Il est l’heure de titiller notre égo. Comment les français sont-ils perçus chez nos chers amis que l’on appelle si gracieusement les « étrangers » ? L’image old school du français moyen avec son béret vissé sur la tête, baguette et bouteille de rouge à la main est-elle toujours d’actualité ? Il est temps de faire le point, et c’est pas brillant-brillant. Oui, à en croire nos chers voisins, les français sont beaucoup trop ceci, ou pas assez cela, et ça nous colle à la peau.

1. Les français sont flemmards

Globalement, les français sont toujours en grève. On ne mettra pas tout sur le dos de la SNCF, nous avons des droits, et nous les faisons valoir. D’ailleurs, l’Histoire nous le montre bien, les irréductibles gaulois ont une tendance à séquestrer leurs patrons et semblent toujours au bord de la révolte. Mais il ne faut pas trop pousser quand même, nous ne sommes pas TOUT LE TEMPS en grève non, il nous arrive aussi d’être en vacances …

2. Les français sont perçus comme arrogants, chauvins et râleurs

« Maudit français » comme disent les québécois. On dit à l’étranger que le français est un éternel insatisfait, et qu’il éprouve sans cesse le besoin de toujours comparer le pays des autres avec le sien.

3. Les français sont cra-cra

Ce cliché persiste, le français est sale, crasseux. L’hygiène ? On s’en lave les mains. D’ailleurs, certains n’hésitent pas à appeler « douche à la française » l’utilisation du déodorant. Bon c’est vrai qu’il nous arrive parfois de nous réveiller le matin avec l’humeur oculaire séchée au coins des yeux (caca d’oeil), mais j’imagine que cela ne s’arrête pas aux frontières françaises (c’est pas comme Tchernobyl). Certains s’interrogent même sur notre fonctionnement physique. Comme si le fait d’avoir les aisselles qui sentent le camembert soit quelque chose de génétique et d’inhérent à notre nationalité. Alors soit les étrangers qui nous décrivent sont de bien mauvaise foi, soit il faut se rendre à l’évidence : on refoule grave les copains !

4. Les français sont romantiques, galants et attentionnés

La réputation de Paris, capitale mondiale du luxe, de la mode et des amants semble déteindre sur tous les français. On dit que les français sont romantiques, galants et attentionnés et plus évocateur, la réputation du french lover ou du french kiss n’est plus à faire. Quant aux françaises, elles sont considérées comme coquettes, ayant du goût mais sont aussi faciles à s’ouvrir qu’une fleur dans la rosée du matin (si c’est pas joliment dit ça).

5. Les français sont cultivés et raffinés

Nous sommes vus comme cultivés, raffinés, esthètes, en partie grâce à la réputation de nos musées, artistes et autres intellectuels. Enfin, notre côté gourmand est souligné. La réputation de notre gastronomie n’est plus à faire. D’ailleurs, sachez que la gastronomie française figure depuis 2010 au Patrimoine culturel immatériel de l’humanité. On dit que les français vivent pour manger tandis qu’ailleurs on mange pour vivre. Cet épicurisme intrigue et a donné l’expression « french paradox » pour expliquer que notre durée de vie est légèrement supérieure à celle de nos voisins malgré nos fréquents excès.


Ci-dessous des témoignages recueillis par French at HKU…


« Les Français mangent beaucoup de pain, avec tous les plats, la salade, le fromage. Le matin, ils se font des tartines de pain beurré qu’ils trempent dans le café. Ils ont même une recette de dessert qu’ils font avec du «pain perdu».
Zhan Lin, Chinoise, étudiante.

« Je trouve que les Français sont très méfiants, surtout pour l’argent. Ils veulent tout savoir sur le produit avant d’acheter, on dirait qu’ils ont peur de se faire rouler. Souvent, après avoir hésité pendant longtemps, ils n’achètent même pas. »
Suwanna Oupathum, commerçante, Bangkok.

« En France, j’ai trouvé les gens très ironiques. Ils se moquent souvent des autres, quand ils ont le dos tourné. Les Français font souvent des plaisanteries sur les défauts physiques des gens, ce n’est pas très gentil. »
Jane, Australienne, étudiante.

« Les Français adorent parler et discuter. Leurs discussions sont interminables parfois. Dans un groupe, au café, il y en a toujours deux qui font un duel verbal, et les autres les écoutent. »
Olof, Suédois, étudiant.

« Je trouve que les Français et les Françaises sont naturels, et en général élégants avec simplicité. Les acteurs à la télé sont pareils. Ce n’est pas comme chez nous, on a l’impression que tout le monde sort de chez le coiffeur. »
Terry, Américaine, mannequin.

« Les Français peuvent être très curieux, ils vous demandent tout : « Que pensez-vous de ça ? Et chez vous, c’est comment ? Est-ce que vous êtes d’accord avec ça ? » En France, on dirait qu’il faut toujours avoir une opinion, sur la politique, sur les événements, sur sa culture… »
Mariko, Japonaise, étudiante.

« On parle rarement d’argent en France. Si vous êtes invité chez des amis et que vous leur demandez le prix qu’ils ont payé pour le sofa, ou le lecteur DVD, vous allez choquer vos hôtes. »
Jennifer, Hong Kong, étudiante.

« C’est un peu un cliché je sais, mais je suis d’accord pour dire que les Français sont individualistes, c’est-à-dire qu’ils ne vous parlent pas spontanément, dans les soirées ils restent en petits groupes, il faut beaucoup de temps pour s’intégrer à un groupe, et en général, on y est introduit par quelqu’un. »
Monica, Brésilienne, artiste.

« Pour un Italien, le plus difficile en France ce sont les rapports humains, beaucoup plus froids que chez nous. Les gens sourient beaucoup en Italie, et ils ont plus de patience qu’en France. En Italie, on peut se retrouver avec une bande de copains et se promener comme ça sans but précis. En France, les gens ont toujours un but, un objectif : aller au cinéma, à une fête etc. »
Luigi, Italien, musicien.

« Si je compare avec mon pays, ou l’Allemagne, la France est un pays bien moins organisé. C’est-à-dire qu’il y a une « flexibilité » qui n’existe pratiquement pas chez moi. Les choses en France peuvent changer à la dernière minute : un cours annulé, un rendez-vous. J’ai l’impression aussi que les Français ne font pas les choses avec autant de sérieux que les Autrichiens, ils mettent toujours une petite distance, un peu d’ironie.»
Franz, Autrichien, étudiant.

« La manière d’étudier est vraiment spéciale en France : depuis l’école maternelle jusqu’à la fac on demande aux élèves de réfléchir sur des problèmes, puis de formuler une opinion, un avis personnel. Chez moi, l’approche est plus scientifique : on demande des synthèses, des analyses, on doit soutenir ses arguments avec des faits et des chiffres. En France, l’éducation attache beaucoup d’importance à la personne qui apprend. »
Erik, Danois, étudiant.

Voilà voilà. Vous l’avez compris, les clichés persistent et signent. Mais les français ont beau se balader avec une baguette à la main et du jambon dans la poche, se rincer les dent avec du camembert ou râler sur tout le monde sans raisons, nous avons quand même des points positifs… De toute façon, on a le plus beau pays du monde, alors on encaisse, tant pis ! Et vous, vous en avez d’autres des clichés ?

Tancé par la critique, boudé par les joueurs, Nintendo est pris dans une spirale négative après avoir manqué dans les grandes largeurs le démarrage de la Wii U. Malgré tout, la société japonaise parvient toujours à attirer l'attention du monde du jeu vidéo sur sa console de salon grâce à certains titres phares. Mario Kart 8 fait incontestablement partie de ceux-là. A l'instar du prochain Super Smash Bros., voilà un jeu sur lequel repose en partie l'avenir de la machine.

A l'image de ce qu'il se passe avec les licences sportives, même si les différents épisodes ne sortent pas à un rythme annuel, la série Mario Kart évolue de manière constante en évitant soigneusement les virages brutaux. Ce volet dédié à la Wii U ne fait pas exception. De loin, si l'on compare avec l'épisode Wii ou à plus forte raison avec MK7, rien ne semble avoir vraiment bougé, si l'on excepte cette entrée réussie dans l'ère de la haute définition. Un changement qui fait plus figure de remise à niveau que de réelle nouveauté. Il n'empêche, ce Mario Kart 8 a de l'allure. Et s'il n'introduit pas de mécaniques bouleversantes, il propose tout de même son lot de petites modifications subtiles qui ne manqueront pas de susciter des débats auprès des habitués.

Changement dans la continuité

Deux heures. C'est le temps que nous avons pu passer en compagnie du jeu. Suffisant pour effectuer plusieurs fois les quatre circuits des différentes coupes (Champignon, Fleur, Carapace, Banane) que Nintendo nous a permis de disputer. Encore une fois, les modifications ne sont pas radicales, mais elles changent tout de même certains aspects du gameplay de la série. A commencer par le fait que l'on ne peut désormais plus stocker un item alors que l'on en utilise un autre. Toujours concernant les bonus, nous avons remarqué que l'action de se protéger en plaçant un objet à l'arrière de son véhicule n'était plus aussi efficace que par le passé. Dans le sens où il faut que le projectile de l'ennemi heurte réellement votre propre défense pour que celle-ci soit efficace. Le moindre virage représente donc une menace car on expose le flanc de son bolide. Il est donc d'autant plus difficile de rester premier. Parmi les items, notons l'arrivée du boomerang qui peut être utilisé plusieurs fois consécutivement. Son intérêt : permettre de dégommer un adversaire tout en lui dérobant un item. Autre détail qui n'en devient plus un si l'on est un compétiteur, le retour sur la route est nettement plus rapide qu’auparavant en cas de chute. Ce qui encourage les joueurs à prendre des risques, à emprunter les chemins de traverse les plus périlleux.



Une question de savoir-faire

Et des raccourcis, il y en a un paquet dans Mario Kart 8. Plus que jamais, Nintendo a joué avec le level design pour proposer des circuits riches en chemins alternatifs. Ce constat est en partie dû à la plus grosse nouveauté de cet épisode : le jeu avec la gravité. Les passages au cours desquels on roule sur les murs ou le plafond sont nombreux. En soi, cela ne change pas grand-chose à notre manière de piloter, mais cela multiplie en revanche les possibilités pour les développeurs. Prenons par exemple un circuit connu, à savoir l'Autoroute Toad (N64). En utilisant correctement les tremplins situés sur certaines véhicules qui circulent à vos côtés, vous pouvez atteindre les parois situées sur les bords de l'autoroute. Cela permet d'éviter le trafic et de profiter de quelques accélérateurs. Pas négligeable. Evidemment, tous les nouveaux circuits incluent dans leur level design cette nouveauté. Visuellement, cela fonctionne aussi très bien grâce aux effets de distorsion sympathiques qui apparaissent lorsque la gravité fait des siennes. Les karts – dont on peut choisir les pièces qui les composent, comme dans MK7 – et autres motos – avec lesquelles on ne peut plus faire de roue arrière, retour à l'équilibre – se voient aussi modifiés puisque leurs roues se retournent, jantes vers le sol, ce qui leur permet de passer en « mode aéroglisseur » et de planer pour éviter les chutes. Il en va de même lors des passages aquatiques qui sont particulièrement nombreux dans ce nouvel épisode.



Solo et multi, une expérience différente

Côté sensations de pilotage, c'est extrêmement plaisant. Les dérapages sortent facilement et on a tôt fait de s'amuser comme un petit fou sur les circuits. On sent tout le savoir-faire de Nintendo en la matière. Cela frôle la perfection. Si erreur il y a, elle ne peut venir que du joueur. Sur les quelques courses que nous avons pu faire, il nous a semblé que le jeu était assez équilibré au niveau des items. Pas trop de carapaces bleues, pas non plus de bonus moisis si l'on est dernier. A vérifier sur le long terme mais le dosage apparaît assez juste. Pour ceux qui auraient loupé l'information, notez que l'on peut jouer à Mario Kart 8 en utilisant tous les contrôleurs qui existent, y compris le volant. Opter pour le GamePad de la Wii U n'a en revanche que peu d'intérêt, ses fonctionnalités n'étant pas, ou peu, utilisées. Une carte, la possibilité de klaxonner ou de passer en mode « Off TV » et c'est tout. Léger... Techniquement, on l'a dit, Mario Kart 8 s'en tire très bien. La HD met en valeur la très belle direction artistique du jeu. Néanmoins, on se doit de signaler un problème de taille. Si le jeu affiche fièrement 60 images par seconde lorsque la partie implique un ou deux joueurs, il ne tourne plus qu'à 30 images par seconde dès lors que trois ou quatre protagonistes sont en concurrence. En local s'entend. La différence est on ne peut plus flagrante. Nintendo assure toutefois qu'en ligne, même si deux participants sur douze joueurs sont sur le même écran, le framerate sera au plus haut. Pour terminer sur une note plus positive, glissons un mot sur le cast qui fait plaisir à voir. Aux personnages classiques viennent s'ajouter Harmonie, les bébés Peach et Daisy mais aussi plusieurs membres du clan Bowser (Lemmy, Larry, Wendy, Ludwig, Morton, Roy et Iggy).

CONCLUSION : Prise de risque minimale, lacunes techniques, difficulté à justifier l'intérêt du GamePad, Mario Kart 8 symbolise à lui seul les carences actuelles de Nintendo. A l'inverse, il est aussi le témoin « vivant » du savoir-faire unique de la firme japonaise. En termes de gameplay et de level design, cet épisode s'avère être un pur régal. Dès les premières courses, les premiers virages, on prend son pied. Le pilotage est fluide, naturel, et la construction des circuits est souvent imaginative. Cela transpire la maîtrise. Bien que l'on ne puisse pas s'émerveiller en soi d'un passage en haute définition aussi tardif, celui-ci a le mérite de redonner un second souffle visuel à la série. Comme souvent avec les franchises phares de Nintendo, les points positifs écrasent littéralement les aspects négatifs. Vivement le 30 mai prochain.

Avis du testeur : Très bon

Un certain Logithx travaille à la modélisation d'Half-Life 2 avec l'Unreal Engine 4.

S'il n'est pas encore question d'un mod complet ni même d'un travail achevé, un passionné s'est mis en tête de modéliser la fameuse City 17 d'Half-Life 2 en exploitant l'Unreal Engine.

Impressionnant, le résultat relayé par Dual Shockers n'est toutefois qu'une étape pour celui qui se fait appeler Logithx sur les forums Polycount. Il travaille effectivement à la conversion de tout ce qu'il a déjà réalisé sur l'Unreal Engine 4 et va progressivement modéliser de plus en plus de choses.

Seules trois captures de l'ancienne version sont actuellement diffusées par Logithx, mais nous reviendrons sur son travail dès qu'il y aura du neuf.

Tel un pavé dans une marre, Sony vient à l'instant d'annoncer le développement d'Haze 2, en exclusivité sur PS4, par le biais de Twitter

cette claque pour l'époque n'empêche


"La NextGen commencera quand nous l'auront décidés "

Je crois qu'ils avaient vu juste

je ne m'en lasserais jamais


petit bonus

C'est Bohemia Interactive, le développeur d'ArmA III, qui a annoncé la nouvelle dans une interview accordée à nos confrères d'Eurogamer : leur simulation de guerre est vouée à rester une exclusivité PC.

« Depuis le début, il a été développé uniquement pour la plate-forme PC et ce ne serait pas facile de le porter sur consoles. Il faudrait refaire différentes parties comme l'utilisation des contrôles, l'interface, et pour ArmA III c'est inenvisageable.»

Pour rappel, l'équipe avait également tenté de porter ArmA II sur Xbox 360 avant d'annuler le projet. Pas de panique pour autant, les développeurs de Bohemia Interactive comptent bien investir les consoles de nouvelle génération avec "quelque chose de nouveau, qui a vraiment vocation à sortir sur plusieurs plates-formes". Mais il faudra être patient, l'équipe consacre toute son énergie à apporter du nouveau contenu pour ArmA III et ne devrait pas se lancer dans un nouveau projet avant 2015.

États-Unis : « pris en otage » par leur chat de 10 kilos, ils appellent la police à l’aide


Lux, un chat de quatre ans, a semé la terreur chez un couple de l’Oregon (à l’ouest des États-Unis) le week-end dernier, a rapporté le journal local, The Oregonian (lien en anglais).

Le chat de 10 kilos a d’abord agressé le bébé du couple, âgé de sept mois, dans l’appartement familial. Le petit venait de tirer la queue du félin. Lux a alors griffé le bébé au front, et s’est fait sortir de la chambre par son maître, Lee Palmer.

« J’ai une urgence un peu particulière »

Seulement, Lux s’est énervé derrière la porte, à tel point que la famille n’a pas osé sortir de la pièce, prise en otage. Lee Palmer a sorti son téléphone et appelé la police. « J’ai une urgence un peu particulière ».

« Nous sommes coincés dans la chambre, il ne va pas nous laisser sortir », explique Lee Palmer à la policière au bout du fil, selon l’enregistrement récupéré par le journal local (en anglais). « J'ai jeté le chat dehors (...) et il est très, très, très, très agressif (...)C'est déjà un chat violent. Il nous attaque, il est à la porte de notre chambre. Vous l’entendez ? » demande Lee Palmer à la policière, alors qu’on entend distinctement des miaulements. « Oui, oui, je l’entends », répond la femme au téléphone.

La police a fini par intervenir et bloquer le chat avec une cage de chien.

Le couple a déclaré ne pas vouloir se séparer du chat « qui fait partie de la famille depuis trop longtemps ». Mais il souhaite écarter le chat du bébé et « garder un œil sur le comportement » de Lux.

ceci n'est pas un fake

à évidemment prendre au second degré, ce clip a été réalisé pour le film "Sheitan"

Attention, ceci peu choquer

Test de la version One, voici la conclusion :

Difficile de juger Titanfall tant son gameplay s'avère savoureux et son contenu, un peu décevant. L'expérience plaira assurément aux débutants du FPS qui trouveront un titre au fun immédiat. Ils pourront s'adonner à des affrontements extrêmement bourrins et parfois même un peu tactiques en ayant toujours l'impression de progresser : dans Titanfall, on gagne toujours de l'expérience même lorsqu'on perd. Quant aux autres joueurs, si les premières heures sont une véritable claque de plaisir, le manque d'originalité des modes de jeu et la rapidité avec laquelle on fait le tour du titre pourront lasser au bout de quelques temps. Titanfall se veut avant tout comme un jeu extrêmement plaisant et franchement addictif, jusqu'à ce que l'on voit les limites de la durée de vie. Comptez donc trois heures pour boucler la campagne et une vingtaine d'heures pour atteindre le niveau 50 en multi. Après ça, vous n'aurez plus qu'à attendre du contenu supplémentaire, ou à revenir niveau un via le système de Gen (équivalent du Prestige), pour la gloire, si cela ne vous dérange pas de recommencer une progression aussi vite... Mais avec un gameplay aussi unique, on y retourne forcément avec plaisir, non ?

les + :

Le gameplay à deux vitesses ultra efficace et jouissif.
La prise en compte des IA pour optimiser ses stratégies.
Une réalisation honnête sans fioritures.
Un très bon FPS sur lequel le fun est immédiat et constant, que l'on gagne ou que l'on perde.
La verticalité du level design que l'on exploite avec plaisir.
Les poursuites meurtrières mêlant parkour et compétences uniques.
15 maps variées, plaisantes, au level design travaillé et exploitable à fond.
Un gameplay qui mêle parkour, affrontements de titans, et approche furtive.
Progression très rapide de son personnage, on débloque sans cesse de nouvelles armes et améliorations, jusqu'au niveau maximum.
Le mode Last Titan Standing, intense et stratégique.
La customisation de classes et de titans pour s'adapter à chaque mode et à chaque affrontement.
Les Burn Cards et leurs avantages.

les - :

On atteint beaucoup trop vite le niveau maximum, ce qui pourra gêner les amateurs de progression longue durée.
Un Matchmaking sans filtres, sans liste de serveurs, sans choix de map, sans autobalance et sans choix d'équipe.
Faible choix d'armes et d'accessoires.
Quelques soucis de finition (ralentissements occasionnels et tearing sur One, certains modèles 3D assez grossiers...).
Les 2 campagnes décevantes et courtes (deux fois 1h30).
Le mode Pilote Hunter, ou comment faire un mode de jeu en changeant juste un peu la condition de victoire du Team Deathmatch.

15/20

Souvenez vous de cette merveille (saison 1 et 2) déjà posté ici même >>>



Et bien voici la suite tant attendu (saison 3 à 5) enjoy ! >>>


Du grand art you're goddamn right

"This is not about death, this is about what you learn from death"

Allez lire l'aperçu, il est très complet !