Gamekult 9/10
Si on cherchait vraiment à vous convaincre par tous les moyens, on aurait presque succombé à la malhonnêteté de vous présenter Solar Ash comme un Dead Cells en 3D. Moins pour son aspect rogue et son arsenal pléthorique que pour ses choix de couleurs, la fluidité presque aqueuse de ses déplacements ou, en étant vraiment de mauvaise foi, la petite flamme formée par la tête de Rei. Mais non, on se contentera de vous dire qu'en termes de plate-forme 3D, de cohérence artistique, de level design et de plaisir de jeu, ça faisait un bout de temps qu'un titre n'avait pas à ce point coché toutes les bonnes cases. Magique, éthéré et merveilleux, peut-être bien que Solar Ash est tout ce dont on a besoin en cette si froide fin d'année.
JeuxActu 17/20
Encore une réussite pour l'éditeur Annapurna Interactive, qui ne cesse de signer pépite sur pépite ! Après What Remains of Edith Finch, Gorogoa, Gone Home, Outer Wilds, Telling Lies ou encore The Artful Escape, c'est aujourd'hui Solar Ash qui vient nous mettre une petite claque bien agréable. Entre la fluidité du gameplay et la magnificence de la direction artistique, il y a vraiment de quoi se faire plaisir. Et si l'exploration est globalement très agréable, les gigantesques boss constituent quant à eux des points d'orgue de haute volée. Il n'y a donc pas grand-chose à jeter dans la nouvelle production de Heart Machine, qui fait encore mieux qu'il y a cinq ans avec Hyper Light Drifter. Vivement le prochain jeu du studio !
ActuGaming 16/20
À la manière de son premier jeu, Heart Machine offre, avec Solar Ash, une expérience originale, portée par une identité très marquée, et marquante, tant sur le plan visuel que sonore. Le gameplay, fluide et dynamique, offre tantôt des moments de grâce et de contemplation lors de l’exploration, tantôt des instants épiques non moins élégants au cours des affrontements contre les Vestiges. Un contraste empli de poésie que l’on perçoit aussi entre la légèreté des déplacements gravitationnels de Rei et l’urgence de la situation cataclysmique à laquelle fait face cet univers. Et si on regrettera sa durée de vie, peut-être un peu courte, des quêtes annexes manquant de relief, et sa maniabilité parfois balbutiante selon les situations, Solar Ash nous immerge pleinement dans ce voyage au sein de l’Ultravide.
JVC 16/20
Riche d’une aura singulière et de délicieuses traversées, Solar Ash abrite un univers qui doit s’apprivoiser avec patience pour être pleinement apprécié ; entre les balades si confortables s’érigent quelques grandes difficultés à surmonter. De fond en comble, les régions cosmiques et complexes bâties par Heart Machine donnent envie d’être pleinement fouillées. Dommage que chaque nouveau panorama découvert abrite des objectifs qui manquent souvent de nous dépayser.
PS : Je rajouterais des tests au fur et à mesure.