http://www.daily-buzz.fr/buzz/femme-droguee-dans-un-etat-second-dans-les-rues-de-new-york-20131014.html

J'aimerais savoir de quelle type de drogue il s'agit pour que sa puisse transformer quelqu'un comme sa

2H... N'importe qui ayant pausé les mains sur Dark Souls ou Demon's Souls sait, qu'il est impossible de se faire un véritable avis sur un tel titre, il n'y avait de disponible qu'une infime partie du jeu, avec seulement quelques mobs, et heuresement un boss à la fin, mais y'a quand même moyen d'en dire 2/3 choses...



Alors, je vais précisé d'entrée, tout les fan vont être rassurés, moi qui craignait que la casualisation touche DS2, il n'en n'est rien

La Beta ayant pour but de tester les serveurs, je dois dire que c'est un succès de ce côté la, j'ai pu rejoindre toute les parties que je voulais, et invoquer qui je voulais, tout marchait presque instantanément, donc gros bon point



Les graphismes : De ce côté la rien de transcendant, excepté les nouveaux effets de lumières bien sympathique rien de neuf, bonne nouvelle pour la fluidité, sa tournait nikel (la plus grosse tare de DS1)
Après je me dis qu'heuresement, vu la faible résolution (1280x720)

Les nouvelles animations de notre personnage sont assez visible aussi j'ai aprecié, les mobs toujours aussi bien détaillé

L'ambiance est excellente comme toujours, sa fais flippé, c'est toujours aussi sombre (j'aurais d'ailleurs bien aimé testé la torche, mais y'en avais pas..) on a peur de s'aventurer dans ces lieux lugubres et dangereux, et c'est sa qu'on aime



Le gameplay : j'ai été assez surpris, alors que pas mal de journalistes ayant pu pausé les mains dessus ont déclaré que le jeu était globalement plus lent, j'ai trouvé justement qu'à certain moments, c'était bien plus rapide, mais aussi beaucoup plus lent à d'autre, ce qui signifie qu'en gros que c'est ni l'un ni l'autre, la course a été augmenté, les enchainements de coups diminué par exemple

La difficulté est toujours au rendez vous, j'en ai chié je l'admet, je n'ai pas réussi à battre le boss de fin de zone seul (perso trop faible je pense), même les plus petits mobs font mal, en gros c'est toujours aussi exigeant

excepté ceci, on retrouve toute les bases de DS1, avec tout de même un inventaire qui a subi un léger lifting, mais qui est devenu aussi plus clair et lisible (bien que cela ne m'est jamais dérangé), il y a de nombreux nouveaux objet, dont je ne connais pas la signification évidemment ^^
On démarre quand même avec pas mal de chose sur sois, une superbe armure (en fonction de la classe choisis) et une énorme épée à 2 mains

On retrouve toujours le système de feu de camp et de fiole d'estus, sauf qu'il n'y a plus d'humanités, ce sont désormais des pierres à utilisé n'importe ou, à la manière de Demon's Souls (beaucoup de similitudes avec ce dernier)


En conclusion : je suis très satisfait et surtout rassuré, gameplay toujours jouissif et exigeant en même temps, j'attends tout de même d'en voir plus sur la diversité des lieux et ennemis, mais connaissant From Software, et vu DS1, je ne me fais aucun soucis la dessus

Si vous voulez encore plus d'infos ce joueur a bien plus détaillé que moi : Cliquez ici

Petite question, j'étais en train de rédiger l'article sur mes impressions de Dark souls 2, et ayant passer une bonne heure à écrire le texte, j'ai voulu mettre des photos histoire de compléter le tout, et un clique maladroit sur le bord gauche de ma souris m'a rendu à la page précédente.. résultat : tout le texte à été supprimé, donc par pitié, par je ne sais qu'elle miracle, y'a t'il possibilité de récuperer mon texte ? en visitant le cache navigateur par exemple, mais j'ai rien trouvé.... need you Help !

En attendant, je vais aller déprimé un peu :

Selon le magazine Variety, Jeffrey Katzenberg a révélé être prêt à débourser 75 millions de dollars pour produire trois épisodes supplémentaires de Breaking Bad. Décidemment la série de tous les records.




L’engouement autour de Breaking Bad n’aura visiblement épargné personne, pas même Jeffrey Katzenberg, le co-fondateur de Dreamworks. Le producteur américain a confessé au Mipcom (le marché international des contenus audiovisuels et des contenus numériques) avoir fait une proposition pour le moins alléchante aux producteurs de Breaking Bad.

En effet, alors que l’épisode lambda de la série impliquait un coup de production de 3,5 millions de dollars pièce, Katzenberg était prêt à débourser pas moins de 25 millions de dollars par épisode à l’issue de la fin du show. Dans sa folie des grandeurs, il projetait de mettre la main à la poche pour trois nouvelles productions. Soit 25 millions que l’on multiplie par trois. Soit 75 millions de dollars.

Derrière, une volonté de faire du profit

Katzenberg entendait faire du profit avec cette idée qui aurait certainement réjoui plus d’un fan en période de sevrage. L’idée aurait été de diffuser ce contenu par le biais d’Internet via une plate-forme payante en divisant les épisodes en segments de six minutes sur une période de 30 jours.

La volonté était donc de “faire plus de profit avec ces trois épisodes qu’il en a été fait après les cinq saisons de la série”. Enfin, si Jeffrey Katzenberg a rendu public ce projet avorté, c’est avant tout pour illustrer la foi qu’il a dans un tel format, à savoir des contenus courts diffusés sur la Toile. En attendant, on peut toujours regarder la version latino de la série AMC.

En resumé :

Cette nouvelle présentation de Thief nous a laissé entrevoir un jeu moyen, bien loin des ambitions de départ énoncées par les développeurs d'Eidos Montréal. Alors certes, dans cet environnement ouvert et central qu'est la ville, on se laisse par moments divertir. Dans les jeux d'infiltration de ce type, il est toujours amusant de tester les limites du gameplay. Le titre profite en plus d'une ambiance prenante et de quelques effets visuels sympathiques. Malheureusement, ces moments de plaisir sont en permanence gâchés par un sentiment de frustration très désagréable. La faute à d'évidents soucis de design qui plombent la navigation dans les environnements. La pauvreté du level design et les errances de l'IA n'aident pas non plus le jeu dans son entreprise de séduction. Autant d'éléments qui conditionnent pourtant la qualité d'une production telle que Thief. Bien entendu, le jeu ne sort qu'en février prochain et on ne parle ici que du hub auquel les joueurs ont accès entre les missions principales. Mais on est maintenant en droit de s'inquiéter.

avis du journaliste : Moyen

Cette semaine, vous n’entendrez parler que de Breaking Bad. Et il y a une raison à cela, toute simple : selon des chiffres IMDb, il s’agit de la meilleure série de tous les temps.



Breaking Bad c’est fini. Finished, fertig, acabado, законченный, hotový. Hier soir, la série de Vince Gilligan a mis un terme aux aventures de Jesse Pinkman et de Walter White, un duo qui va, si ce n’est déjà fait, rentrer dans l’histoire des show télévisés. Ne vous inquiétez pas : nous ne ferons aucune allusion à la dernière scène de la cinquième saison. Non. Mais on va parler statistiques.

Il y a deux semaines, l’épisode “Ozymandias” a reçu un 10 sur 10 sur le site IMDb. Il y a une dizaine de jours, on évoquait sur Konbini une information culturelle pas comme les autres : Breaking Bad allait entrer dans le livre des records. Pourquoi ? Parce que la série avait atteint un score sans précédent sur Metacritic, un site qui repertorie les avis de critiques reconnus, comme ceux de The New Yorker ou de Variety. Pour sa cinquième saison, le score atteignait les 99% de satisfaction. Du jamais vu.

Breaking Bad : 10 / 10

Mais l’excellence de la série ne s’arrête pas là. Le site Business Insider, à l’aide d’infographies et des chiffres IMBd, a comparé l’évolution des scores de Breaking Bad au fil de ses saisons avec d’autres grandes séries, et pas des moindres. On retrouve Les Sopranos, The Wire, Les Simpsons ou encore À la Maison-Blanche. Toute ont eu au minimum cinq saisons à proposer aux telespectateurs. Et il n’y a que Breaking Bad qui a vu ses scores grimper.

De 8,6 en moyenne, la série atteint la note record de 9,4 pour la dernière saison avec une pointe de 10 sur 10 pour l’épisode “Ozymanias”. Pas une seule série, en comparaison, ne réussit à mettre 20 épisodes au dessus des 9 sur 10. Sauf Breaking Bad.



Good by Breaking bad PAS DE SPOIL DU DERNIER ESPISODE PLEASE

Enjoy !

Ahhhhh... L'éternelle question de l'utilisation de la puissance d'une machine... 90%, 75%, 100%... Les déclarations avant la sortie des jeux sont fréquentes sur le sujet et on doit bien avouer que nous apprécions tout particulièrement celle qu'a faite Dan Greenawalt, le game director de Forza Motorsport 5, à nos confrères de VG247 :


« J'entends beaucoup "utilisez-vous le matériel à 100% ?" La vérité est que vous utilisez toujours 100% du matériel. La vraie question, c'est de savoir si oui ou non vous l'utilisez de manière efficace. Et ça, vous ne pouvez le faire qu'avec les années. Nous utilisons 100% de cette console, mais il est évident que nous allons devenir plus efficace au fil des ans.»


Sans maîtrise, la puissance n'est rien

Non, les développeurs ne se brident évidemment jamais en se disant que pour leurs jeux ils ne vont utiliser que 78,3% du potentiel d'une machine en laissant de côté le reste. Tout est question d'optimisation. En utilisant 100% des ressources les développeurs peuvent obtenir 2 résultats totalement différents en fonction du degré d'optimisation qu'ils atteignent.

Cette maîtrise du hardware, les studios ne peuvent l'avoir qu'avec le temps et l'expérience. Il n'y a qu'à voir les jeux de la génération actuelle pour s'en convaincre : il sont beaucoup plus beaux aujourd'hui qu'au lancement des PS3 et 360. A l'époque, les développeurs utilisaient bien 100% des ressources mais ne savaient pas en tirer le meilleur parti.

Forza 5 : 1080p et 60 FPS

Rappelons que Forza Motorsport 5 est un jeu de courses exclusif à la Xbox One qui sortira en même temps que la console le 22 novembre prochain. Il est prévu pour tourner à 60 images par seconde 1080p.

GTA 5 fait un carton critique et commercial, mais il semblerait que la version dématérialisée PS3 du titre soit un chouïa à la ramasse... C'est en effet ce qu'annonce Digital Foundry dans une analyse vidéo du rendu offert par GTA 5 en version blu-ray face au résultat en dématérialisé.

Rappelons au passage que les joueurs récupérant leur version sur le PSN ont déjà possiblement eu quelques soucis de téléchargement. Les voilà désormais en possession d'une version réussissant difficilement à suivre au niveau de l'affichage de textures ou d'assets graphiques en général. On vous laisse juger par vous-même...

Dans un entretien accordé à Famistu.com, dont la transcription a été rapportée par Dualshockers, Phil Spencer, le patron de Microsoft Studios, a déclaré désirer ardemment porter sa licence à succès, Gears of War, sur Xbox One. L'homme reste néanmoins nuancé, et dit ne rien avoir planifié pour le moment, s'en remettant aux ambitions éventuelles d'Epic Games :

"Gears of War est développé par Epic Games, et ils ont été nos partenaires pendant un long moment sur Xbox 360. Vous devriez leur demander directement ce qu'ils comptent faire. Nous n'avons encore rien annoncé à propos de Gears of War, mais nous espérons le porter sur Xbox One sous quelque forme que ce soit. Il n'y a rien d'autre que je puisse déclarer à ce sujet.»



Le retour du roi

Je viens de terminer l'épisode, je spoil pas mais pour résumer en un mot : choquer, définitivement j'aime Walt, il aura fait tout ce qu'il fallait, du moins dans la saison 5...

J'aimerais connaître vos avis la dessus !

En marge de la Xbox One et de la PS4 qui se préparent à se livrer une guerre sans merci dans les mois qui arrivent, un tout autre marché s’active autour du jeu mobile. Alors que des millions de jeux sont téléchargés quotidiennement sur smartphones et tablettes, l’Unu, la Mojo et la Ouya proposent de traduire ce plaisir nomade en plaisir sédentaire. Une nouvelle façon d’aborder le jeu vidéo, que les trois machines voient de manière différente.

La Unu (Sunflex)

Tablette 7 pouces Android (8 Go de mémoire et d’1 Go de RAM), la Unu de Sunflex fait office de console de jeu comme peut le faire le Galaxy Note par exemple (dont la taille de l’écran est légèrement inférieure). La différence, c’est ce dock vendu avec, que l’on branche directement sur la télévision via le port HDMI. Une fois la Unu posée dessus, la télé devient "Smart". Grâce à la télécommande (appelée Air Mouse) qui affiche un pointeur à l’écran, l’utilisateur peut facilement naviguer dans les menus, ou encore poursuivre le film (à ce sujet, Sunflex affirme qu’il sera possible de visualiser des vidéos Full HD en 1080p) qu’il avait entamé dans le train, grâce aux touches classiques (Marche, Arrêt, Pause…). Le petit plus de l’Air Mouse se situe au dos, où se trouve un clavier AZERTY, vraiment très pratique pour l’aspect bureautique que l’on peut tirer de la machine, à savoir consulter ses mails, écrire une note ou naviguer sur le Net et les réseaux sociaux…

En ce qui concerne la maniabilité, la Unu fait dans la simplicité avec un système de "drag and drop" (ou glisser / déposer), tout ce qu’il y a de plus simple et rapide dès lors qu’il s’agit de réorganiser son interface. Pour les joueurs, Sunflex a prévu de sortir un pack Gaming Edition à 250 dollars qui comprendra la tablette et la télécommande évidement, mais aussi une manette bluetooth qui rappelle curieusement celle de la 360. Si la prise en main est assez agréable, les gâchettes, elles, manquent cruellement de souplesse, allant même jusqu’à faire un peu "cheap". Cependant, elles répondent très bien lorsqu’il s’agit de jouer. Pour ce qui est des jeux, tout le catalogue Google Store sera accessible et Unu prévoit également d’offrir son propre magasin, le Unu Store, dont on ne connaît pas encore le contenu. Quoi qu’il en soit, la Unu reste assez attractive, se posant clairement comme concurrente aux tablettes actuelles, affichant de surcroît un prix agressif. Commercialisé le 30 septembre 2013, la console coûtera 199 € en version Media Center (tablette, station d’accueil, câble HDMI et Air Mouse) et 229 € pour l’édition jeux vidéo (avec une manette bluetooth en plus).


La Mojo (Mad catz)

Ne ressemblant ni à une tablette ni à une console, la Mojo se résume tout simplement en un petit boîtier que l’on branche directement à la télévision. Grâce au Google Play, Amazon App Store et Nvidia Tegra Zone pré-intégrés, chaque utilisateur pourra, à son aise, profiter des jeux qu’il a précédemment achetés dans ces échoppes, et ce, sans avoir à repasser à la caisse. Il lui suffira pour cela de les télécharger à nouveau sur la Mojo. Pour ce qui est des jeux, chaque utilisateur pourra sauvegarder ses parties sur le Cloud, ce qui lui permettra de reprendre, que ce soit sur son smartphone ou la Mojo, là où il s’est arrêté. Une information bienvenue et surtout pratique !

Lorsqu’on la regarde, c’est vrai qu’esthétiquement, la machine n’a rien de sexy. Mais c’est pour mieux surprendre. Embarquant un processeur Nvidia Tegra 4 (et ayant une capacité de stockage de 16 Go, ce qui demeure plutôt confortable), la Mojo s’affiche comme la console Android la plus puissante du marché, ce qui laisse entrevoir des lendemains plus que réjouissants pour les développeurs de jeux mobiles souvent cantonnés à ne pas trop pousser dans les détails. Et pour les jeux tactiles exclusivement, comment cela se passe ? Grâce à la manette baptisée C.T.R.L.R (pour Controller) et ses trois modes, tous les jeux seront jouables, d’Angry Birds à GTA. Outre la fonction standard d’une manette classique, le mode souris transformera le stick analogique gauche en pointeur. Enfin, le mode PC muera le Controller en pad PC. Disponible durant la période de Noël 2013, la Mojo est assurément l’une des "nouvelles machines" les plus convaincantes. Outre ses caractéristiques techniques et son catalogue, elle accueillera également toute une gamme d’accessoires Madcatz, du clavier à la souris en passant par le casque. Histoire de faire oublier votre PC ? Pour cela, il faudra attendre Nöel et un prix qui n’a pas été annoncé officiellement. Mais avec le business model d’un constructeur privilégiant le hardware (puissance et produits haut de gamme), et de surcroît ne tirant aucun profit de l’hébergement des "magasins en ligne", le positionnement tarifaire de la Mojo devrait se situer entre 200 et 250 euros.

Breaking Bad va figurer dans le Guinness Book des records après avoir atteint un score sans précédent sur le site de critiques MetaCritic.com.



99%, c’est décidément le nombre porte bonheur de Breaking Bad. Alors que la série devenue culte vit ses dernières heures sur les écrans américains, elle vit aussi une nouvelle heure de gloire. Selon The Hollywood Reporter, jamais les critiques n’ont été aussi bonnes à l’égard d’une série, atteignant le score impressionnant de 99% pour la cinquième et ultime saison.

Résultat, elle entre directement dans l’édition 2014 du Guiness Book. Voilà qui devrait ravir le personnage principal Walter White qui, pour sa part, arrive à produire une méthamphétamine pure à 99%.

De 74 à 99%

Sur le site MetaCritic.com (qui regroupe l’avis de critiques reconnus comme ceux de The New Yorker ou de Variety), la première saison avait récolté 74% des suffrages. Les saisons suivantes avaient davantage convaincu à 85% puis 89%, avant d’atteindre 96% puis le score record de 99%.

C’est donc un final en beauté que connait la série créée par Vince Gilligan. Le dernier épisode sera diffusé le 29 septembre prochain lors d’une avant-première exceptionnelle depuis le célèbre cimetière Hollywood Forever. Les billets pour l’évènement se sont arrachés en moins de deux minutes, mais ça n’a pas arrêté certains fans qui n’ont pas hésité à débourser plus de 1000 $ sur eBay (alors qu’ils en valaient 45$).



Vince Gillian a également été mis à l’honneur cette année au 39ème festival de Deauville lors d’une masterclass. Il est d’ailleurs revenu sur l’aventure Breaking Bad. Tout semble sourire à la série aux multiples récompenses – dont sept Emmy Awards (trois consécutifs de meilleur acteur pour Bryan Cranston, deux de meilleur acteur dans un second rôle pour Aaron Paul). A cela s’ajoutent des records d’audience sur AMC. Un sans faute.

Et en Bonus