filets (81e).

1° Anakaris: 120 points
2° Milo42: 119 points
3° Diablass59: 118 points
4° Ecco: 108 points
5° Shanks, Leuda, Dioz: 107 points
6° Vfries: 106 points
7° Youkoulele: 105 points
8° Sephiroth07: 104 points
9° Thor: 103 points
10° Superpanda: 96 points
11° Ninjah, Vercetti: 95 points
12° Xiomfr: 90 points
13° Jf17: 83 points
14° Kenpokan: 79 points

Meeenh mes lapins, j'vous ai oubliés quoi :O

Pas grave, j'accorde un point à tout le monde pour le match de ce soir, de toute façon celui qui a parié sur Valenciennes c'est une grosse banane sans déconner

Les résultats de la 24ème journée arrive dans 30 minutes


Bastia - Monaco
Reims - Bordeaux
Lorient - Toulouse
Nice - Nantes
Rennes - Montpellier
Sochaux - Guingamp
Lyon - AC Ajaccio
Evian-TG - Lille
Saint-Étienne - Marseille

Ben c'est moi, et j'ai eu tord!

Lyon s'est fait avoir (comme souvent contre des équipes relativement prenable, ceci dit, à croire que ça n'arrive qu'a nous).

Score final: 2-1 pour Lens, élimination directe!

Voilà ce qu'il en coûte de marquer à la 9ème minute en ensuite de "gérer" pendant 80 minutes au lieux de pousser pour en marquer un second, histoire de se mettre à l’abri.

Et Vercoutre, putain -_-', le mec joue 4 matchs par saison et sa moyenne de but encaissé est de 6... juste WHAT THE FUCK c'est quoi ton problème mec? L'entraineur a pas encore compris qu'il faut l'attacher sur un poteau au fond du parking plutôt que de lui faire jouer le moindre match?!
Sans parler de Koné peau de boudin, qui gère la pression comme un trou du cul de DH... résultat, au bout de 60 minutes, le mec fait faute sur faute, erreur de placement et s’énerve tout seule puis fout tout le monde dans la merde.
C'est bien sympa d'avoir une paire d'attaquant de qualité, un qui apporteson expérience (Gomis) et un autre qui gagne de la valeur en vieillissant tout doucement (Lacazette), mais ça fait 5 ans que Lyon navigue avec une défense en bois, c'est quand qu'on étudie le dossier là? Non parce que bon... comme disait Rémi Garde en début de saison, si Gomis et Briand sont condamné à marquer 4 buts par match pour mettre l'équipe à l'abri tout les week end, ils vont pas tenir un mois les mecs !

Sans compter la malchance qui fait qu'on tombe en prolongation 30 secondes après avoir remplacer nos meilleurs joueurs (afin de les préserver pour les autres compétitions), du coup, on se retrouve pendant 30 minutes de pur supplice (c'est ça, les prolongation d'un match de Coupe de France, la tête tourne, les mollets brûle, on a l'impression de respirer du souffre à longueur de minutes, si tu perd tes supporters sont étonnamment inaudible tandis que si tu gagne le stade est dans une fusion quasi apocalyptique...) avec une équipe presque "B"...

Par contre, ceux d'en face, titulaires absents ou pas, ils entrevoient une chance de faire un coup, et à partir de ce moment là, ils se transforme en assassins, en mort de faim, en chien enragé, et d'un coup, ils ont l'impression de jouer à 14 plutôt qu'à 11...

Bref, victoire méritée pour Lens qui, malgré une certaine fébrilité dans les 90 minutes du match, s'est montré très volontaire pendant les 25 dernières minutes justement, précisément au moment où la moindre erreur n'est plus permise, où les muscles fondent sous l'effort et où le cerveau est sur le point d'imploser...

Assommé à Rennes le week-end dernier (2-0), l’OL voyait sa superbe série de 12 matches sans défaite stoppée net. Mais les Gones ne tardaient pas à réagir en se qualifiant pour la finale de Coupe de la Ligue aux dépens de Troyes. Dans le même temps, le FC Nantes subissait la loi du PSG dans l’autre demi-finale (2-1). Ce sont deux équipes revanchardes qui se retrouvaient cet après-midi à la Beaujoire. Deux formations avec des objectifs similaires : séparés d’un point au classement, Nantes (9e) et Lyon (7e) avaient l’occasion de se rapprocher du quinté de tête en cas de victoire.

Dans cette configuration, pas étonnant de voir les deux formations se porter à l’attaque rapidement. Et ce sont les Nantais qui furent les plus dangereux, mais Anthony Lopes sauvait les meubles (8e, 11e, 13e). Et si l’OL parvenait à mettre le pied sur le ballon après un premier quart d’heure compliqué, les Nantais restaient les plus dangereux : Gakpe manquait même le cadre d’un cheveu sur une reprise des 18 mètres (23e). Djordjevic voyait ensuite son but refusé pour une faute d’un coéquipier au préalable (38e). Un véritable coup du sort pour les Canaris puisque dans la minute suivante, Alexandre Lacazette venait battre Rémy Riou à bout portant (0-1, 39e). Le 13e but de la saison en Ligue 1 pour l’attaquant lyonnais. Suffisant pour virer en tête à la pause.

Au retour des vestiaires, même scénario. Le FC Nantes pressait pour revenir dans le match, les Lyonnais subissaient. Mais les Canaris se montraient maladroits dans la dernière passe ou le dernier geste. Et quand tout était parfait, Anthony Lopes s’interposait avec autorité, à l’image d’un coup franc lointain de Veretout, bien claqué par le Portugais (55e). Et à force de gâcher des occasions, Nantes s’exposait. Grenier et Gomis réveillaient l’OL mais manquaient de réussite (60e, 61e, 73e). Mais finalement, le trio infernal de l’OL aura raison des Nantais : Grenier feintait pour trouver Lacazette dans la surface, fauché par Riou. Gomis se chargeait de transformer le pénalty (0-2, 75e). Mais alors que les Rhodaniens semblaient partis pour terminer la rencontre dans un fauteuil, Djordjevic réduisait le score (1-2, 84e), mettant fin à trois mois de disette. Mais deux minutes plus tard, le Serbe était expulsé pour deux cartons en moins de deux minutes, réduisant à néant les espoirs des siens... Les Gones s’imposent donc 2-1 et recollent à deux points de l’OM, cinquième. Pour Nantes, cette rencontre laissera sans doute beaucoup de regrets…

Après son doublé à Nantes, Zlatan Ibrahimovic a lancé la finale de la Coupe de la Ligue en postant sur son application Zlatan Unplugged le message suivant : « Qui je préfère affronter en finale ? Cela n’a aucune importance car personne ne nous arrêtera. » Teinté d’ironie et de son arrogance légendaire, ce message a été reçu cinq sur cinq par les joueurs lyonnais, pressés de prouver au Suédois qu’en football, et comme le veut l’adage, tout est possible sur un match.

« Vous savez comme moi que c’est un joueur hors du commun. On l’a encore vu mardi soir. On ne l’a pas trop vu dans le match mais il marque encore deux buts extraordinaires, notamment le premier. Ils ont des joueurs d’exception, c’est vrai, mais on aura notre mot à dire. Nous sommes l’Olympique Lyonnais, on a un certain vécu sur le plan européen et national donc on saura répondre présent face à cette équipe-là. » a réagi à notre micro Maxime Gonalons, le capitaine lyonnais.

Interrogé lui aussi en zone mixte sur la petite pique envoyée par l’homme aux 31 buts sous le maillot parisien cette saison, Bafétimbi Gomis (15 buts pour sa part depuis le début de l’exercice 2013-2014) a lui répondu avec moins de diplomatie : « Ok, on verra bien. Espérons que les dieux du football seront avec nous. On verra bien. » Confiants et prêts à en découdre avec l’armada parisienne, les Lyonnais savent qu’ils n’auront pas les faveurs des pronostics à l’aube de cette rencontre. Un statut d’outsider, voire de Petit Poucet selon Rémi Garde, qui pourrait toutefois jouer en faveur des Lyonnais : « Face au PSG, on sera le Petit Poucet, mais on jouera crânement notre chance. On n’aura rien à perdre mais ce n’est pas pour autant qu’on ne préparera pas bien ce match. » a jugé l’entraîneur lyonnais en conférence de presse, suivi sur ce terrain-là par son buteur Bafétimbi Gomis : « Le coach a raison. On sera le Petit Poucet face au grand Paris, avec toutes les stars que l’on connaît. »

Quant à l'ancien pensionnaire du club de Montpellier, Bedimo, il y va carrément franco: « On a faim. » dit-il simplement.

Le rendez-vous donc est pris le 19 avril prochain entre l’ogre parisien et le Petit Poucet lyonnais.

L'OLYMPIQUE LYONNAIS !!!


Bon, je vais pas faire un super article de ouf, là je suis pas trop en état, m'voyez

Juste que dés le départ c'était un match qui puait du cul, on sentait venir le piège sur Lyon à des kilomètres... et puis finalement, au bout de 30 minutes, deux éclairs individuels, deux buts à 0, Lacazette, Gomis, on se dit que ça va.

Et là, Troyes refait surface. Seconde période, l'effectif lyonnais se liquéfie littéralement, déchet technique, hors jeu imaginaire, penalty non sifflé, des écarts se creusent, les troyens poussent à donf quitte à se chier dessus ...

À partir de la 80è, je vous assure que j'ai stressé comme un porc, j'ai sué du cul ...

Score final 2-1.

Au passage, c'était ce soir le 38ème match (soit une saison de championnat en entier) de la saison de l'OL qui reste en lice dans toutes les compétitions possibles: championnat (où on peut accrocher le podium), Coupe de la Ligue, Coupe de France et Europa League... Malheureusement, on a pas un banc démentiel, assurer jusqu'au bout de toutes les compétitions va être très très dur...

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Enfin bref... rendez-vous le 19 avril prochain au Stade de France pour la finale de la Coupe de la Ligue: Paris Saint-Germain contre l'Olympique Lyonnais !

Toulouse - Saint-Étienne
Marseille - Bastia
Lille - Sochaux
Guingamp - Reims
Valenciennes - Nice
Montpellier - Evian-TG
AC Ajaccio - Rennes
Nantes - Lyon
Bordeaux - Lorient
Monaco - Paris-SG

Journée spéciale, 3 points à celui qui me devine le score exact de Monaco - PSG !

1° Anakaris : 117 points
2° Milo42, Diablass59 : 115 points
3° Ecco : 106 points
4° Leuda : 104 points
5° Vfries : 103 points
6° Shanks, Youkoulele : 102 points
7° Sephiroth07, Dioz : 100 points
8° Thor : 98 points
9° Superpanda : 92 points
10° Ninjacondor : 87 points
11° Xiomfr : 83 points
12° Jf17 : 81 points
13° Kenpokan : 78 points