description : Music Génération c'est le groupe portant sur la Musique.
Pop, rock, blues, RAP, RNB... Tout est présent !
A vous de faire vos propres selections !
Et comme on dit, LISTEN !
Au nom de la Team de Musique Génération , Nous vous souhaitons donc un bon réveillon et espérons que vous avez passer du bon moment avec nous à découvrir et re-découvrir tout nos morceaux posté , nous continuerons bien évidemmendent notre activité en 2014 , en espèrent encore passée des bon moments avec vous
Fait attention à vous , éclatez vous bien et profitez de la musique jusque à la dernière seconde de l'année 2013 , Happy New Year !!!
Nom du groupe: Hugh Laurie & The Copper Bottom Band
Pays: USA, diverses origines ethniques
Nom de l'album: Didn't it Rain
Date de sortie de l'album: 29 avril 2013
Genre: jazz et blues
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Un piano trône dans son salon. Une paire de guitares Gibson sont accrochées au mur. Les fans les plus observateurs de la série Dr House se sont rendus compte depuis longtemps que l'acteur Hugh Laurie est un musicien aguerri qui révèle à l'écoute de ce second album un personnage bien plus généreux que la série ne veut souvent le faire croire.
Essentiellement axé sur le blues des origines, le premier album de l'Anglais Hugh Laurie a bénéficié d'un succès commercial réel, sans doute au delà des espérances du Dr. House. Ce deuxième essai, n'a pas été moins heureux. Mais qu'est-ce qui peut bien pousser l'acteur en série à communiquer son amour de la chose musicale sinon une réelle passion davantage que l'appât du gain car le toubib irascible et complexe met une nouvelle fois ses tripes à nu dans un album qui, s'il n'apporte rien de plus que ce que les amateurs connaissent par cœur, a le mérite de la sincérité.
Enregistré à Los Angeles avec son gang Copper Bottom Band, Didn't It Rain - une fois assimilée l'étrangeté de la mise en scène de la pochette - rend hommage par son titre au standard popularisé par Evelyn Freeman, point de repère gospel dans lequel l'acteur a le bon goût de ne pas se mesurer en termes vocaux à Sister Rosetta Tharpe ou Mahalia Jackson et de laisser la parole à des professionnelles aguerries. Plus varié que Let Them Talk qui par précaution s'en tenait à un registre bien précis, cet album part des origines de « St. Louis Blues » pour s'évader dans des duos avec Gaby Moreno sur la roucoulade du tango opiacé « Kiss of Fire », la « sista soul » Jean McClain sur l'increvable « Unchained My Heart », l'éminence Taj Mahal sur « Vicksburg Blues » et un autre fameux praticien en la personne de Dr. John sur « Wild Honey ».
Outre ces festivités, Hugh Laurie sait faire tenir debout tout seul des airs plus ou moins connus, de « Careless Love » et « One for My Baby » à « Changes » dû à l'ex-Animals Alan Price et, pour l'édition française uniquement, une version live de « Yeh Yeh ». Servi honnêtement par un authentique fan de blues, il manque à Didn't It Rain la signature vocale qui pourrait rendre le projet plus singulier, et avec laquelle il pourrait prétendre au panthéon du genre, au milieux de King Of The Delta Blues de Robert Johnson; Texas Flood de Stevie Ray Vaughan ou encore le fameux T-Bone Blues de T-Bone Walker.
Un nouvel opus et une nouvelle victoire pour Hugh Laurie qui a su avec brio redonner un coup de jeune à tout ces vieux classiques de Jazz et Blues avec une énergie et un talent à tout épreuve. Le sieur prouve non seulement son attitude humble en sachant s'effacer derrière un répertoire savamment sélectionné et admirablement bien adapté aux diamants de talents dont il a sut s'entourer pour confectionner cet album, prouvant sa connaissance parfaite du style Jazz/Blues des années 20 et 30. Chapeau l'artiste !
Stone Temple Pilots est un groupe de rock américain formé en 1990 à San Diego, en Californie. À ses débuts, la formation est associée au mouvement grunge, avant d'évoluer vers un style plus hard rock.
le groupe a vendu près de 35 millions d'albums à travers le monde à l'heure actuel ! joli performance !
voici venu pour vous , pour vous accompagnez dans vos fêtes une petite zik du plus grand groupe de Heavy metal de tout les temps ( oui , oui ! rien que ça ! )
Up The Irons !
Iron Maiden
alors tes content ?! ( dis que tes pas content et tu peux être sur que la vierge de fer te retrouveras ! )
Problème de confiance en soi? T'es "pas dans ton assiette'' en cette veille de fête de fin d'année? T'en as ras l'cul que ce gros porc de Père Noël te refile un vieux pull de chiotte tricoté par mémé Marcelle qui a de la barbe au lieux d'une foutue PS3?
Une cure de Am I Demon de Danzig matin midi et soir pendant 1 semaine, et ça va te forger des couilles en titanium et te refiler la pêche comme jamais, fuck yeah biiiitch !!
Jun Seba (1974 ‒ 2010) était un producteur de hip-hop, de trip hop et un DJ japonais enregistrant ses titres sous le pseudonyme Nujabes. Nujabes est un anacyclique de ses nom (Seba) et prénom (Jun) accolés. Il s'est révélé par sa participation au manga à succès Samurai Champloo, auteur de Shiki no Uta et de Battle Cry. Il est décédé le 26 février 2010 des suites d'un accident de voiture survenu sur l'autoroute Shuto traversant le centre de Tōkyō1,2.
Quand la très bonne musique s'allie à la passion du manga , ça donne un morceaux des plus flamboyant !
n’hésiter pas à écouter tout ces albums qui sont de véritable hymne à la vie , à tout les moments et chose positifs qui nous entoure
Nom du groupe: Alter Bridge
Pays: USA
Date de formation: 2004
Nom de l'album: Fortress
Date de sortie de l'album: 27 septembre 2013
Genre: metal alternatif principalement
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Alors que la fin de l'année approche les dernières claques soniques sortent du bois à l'exemple de ce Fortress des Alter Bridge.
Face au rumeur de report à une date indéfinie quelques part en 2014, je faisais partie de ceux qui ne pensaient pas que cet album verrait le jour cette année au vu de l'emploi du temps de Miles Kennedy et surtout, au vu du regain de succès de Slash et son dernier méfait paru il y a un peu plus d'un an: Apocalyptic Love, tant mieux pour nous.
Je ne vais pas y aller par quatre chemins, ce Fortress est de mon point de vue TRÈS au dessus d'un AB III qui avait déjà de quoi plaire au plus grand nombre et ce, malgré quelques titres un peu faibles et une prod/mixage qui de mon point de vue ne rendaient pas justice à leur musique, restait le fait que ces mecs sont tous d'excellents musiciens et que Miles pulsait bien fort.
Annoncé cet été par le single Addicted to Pain, catchy à souhait au son rutilant et refrain imparable, j'attendais quand même de voir de quoi serait fait ce quatrième album, si on fait abstraction du AB III.5 sur lequel je ne m'étalerais pas.
L'attente aura largement valu la peine car si vous aimez le metal mélodique mais pas niais, les riffs qui font mal, une variété de titres conférant une certaine richesse à un album, vous allez être servis, et dans les grandes largeurs.
Une guitare acoustique cordes nylon ouvre le disque en égrainant des arpèges vers des notes lâchées s'accélérant jusqu'à ce qu'une rythmique en acier plombé reprenne les choses en main et Cry of Achilles pose les bases de ce que va être cet album un titre emmené par un chant impérial, un break de basse juste comme il faut, deux guitares se partageant les riffs et les soli meurtriers, et ce n'est là que le premier titre...
Soyons clairs sur un point: si ces mecs auraient pu "dérouler" un album avec des titres relativement similaires même si leur qualité est bien au dessus de la moyenne, ce n'est pas le choix qu'ils ont fait. Du coup on à droit à un collection de petits bijoux tels que, Lover et son introduction toute en subtilité (ce piano en fond avec une guitare acoustique, ce jeux de batterie axé sur les cymbales avant que le riff du pont ne vienne tout enflammer...), même Miles y va "par couches" en dévoilant sa voix partant d'une tonalité assez grave avant de monter peu à peu, atteindre un paroxysme et redescendre à nouveau vers un chuchotement pour reprendre à nouveau. Une tuerie.
Pas isolée en plus, le groupe ayant choisi de prendre des risques, un truc comme The Uninvited sonnant comme la rencontre entre une rythmique djent et une puissance harmonique que n'aurait pas renié le Helloween des grands jours mixé à un relent de Freak Kitchen risque de surprendre voire, d'étonner.
Le jeu de Miles associé à celui Mark Tremonti emmène les guitares très loin, la complicité dans leur jeu créé des instants de pur bonheur comme Peace is broken, Calm the Fire ou tout au long de cet album, les intros aussi belles que différentes pour autant, je n'ai pas ressenti dans cet album un déséquilibre quelconque car le jeu de batterie de Scott Phillips est d'une belle inventivité portée par une technique sans faille. Enfin, la basse de Brian Marshall est le ciment de ce disque.
Il va vous falloir quelques écoutes pour apprécier avec quelle subtilité Marshall tisse avec talent les liens rythmiques qui unissent le tout, un foutu travail d'orfèvre qui méritera le temps que vos consacrerez à ces écoutes.
Malgré cette cohésion, cette entente palpable, il m'est difficile ne pas faire un aparté sur le travail et l'investissement de Miles en tant que chanteur car sur cet album il est au sommet de son art, il sait faire parler la puissance de son registre sur un refrain (Water Rising), son registre médium sur des titres comme Addicted to pain, Cry a River au tempo enlevé ou encore le monstrueux Farther than the Stream dont la puissance tellurique fera danser un troupeau d'éléphants.
Miles est la locomotive de ce groupe à n'en pas douter, difficile d'imaginer un autre chanteur à la tête de cette machine de guerre. Il est clair que son talent en tant que leader lui permet de créer l'équilibre auquel je réfère bien des fois sur cet album enfin ajoutez aussi le fait que les textes ne sont pas d'une niaiserie insondable, cela change de pas mal de groupes américains taggués metal alternatif / nu metal comme quoi, on peut vouloir être "mainstream" et ne pas céder à une certaine facilité en bâclant son boulot.
Beaucoup de belles choses, je l'écris à nouveau, au sein de cet album terriblement bien produit et mixé, qui finit sur deux titres de haute volée All Ends Well et Fortress qui semble avoir un faux air de The Attic des In Flames bien que le refrain soit sans commune mesure.
Avec ce Fortress, Alter Bridge semble avoir trouvé une formule imparable mélangeant force, finesse, mélodies et savoir faire, gageons que leur évolution continuera à être aussi clinquante et régulière.