"Final Story Tactics : Crystal Strangers" ou The Last Story - Mets Royal ou Pauvre Navet?
Au ressort de mes 30 heures de jeu sur The Last Story, je garde en moi des émotions partagés :
Un pincement au cœur car cela fut pour moi difficile de me dire qu’il s’agissait de la fin d’un périple en compagnie de ces personnages attachants.
Une réelle amertume de savoir que le jeu reste encore aujourd’hui méconnu malgré qu’il s’agit de la dernière œuvre que Sakaguchi a façonné avec un amour palpable.
De l’incompréhension quant aux nombreuses critiques essuyé par le jeu à l’époque de sa sortie alors qu’il étale facilement bon nombre de J-RPG sortie au cours de ces 5 dernières années.
Pour resituer le contexte dans lequel j'ai joué au jeu, il est à savoir que j'ai découvert son existence en 2016 et déjà à l’époque j’avais compris qu’il n’avait pas marqué son monde.
A commencer par des ventes appréciables sans non plus crevé le plafond. Preuve en est, il figure très rarement (pour ne pas dire jamais) dans les top des meilleurs RPG japonais des internautes. Cela reste certainement la conséquence d'un accueil timide de la part de la presse ainsi que d’un parti pris qui aura divisé de part un gameplay plus proche du A-RPG "sauvage" que du RPG classique et posé auquel nous avais habitué Mister Sakaguchi.
Avant de lancer ma première partie, j’avais pris le temps de me replonger dans les tests datant de 2012 :
> Gameblog, Gamekult et FFworld lui avait attribué un petit 6/10
> Gamekyo 7/10
> JeuxActu plus généreux livrèrent un 15/20
> Gamergen un 16/20
> Et enfin Jeuxvideo.com 17/20
Finaland ne donnant pas de note, conclut son test ainsi : "The Last Story reste un bon RPG, avec un système de combat digne des plus grands et de superbes graphismes gâché par la plateforme"
C'est donc avec une pointe d'espoir mais les pieds un peu froids que j'ai décidé de plonger mes orteils dans le bassin en m’achetant un belle Wii Mini et le jeu en question. Malgré des notes presses en dent de scie, j’ai tendance à me fier d’abord aux retours joueurs qui bien qu’ils ne sont pas paroles d’évangile reste parfois plus proche du plaisir de jeu ressenti que du barème d’apothicaire (à noter qu’elles s’avéraient à l’inverse très bonne et assez homogènes).
Alors c'est quoi la *Story* de La Dernière Histoire? - Synopsis
On suit le destin et l'ascension d'un groupe de mercenaires, dans un contexte d'après-guerre, désirant se faire une place au soleil dans un monde où il est difficile de vivre et joindre les deux bouts en faisant des "missions d'intérim" pour le cul terreux de la bourgade. Ainsi lorsque Dagran, chef et co-fondateur de la troupe se voit confié par le Comte de L'île Lazulis, nation indépendante et bras armé de l'Empire, une mission d'extermination dans les égouts de la ville, il y voit une occasion de réaliser le rêve de son meilleur ami Zael. Faire de lui et de sa troupe impopulaire des chevaliers respectables au sein de la cité de Ruli et non plus des parias.
Un lore nourrit sans être indigeste – Univers et ambiance
Et ce point de départ très terre à terre dans un enrobage médiévale, nous laisse que peu présager de l'implication majeure que vont avoir ces mercenaires dans le destin du royaume et le déchaînement chaotique dans les derniers chapitres de l’histoire.
Et si la montée se fait crescendo et cohérence, c'est grâce au pivot que représente l'univers riche et travaillé en arrière fond. Sans être aussi fourni qu'un Drakengard ou un Final Fantasy, il contextualise sans en faire des tonnes (un peu à la manière d'un Magna Carta ou Dragon Quest). Sakaguchi ira puiser régulièrement dans les ouvrages de Fantasy classique à travers un bestiaire composé de créatures tel que les Reptides (Reptile humanoïdes), des araignées géantes, griffon, plantes carnivores,... mais aussi des voleurs, des assassins et d'autres ennemis humains qui souhaitent vous faire la peau. De même pour les armes, matériaux de forge, etc…
Le cadre cartésien/moyenâgeux flirtera constamment avec le magique sans pour autant versé totalement dans le mystique, jusqu'à pleinement l'embrasser lors de la 2nd moitié du jeu.
A l'image de la mythologie derrière les guerres ancestrales, ayant mis le continent à feu et à sang, le schisme entre la race des humains et des Guracks (forme de vies intelligentes au design proche du peuple Zora dans Zelda), plusieurs des donjons dans un monde "alternatif", des explications quant à l'origine des pouvoirs dont hérite Zael. Le "décor de fond déique" est palpable mais on rentre dans le vif du sujet qu'une fois les bases du scénario bien encré.
Un conte qui donne sans compter - Histoire et narration
L'histoire est simple au départ mais se complexifiera au gré des chapitres sans jamais être inutilement compliqué ou verser dans une grossière masturbation intellectuelle. On est constamment en demande de connaître la suite de l'histoire et on se laisse bercer par les sous intrigues qui nous font voyager à mesure que le narration progresse.
C'est avec une doucereuse poésie que l'on nous parle de l'honneur, du droit à l'autodétermination, le dilemme entre intégrité et ascension sociale mais surtout ce qui fait l'étoffe d'un chevalier (What a Knight is made of? ).
Et c'est avec un réel plaisir que l'on suit les pérégrinations de Zael et de ses joyeux drilles ayant tous quelques choses à raconter et qui auront leur moment de bravoure pour briller, de faiblesse où les larmes ruisselleront silencieusement et de franches rigolades ponctués de blagues potaches.
Sans parler de l'enrobage qui nous permet dans les temps forts de profiter de belles cinématiques (l'entrée de Calista dans la salle de bal ) qui nous rappelle que la Wii était quand même capable de sursauts de performance.
Et les scènes mémorables on en a une floppée :
L'évasion de la forteresse Guracks avec la bataille aérienne, l'assaut sur le Château du comte et la course poursuite le long de la grève, la rencontre avec la sorcière, la conquête du navire Gurack, l'épreuve de la tour des pieux, le duel entre Zael et Ashtarr ou encore la joute titanesque des gardiens de l'Étranger,...
On aurait seulement souhaité voir plus de cut-scene revenant sur l'enfance de Zael et Dagran, ce qui aurait rendu certains climax du jeu encore plus intense.
A souligner au passage que le jeu ne nous assome pas avec des interminables flashback et c'est ce qui permet d'avoir un rythme maintenu.
Avec du recul j'aurais retrouvé pas mal de similitudes entre The Last Story et Final Fantasy 9 : le duo Zael x Calista / Djidane x Grenat, la scène à la tour du firmament et celle du toit du château de Lindblum, les prestations musicales de Calista et Dagga, la capacité d'invocation qu'elles partagent, le comte et la reine Branet partageant ce même caractère despotique, le besoin de s'évader, de s'affirmer et vivre une vie d'aventure des deux princesses,...
Je pourrais en citer encore un bon nombre mais je pense que c'est suffisant pour comprendre que ce que The Last Story raconte, il le fait bien en s'inspirant clairement d'un grand RPG sans le plagier grossièrement.
Et le jeu nous mets souvent la tête sous l'eau avec sur les derniers chapitres une accélération due à un emballement dans la succession des batailles et des temps forts. Qui m'aura obligé d'observer une pause de circonstance pendant ma session de jeu afin de reprendre mon souffle tant le rythme effréné ne laissait pas le temps de refaire surface même un instant.
Certes c'est un couloir narratif mais les quêtes FedEx type ramasser des pommes de terres pour la cantinière du coin aurait été totalement hors de propos.
Mais tout cela n'aurait eu aucun impact émotionnel sans un casting de personnages hauts en couleurs. Et parlons en des personnages.
Persona Grata – Les personnages
Le pervers, l'ivrogne, la militante écolo, le nerd, l'opportuniste et l'idéaliste.
Je pourrais résumé le profil des personnages ainsi mais ce serait les réduire à ces caricatures et occulté l'évolution que vont subir plusieurs personnages de la troupe.
Parlons d'abord du binôme Lowell et Syrenne qui sont incontestablement le ressort comique du groupe et peut-être ceux qui restent les plus fidèles à leur nature tout le long de l'aventure.
Lowell invétéré dragueur lourdingue s'improvisant coach en amour pour l'ingénu Zael, donne régulièrement la réplique à sa comparse qui malgré ses airs de bimbo hédoniste ne jugeant que par la beuverie, l'argent et les beaux gosses se révèle plus sensible et soucieuse du bien être de ses camarades qu'on pourrait le soupçonner.
Idem pour la discrète Mirania qui aura ponctuellement ses éclats de folie, d'impulsivité et de facétie qui montreront que même elle ne reste pas indifférente à la menace touchant son objet d'attachement : la survie de la planète (faune + flore).
L'opposition entre l'hédonisme de Syrenne et l'eudemonisme que puise Mirania dans la contemplation de beaux paysages et la recherche de connaissances fait finalement sourire.
Le moins intéressant du groupe étant Yurick qui bien que sur l'échelle de puissance du groupe se révèle être le plus balèze juste après Zael même si comme ça il ne paie pas de mine n'aura pas été mis suffisamment sur le devant le scène (sauf sur la fin où il aura son run solo ainsi qu'un rôle déterminant au cours d'une bataille).
Il aura droit à sa petite intrigue lors d'un chapitre lui étant entièrement dédié qui amènera ce dernier à un changement de trajectoire.
Zael le vrai meneur du groupe étant le héros de l'histoire est celui que l'on suivra avec une certaine espièglerie et attachement pour plusieurs raisons :
- Il réussi le pari de ne pas être agaçant ou niais
- Ce n'est pas un Marie-Sue (Jean-Sue?) lisse prenant constamment les bonnes décisions
- Il est en proie aux doutes, s'égarera
- Représente par nature le héros type Neketsu qui subit une montée en puissance et de confiance en lui
- Au combat, il n'est pas une vulgaire serpillière mais s'avère badass.
Il y aura des étapes dans son appropriation de l'uniforme de chevalier et la chevalerie dont il est pourvu est vertueuse mais imparfaite.
C'est la rencontre avec Ashtar ( ), ancien général de Lazulis et mentor qui l'amènera à se poser des questions sur qu'il désire réellement protégé.
Ashtar et Therius étant de ceux dont le design m'auront le plus marqué, reste finalement ceux que l'on aurait désiré avoir davantage de scène dédié.
Le temps d'écran étant pour chaque personnage assez bien reparti, il n'empêche que l'on aurait souhaité voir certains intervenir davantage ou voir des relations plus approfondie (Dagran et Ashtar par exemple).
Mortal Kombo - Système de combat
Ce qui rend le système de combat aussi excitant c'est d'abord le changement régulier de la composition des membres de l'équipe, la réduction dans certaines situations du nombre de combattant demandant d'être plus attentif à la défense et la protection de ses rares équipiers ou parfois avoir droit à mini régiment rendant les batailles très animé (et ceci est un euphémisme).
Les premières heures peuvent donner un faux semblant qui serait que le système de jeu est trop assisté et ultra simplifié avec par défaut l'auto-attaque activée avant de comprendre que le coeur du jeu n'est pas la nervosité dans le martelage de touches et les combos individuels mais plutôt la gestion de l'espace, la couverture de nos alliés et l'exploitation intelligente de nos sorts anti-personnels et de zones (et ceux des ennemis). Les halos au sol (soin, feu brise garde, bloque magie, protection magique, empoisemment) peuvent être notre salut ou notre épine selon le lanceur.
L'objectif étant souvent de renverser l'effet des halos ennemis ou disperser les notre pour étendre l'effet à tout les alliés.
Et c'est là que le système mêle action et tactique.
Le cumul de attaques de dispersion/brise meute au sol, la course murale, cumulé au système de couverture et d'assaut depuis une planque, l'arbalète avec différents types de munitions, les contres, l'esquive, les attaques ultimes, l'attraction des ennemis,...
Heureusement les pauses tactiques nous permette régulièrement de jauger la situation et préparer nos attaques en groupe, healer, ressusciter les morts (régulière).
On se retrouve avec une pléiade d'angle d'attaque mais aussi beaucoup de chose à gérer simultanément.
Et c'est là que l'on comprend la proposition du jeu de faire des auto-attaques.
En acquérant le premier sort de Zael -attraction- j'ai cru à une mauvaise blague : "Ça sert à quoi d'attirer tout les ennemis sur le terrain à nous? C'est à chier comme superpouvoir"
Que nenni, c'est basique mais l'activation et la désactivation constante de cet aimant défensif est le pilier de tout ce système de jeu.
LaLaIsland - Ost et doublage
- Toberu Mono or Those Who Can Fly
Un des éléments qui fait la force de ce titre est incontestablement ses personnages comme cité plus haut et une des raisons qui fait que l'on s'y attache avec aisance c'est le voice acting qui est convaincant sans non plus être la meilleure entendu.
N'étant pas fan des doublages anglais dans les jeux jap (*sigh* Kingdom Hearts 3), j'aurais accepté de me laisser bercer par les jurons des personnages, les entendre se crêper le chignon, balancer des vacheries en fil continue lors des explorations des donjons.
On regrettera d'avoir certains dialogues entrecoupés du fait d'un changement de zone, nous empêchant de profiter parfois d'échanges particulièrement intéressant. D'où l'obligation parfois de mettre sur pause notre marche en avant pour en entendre le bout.
Mais quant est-il de l'OST ? Uematsu rempli t-il le contrat confié... Eh bien oui et non.
Oui, ils nous offrent de très belles pièces nous rappellant ses compositions PsOne.
3 pistes epico-nerveuse
Dance of Death, Order and Chaos, Evil Beast
3 pistes oignons tire-larmes ( )
Just Being Near you, Lost time, Bonds
3 pistes d'ambiances
Fallen Nobles, Tone of Town (2nd ver.), Conflicting Impression
Mais ce sera finalement le thème principal Toberu Mono et le thème du boss final The One Ruling Everything qui remportent la palme du "délice des mélomanes".
La première déclinée en version orchestrale et chanté aura eu le pouvoir de sublimer la plus belle scène du jeu, la veillée à la tour du firmament avec cette pluie d'étoiles filantes faisant son effet.
La bande son étant déséquilibré mais pourvu de très belles pièces malgré tout.
- Thème principal qui mixe pas mal de pistes - juste excellent comme best of
Alors ? The Last Story : jeu oubliable, rpg passable, bon cru ou chef d'œuvre ?
Si cela n'avait pas encore été clair, je le dis ouvertement :
"Je suis littéralement tombé amoureux du jeu"
Cabossé, au level design travaillé et graphiquement beau mais trop gourmand pour la console, au système de combat trompeur qui gagne à être apprivoiser, il reste un coup de cœur.
Si je devais donner une note, celle-ci ne reposerait pas sur l'expression d'un savant calculs entre un certain nombre de qualités et de défauts.
Pour tout ses écueils j'aurais toujours au moins autant d'atours à faire valoir, et inversement s'il fallait nuancé ce que le jeu réussi à faire avec brio.
Non, il s'agit pour moi de juger de l'aspect fun et enchanteur d'un titre. A mes yeux, le plaisir de jeu aura finalement toujours plus de poids que la qualité dites objective de l'oeuvre. Car jouer en énumérant au fur et à mesure les succès et les "erreurs de parcours" d'un jeu témoigne déjà d'un problème au sein de celui-ci, qui est la difficulté à envoûter le joueur tout le long de ses sessions de jeu.
Chose que The Last Story parvient à maintenir et rares sont les jeux qui en sont capables.
Sur une durée de vie de 25h en quasi ligne droite et 30 avec les chapitres auxiliaires et quêtes annexes, on se rend compte qu'il parvient à tenir aisément en haleine, là où des RPG peinent à le faire en 60h - 100h même avec le meilleur McGuffin.
Et le constat est simple, bien que l'histoire de TLS n'est pas des plus originale, elle est pourtant une des meilleures car bien narrée.
Si FFXV avait eu la capacité de nous présenter un univers prometteur, il y aura eu un arrière goût de gâchis de par une incapacité à totalement nous immerger à cause d'une narration faiblarde (bien que j'ai passé de très bons moments dessus ne vous y trompez pas).
Et c'est pour cela que les productions actuelles me déçoivent, et cela n'engage que moi, de par une histoire qui sur le papier est prometteuse mais qui est mal narrer et généralement mal rythmé.
La linéarité de certains jeux a de bon qu'elle se perd rarement en cours de route (exemple de The Legend of Heroes). Rares sont les mondes ouverts qui réussissent à nous garder sur les rails du scénario tout en gardant son ADN.
Et c'est ce fréquent manquement dans les J-RPG qui peut profondément nuire au propos du soft et desinvestir le joueurs de la trame principale.
On retrouve bien dans TLS la signature, le soin de l'écriture, l'ambiance et le travail scrupuleux d'une équipe ayant gardé l'âme vibrante de Squaresoft. Qui n’a pas lésiné sur les moyens pour qu'une fois le pad posé on se sente satisfait d'avoir offert de son temps pour se laisser conter une histoire, la dernière histoire d'une ère, d'un âge d'or qui peut-être ne remettra jamais les couverts.
Exelent souvenir que The last Story. Techniquement la Wii donnait son maximum. Les musiques etait tres bonnes et l histoire prenante. J'aimais bien le melange strategie/ action du systeme de combat
Ah et j'ai peu parlé des méchants/antagonistes mais ça représente pour moi la plus grande faiblesse du jeu mais ça reste quand même correct.
kira93 Pas encore fait Pandora's Tower (c'est prévu), mais je doute qu'il déclasse The Last Story. Et Xeno 1, j'attends sa sortie sur Switch pour en juger.
flom Le système de combat est l'un des plus originaux jamais crée mais finalement très (trop?) atypique pour mettre tout le monde d'accord.
Et oui, ma Wii mini a soufflé comme une Ps4 fat sur GOW la pauvre
Je me rappelle avant sa sortie que on en a TELLEMENT parlé en bien que finalement ça m'a fait l'effet "pétard mouillé" MAIS je maintiens que ça reste un très bon RPG.
Mon jeu préféré de la Wii, pas un excellent RPG, mais un superbe univers, de bons persos et un systeme de combat bien cool. Il meriterait une vraie refonte sur Switch pour encore plus apprécier l'univers et le chara design de Kimihiko Fujisaka dont les superbes persos ont jusqu'a present jamais depassé le stade de la modé PS2 mais faut pas rever
Moi j'ai beaucoup aimé le jeu avec son gameplay action tactique avec interaction à le décor, graphiquement très beau pour la plate forme.
Le jeu mérite une suite ou méritait une suite wiiu, car la manette de cette machine était faite pour le gameplay du jeu comme baten kaitos, ou bien un remake pour la switch ça pourrait péter.
Moi même si j'ai trouver des truc sympas ,j'ai pas accroché du tout a ce mistwalker comparée au 2 autre rpg que j'ai adoré.par contre la da et superbe .
Un très beau jeux, des personnages attachants et surtout un système de combat totalement top.
Seul 2 points faibles:
-Une seule et unique ville malgré qu'elle soit très grande, c'est bien trop peu en terme de variété pour un JRPG (on peut rajouter le chapitre du bateau et les grottes à l'extérieur de la ville.
-Un jeu très/trop ambitieux techniquement pour la machine, c'est un jeu très beau visuellement mais pêche quelque peu par son framerate.
Killia "On retrouve bien dans TLS la signature, le soin de l'écriture, l'ambiance et le travail scrupuleux d'une équipe ayant gardé l'âme vibrante de Squaresoft. Qui n’a pas lésiné sur les moyens pour qu'une fois le pad posé on se sente satisfait d'avoir offert de son temps pour se laisser conter une histoire, la dernière histoire d'une ère, d'un âge d'or qui peut-être ne remettra jamais les couverts." Et aussi le fait que tu cites la narration comme point fort résument parfaitement la sensation qu'on a en jouant ce jeu.
Je me rappelle d'un moment en jeu ou je me suis dit "Cela se sent que c'est Sakaguchi qui nous raconte une histoire". On ressent facilement des émotions, de l'empathie pour les personnages, le rythme est très bien géré et le background travaillé. Bref, un jeu génial. Je l'ai acheté day one en édition collector et je ne regrette pas le moindre centime investit. (et lest artorks du jeu sont de l'art pur et dur)
C'était un très bon jeu vu ce que les jrpg de cette génération nous ont proposés (Wii, PS360).
C'est juste dommage que Nintendo et Mistwalker n'ont pas pu se retrouver à nouveau pour développer une suite plus "polishé".
Après, je pense qu'un Last Story "definitive edition" est possible, l'IP appartenant à Nintendo et je crois savoir qu'il n'y a pas d'embrouille entre eux. Sakaguchi avait un peu râlé sur Nintendo Usa qui ne voulais pas sortir le jeu, mais il était convenu d'une sortie japonaise à la base.
Au passage, il faut vraiment remercier le travail de Nintendo Europe pour Xenoblade et Last Story sur Wii à cette épqoue, c'est grâce à eux qu'on les a eu assez rapidement avec tout le soin qui y à été apporté...
hyoga57 Apres je reste content de l'annonce du Xeno remaster hein je donne juste mes preferences lol
D'ailleurs a ce niveau un remaster de X m'aurait aussi tellement plus fait bander que celui de Xenoblade 1
killia
Disons que le trinité Xenobalde Chronicles, The Last Story et Pandora's Tower sont tout les trois des jeux de ouf, quoi qu'on en dise, maintenant, en sachant les avoir tous joués puis terminés, je te dirais que chacun offre une expérience totalement différente de l'autre. En conclusion, il est un exercice difficile que de les comparer d'égal d'égal, chacun est foncièrement différent des uns et des autres, néanmoins tous sont des petits trésors du jeu vidéo.
Si tu n'as pas fait Pandora's Tower, je te conseille vivement d'y remédier, il est passionnant à sa façon pour qui aime le genre avec lequel il compose.
Si je devais échelonner en revanche l'impression que m'a fait chacun de ces jeux, je dirais que Xenoblade Chronicles, pour lequel je nourrissais une curiosité quelconque et qui m'a finalement passionné plus que The Last Story que j'attendais le plus et fait en deuxième. Le concernant, c'est ses graphismes, ses personnages et son système de combat incluant la possibilité de ce couvrir comme dans Gears of War mais façon action-rpg qui m'a le plus le plu, et si le reste est plutôt bon, Pandora's Tower que j'ai joué m'a procuré un sentiment, une impression d'un autre registre plus percutant de manière générale.
squall294 Pour moi la narration, c'est un sans faute (sauf le cas Dagran sur la fin).
Sakaguchi y a réellement mis de la passion et du soin dans l'écriture.
D'où la nostalgie ressenti et le contentement une fois le CD remit dans sa boîte.
aros merci pour ton éclairage. Il est vrai qu'ils ne jouent pas dans la même catégorie pour pouvoir les classer.
J'ai lancé Pandora's Tower hier et on le sent plus proche d'un Zelda TP mixé à du Ueda (The Last Guardian, SOTC ou Ico).
Ce que tu dis sur Pandora's Tower me rassure car j'avoue que le point de départ du scénario ne m'a pas entraîné des masses.
killia
Je ne l'avais pas vu comme ça, mais tu tiens-là un superbe exemple Pandora's Tower c'est en quelque sorte un The Last Guardian, à la différence que notre " héros " se bat, non pas pour s'échapper d'un lieu inquiétant, mai s'empresse de mettre les pieds là où personne n'irait pour préserver l'humanité de cette femme en proie à une malédiction.
Heureusement pour toi, ton héros sait se défendre, après, il ne faut pas en attendre une histoire riche, je te préviens, c'est tout comme The Last Guardian, sauf qu'il est moins contemplatif et plus orienté action. Bien sûr tu as des documents- ça et là pour en apprendre d'avantage sur la nature des lieux, mais aussi le maître de ceux-ci.
S'il est génial de le parcourir en long et en travers, ses combats de boss sont vraiment cool, c'est la récompense ultime qu'à à offrir chaque donjon, d'ailleurs y'a un petit côté Majora's Mask avec le fait que tu ne puisses trop t'éterniser dans un donjon au risque qu'elle se transforme à un stade trop avancé, du coup tu dois maîtriser ton avancée pour débloquer des raccourcis... ce pour aller au plus vite et rapporter la chair des maîtres à ta dulcinée.
killia Eh bah ça va en étonner certains, mais c'est bien la première fois que je lis un avis aussi dithyrambique sur The Last Story !
Et ton article est extrêmement bien écrit, ce fut un vrai plaisir de lire tes impressions ! Personnellement, j'adore quand justement on parvient à exprimer son ressenti sur un jeu et de façon intelligente, plutôt que de faire une critique bête et méchante avec la liste de qualités et défauts.
Pour ma part, Last Story m'avait beaucoup intéressé a son annonce (Sakaguchi, forcément), mais mon bilan au final a été plutôt mi-figue mi-raisin. J'en garde un bon souvenir, mais il y avait aussi pas mal de choses qui m'ont dérangé au cours de l'aventure. Mais je me dis souvent aussi que je l'ai sans doute fais à une période où j'avais du mal à profiter pleinement de mes jeux, et je suis sans doute passé à côté de pas mal de subtilités... Je lui redonnerais sûrement une chance un jour
aros Je te remercie déjà d'avoir eu le courage de lire en entier mon avis sur le jeu et pour le compliment.
Ça participe grandement à mon envie d'écrire et partager avec autrui.
Quand on aime un jeu et qu'il nous touche c'est assez simple de décrire son ressenti.
Oui, il se peut qu'il ne t'ai pas touché car le contexte était mauvais. J'ai des jeux comme ça que j'ai refait (Wild Arms 5 par exemple) récemment et que j'ai réévalué.
Ma joie première est de savoir que d'autres y joueront (ou rejoueront) avec peut être la même impression de jouer à un grand jeu.
Sakaguchi mérite qu'il s'associe fermement à Nintendo pour continuer à nous raconter de belles histoires (avec un peu d'ambition que diable) comme celle-là.
killia
" Je te remercie déjà d'avoir eu le courage de lire en entier mon avis sur le jeu et pour le compliment.
Ça participe grandement à mon envie d'écrire et partager avec autrui. "
Je crois que tu tes trompé destinataire, ce com' était sûrement destiné à randyofmana au vu de votre échange Qu'à cela ne tienne tes impressions sont magnifiquement écrites et transpirent la passion ; une passion saine et raisonnée qui motiverait quiconque à remédier à son potentiel oubli
The Last Story est jeu qui s'émancipe avec brio du genre auquel il appartient grâce à des mécaniques de jeu et de conception tout à fait nouvelles. Il me rappelle pour ainsi dire des jeux tels que Catherine (nouvellement " Full Body "), Resonance of Fate, ainsi que The Last Remnant ( le best of the best ), qui s'ils n'ont pas eu à ma connaissance un impact semblable à Demon's Soul / Dark Souls au niveau de l'industrie, incarnent l'expression du parti-pris remédiant au " classicisme " d'un genre éprouvé.
Comme tu le mentionnes l'histoire ne fait pas de folie certes, mais elle est efficace, portée par des personnages qui comme toi m'ont transportés pour la plupart, même si à mon sens le souvenir indélébile que j'en garde est son système de combat plutôt novateur. Et si tu n'as pas fait The Last Remnant ( la ressemblance est frappante, mais en faite pas du tout ), je te conseil de rattraper ton retard, misérable ! Ce jeu est une véritable merveille de conception pour tout fan de RPG dit tour-par-tour ; tout y est fait pour donner à son système de combat une dimension de follie Je serais d'ailleurs curieux de recueillir un avis aussi construit que celui que tu as développé autour The Last Story, autour The Last Remnant
killia
" Si je retrouve la même chose dans Pandora's Tower et une réelle empathie pour ce couple de malheureux, je risque de ne pas lâcher la manette "
Je te conseille de bien développer leur relation quand tu rentreras, cela paraît de rien, mais tu te sens plus investi dans la tâche qu'est celle d'Aeron de braver les dangers pour la sauver. Tu as d'ailleurs plusieurs fin au jeu, du fait de la relation que tu as tissé avec elle tout du long ton périple. Je me souviens que ça m'avait remué
randyofmana Je te remercie déjà d'avoir eu le courage de lire en entier mon avis sur le jeu et pour le compliment.
Ça participe grandement à mon envie d'écrire et partager avec autrui.
Quand on aime un jeu et qu'il nous touche c'est assez simple de décrire son ressenti.
Oui, il se peut qu'il ne t'ai pas touché car le contexte était mauvais. J'ai des jeux comme ça que j'ai refait (Wild Arms 5 par exemple) récemment et que j'ai réévalué.
Ma joie première est de savoir que d'autres y joueront (ou rejoueront) avec peut être la même impression de jouer à un grand jeu.
aros je le suis gouré merde.
Merci de me l'avoir signalé, c'est corrigé.
Mais merci à toi aussi, ça me touche réellement ce que tu me dis là.
Pour ce qui est de rompre le "classicisme" des systèmes de combats actuelle, j'ai en tête Magna Carta, Persona 5, Nier Automata avec le slash & shoot.
Ce qui me marquera longtemps c'est bien son système de combat mais aussi qq temps forts du jeu dont la tour du firmament
Pour The Last Remnant, je l'ai pris une 1ere fois sur PS4 pour y jouer 1h.
De nouveau sur Switch pour faire 5/6h avant de décrocher.
Ce qui pêche c'est justement le système de combat que je trouve trop aléatoire (après peut être que j'ai loupé la subtilité de celui-ci).
J'aimerais bien en faire un test complet mais je dois d'abord me remotiver à y jouer
Et pour Pandora's Tower, je me souviens vaguement de quelques fins que je m'étais spoilé à l'époque mais je vais redécouvrir ça avec plaisir. Et pour ce qui de prendre mon temps pour développer la relation entre les deux, je ferais attention j'aime prendre mon temps de toute manière pour explorer les possibilités d'un jeu.
killia Oh mais t'inquiète pas, les pavés ça me connaît tu sais
(Après j'avoue qu'il m'a fallu un peu de temps pour digérer le rétro test sur Radiata Stories, l'article sur MGS et ton retour sur The Last Story, les 3 m'intéressaient mais ça fait long à lire XD)
Quand on aime un jeu et qu'il nous touche c'est assez simple de décrire son ressenti.
Ce qui n'est pas du tout mon cas, j'ai énormément de mal à mettre en mots ce que je ressens sans partir dans tous les sens XD Je me relis beaucoup pour agencer mes phrases correctement et essayer de rendre la lecture plus fluide... Dans ton cas, je dois admettre que tu as un style et un vocabulaire qui rendent le tout franchement passionnant à lire
C'est malheureusement rare que je change d'avis quand je refais un jeu, et quand c'est le cas c'est plus souvent vers le négatif ^^'
Mais dans le cas de Last Story, j'avais vraiment eu du mal à me plonger dans l'univers pour en comprendre les enjeux et m'attacher aux personnages (tout en les appréciant hein, contrairement à d'autres JRPG où je sens tout de suite que ça me parle pas), et un article comme le tien peut en effet m'aider à apprécier un peu mieux cet univers
killia
Il y en à beaucoup en effet de ces jeux qui tranchent avec le reste, bien qu'ils ne soient pas les seuls, loin de là, mais c'est parce que c'est des " one-shot " du jeu vidéo que je les cites eux plus que d'autres. Quand tu joues à un Persona, tu sais à quoi t'attendre maintenant, une sorte de standard a été établie et est depuis pris comme base, là où des jeux " one -shot " ont du tout posé dès le début, sans qu'aucune autre itération ne puisse assurément le suivre et corriger ci et çà, approfondir une ou plusieurs choses, ou bien encore donner une orientation nouvelle à ceci.
" Ce qui pêche c'est justement le système de combat que je trouve trop aléatoire (après peut être que j'ai loupé la subtilité de celui-ci). "
A vrai dire, ça ne m'étonne pas que tu me rapportes cela comme tel, beaucoup font l'erreur de croire que son système de combat est " trop aléatoire " ; moi ce que j'en dis, c'est que cet aspect-ci ne l'est que pour ceux qui ce bercent à le croire
Toute la subtilité du titre réside à gérer cette part d'aléatoire justement, sauf qu'aucun jeux avant lui ne nous a conditionné à prendre en main un tel titre, ce qui en fait pour moi un titre souventefois et injustement décrié comme imprécis dans son exécution.
Pour le comprendre donc, il n'y à qu'une chose à faire : jouer, jouer et jouer ; pas jouer et se laisser guider, non! il faut comprendre par là que tout les éléments de gameplay du jeu, apportent une subtilité au système de combat qui ce trouve être le point névralgique de The Last Remnant... RIEN QUE CA
Il y a pour commencer le fameux bouton sur lequel l'on appuie pour découvrir le listing des attaques que mèneront nos troupes contre celles ennemies (mais ça tout le monde le sait). Mais en allant dans les menus, l'on est capable d'une simple pression, de décider les " Arts " que doivent utiliser chacune de nos unités en combat ; ces " Arts " néanmoins ont un coût en PA qui ce déduira en cours d'affrontement d'une somme de PA relative à celle de chaque unité composant ladite troupe. Ici, l'équilibre est de mise avant et pendant l'affrontement, car chaque unité peut amoindrir l'efficacité d'une autre du fait de sa position dans le groupe et/ou du coût minimum en PA que requiert chacune de leur techniques respectives (la position d'une unité au sein d'une même troupe influant sur sa priorité à utiliser plus ou moins de PA). Aussi, les commandes induisant de minimiser la dépense de PA jouent un rôle stratégique qui te permettra chaque tour qui passe, d'engranger une nouvelle la somme totale de PA d'une troupe donnée, si tant est qu'elle soit entièrement inactive, ce dans le but par exemple, de la faire ce déchaîner au prochain tour.
(A préciser qu'un " Arts " quel-qu’il soit ce renforce invariablement de lui-même à force d'usage et parfois-même en développe un tout nouveau qui requerra d'avantage de PA pour être utiliser.)
Je te donne deux trois clés essentielles, mais The Last Remnant est un jeu qui ne donne pas la main et met à l'épreuve le joueur de comprendre les mécaniques qui lui sont propres. Il n'y à pas que les combats à regarder, il y a tout ce qui gravitent autour, si tu le fais tu prendras un plaisir fou à déclencher des combats, et parfois même des combats à renforts de ouf guedin
randyofmana je viens de regarder tes précédents articles et j'en ai liké plusieurs dont Sen no Kiseki, la critique de Ni no Kuni le film, Zwei et Saga Scarlett (j'ai lu que la moitié de celui-ci afin de me laisser la surprise lorsque que je me le prendrais).
Et malgré qu'il y ai beaucoup de texte, je les ai tous lu avec plaisir et ça m'aura donné envie de jouer à Trails or Cold Steel avant de découvrir Trails of Sky.
J'ai regardé Ni no Kuni avant hier et conseillé Zwei à un ami qui joue souvent sur PC
Pour m'astreindre à une écriture ordonné, je marqué les grandes idées au préalable, puis je fais des grandes parties titrés puis je rédige.
C'est bordélique pour moi aussi quand je ne fais pas ça, je te rassure
Je suis comme toi aussi pour les mauvaises première impression, ça reste même si autour de moi j'en entends des éloges et que j'en lis de belles critiques.
aros J'ai fait une capture d'écran de tes conseils pour la gestion des PA qui n'était pas clair, et je relance le jeu ce soir parce que je pense que j'ai besoin d'un peu plus avancé dans TLR. J'ai tout juste débloqué le système pour enroler des troupes, c'est peut-être ce pour quoi je trouvais la personnalisation trop austère et la possibilité niveau arts limités.
Je peux encore changer d'avis sur le jeu si le scénario me tient aussi en haleine jusqu'à la fin. Je te tiens au jus
killia Ah bah ça me fait plaisir que mes articles t'aient inspirés pour certains trucs ^^ (si ce n'est que je n'ai jamais parlé de Sen no Kiseki, seulement de Sora no Kiseki SC )
Crois-moi, je fais comme toi un plan de l'article, ça n'empêche pas que j'ai du mal à exprimer avec autant de précision que possible ce que je pense/ressent dès qu'il s'agit de rentrer dans le détail ^^' En fait, même quand ce n'est pas pour parler de mon ressenti, je met du temps à écrire... on va dire que j'ai certaines exigences sur le style d'écriture, je passe beaucoup de temps pour peaufiner le truc, et malgré ça, je ne suis pas toujours satisfait du résultat ^^'
C'est ton test sur Sora no Kiseki qui m'a poussé à me lancer dans Trails of Cold Steel. Bien que ce n'est pas la même époque ni le même casting, il appartient à la même licence.
Je connaissais déjà un peu la licence. Gunotak en parlait déjà pas mal parlé via ses articles mais je ne m'étais pas encore lancé à l'eau.
Ah tu es perfectionniste en fait.
C'est un bien comme un mal.
Ça te permet d'être rigoureux mais ça te demande un long temps de réflexion.
Ça me le fait mais à l'oral et c'est stressant comme manière d'être...
killia
T'façon dans The Last Remnant, il faut savoir qu'à part les bases fondamentales du système de combat, rien ne t'est dit pour juger de... C'est comme le fait qu'un "Arts " soit de type percée, mais que ton personnage à une arme étrangère à ce type d'attaque, la puissance de ton " Arts" ne sera pas optimale en combat par exemple.
Tout est une affaire de rapprochement, si tu veux optimiser quelque chose qui te semble-t-il te fait défaut, il faut y réfléchir de façon logique et tu obtiendras toi-même gain de cause.
Concernant la personnalisation, si elle n'est pas très pratique se révèle être très humaine finalement, on à vraiment l'impression que chacun à une personnalité propre, de fait il ne te demanderont que ce qu'ils jugent être leur cam', à toi d'en tirer tes conclusions quand aux équipement qu'ils seraient susceptible de te demander pour s'en équiper ; mais un conseil, sauf si tu est sûr de toi, n'investit pas les concernant, sauf ton personnage Et fait gaffe au maniement des armes avec l'arme elle-même, ces deux donnée décident de la variante d'apprentissage " d'Arts " de ton personnage
J'aimerais aussi rajouter puisque tu me parles de recrutement, que cette version " remastered " ne limite pas le nombre de " capitaines " par troupe, ceux qui possèdent un design unique et une description qui donne quelques éléments de background quand tu consulte leur fiche dans les guildes. Aussi et surtout, ne passe pas à côté des quêtes annexes, tu louperais bien la moitié si ce n'est plus du contenu que propose le jeu, et ça te permettrait de recruter nombre de " capitaines " en plus débloquer nombre d'endroits qu'au cours l'histoire tu ne visiterais tout bonnement pas. Ce jeu saura toujours récompenser en permanence le temps que tu lui consacrera, alors n'hésite pas à sortir de la trame scénaristique
Dernière chose, le jeu à conserver son découpage en deux DVD, donc quand l'on te parlera de bases chiffrées au chiffre de 6, assures-toi de compléter les quêtes secondaires du DVD 1, car au suivant la majorité ne pourront plus être suivit, je préfère te mettre en garde. Bref, je vais m'arrêter là, mais sache que tu as encore à apprendre quant au jeu, je voulais juste m'assurer que tu soit en mesure d'aborder le jeu d'un autre regard, et que tu ne passes pas à côté sur une fausse impression que beaucoup tendent à généraliser sans savoir de quoi ils parlent vraiment. D'ailleurs le jeu propose largement plus d'une centaine d'heures de jeu si tu ne te cantonne pas à l'histoire seulement.
aros Okay, je prends note de toutes ces subtilités sur le choix d'arme et l'association avec les capitaines de troupes.
Franchement, tu as réussi à me redonner espoir en ce que le jeu peut offrir et m'inciter à donner de mon temps pour faire les quêtes annexes.
J'aime bien les jeux qui offrent des possibilités de personnalisation pour des troupes (exemple des Disgaea), je peux me mettre à collectionner les personnages juste pour le plaisir. Et là j'avoue que si ça suit le même principe d'unité rare à dénicher, alors ça me motivera davantage à fouiller.
killia
C'est que j'ai bien fait d'en parler Faut dire que The Last Remnant est tellement un chef d'oeuvre de conception, que ne pas en parler serait un sacrilège ! Quand je pense que le jeu, selon moi, renvoie sans cesse à une même leçon : " Faire la guerre ne s'improvise pas, ça s'apprend ! ", je me dis que ses développeurs ont fait preuve d'un courage et d'un génie commun rarement atteint dans l'industrie du jeu vidéo pour nous proposer à nous : joueurs, un jeu dont la cohérence et la complexité dépasse l’esthétique que beaucoup prône aujourd'hui.
Et si j'ai pu ne serait-ce que te redonner l'envie d'y jouer et d'essayer de l'apprivoiser, qu'importe si tu adhères au bout du compte, ou non, j'en suis heureux Si y'a bien un jeu me concernant qui passe au-devant de tous, qu'importe leur genre, leur réputation, ou bien même mes préférences, il est indéniable que The Last Remnant soit mon " amour de jeu ".
Quant aux personnages que tu aimes collectionner, ils n'ont pas que cet intérêt, généralement tes même content de pouvoir soit les inclure dans tes équipes, soit d'être en attente de le faire... et même devenir leur ami ! L'aspect humain dans ce jeu n'est pas à sous-estimer, c'est ce qui le rend si unique. Bref, tu l'as peut-être acheté deux fois, mais si t'accroches tu auras retour sur investissement, crois-moi Et si tu as besoin d'infos, car tu ne comprends pas certaines choses, ou que tu te pose une ou des questions, tu peux directement me mp au besoin
Prefere largement un remaster de celui ci que du surcoté Xenoblade Wii
kira93 Pas encore fait Pandora's Tower (c'est prévu), mais je doute qu'il déclasse The Last Story. Et Xeno 1, j'attends sa sortie sur Switch pour en juger.
flom Le système de combat est l'un des plus originaux jamais crée mais finalement très (trop?) atypique pour mettre tout le monde d'accord.
Et oui, ma Wii mini a soufflé comme une Ps4 fat sur GOW la pauvre
Y a encore aussi beaucoup a raconter en plus...
Je me rappelle avant sa sortie que on en a TELLEMENT parlé en bien que finalement ça m'a fait l'effet "pétard mouillé" MAIS je maintiens que ça reste un très bon RPG.
Pandora tower tu me fait penser . Je l ai sur Wii et toujours pas commencer. Faut que je me lance un de ces jours
Le jeu mérite une suite ou méritait une suite wiiu, car la manette de cette machine était faite pour le gameplay du jeu comme baten kaitos, ou bien un remake pour la switch ça pourrait péter.
olimar59
guiguif ta pas fais xeno en même temps
Yes pas de souci . Toi aussi tu me dira
Seul 2 points faibles:
-Une seule et unique ville malgré qu'elle soit très grande, c'est bien trop peu en terme de variété pour un JRPG (on peut rajouter le chapitre du bateau et les grottes à l'extérieur de la ville.
-Un jeu très/trop ambitieux techniquement pour la machine, c'est un jeu très beau visuellement mais pêche quelque peu par son framerate.
Y a des moments où les ralentissement sont sévères mais bizarrement c'est pas forcément lors des batailles avec une surcharge d'effets.
En point négatif, je dirais aussi l'absence vrais donjons où farmer.
Ah et le cliffhanger de fin un peu maladroitement amené
Après scénaristiquement, le choix de la ville unique est justifié mais des villages sur l'île aurait été sympa par exemple
Je me rappelle d'un moment en jeu ou je me suis dit "Cela se sent que c'est Sakaguchi qui nous raconte une histoire". On ressent facilement des émotions, de l'empathie pour les personnages, le rythme est très bien géré et le background travaillé. Bref, un jeu génial.
Heureusement que l'inverse s'est produit, sinon tu serais déjà mort.
C'est juste dommage que Nintendo et Mistwalker n'ont pas pu se retrouver à nouveau pour développer une suite plus "polishé".
Après, je pense qu'un Last Story "definitive edition" est possible, l'IP appartenant à Nintendo et je crois savoir qu'il n'y a pas d'embrouille entre eux. Sakaguchi avait un peu râlé sur Nintendo Usa qui ne voulais pas sortir le jeu, mais il était convenu d'une sortie japonaise à la base.
Au passage, il faut vraiment remercier le travail de Nintendo Europe pour Xenoblade et Last Story sur Wii à cette épqoue, c'est grâce à eux qu'on les a eu assez rapidement avec tout le soin qui y à été apporté...
Après voilà, le scénario est trop basique. Finalement on est dans des couloirs à avancer.
Sinon le système A RPG est hyper bien pensé avec le gatering. La DA est superbe. L ost est très bon. L univers plutôt bien travaillé.
Vraiment dommage de ne pas avoir de suite alors que les ventes sont plutôt correctes.
D'ailleurs a ce niveau un remaster de X m'aurait aussi tellement plus fait bander que celui de Xenoblade 1
GK pourvoyeur officiel de fou rire.
Que pense notre cher hyoga57 de ce JRPG de la Wii et de l'avis de Killia ?
Disons que le trinité Xenobalde Chronicles, The Last Story et Pandora's Tower sont tout les trois des jeux de ouf, quoi qu'on en dise, maintenant, en sachant les avoir tous joués puis terminés, je te dirais que chacun offre une expérience totalement différente de l'autre. En conclusion, il est un exercice difficile que de les comparer d'égal d'égal, chacun est foncièrement différent des uns et des autres, néanmoins tous sont des petits trésors du jeu vidéo.
Si tu n'as pas fait Pandora's Tower, je te conseille vivement d'y remédier, il est passionnant à sa façon pour qui aime le genre avec lequel il compose.
Si je devais échelonner en revanche l'impression que m'a fait chacun de ces jeux, je dirais que Xenoblade Chronicles, pour lequel je nourrissais une curiosité quelconque et qui m'a finalement passionné plus que The Last Story que j'attendais le plus et fait en deuxième. Le concernant, c'est ses graphismes, ses personnages et son système de combat incluant la possibilité de ce couvrir comme dans Gears of War mais façon action-rpg qui m'a le plus le plu, et si le reste est plutôt bon, Pandora's Tower que j'ai joué m'a procuré un sentiment, une impression d'un autre registre plus percutant de manière générale.
runrunsekai
Il viendra, il viendra
Sakaguchi y a réellement mis de la passion et du soin dans l'écriture.
D'où la nostalgie ressenti et le contentement une fois le CD remit dans sa boîte.
aros merci pour ton éclairage. Il est vrai qu'ils ne jouent pas dans la même catégorie pour pouvoir les classer.
J'ai lancé Pandora's Tower hier et on le sent plus proche d'un Zelda TP mixé à du Ueda (The Last Guardian, SOTC ou Ico).
Ce que tu dis sur Pandora's Tower me rassure car j'avoue que le point de départ du scénario ne m'a pas entraîné des masses.
Je ne l'avais pas vu comme ça, mais tu tiens-là un superbe exemple
Heureusement pour toi, ton héros sait se défendre, après, il ne faut pas en attendre une histoire riche, je te préviens, c'est tout comme The Last Guardian, sauf qu'il est moins contemplatif et plus orienté action. Bien sûr tu as des documents- ça et là pour en apprendre d'avantage sur la nature des lieux, mais aussi le maître de ceux-ci.
S'il est génial de le parcourir en long et en travers, ses combats de boss sont vraiment cool, c'est la récompense ultime qu'à à offrir chaque donjon, d'ailleurs y'a un petit côté Majora's Mask avec le fait que tu ne puisses trop t'éterniser dans un donjon au risque qu'elle se transforme à un stade trop avancé, du coup tu dois maîtriser ton avancée pour débloquer des raccourcis... ce pour aller au plus vite et rapporter la chair des maîtres à ta dulcinée.
Et ton article est extrêmement bien écrit, ce fut un vrai plaisir de lire tes impressions ! Personnellement, j'adore quand justement on parvient à exprimer son ressenti sur un jeu et de façon intelligente, plutôt que de faire une critique bête et méchante avec la liste de qualités et défauts.
Pour ma part, Last Story m'avait beaucoup intéressé a son annonce (Sakaguchi, forcément), mais mon bilan au final a été plutôt mi-figue mi-raisin. J'en garde un bon souvenir, mais il y avait aussi pas mal de choses qui m'ont dérangé au cours de l'aventure. Mais je me dis souvent aussi que je l'ai sans doute fais à une période où j'avais du mal à profiter pleinement de mes jeux, et je suis sans doute passé à côté de pas mal de subtilités... Je lui redonnerais sûrement une chance un jour
Ça participe grandement à mon envie d'écrire et partager avec autrui.
Quand on aime un jeu et qu'il nous touche c'est assez simple de décrire son ressenti.
Oui, il se peut qu'il ne t'ai pas touché car le contexte était mauvais. J'ai des jeux comme ça que j'ai refait (Wild Arms 5 par exemple) récemment et que j'ai réévalué.
Ma joie première est de savoir que d'autres y joueront (ou rejoueront) avec peut être la même impression de jouer à un grand jeu.
Et même si je n'ai jamais fini Majora's Mask, il n'empêche que l'univers était excellent.
Si je retrouve la même chose dans Pandora's Tower et une réelle empathie pour ce couple de malheureux, je risque de ne pas lâcher la manette
" Je te remercie déjà d'avoir eu le courage de lire en entier mon avis sur le jeu et pour le compliment.
Ça participe grandement à mon envie d'écrire et partager avec autrui. "
Je crois que tu tes trompé destinataire, ce com' était sûrement destiné à randyofmana au vu de votre échange
The Last Story est jeu qui s'émancipe avec brio du genre auquel il appartient grâce à des mécaniques de jeu et de conception tout à fait nouvelles. Il me rappelle pour ainsi dire des jeux tels que Catherine (nouvellement " Full Body "), Resonance of Fate, ainsi que The Last Remnant ( le best of the best
Comme tu le mentionnes l'histoire ne fait pas de folie certes, mais elle est efficace, portée par des personnages qui comme toi m'ont transportés pour la plupart, même si à mon sens le souvenir indélébile que j'en garde est son système de combat plutôt novateur. Et si tu n'as pas fait The Last Remnant ( la ressemblance est frappante, mais en faite pas du tout
" Si je retrouve la même chose dans Pandora's Tower et une réelle empathie pour ce couple de malheureux, je risque de ne pas lâcher la manette
Je te conseille de bien développer leur relation quand tu rentreras, cela paraît de rien, mais tu te sens plus investi dans la tâche qu'est celle d'Aeron de braver les dangers pour la sauver. Tu as d'ailleurs plusieurs fin au jeu, du fait de la relation que tu as tissé avec elle tout du long ton périple. Je me souviens que ça m'avait remué
Ça participe grandement à mon envie d'écrire et partager avec autrui.
Quand on aime un jeu et qu'il nous touche c'est assez simple de décrire son ressenti.
Oui, il se peut qu'il ne t'ai pas touché car le contexte était mauvais. J'ai des jeux comme ça que j'ai refait (Wild Arms 5 par exemple) récemment et que j'ai réévalué.
Ma joie première est de savoir que d'autres y joueront (ou rejoueront) avec peut être la même impression de jouer à un grand jeu.
Merci de me l'avoir signalé, c'est corrigé.
Mais merci à toi aussi, ça me touche réellement ce que tu me dis là.
Pour ce qui est de rompre le "classicisme" des systèmes de combats actuelle, j'ai en tête Magna Carta, Persona 5, Nier Automata avec le slash & shoot.
Ce qui me marquera longtemps c'est bien son système de combat mais aussi qq temps forts du jeu dont la tour du firmament
Pour The Last Remnant, je l'ai pris une 1ere fois sur PS4 pour y jouer 1h.
De nouveau sur Switch pour faire 5/6h avant de décrocher.
Ce qui pêche c'est justement le système de combat que je trouve trop aléatoire (après peut être que j'ai loupé la subtilité de celui-ci).
J'aimerais bien en faire un test complet mais je dois d'abord me remotiver à y jouer
Et pour Pandora's Tower, je me souviens vaguement de quelques fins que je m'étais spoilé à l'époque mais je vais redécouvrir ça avec plaisir. Et pour ce qui de prendre mon temps pour développer la relation entre les deux, je ferais attention
(Après j'avoue qu'il m'a fallu un peu de temps pour digérer le rétro test sur Radiata Stories, l'article sur MGS et ton retour sur The Last Story, les 3 m'intéressaient mais ça fait long à lire XD)
Quand on aime un jeu et qu'il nous touche c'est assez simple de décrire son ressenti.
Ce qui n'est pas du tout mon cas, j'ai énormément de mal à mettre en mots ce que je ressens sans partir dans tous les sens XD Je me relis beaucoup pour agencer mes phrases correctement et essayer de rendre la lecture plus fluide... Dans ton cas, je dois admettre que tu as un style et un vocabulaire qui rendent le tout franchement passionnant à lire
C'est malheureusement rare que je change d'avis quand je refais un jeu, et quand c'est le cas c'est plus souvent vers le négatif ^^'
Mais dans le cas de Last Story, j'avais vraiment eu du mal à me plonger dans l'univers pour en comprendre les enjeux et m'attacher aux personnages (tout en les appréciant hein, contrairement à d'autres JRPG où je sens tout de suite que ça me parle pas), et un article comme le tien peut en effet m'aider à apprécier un peu mieux cet univers
Il y en à beaucoup en effet de ces jeux qui tranchent avec le reste, bien qu'ils ne soient pas les seuls, loin de là, mais c'est parce que c'est des " one-shot " du jeu vidéo que je les cites eux plus que d'autres. Quand tu joues à un Persona, tu sais à quoi t'attendre maintenant, une sorte de standard a été établie et est depuis pris comme base, là où des jeux " one -shot " ont du tout posé dès le début, sans qu'aucune autre itération ne puisse assurément le suivre et corriger ci et çà, approfondir une ou plusieurs choses, ou bien encore donner une orientation nouvelle à ceci.
" Ce qui pêche c'est justement le système de combat que je trouve trop aléatoire (après peut être que j'ai loupé la subtilité de celui-ci). "
A vrai dire, ça ne m'étonne pas que tu me rapportes cela comme tel, beaucoup font l'erreur de croire que son système de combat est " trop aléatoire " ; moi ce que j'en dis, c'est que cet aspect-ci ne l'est que pour ceux qui ce bercent à le croire
Toute la subtilité du titre réside à gérer cette part d'aléatoire justement, sauf qu'aucun jeux avant lui ne nous a conditionné à prendre en main un tel titre, ce qui en fait pour moi un titre souventefois et injustement décrié comme imprécis dans son exécution.
Pour le comprendre donc, il n'y à qu'une chose à faire : jouer, jouer et jouer ; pas jouer et se laisser guider, non! il faut comprendre par là que tout les éléments de gameplay du jeu, apportent une subtilité au système de combat qui ce trouve être le point névralgique de The Last Remnant... RIEN QUE CA
Il y a pour commencer le fameux bouton sur lequel l'on appuie pour découvrir le listing des attaques que mèneront nos troupes contre celles ennemies (mais ça tout le monde le sait). Mais en allant dans les menus, l'on est capable d'une simple pression, de décider les " Arts " que doivent utiliser chacune de nos unités en combat ; ces " Arts " néanmoins ont un coût en PA qui ce déduira en cours d'affrontement d'une somme de PA relative à celle de chaque unité composant ladite troupe. Ici, l'équilibre est de mise avant et pendant l'affrontement, car chaque unité peut amoindrir l'efficacité d'une autre du fait de sa position dans le groupe et/ou du coût minimum en PA que requiert chacune de leur techniques respectives (la position d'une unité au sein d'une même troupe influant sur sa priorité à utiliser plus ou moins de PA). Aussi, les commandes induisant de minimiser la dépense de PA jouent un rôle stratégique qui te permettra chaque tour qui passe, d'engranger une nouvelle la somme totale de PA d'une troupe donnée, si tant est qu'elle soit entièrement inactive, ce dans le but par exemple, de la faire ce déchaîner au prochain tour.
(A préciser qu'un " Arts " quel-qu’il soit ce renforce invariablement de lui-même à force d'usage et parfois-même en développe un tout nouveau qui requerra d'avantage de PA pour être utiliser.)
Je te donne deux trois clés essentielles, mais The Last Remnant est un jeu qui ne donne pas la main et met à l'épreuve le joueur de comprendre les mécaniques qui lui sont propres. Il n'y à pas que les combats à regarder, il y a tout ce qui gravitent autour, si tu le fais tu prendras un plaisir fou à déclencher des combats, et parfois même des combats à renforts de ouf guedin
Et malgré qu'il y ai beaucoup de texte, je les ai tous lu avec plaisir et ça m'aura donné envie de jouer à Trails or Cold Steel avant de découvrir Trails of Sky.
J'ai regardé Ni no Kuni avant hier et conseillé Zwei à un ami qui joue souvent sur PC
Pour m'astreindre à une écriture ordonné, je marqué les grandes idées au préalable, puis je fais des grandes parties titrés puis je rédige.
C'est bordélique pour moi aussi quand je ne fais pas ça, je te rassure
Je suis comme toi aussi pour les mauvaises première impression, ça reste même si autour de moi j'en entends des éloges et que j'en lis de belles critiques.
Je peux encore changer d'avis sur le jeu si le scénario me tient aussi en haleine jusqu'à la fin. Je te tiens au jus
Crois-moi, je fais comme toi un plan de l'article, ça n'empêche pas que j'ai du mal à exprimer avec autant de précision que possible ce que je pense/ressent dès qu'il s'agit de rentrer dans le détail ^^' En fait, même quand ce n'est pas pour parler de mon ressenti, je met du temps à écrire... on va dire que j'ai certaines exigences sur le style d'écriture, je passe beaucoup de temps pour peaufiner le truc, et malgré ça, je ne suis pas toujours satisfait du résultat ^^'
C'est ton test sur Sora no Kiseki qui m'a poussé à me lancer dans Trails of Cold Steel. Bien que ce n'est pas la même époque ni le même casting, il appartient à la même licence.
Je connaissais déjà un peu la licence. Gunotak en parlait déjà pas mal parlé via ses articles mais je ne m'étais pas encore lancé à l'eau.
Ah tu es perfectionniste en fait.
C'est un bien comme un mal.
Ça te permet d'être rigoureux mais ça te demande un long temps de réflexion.
Ça me le fait mais à l'oral et c'est stressant comme manière d'être...
T'façon dans The Last Remnant, il faut savoir qu'à part les bases fondamentales du système de combat, rien ne t'est dit pour juger de... C'est comme le fait qu'un "Arts " soit de type percée, mais que ton personnage à une arme étrangère à ce type d'attaque, la puissance de ton " Arts" ne sera pas optimale en combat par exemple.
Tout est une affaire de rapprochement, si tu veux optimiser quelque chose qui te semble-t-il te fait défaut, il faut y réfléchir de façon logique et tu obtiendras toi-même gain de cause.
Concernant la personnalisation, si elle n'est pas très pratique se révèle être très humaine finalement, on à vraiment l'impression que chacun à une personnalité propre, de fait il ne te demanderont que ce qu'ils jugent être leur cam', à toi d'en tirer tes conclusions quand aux équipement qu'ils seraient susceptible de te demander pour s'en équiper ; mais un conseil, sauf si tu est sûr de toi, n'investit pas les concernant, sauf ton personnage
J'aimerais aussi rajouter puisque tu me parles de recrutement, que cette version " remastered " ne limite pas le nombre de " capitaines " par troupe, ceux qui possèdent un design unique et une description qui donne quelques éléments de background quand tu consulte leur fiche dans les guildes. Aussi et surtout, ne passe pas à côté des quêtes annexes, tu louperais bien la moitié si ce n'est plus du contenu que propose le jeu, et ça te permettrait de recruter nombre de " capitaines " en plus débloquer nombre d'endroits qu'au cours l'histoire tu ne visiterais tout bonnement pas. Ce jeu saura toujours récompenser en permanence le temps que tu lui consacrera, alors n'hésite pas à sortir de la trame scénaristique
Dernière chose, le jeu à conserver son découpage en deux DVD, donc quand l'on te parlera de bases chiffrées au chiffre de 6, assures-toi de compléter les quêtes secondaires du DVD 1, car au suivant la majorité ne pourront plus être suivit, je préfère te mettre en garde. Bref, je vais m'arrêter là, mais sache que tu as encore à apprendre quant au jeu, je voulais juste m'assurer que tu soit en mesure d'aborder le jeu d'un autre regard, et que tu ne passes pas à côté sur une fausse impression que beaucoup tendent à généraliser sans savoir de quoi ils parlent vraiment. D'ailleurs le jeu propose largement plus d'une centaine d'heures de jeu si tu ne te cantonne pas à l'histoire seulement.
Franchement, tu as réussi à me redonner espoir en ce que le jeu peut offrir et m'inciter à donner de mon temps pour faire les quêtes annexes.
J'aime bien les jeux qui offrent des possibilités de personnalisation pour des troupes (exemple des Disgaea), je peux me mettre à collectionner les personnages juste pour le plaisir. Et là j'avoue que si ça suit le même principe d'unité rare à dénicher, alors ça me motivera davantage à fouiller.
Thx
Et je ferais attention pour le changement de CD.
C'est que j'ai bien fait d'en parler
Et si j'ai pu ne serait-ce que te redonner l'envie d'y jouer et d'essayer de l'apprivoiser, qu'importe si tu adhères au bout du compte, ou non, j'en suis heureux
Quant aux personnages que tu aimes collectionner, ils n'ont pas que cet intérêt, généralement tes même content de pouvoir soit les inclure dans tes équipes, soit d'être en attente de le faire... et même devenir leur ami ! L'aspect humain dans ce jeu n'est pas à sous-estimer, c'est ce qui le rend si unique. Bref, tu l'as peut-être acheté deux fois, mais si t'accroches tu auras retour sur investissement, crois-moi