description : Music Génération c'est le groupe portant sur la Musique.
Pop, rock, blues, RAP, RNB... Tout est présent !
A vous de faire vos propres selections !
Et comme on dit, LISTEN !
Bonsoir à tous! On se retrouve pour 2 musiques, la 1ère est la fantasque "I'm Shipping Up To Boston" du groupe "Dropkick Murphys" , la soundtrack du film "l'infiltré" mettant en scène Leonardo Di Caprio. Bon film au passage et la musique est énorme dedans, ce son irlandais métalleux j'adore^^
Et la 2ème n'est autre que "Lowlife" du groupe "Theory Of A Deadman" ! et ça pète le clip au passage
Steve Lukather est un guitariste et chanteur américain. Son jeu mêle des influences de blues, de rock, de jazz-rock fusion.
si ce nom ne vous dit rien , sachez que son CV est plus qu'honorable puisqu'il est le guitariste principal du groupe de rock Toto.
Il m'est très difficile de parler de ce groupe corse et de leur chants polyphoniques traditionnels (pulifunie) tant c'est d'une beauté sidérante. Des textes nobles, qui parle d'amour, de tolérance entre les peuples, de voyage, de bonté d'âme, de l'amour pour sa terre et du respect des ancêtres, guidés par deux êtres à la générosité et la sagesse infinie, les deux frères Alain et Jean François Bernardini.
Infiniment respecté par les plus grands artistes au monde (Sting, Florent Pagny, Renaud, Madonna, Björk, le groupe Texas et sa chanteuse Sharleen Spiteri ...), I Muvrini est un condensé d'authenticité, profondément attaché à leur racines corses et regroupant parmi les choristes polyphoniques traditionnels (catégorisés comme artistes régionaux) les meilleurs aux monde.
La grande pureté de leur paroles, leur vocalisent impressionnantes (les avez-vous déjà vu sur scène, les deux frères et leur choristes? C'est quelques chose à voir avant de mourir, je vous assure, j'en ai encore des frissons dans l'échine !!!) et la richesse des mélodies interprétés par leur instrumentalistes de génies font de ce groupe un des plus grands dans la catégorie "chant du monde".
Ce groupe a littéralement changer ma vie. Bon, en réalité il a bercé ma vie carrément, puisque j'écoute leur musique depuis tout petit (merci papa qui est tombé amoureux de la culture corse lors de sa carrière de gendarmerie et qui m'a transmit cette fascination pour l'Ile de beauté)
Une perle comme très, très, très rarement on en voit fleurir sur la scène mondiale.
Corse traditionnel:
simu ingradati inseme
cum'è matina e sole
duve ch'o ci era eiu ci ere tu
quand'hè venuta l'ora
di diccilu l'amore
s'hè apertu lu fiore giuventu
dumane ti ne vai
ne trincanu e to strade
i toi l'anu decisa cusi
a nostra vita ormai
averà stonde amare
anh'ella e so ferite à guari
un ci ne vale pienti
ne ricumandazioni
a luntananza tomba ogni vulè
morenu in li silenzii
e piu grande passioni
un torna ch'è fulena u piacè
si n'hè vistu digià
innamurati à bastanza
si n'hè vistu digià
maladi a spiccanza
ma simu sempre à tempu
di metteci à palesu
u nostru amore tandu ingrandrà
li daranu accunsentu
a cio ch'era difesu
quelli chi ci anu vulsutu spiccà
so torna celu immensu
quelli ochji ammachjati
i to basgi mi dicenu di si
i ci femu sta sera
i piu belli viaghji
demu vita à u sognu natu qui
quand'è no vultaremu
coppiu di fughjiticci
u paese addunitu cantarà
i toi cu i mei
senza piu fà caprici
si metteranu anch'elli à festighjà
emu da campà
emu da campà
emu da campà
inseme
Traduction française:
Nous avons grandi ensemble
Comme matin et soleil
Tu étais là où j'étais
Quand est venue l'heure De nous dire notre amour
Notre jeunesse est éclose
Comme une fleur
Demain tu t'en vas
Nos chemins divergent
Les tiens l'ont ainsi décidé
Notre vie désormais Connaîtra d'amers moments
À guérir ses blessures
Rien ne sert de pleurer
Ni d'implorer le ciel
L'éloignement tue la volonté
Les plus grandes passions
Meurent dans le silence
Le plaisir devient poussière
On en a vu des amoureux
On en a vu tant et tant
Maudissant leur séparation
Mais il est encore temps
D'avouer à tous nos sentiments
Notre amour en sortira grandi
Ceux qui ont voulu nous séparer
Autoriseront alors
Ce qui était défendu
Ces yeux cernés
Sont pour moi firmament
Tes baisers me disent ton amour
Nous ferons ce soir tous les deux
Les plus beaux voyages
Donnons souffle à ce rêve d'ici
Lorsque nous reviendrons
Couple de fugitifs
Le village réuni chantera
Les tiens avec les miens
Sans faire plus de caprices
Se mettront aussi à festoyer
Nous allons vivre
Nous vivrons
Nous allons vivre ensemble
Voila une chanteuse qui en à dans la caboche !
Un univers sympathique , quelque morceaux très engager , une voix qui vient des tripes , Marie Cherrier , originaire de Loir-et-Cher ( région centre ) est pour moi un merveilleuse découverte en cette année 2013 !
Harold Martinez , originaire de Nîmes ! découvert en concert chez moi et je peux vous dire que j'ai adoré ! je pense que ca plaira au fan de rock ,blues , folk
Nom du groupe: Motörhead
Pays: Royaume-Unis
Date de formation: 1975
Nom de l'album: Aftershock
Date de sortie de l'album: 21 octobre 2013
Genre: hard-rock, heavy metal
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Après l’Apocalypse, le néant, la survie des rats et de quelques hommes hagards au milieu d’un immense désert de dévastation, il existera encore Motörhead . La bête la plus effrayante du rock aura raison du temps, des guerres, de la folie des humains. Le monstre est devenu dieu, déjà quelques années après sa création. Sa vénération s’est perpétuée à raison de la sortie des albums. La discographie de Motörhead est désormais dantesque. Difficile de tout se remémorer. Un disque fait par la bande à Lemmy Kilmister ouvre obligatoirement les portes de la nostalgie. Beaucoup vont accorder en priorité leur idolâtrie aux anciens ouvrages issus du trio de la mort Lemmy, Eddie, Philty. D’autres se diront qu’il n’y a pas que le passé du groupe à mettre à l’honneur. Parmi les derniers efforts, il y en a qui méritent aussi de figurer dans leur panthéon, tels « Kiss of Death » ou même le « The Wörld Is Yours » de 2010. Certains reprochaient à ce dernier de ne pas être innovant, de se baser avant tout sur la tradition. On leur rétorquera qu’il ne s’agit aucunement d’une formation de prog ou expérimentale (bien que Lemmy Kilmister doit se rappeler de son expérience space chez « Hawkwind »). Motörhead fait du Motörhead, et le fait bien.
Peu avant la sortie du « The Wörld Is Yours » on craignait alors le coup de fatigue dans le trio, Lemmy en tête. Il est vrai que le chant de ce dernier s’avérait de plus en plus limité depuis « Hammered ». Si la voix a perdu de son agressivité, la basse de l’artilleur est toujours restée aussi efficace. Le groupe fait de nouveau confiance à Cameron Webb pour son 22ème album, comme depuis près de dix ans maintenant. Il est devenu pour ainsi dire un habitué de la maison. Tout s’écoulerait donc comme un long fleuve tranquille. Ils ont déjà eu l’occasion de dissiper toutes les craintes à leur égard. On ne laisse pas non plus présager des divers changements qui pourraient à terme s’avérer une prise de risque totalement inutile, un suicide même. Ils savent ce que leurs fans attendent. Eux ne veulent que du rock n’roll. Pas un de ces vieux rock n’ roll des temps jadis. Mais plutôt, celui que l’on connaît de nos chers britanniques, un rock n’ roll dévastateur qui vous écrase la poire. Il semblerait bien, que vous allez encore vous prendre une mandale avec « Aftershock ».
Trois ans d’attente, près de 40 ans d’existence, et un son qui botte toujours autant. En plus, ils vous servent la sauce littéralement d’entrée cette fois avec un « Heartbreaker » bien viril. On peut dire que ça déménage avec une rythmique survitaminée. Le seul inconvénient à relever, si s’en était vraiment un, serait un chant pas entièrement dans la lignée de la prodigieuse fougue élaborée par les instruments. Seulement le refrain changerait la donne. C’est décidément l’impétuosité qui marquera cet album, comme le ferait un fer rougi sur la peau d’un veau. « Coup de Grace » va conforter le dynamisme de l’explosif « Heartbreaker ». Ce ne s’illustre pas dans une grande subtilité, mais la puissance n’a que des atouts chez le groupe. On se rappelle de la vigueur des premiers ouvrages de la formation. D’ailleurs chose troublante on croit détecter l’ombrage de l’illustre « Ace of Spades » sur le non moins survolté « End of Time ». Le jeu direct et rapide de « Going to Mexico » comme de « Paralysed » nous remémorera la bête du passé. C’est en grande partie grâce à l’excellente dextérité de sieur Phil Campbell, que pour la performance vocale du boss Lemmy.
Il est curieux de constater que le guitariste vole purement et sans ambiguïté la vedette au seigneur Kilmister. Il s’adonne à fond, portant désormais à deux mains l’édifice au détriment d’un Lemmy moins incisif vocalement, peut-être rattrapé par le temps. (ainsi que par la drogue, l'alcool et son train de vie démentiel depuis les années 60! ) Le morceau « Do You Believe » résume à lui seul la situation. Le rock n’roll déjanté produit en grande partie par la guitare affriolante de Phil sème le chant du leader. Heureusement, ce dernier résiste à la confrontation en faisant usage de sa basse. C’est une combinaison à deux (guitare et basse), à haut niveau et sur très haute tension, qui va électriser un « Queen of the Damned » jouissif. « Knife » renvoie lui aussi l’image d’une parfaite cohésion avec ses riffs particulièrement tranchants. On salue encore la grande réactivité de Phil Campbell, affichant aisance et détermination. Il n’y aura vraiment que pour « Silence When You Speak to Me » qu’il y aurait franchement à redire du rôle des instruments, tellement le titre est bateau dans son rythme, poussif et beaucoup trop axé sur la répétition.
« Silence When You Speak to Me » est issu des quelques morceaux mid tempo du volume. On y compte aussi « Death Machine » et son groove rampant. C’est assurément la basse grésillante qui y mène la danse. Celui-là ne se montre toutefois pas aussi entrainant et plein de vie que « Crying Shame », prenant les allures boogie d’un « ZZ Top » en bonne forme. Les britanniques persisteront dans ce style joyeux, confiant, avec un bien sage « Keep Your Powder Dry ». Comme Motörhead n’aime pas faire les choses à moitié, et qu’il leur faut en plus varier au possible les vitesses, le caractère de leurs chansons, ils se décident à alourdir le tempo, le rendant languissant pour des ballades comme ils savent les concocter. « Lost Woman Blues » est la première à entrer en scène, nous plongeant dans une ambiance feutrée, sexy. Lemmy prend alors des airs de Joe Cocker, du moins jusqu’à l’accélération finale. Il se montre parfait, remarquable dans ce genre de situation. On refait connaissance avec le blues plus loin sur « Dust and Glass ». C’est vrai que ça ne fait pas de mal un peu de volupté dans ce monde de brutes.
Après un tel coup il faudra se relever. Le fan de Motörhead a depuis beaucoup côtoyé le plancher, à raison des disques de ses fameux idoles. « The Wörld Is Yours » avait remis du baume au cœur après la légère baisse de régime de « Motörizer ». « Aftershock » fait de nouveau taire certains spéculateurs téméraires, en misant cette fois sur le jeu expert de Philip Campbell. Le guitariste du trio prend les devants et s’impose de la plus belle des manières, parvenant même à faire fleureter la formation avec sa lointaine époque. On retient également que le groupe a fait le choix de titres courts, quitte à en proposer davantage sur l’album (composé de 14 pistes). Un choix assez judicieux qui évite de tomber dans la redondance, mais qui ne permet cependant pas de délivrer de morceau réellement phare. On songera probablement au démonstratif « Heartbreaker » pour tenter de contredire cette affirmation. Il n’en reste pas moins que dans un combat entre Motörhead et vous, ce sera toujours à vous de vous incliner. Ce rapport des forces est toujours valable en cette fin d’année 2013.
Björk est une musicienne, chanteuse, compositrice et actrice islandaise.
difficile de lui définir un genre en particulier, les influences sont multiple : pop , electro , punk , jazz , Trip hop, ...
bref une Artiste ... une vraie !