Vous vous rappelez des années 80 ? Mais si, cette période qui a vu naître des chefs-d'oeuvre télévisuels comme K2000, Magnum ou bien encore Arnold et Willy !

Eh bien figurez-vous que le dénommé Veselekov s'est amusé à nous pondre un petit trailer de l'adaptation animée de Dark Souls II qui aurait dû voir le jour dans les années 80. Le résultat, rappelant par certains côtés des titres comme Les Maîtres de l'univers ou Jem et les Hologrammes (bon ok, ça n'a rien à voir avec ce dernier mais je voulais juste vous mettre le générique de ce dessin animé qui m'a hanté durant des années !) est vraiment sympathique et nous replonge avec délice dans cette période dont certains stylistes refusent encore d'admettre l'existence... comme on les comprend.

DayZ : Dean Hall va quitter Bohemia et la tête du développement du jeu

L'information provient de nos confrères d'Eurogamer et devrait rajouter encore un peu de piment dans la saga DayZ. Petite piqûre de rappel, Dean Hall est le créateur du mod d'ArmA II, devenu aujourd'hui un stand-alone répondant au doux nom de DayZ.

Suite au succès de son mod, Dean Hall avait en effet rejoint l'équipe de Bohemia Interactive pour travailler sur la création du stand-alone. L'homme n'avait jamais caché ses envies d'ailleurs, et il vient désormais d'officialiser son départ prochain de Bohemia Interactive. En revanche, il restera bien à la tête du développement du stand-alone DayZ jusqu'à la fin de l'année 2014.

Mais que va donc faire ce brave monsieur ? Il compte tout simplement retourner en Nouvelle-Zélande afin d'y créer son propre studio et de partir en quête de son idéal, la création du jeu multijoueur parfait. Espérons tout de même que ce départ annoncé n'ait pas de conséquences fâcheuses sur le développement déjà bien chaotique de cette version.

En septembre 2013, les sources du site Games Industry se voulaient affirmatives au sujet du développement d'un dispositif de réalité virtuelle spécialement dédié à la PS4. Dans le plus grand secret (ou presque), il se dit que Sony présente sa technologie VR aux studios depuis l'été dernier, avec l'intention de s'engouffrer très sérieusement dans la brèche de la réalité virtuelle. Un filon qui s'est reconstitué une image crédible grâce au travail d'Oculus VR.

Aujourd'hui, c'est TechRadar qui se jette à l'eau en écrivant que Sony a l'intention de dévoiler ce fameux accessoire à la Game Developers Conference de San Francisco, dont les portes s'ouvriront le 17 mars. La source de TechRadar ne manque pas de vanter les mérites de ce futur concurrent de l'Oculus Rift, louant la qualité de l'appareil et sa définition. "Les gens vont clairement être impressionnés par ce que Sony a fabriqué", peut-on lire.

Et pour ce que ça vaut, le débat d'IGN intitulé "La PS4 est-elle prête pour un casque de réalité virtuelle ?" a été retweeté par Adam Boyes, éminent VP des Relations Développeurs chez Sony Computer Entertainment America. Quelques heures plus tard, ce dernier a préféré effacer le retweet en question.

C'est encore chez Neogaf que des infos dénichées dans le code de la bêta PC de Titanfall font surface. RazorUK, qui avait déterré les maps et armes du jeu, est cette fois tombé sur un texte laissant entendre que le jeu de Respawn comprendra un mode Generation similaire au mode Prestige de Call of Duty.


Le principe est de proposer aux joueurs ayant atteint le niveau maximal en multijoueur de remettre leur compteur à zéro en échange de quelques contreparties, à commencer par un insigne indiquant leur expérience, secondé par des bonus divers (slot supplémentaire par exemple). Le mode Génération de Titanfall contiendrait 10 rangs distincts. Voici la traduction du fameux message d'avertissement repéré par RzaorUK, qui vous permettra de vous faire votre propre opinion sur le sujet. L'image ci-contre représente les insignes des rangs Generation.


« Faites-moi passer au [niveau génération suivant]

Attention ! Vous perdrez tous les éléments débloqués et serez renvoyé au niveau 1. Tous les challenges seront remis à zéro.

Vous avez payé le prix d'années de combats. Nous pouvons vous régénérer... à un prix.

Votre corps peut être restauré. Mais votre mémoire et votre expérience... tout sera perdu.

Lorsque vous vous réveillerez, vous réapparaîtrez en tant que Pilote de [niveau de génération suivant].

Vous serez meilleur, plus efficace, vous gagnerez de l'expérience plus vite qu'auparavant.

Etes-vous sûr ?

Je suis sûr.

Etes-vous vraiment sûr ?

Je suis vraiment sûr.»

Présentée à l’E3 l’année dernière, cette exclusivité PS4 avait fait l’effet d’une belle surprise. Développé par Ready At Dawn, le studio derrière quelques-uns des meilleurs jeux de la PSP comme Daxter et les deux volets portables de God of War, le titre se dévoile aujourd’hui à peine plus par l’intermédiaire d’une brève démo présentée par les développeurs…

Pas moins de huit années auront été nécessaires à The Order : 1886 pour voir le jour, de l’écriture du scénario en 2006 aux premiers jets de développement en 2010. Toutefois, rien de plus normal dans la mesure où le studio planchait en parallèle sur d’autres titres, notamment God of War : Chains of Olympus et God of War : Ghost of Sparta. Aujourd’hui, 110 personnes travaillent à plein temps sur ce jeu d’action à la troisième personne qui, comme son titre l’indique, se déroule en plein 19ème siècle. Mais attention, il ne s’agit pas de l’époque habituellement mentionnée dans les livres d’histoire…

Un univers alternatif néo-victorien

L’action se déroule donc dans un 19ème siècle alternatif, au sein d’une ville de Londres évoluant à une époque néo-victorienne. Bref, en quelque sorte, une uchronie. Concrètement, les développeurs s’inspirent de nombreux lieux de la capitale anglaise existant encore aujourd’hui, mais en les plaçant dans un contexte différent ou en y incluant des éléments qui auraient pu exister à l’époque, à quelques décennies près. Ainsi, au sein de ce monde étrange se côtoient pêle-mêle des similis Zeppelin, des créatures hybrides, des factions rebelles, des personnages ayant réellement existé (l’ingénieur Nikola Tesla devrait ainsi être de la partie), mais aussi des lieux symboliques tels que le quartier de Whitechapel, célèbre pour les méfaits de Jack l’Eventreur, ou encore le Crystal Palace alors édifié à Hyde Park. A cela, il faut ajouter la présence d’une technologie avancée, notamment vis-à-vis des armes. Ces dernières sont d’ailleurs créées par Landstalker Props (compagnie ayant déjà réalisé certaines prototypes pour Assassin’s Creed IV) et, parmi elles, figurent d’ores et déjà un fusil à canon court M85, un pistolet à rayon électrique ainsi que des grenades à fragmentation. Last but not least : même s’il n’y a officiellement aucune trace de magie, l’aventure contient néanmoins une petite dose de surnaturel, matérialisée notamment par l’élixir Black Water qui permet de guérir les blessures et de prolonger la vie des héros. Les développeurs précisent enfin que leur jeu n’appartient pas au genre steampunk, contrairement à Dishonored, même si The Order : 1886 semble partager avec ce dernier un certain style visuel.

Une aventure exclusivement en solo

Histoire d’unifier tous ces éléments disparates, l’histoire prend pour point de départ une organisation secrète appelée l’Ordre, chargée depuis des siècles de combattre une espèce hybride, dont le but semble être l’éradication de l’espèce humaine. Le joueur se retrouve donc à la tête d’une équipe de chevaliers appartenant à l’Ordre et composée de quatre personnages principaux dont les noms sont clairement inspirés des légendes arthuriennes : Lafayette, Ilgraine, Perceval et le chef de l’escouade Galaad. Sur le terrain néanmoins, l’aventure se joue exclusivement en solo et le joueur dirige donc uniquement Galaad. Même si, au cours de certaines phases de jeu, ce dernier peut se retrouver parfois accompagné des membres de son escouade, soit de un à trois personnages supplémentaires entièrement contrôlés par l’IA (dans la mesure où il est impossible de leur donner des ordres). A ce titre, la démo présentée par les développeurs, prenant place au début du jeu et au sein du quartier de Whitechapel, fait se côtoyer Galaad et Lafayette, officier parlant anglais avec un délicieux accent français. D’entrée, le joueur est frappé par la qualité graphique de l’ensemble : les visages se révèlent bluffants de réalisme tandis que les textures s’avèrent riches et détaillées. Sans oublier une qualité d’animation étonnante réalisée via motion capture. Pas de doute, The Order : 1886 épate au niveau esthétique…

(clique droit : afficher image pour mieux voir)

Mais WTF c'est le jeu complet ou quoi ??

La sortie de Dark Souls II, c'est le 14 mars prochain. Quelques semaines à peine nous séparent donc de l'arrivée d'un jeu qui va nous traîner joyeusement dans la boue tout en regardant nos corps meurtris se débattre, le sourire aux lèvres. Un long voyage masochiste qui s'annonce tout aussi plaisant qu'humiliant. Afin d'en savoir plus sur ce qui nous attend – si tant est que ce soit une bonne idée –, nous avons récemment pu assister à une présentation orchestrée par From Software. Le tout était agrémenté par une sympathique session de jeu. Ce qui nous a permis de nous faire rouster sans détour par un énorme chevalier qui n'avait visiblement pas spécialement envie de nous voir traîner dans le coin.

A l'évidence, From Software a beaucoup bossé sur l'équilibre de Dark Souls II. Ainsi, le jeu devrait s'assouplir légèrement par moments mais jamais sans contrepartie. Il suffit par exemple de perdre la vie plusieurs fois de suite pour que les ennemis vaincus ne réapparaissent plus à chaque retour au feu de camp. Ce qui permet de toujours poursuivre sa route, même lorsque l'on affiche un piètre niveau. Une mort vous conduit en revanche à perdre une partie de votre barre de vie. Si cela se produit plusieurs fois, jusqu'à 50% de celle-ci peut être entamée. Pour ceux qui aiment se faire du mal, From Software offre la possibilité de brûler un objet dans le feu afin de corser la difficulté. Par ce même système mais avec d'autres items, on peut également augmenter l'effet de sa fiole d'Estus ou faire en sorte que la durée séparant deux incursions humaines dans notre partie soit plus longue. Bref, le studio japonais tend vers une expérience plus modulable en fonction des goûts.

Une formule améliorée

Plus globalement, From Software cherche clairement à arrondir les angles avec Dark Souls II. Il faut dire que la série en avait bien besoin. Les développeurs parlent ainsi d'une navigation facilitée dans les menus mais aussi de la possibilité de réinitialiser en cours de partie son personnage afin d'essayer une autre voie. Pour ce qui a trait au multi, quelques modifications sont également prévues. Dorénavant, on pourra par exemple choisir de jouer avec des personnes de sa région ou du monde entier. Par ailleurs, le chat vocal sera enfin autorisé pour ceux qui le souhaitent, mais uniquement en coop. Des arènes dédiées aux combats en PvP seront également disponibles, histoire de canaliser les envies de meurtre de certains. Autre ajout allant dans ce sens, ceux qui envahissent les parties des autres joueurs pour y semer le chaos en paieront dorénavant le prix. Chacun aura en effet un niveau de péché (Sin level en anglais) propre qui augmentera en fonction de ses agissements. Les conséquences pour les joueurs les plus brutaux seront multiples. Plusieurs morts successives pourront vous coûter jusqu'à 90% de votre barre de vie, là où en temps normal, cela serait plutôt de l'ordre de 50% comme mentionné au-dessus. En parallèle, cela augmentera aussi vos chances de vous voir à votre tour envahi par un autre joueur. Il faudra donc y réfléchir à deux fois avant de jouer les méchants. Enfin, dernier élément à prendre en compte en multi, en tout cas si l'on souhaite s'amuser en coopération, équiper la bague « Engraved Ring » et choisir le même dieu qu'un ami permettra d'avoir plus de chances de se retrouver avec lui dans la même partie.

Prendre en main et mourir

Après avoir livré ces quelques informations, From Software nous a donc laissés jouer à Dark Souls II. Difficile toutefois de se faire un avis suite à une session de prise en main aussi courte, qui plus est lorsque le jeu vous veut du mal. Néanmoins, nous pouvons affirmer que le challenge sera bien au rendez-vous. Une brève balade et une jolie rencontre avec un chevalier peu accueillant ont suffi à nous en convaincre. La suite, vous la connaissez, retour au feu de camp, la queue entre les jambes. Un classique. Non, le seul vrai enseignement que l'on peut tirer de cette session de jeu concerne l'aspect technique. Ne vous attendez pas à un véritable bond en avant à ce niveau. Le jeu ressemble beaucoup à Dark Souls premier du nom, avec ce que cela implique comme rigidité dans les animations et soucis de collision. De toute façon, la légende veut que cela fasse partie du plaisir que procure la série. Alors, fermons les yeux et jetons-nous dans la gueule du loup.

Conclusion

A ce stade, on ne voit pas en quoi Dark Souls II souffrirait de la comparaison avec son aîné. From Software semble même avoir travaillé dans le bon sens en assouplissant légèrement la formule pour attirer les joueurs plus frileux tout en proposant un challenge encore plus relevé pour les plus masochistes. Il en va de même pour ce qui a trait à l'aspect multijoueur sur lequel le studio japonais a apparemment beaucoup travaillé. Bref, la promesse est belle.

Très bon (qui en doutait )

Bordel, vivement

Grande nouvelle pour les fans de Sons of Anarchy : un jeu vidéo va être adapté de la série, a annoncé Kurt Sutter, son créateur.

Kurt Sutter a annoncé sur Twitter qu'il « y aura carrément un jeu Sons of Anarchy et qu'il va être p*tain de génial » et que « non, il ne s'agit pas d'un jeu de société ». Quelle forme prendra ce jeu vidéo ? Le créateur de la série a mentionné un jeu de type action-aventure en vue à la première personne, avec des graphismes en haute définition. « Il représente l'évolution du gaming » a t-il promis tout en refusant de donner davantage de détails. Bizarrement, le créateur de Sons of Anarchy avait indiqué à l'automne dernier avoir abandonné l'idée de créer un jeu vidéo sur la série suite au « peu d'enthousiasme » de la Fox et Rockstar Games.

Il reste en outre de nombreuses questions en suspend. Le jeu Sons of Anarchy sera t-il porté sur console, PC ou mobile ? Sera t-il un GTA-like ? Pourra t-on incarner plusieurs personnages voire créer le sien ? Mais surtout, quand sortira t-il ? On l'apprendra sûrement sous peu de la bouche de Sutter. En attendant, on peut rêver d'incarner un biker totalement déjanté et prêt à tout pour se faire une place parmi les siens.

...quand je vois sa, je me dis MERDE QUAND MEME







Je précise que ce n'est pas troller, c'est juste que ce classement à quand même une sale tronche...pour le moment

Deux ans après Sniper Elite V2, le studio anglais Rebellion est de retour pour un nouveau chapitre dans sa saga phare. Un épisode placé - pour l’heure - sous le signe de l’amélioration générale plutôt que de la vraie nouveauté…



Si le studio Rebellion ne fait pas montre d’un talent extraordinaire concernant les licences populaires (Aliens vs Predator, Star Wars Battlefront : Renegade Squadron, Judge Dredd : Dredd VS Death, Rogue Trooper), il affiche en revanche un certain savoir-faire dans un domaine bien particulier : celui du jeu de sniper. Ainsi, la série des Sniper Elite, accompagnée de ses deux extensions Nazi Zombie Army, témoigne d’une assez belle réussite, vis-à-vis notamment des deux médiocres Sniper Ghost Warrior du studio polonais City Interactive Games. Les férus du genre attendaient donc avec impatience ce troisième volet dont plusieurs éléments ont été révélés récemment au cours d’une démo non jouable d’une trentaine de minutes…

Présentée en 1080p sur new-gen – le jeu sera en 720p sur X360 et PS3 - la démo montrait le troisième niveau de l’aventure et témoignait d’abord d’une esthétique plutôt séduisante. Agrémenté d’un jeu d’ombre et de lumière probant, le décor désertique parsemé d’imposants rochers chauffés par un soleil de plomb affichait des textures détaillées en ultra haute résolution. Il faut dire que le studio a utilisé un système de polygones subdivisés qui permet d’arrondir et lisser les formes, offrant ainsi décors et personnages criants de réalisme, tout du moins pour les versions PS4, Xbox One et PC…

Expérience non linéaire

Selon les dires des développeurs, les maps de Sniper Elite III sont trois fois plus grandes que dans le volet précédent. Et surtout, terminé les couloirs, puisque le décor offre désormais plusieurs chemins pour accomplir les missions et progresser librement. Lors de la démo, Fairburne avait effectivement la possibilité de passer par la gauche afin de ramper discrètement face au camp de l’ennemi. Ou bien il pouvait aussi se faufiler par la droite entre des rochers afin de prendre de la hauteur et repérer les soldats allemands. Grâce à son équipement contenant désormais une dizaine d’objets (mines, TNT, bandages, médikits, pierres à lancer pour faire diversion, briquet pour allumer un feu…), le héros s’avère particulièrement apte à surprendre l’ennemi de multiples façons. D’autant que, grâce à une roue de sélection qui apparaît en surimpression sur l’écran, les objets sont accessibles instantanément.

D’ailleurs, à l’aide d’un système de points
d’expérience récoltés en fonction des actions du joueur, quelques-uns d’entre eux comme les jumelles demeurent customisables. Ces dernières permettent par exemple de collecter des informations sur les soldats belligérants ciblés (distance, nature de leur arme…) mais aussi de les marquer à distance en pressant une touche afin que leur position s’affiche à l’écran. De plus, à condition de les booster au maximum, ces mêmes jumelles servent également à repérer les « masques sonores » (sons ambiants, tels que des tirs réguliers de canon, permettant de camoufler le bruit de détonation du fusil) mais aussi à détecter les points faibles des ennemis et des véhicules. Côté arsenal, Fairburne peut avoir accès au fil du jeu à divers pistolets (Welrod, Luger P08 et Webley Mk VI), mitraillettes (MP40, Thompson et Sten MkII) et bien entendu fusils (Gewehr 43, Lee Enfield, M1 Garand et Carcano Mod 91/41). Bonne nouvelle : les fusils contiennent désormais des parties customisables (canon, portée…) et une quinzaine de réticules différents demeurent accessibles.



IA retravaillée

Pour éviter les campeurs qui restent planqués des heures dans leur terrier et rendre ainsi la partie plus dynamique, le studio Rebellion a mis au point une nouvelle IA, basée sur une triangulation de l’espace. Concrètement, quand le joueur tire sans couverture sonore, les ennemis proches entendent la détonation, se mettent à l’abri et commencent à déterminer la direction d’où venait le son. Leur recherche s’effectue de manière triangulaire si bien qu’en croisant automatiquement leur perception, les adversaires parviennent à localiser petit à petit le joueur, dès lors qu’il continue à tirer de la même position. Ce dernier a donc tout intérêt à bouger pour ne pas être découvert. Un système aussi simple qu’efficace. A noter que dans les parties multi online, les joueurs devraient même pouvoir découvrir un effet de rémanence de leurs adversaires à leur dernière position connue, sous la forme d’une sorte de fantôme apparaissant temporairement.

Kill Cam boostée

En tous cas, plus que jamais, les développeurs semblent avoir voulu suivre les trois commandements du sniper : observer, planifier et exécuter. Le gameplay a donc été réglé sur le terrain en conséquence. Fairburne est ainsi capable de courir, s’accroupir et ramper mais aussi d’assassiner les ennemis discrètement par derrière, de déplacer les corps et de les fouiller. Bien entendu, il peut également tirer sur certains objets du décor afin de créer une diversion ou tuer des adversaires de manière détournée (comme un jerrican d’essence ou une caisse de munitions qui explose). Enfin, quand il met en joue une cible avec son fusil, il a la possibilité de retenir son souffle, ce qui occasionne un bref ralenti - tributaire d’une jauge se vidant petit à petit - qui lui permet d’ajuster son tir. Lorsqu’il est réussi, la caméra suit la balle qui transperce le corps de l’ennemi apparaissant alors comme à travers un scanner. Le joueur peut admirer le squelette et les tissus musculaires de l’endroit touché exploser sous l’impact. L’effet est vraiment spectaculaire car encore plus détaillé et réaliste que dans le jeu précédent. Il survient sur n’importe quelle partie du corps mais aussi sur les véhicules. Cela n’a pas été montré en détail mais il devrait donc être possible d’endommager la plupart des véhicules du jeu (tanks Tigre, Panzer III et Panzer IV, véhicule léger Volkswagen Kubelwagen, camion Opel Blitz, véhicule de reconnaissance blindé Sdkfz 222…) en tirant à travers plusieurs endroits ou couches successives de leur carrosserie. Il est à noter enfin qu’en cas de dégâts infligés par l’ennemi, Fairburne voit sa jauge de vie se remplir à nouveau avec le temps Toutefois, si un des cinq crans qui constituent cette dernière est entièrement vide, il est nécessaire de recourir à un médikit pour le remplir.

Multi enrichi

A la campagne solo bénéficiant de cinq niveaux de difficulté et avoisinant les 12 heures de durée de vie selon les développeurs, Sniper Elite III ajoute quelques petits challenges et récompenses censés pousser le joueur à explorer les décors. Ainsi, il est possible de découvrir et collecter des cartes à jouer ainsi que des journaux de guerre. De même, les décors contiennent un certain nombre d’emplacements stratégiques à découvrir. Par exemple, les Long Shots semblent être des endroits d’où il est possible d’accomplir des tirs à très longue distance. Tandis que les Sniper Nests s’avèrent être des emplacements idéaux qui permettent d’avoir une vision d’ensemble du champ de bataille. Bien entendu, l’expérience multijoueur n’est pas oubliée avec d’abord la présence de modes coopératifs. Non seulement la campagne solo est entièrement jouable à deux individus en coopération (chacun interprète un sniper) mais il y a aussi un certain nombre de modes spécifiques, tels que Survival dans lequel des vagues d’ennemis de plus en plus difficiles – comprenant des véhicules - doivent être éliminées successivement, ou encore Overwatch qui, sur des maps inédites, invite deux joueurs à incarner en coopération un sniper et un agent dotés chacun d’un objectif. L’agent possède du matériel spécifique qui lui permet par exemple de saboter de l’équipement ou des véhicules. La coopération devrait d’ailleurs jouer son plein puisqu’il est possible - pendant un temps limité - de ressusciter son partenaire en cas de décès. Last but not least : les modes multi en ligne dont certains sont déjà connus, à commencer par le Team Death Match accueillant de 8 à 12 joueurs dans la peau de snipers et disposant de maps très larges. Il y a également les modes Distance King et Team Distance King dans lesquels le score du joueur est basé sur sa distance de tir et non sur le nombre de morts qu’il cause. Enfin, il faut noter No Cross où les maps sont toutes divisées en deux et les équipes se font face sans pouvoir traverser la zone centrale. Bref, de quoi rassasier, en tous cas sur le papier, les amateurs de sniping !

Conclusion

BON

Partant du principe que l’on ne change pas une formule qui marche, les développeurs de Rebellion semblent servir ici un Sniper Elite V2.5 agrémenté de multiples améliorations plutôt qu’une aventure flambant neuve. En l’état, il est de toute manière difficile de juger car plusieurs zones d’ombre subsistent, notamment dans les phases de gameplay comme par exemple la manière précise d’appréhender les véhicules. Sans compter les surprises que le studio a assuré réserver aux fans et qui devraient être dévoilées dans les semaines qui viennent. Reste tout de même que, pour l’heure, Sniper Elite III paraît prometteur avec son esthétique plutôt réussie et son challenge aussi diabolique que relevé.

Avant de lire cette merde qui fait office d'article, veuillez garder en tête que je ne fais que retranscrire cette horreur, ce n'est évidemment pas mon point de vue, pour être honnête je trouve sa même à vomir mais venant d'une aussi grosse raclure qu'Elfassi, je trouve sa guère étonnant...

"Dieudonné n’a plus de théâtre, plus de licence, plus d’assurance, et maintenant plus de Facebook, merci qui ?

Depuis un mois le gourou raciste et sa secte de porcs sodomites s’en prennent plein le cul: Descentes de flics, gardes à vue, enquêtes préliminaires pour blanchiment et organisation d’insolvabilité, procédure d’expulsion du théâtre de la main d’or, le site internet de Dieudonné hacké, plus de licence d’exploitation du théâtre, résiliation de son assurance, interdiction de jouer son spectacle raciste, son dessinateur Joe le corbeau viré comme un chien de son emploi et mis en examen, et maintenant plus de Facebook. Il lui en arrive des malheurs à Dieudonné le gourou raciste.

Merci qui ?

Et mon petit doigt me dit que c’est loin … très loin d’être fini ses malheurs, rendez-vous demain pour un nouvel article et certainement de nouveaux ennuis.

Que le scandale soit avec vous !"


Dieudonné va apprendre qu’on ne jongle pas avec les millions comme on jongle avec les cacahuètes.
À force de faire le singe avec la loi, Dieudonné va finir en cage avec ses congénères. Dieudonné devrait changer de régime, la quenelle lui donne mal au cul, aux prochaines manifs envoyez lui des bananes il sera peut être moins irascible.


Ce petit gros dégueulasse au physique ingrat est Noel Gérard dit Joe le corbeau. Sous le couvert de l’anonymat utilisant les ordinateur de la mairie D’Aix en Provence il a distillé sa haine du juif. Depuis 15 jours il est mis en examen pour incitation à la haine raciale


D'autre photos du même genre sont dispo sur l'article original, les commentaires par contre, vaut mieux pas en parler, voyez par vous même

jamais vu un truc pareil je comprend pourquoi il est si bien payé maintenant