Bonjour à tous et à toutes ! Cela faisait plusieurs semaines que j'avais promis à certains membres du site de faire un article sur
Tales of Berseria, histoire de donner mon avis définitif, après l'avoir bien évidemment fini et ce même si j'avais déjà un peu détaillé la démo. Donc ce jour est finalement arrivé et après pas mal d'imprévus (car oui après tout, j'ai également une vie en dehors de Gamekyo), j'ai décidé de m'y mettre une bonne fois de toutes. Donc la question qui demeure est la suivante, est-ce que
Tales of Berseria est l'épisode du pardon et celui de la renaissance ou bien à l'instar de
Tales of Zestiria, il s'agit d'un épisode en dessous qualitativement parlant des précédents ? C'est ce que nous allons découvrir tout de suite.
Histoire :
On va donc commencer par parler un peu de l'histoire du jeu, mais rassurez-vous, je prendrai bien soin de détailler les événements importants du jeu, mais en mettant une balise Spoiler, notamment les liens entre
Tales of Berseria et
Tales of Zestiria, histoire de ne pas frustrer les futurs acquéreurs du RPG de
Bandai Namco et ceux n'ayant pas fait
Tales of Zestiria.
Donc comme ça avait été dit via les résumés du jeu, le joueur incarne
Velvet Crowe, une jeune fille tout ce qui est de plus normale, qui au passage vivait dans un paisible village se trouvant dans une magnifique forêt dotée d'une végétation luxuriante avec son jeune frère
Laphicet et son beau-frère
Arthur. Mais un jour lors d'un certain incident, sa vie à basculé et elle a été trahie par les siens et elle a perdue son jeune frère sous ses yeux (j'aimerais vous en dire plus, mais ce serait balancer du spoil énorme, mais sachez que la fin du prologue est horrible). C'est donc après ce fameux incident qu'elle se retrouvera enfermée pendant trois longues années dans la prison fortifiée de
l'Île Titania et après avoir reçu une aide inattendue, elle quittera cette île avec un seul et unique but, tuer un certain
Artorius Collbrande, qui se trouve actuellement dans la ville de
Lohgres (une ville bien connue des fans de
Tales of Zestiria, puisqu'elle sera renommée dans ce dernier
Pendrago).
Mais vu qu'on parle de scénario, on va être forcément obligé de parler des fameux liens scénaristiques entre
Tales of Berseria et
Tales of Zestiria (car oui il y en a). En effet, les deux jeux se déroulent dans le même monde, mais à plusieurs siècles d'intervalles (environ 1000 ans pour être précis), mais tous les lieux ont changé visuellement et la plupart sont méconnaissables et se reconnaissent uniquement via certains détails et diverses coutumes locales. Les noms sont d'ailleurs différents, tout comme le nom du monde en question qui se nomme
Wasteland dans ce
Tales of Berseria, alors que dans
Tales of Zestiria, il se nommera
Glenwood. Bref, vu que je suis obligé de parler des liens scénaristique entre les deux jeux, mais également de certaines petites références, je vais mettre tout ça dans une balise
Spoiler, histoire que cela ne gêne personne.
Spoiler :
Dans Tales of Zestiria, on savait donc que Zaveid connaissait Eizen (le frère d'Edna) et vu que ce dernier est présent dans Tales of Berseria, il paraissait évident que le Tenzoku/Seirei de l'élément du vent et armé de son pistolet Siegfried apparaîtrait d'une manière ou une autre, surtout qu'il connaissait beaucoup de choses et que son comportement était bizarre à certains moments. Résultat, il est bien présent et à le droit à un bon temps de présence dans le jeu (bien plus que certains antagonistes pour tout vous dire), malgré le fait gu'il ne soit pas jouable. Son style de combat est le même que dans Tales of Zestiria et son Hi-Ougi est également le même, contrairement à son look. Il a des cheveux plus courts et à cette fois une veste noire. Pour ce qui est de son comportement, il est toujours aussi fier et provocateur. Sa première rencontre avec Eizen se déroulera près de la ville de Lohgres en pleine nuit (décidément il aime bien cette ville) et il seront en train de se battre jusqu'à l'arrivée de Velvet et du reste du groupe qui arriveront pour les séparer, après les avoir combattu tous les deux. Zaveid semble avoir des informations sur la disparition de Van Aifread et c'est ce qui a irrité Eizen lors de leur rencontre.
Concernant son histoire, elle demeure assez simple et pour le coup identique à celle d'Edna, a savoir que Zaveid voyage seul dans le monde de Wasteland pour trouver un moyen de rendre forme humaine à Theodora, qui est sa fiancée et qui s'est mystérieusement changée en Dragon. Mais il ne trouvera malheureusement aucun moyen de lui rendre forme humaine (car un Dragon ne peut pas redevenir humain) et manquera de mourir à plusieurs reprises, car n'arrivant pas à se résoudre à la tuer.
C'est finalement Eizen qui tuera (non sans mal) le Dragon et à ce moment là, Zaveid lui promettra de lui rendre la monnaie de sa pièce en le tuant s'il se transforme à l'avenir également en Dragon, un choix que Eizen acceptera avec le sourire.
Zaveid apparaît également lors du combat de Velvet et de ses amis contre l'exorciste Melchior, il déjouera même une des illusions de l'exorciste qui avait fait apparaître une illusion d'Edna visant à déstabiliser Eizen en lui tirant dessus avec son pistolet Siegfried, puis partira à la poursuite du puissant exorciste dans toute la ville de Lohgres sans succès.
Concernant les autres personnages de Tales of Zestiria, il y en a malheureusement pas d'autres, ce qui est dommage, car les personnages de Dezel et Lailah auraient pu raconter des choses intéressantes, mais ce n'est finalement pas le cas.
Par contre, on a quelques petites références par-ci par-là, comme la présence du Normin Phoenix et la Tortuz Noire en tant que boss optionnels, le premier se trouve sur l'Île Prison Titania et se montrera arrogant envers Eizen, tandis que le second se trouve dans le Village des Minouz et exactement pile au même endroit que dans Tales of Zestiria, on notera également la présence du conteur du temps Mayvin, qui sont au nombre de deux et qui ne sont ni plus ni moins que la sorcière Magilou et Melchior. Ce sera d'ailleurs révélé assez tard dans le jeu. D'ailleurs toujours à propos de Melchior. Ce dernier à également un donjon dans Tales of Zestiria utilisant son nom. On assiste également à la fin du jeu à la naissance de Maotelus et on connait désormais l'identité du squelette de Dragon qui avait valu une réaction assez triste de Zaveid dans le donjon optionnel de Tales of Zestiria. On notera également la présence du futur Seigneur de la Terre de Pendrago dans le camp ennemi (très précisément du côté de Shigure Rangetsu) et le fait que Oscar, tout comme d'autres exorcistes utilisent le Mode Kamui. Bref, il y aurait encore beaucoup à dire sur les liens entre les deux jeux, mais autant s'arrêter là, car c'est déjà pas mal...
Aspect Technique :
Pour ce point, on risque de faire beaucoup plus court. On ne va pas se mentir,
Tales of Zestiria était incroyablement moche et surtout hyper catastrophique pour ce qui est de sa frame-rate, ses problèmes de caméra, son aliasing hyper prononcé et ses problèmes d'affichages ou le moindre élément du décor pop à tout va, même si on se trouve à un mètre du truc en question. La faute à son nouveau moteur graphique, mais également le fait d'avoir voulu faire un jeu entièrement seamless et en semi open-world. Sans parler de son level design foireux et de son clonage de maps. Fort heureusement,
Tales of Berseria redresse bien la barre et c'est tant mieux. En effet, malgré son statut de jeu cross-gen,
Tales of Berseria est plutôt joli. Bon, on n'échappe pas à certaines maps laides, mais beaucoup de maps sont superbes, comme par exemple le village du début dans une magnifique forêt, la première map enneigée que l'on visite, les villes portuaires, la ville de
Lohgres et même le village se trouvant dans les
Marais de Plitzertour. Ces habitations disposent également d'un bon level design et sont agréables à parcourir, le tout demeurant bien évidemment très fluide. C'est d'ailleurs exactement pareil pour les donjons, exit les donjons clonés de
Tales of Zestiria, cette fois (hormis 2-3 donjons annexes de type ruines), aucun donjon ne se ressemble et autant le dire clairement, ça fait plaisir. Même certains donjons de
Tales of Zestiria sont devenus méconnaissables et ont subi un boost graphique et un changement au niveau du level design. Comme quoi, malgré la réutilisation de leur moteur graphique, en abandonnant ces maps gigantesques et surtout très vides,
Bandai Namco à su redresser la barre, même si on sent les limites du cross-gen. Pour ma part, j'ai acheté les deux versions et la version
PlayStation 3 est cette fois-ci très propre et plutôt fluide. Et vu qu'on parle de fluidité, la version
PlayStation 4, qui est en 60fps est vraiment parfaite et il y a aucune chute de frame-rate. Enfin, les problèmes de caméra sont juste de l'histoire ancienne, ce qui était lourdingue dans
Tales of Zestiria.
Ambiance Sonore :
Plusieurs changements pour ce qui est de l'OST de
Tales of Berseria, enfin un gros changement devrais-je dire, puisque
GO Shiina n'a pas été rappelé pour composer l'OST du jeu avec
Motoi Sakuraba. En effet, ce dernier se retrouve seul aux commandes et le résultat est plutôt étonnant. Globalement, j'ai trouvé son travail effectué de meilleure qualité que dans
Tales of Zestiria, mais certains thèmes manquent vraiment de punch (au hasard le thème musical de
la Prison sur l'Île de Titania), que je trouve vraiment anecdotique, mais fort heureusement, certains thèmes sont de bien meilleure facture, comme celui des combats ou
Sakuraba fait du
Sakuraba ou celui de la première ville enneigée que je trouve vraiment mélancolique et assez froid (sans mauvais jeux de mots). Mais l'OST propose souvent du bon, voire du très bon, mais certains thèmes sont vraiment ignobles, heureusement qu'a la fin du jeu,
Sakuraba nous balance de bonnes pistes bien épiques comme il a l'habitude de faire. Sinon pour les fans de
GO Shiina, sachez que le thème de
"Zaveid the Exile" est de retour, légèrement remixé et qu'il est toujours aussi dynamique. Enfin, certains thèmes de
Sakuraba provenant de
Tales of Zestiria sont de retours et version remix et ça passe bien mieux que dans ce dernier (avis perso bien entendu), en tout cas, l'OST est de bonne qualité. Pour ma part, j'ai adoré le thème du
Trône d'Artorius, qui est différent de
Tales of Zestiria, celui du dernier donjon qui est assez épique, celui de la ville enneigée que dirige la très froide
Teresa Linares, dont le thème est assez mélancolique et qui dégage un étrange sentiment de solitude, sans oublier celui du village de
Velvet qui me rappelle un certain
Eternal Sonata.
Pour ce qui est des doublages, j'avoue être particulièrement aux anges, puisque mon Seiyu préféré
Toshiyuki Morikawa fait la voix du Shinigami
Eizen, tandis que ma Seiyuu préférée
Satomi Sato fait la voix de la Sorcière
Magilou et ce pour mon plus grand bonheur. Les autres personnages ne sont d'ailleurs pas en reste et j'ai été très agréablement surpris de ce côté là, notamment du côté des antagonistes ou la voix de
Shigure Rangetsu se trouve être celle de
Roronoa Zoro de
One Piece ou encore le charismatique
Artorius Collbrande à la voix de
Dohko de
Saint Seiya, bref c'est vraiment du lourd. Concernant les bruitages, vraiment rien à signaler de ce côté là, ils font le job tout simplement et c'est tout ce qu'on demande.
Gameplay :
Enfin, comment ne pas parler des combats. Comme promis par
Bandai Namco, les combats sont en 60fps, contrairement à
Tales of Zestiria. Ça change beaucoup de choses et c'est surtout très fluide, je n'ai même pas eu un seul ralentissement et je n'ai pas noté une seule chute de frame-rate en 60 heures de jeu, c'est dire, c'est vraiment du bon de ce côté là. Pareil pour l'exploration qui est extrêmement fluide et agréable. De plus et contrairement à ce qu'a dit le magazine
Famitsu, le système de combat est particulièrement innovant, le système d'âmes, qui fait office de jauge d'attaque est le coeur même du jeu. Concernant les Artes et comme dit auparavant, sont assignés aux touches Carré, Croix, Rond et Triangle. Fini l'utilisation des Artes avec Croix ou Rond, ça demande un léger temps d'adaptation, mais on s'y fait très vite. Pour la garde, celle-ci est désormais assignée au bouton L1 et le bouton R2 permet d'enclencher (moyennant des âmes) la fameuse jauge Berserk de Velvet qui décuple sa puissance, mais qui draine les HP, mais surtout qui offre la possibilité d'absorber les capacités des ennemis, un peu à la manière de la Magie Bleue de
Final Fantasy IX. Autre nouveauté du système de combat, c'est la possibilité de changer de personnage en plein combo en appuyant sur bas ou haut avec le D-Pad, c'est ultra pratique pour continuer le combo lorsque le personnage que vous dirigez n'a plus d'âmes en stock et surtout le système de
Break Soul peut réellement faire la différence lors de combats ardus. Enfin, contrairement à
Tales of Zestiria, la caméra est entièrement contrôlable en combat, fini les bugs de collision et autre conneries du genre et celle-ci répond d'ailleurs magnifiquement bien.
On continue toujours avec le gameplay en parlant d'une nouveauté faussement intéressante, c'est les fameux
"Wandering Ennemis" (Ennemis Errants). Quelquefois à la fin d'un combat, vous verrez apparaître le message
Wandering Ennemis à l'écran. Une fois fait, un ennemi bien plus puissant que les autres apparaîtra et sera accompagné d'ennemis invulnérables (oui vous avez bien lu). Les conditions pour les faire apparaître sont malheureusement aléatoires et il vous faudra battre le boss en question pour en finir. Là ou ça devient assez relou, c'est qu'ils apparaissent souvent, principalement lorsque je faisait du farm pour des Grade Points et à chaque fois qu'on les tuent, ils reviennent beaucoup plus firts qu'auparavant et au bout d'un moment, c'est juste plus possible. Par contre, sachez qu'il y en a cinq ou six et qu'ils donnent tous un trophée de bronze, sans oublier le fait qu'ils donnent des matériaux assez rares et qu'ils sont utiles pour complèter le bestiaire.
Contenu et Durée de Vie :
Enfin, il est temps d'aborder le contenu eu jeu et bien évidemment sa durée de vie. Sachez tout d'abord que
Tales of Berseria est légèrement plus long en ligne droite que
Tales of Zestiria, de nos jours ça ne veut plus rien dire, mais pour info, il m'a fallu environ 50 heures pour boucler
Tales of Zestiria avec la quasi-totalité des quêtes, sauf le donjon optionnel. Alors que pour
Tales of Berseria, je l'ai bouclé en 55 heures, sans avoir fait la totalité des quêtes annexes et sans avoir fait le donjon optionnel (que j'ai à peine visité au passage). Ça devrait probablement vous donner un indice quand à la durée de vie du jeu en ligne droite, même si ça peut varier d'un joueur à l'autre. Mais par contre niveau contenu annexe,
Tales of Berseria en propose pas mal et ça risque de vous prendre beaucoup de temps. Tout d'abord les recettes de cuisine à trouver via le navire
Van Eltia vous prendra du temps, surtout qu'en plus certaines sont cachées dans le donjon optionnel. Toujours à propos du
Van Eltia et comme pour les recettes de cuisine, il faudra envoyer votre navire en reconnaissance dans des îles inexplorées et bien évidemment inexplorables à pied pour trouver tout un tas de matériaux et trésors. Il y a également des espèces de Creusets de Malveillance au nombre de 10 et se trouvant dans des îles isolées du monde. Il y a également le retour des costumes in-game à débloquer via la progression dans certaines quêtes annexes, mais également via de nombreux mini-jeux.
Parlons-en de ces mini-jeux, il y en a énormément, comme par exemple celui ou il faut détruire un certain nombre de ballons, un autre ou il faut taper sur un mannequin en bois pour faire um max de dégâts, celui de la pêche, le fameux jeu de cartes avec des cartes de personnages provenant d'anciens
Tales of, un autre ou il faut ramasser des pièces avec l'Overboard dans un temps limité, etc. Il y a également la quêtes de
Démons de Code Rouge qui consiste à chasser des monstrer et aller récupérer une grosse somme d'argent en récompense. Il y a également les fameux
Neko Box (Catz Box) qui consiste à ramasser des âmes de Neko et à les utiliser pour ouvrir ces fameux coffres roses. Il y a aussi le cas de l'Overboard, celui-ci fonctionne à la manière de la quête de
Noïshe de
Tales of Symphonia et il faut trouver dans chaque map, ville, village ou donjon la marque de l'Overboard pour pouvoir l'utiliser. Enfin, les personnages Cameo sont de retour et cette fois-ci on a droit au duo
Jude Mathis et
Milla Maxwell de
Tales of Xillia (probablement parce que
Milla ressemble énormément à
Velvet). On les affrontent séparément au début, puis on les affrontent en duo. Les deux personnages ont leur propre set d'Artes, mais également chacun leur Hi-Ougi et même un Dual Hi-Ougi. Il y a d'autres choses à faire, mais toutes les détailler prendrait trop de temps. bref, je pense qu'on va s'arrêter là et je finirais en disant que
Tales of Berseria est un excellent épisode qui ramène la saga dans le haut du panier, a savoir telle qu'on l'avais quitté à l'époque de
Tales of Vesperia, ce qui est déjà bien.

Heureusement qu'il est là pour remplacer Rose
Hop c'est sur je le chope day one!
hyoga57 Merci l'ami
Maintenant, je n'ai pas perdu plusieurs heures de mon temps à faire cet article pour que certains viennent se foutre de ma gueule comme toi et Testament, merci.
De toutes façons c’était day one mais ça me conforte dans le fait de donner priorité a ce jeu plutôt qu'à d'autres en début d'année prochaine
Mais bon je chipote
Malgré des défauts évident j'ai pris un certains plaisir à faire Zestiria (que je dois d'ailleurs terminer). Du coup ce ressenti plus ton avis placent Berseria parmis mes priorités d'achats en ce début d'année qui approche.
sorow Merci bien très cher
Pour Zestiria je pense pareil, pas mal de défauts, mais un bon RPG tout de même et pour le coup, je place Berseria bien au-dessus, vu qu'il n'a pas de réel gros défaut.
Sinon que veux-tu dire par "moins de contrainte"?
Merci pour ce test ça confirme que l'on a là un très bon Tales Of.
Ce sera Day One sans hésitation
Je lirai l'année prochaine
Mais j'avoue que quand tu dois terminer le Bestiaire, comme Symphonia, c'est chaud quand même
Aujourd'hui j'hésite à me faire Zestiria me^me sur Ps4 à cause de toute les tares qu'il possède et plutôt m'orienter vers l'animé qui m'a tout l'air d'en jeter grave. Du coup je suis content que celui-ci techniquement fasse le job de ce côté -là.
Niveau histoire je me doutais bien au vu des déclaration faites autour du jeu que l'histoire ne serait pas en reste et serait moins douce que d'habitude pour nôtre plus grand plaisir, le système de combat à l'air plutôt cool à voir une fois en main comment je réagirais, mais dit comme tu le dis, sa m'a tout l'air de péter le feu
Merci pour ton article, vraiment plaisant à lire
miakis J'en ai vu pas mal des avis positifs, même des blasés de la saga ont kiffé Berseria, comme quoi.
hyunckel De rien, si tu as d'autres questions, n'hésite surtout pas.
ouroboros4 J'avoue, mais dans Berseria, il y a aucun monstre missable. Le seul trophée missable, c'est celui ou tu dois voir tous les Hi-Ougis, même ceux des ennemis. Et vu que certains boss comme Phoenix, la Tortuz Noire, Shigure et Artorius en ont deux, c'est facilement missable. Ce qui est d'ailleurs mon cas, vu que j'ignorais que certains boss en avaient deux.
arngrim slyder nemesistavern spilner Merci encore à vous les gars.
Le Hi-Ougi de Rose c'est rangetsuryuu kawasemi
Le nom de famille de rokurou c'est rangetsu et un de ses Hi-Ougi ressemble à celui de Rose
C'est day-one à présent
Moi qui est adoré zesteria , la presence de Zaveid dans celui la et du frêre me botte bien en plus si le scénario et casting est bon je vais aimé je sent
Blague à part, très bon aperçu du titre, je n'ai pas tout lu préférant me garder la surprise pour certains détails, j'ai perso hâte de me le procurer bien que fin janvier ne soit pas la meilleure des périodes pour moi... On verra si j'ai le temps d'y jouer avant Ni-Oh ^^'
Relou
Je suis rassuré que le LD ait bien été amélioré et qu'il y ait des donjons cools. Je ne sais plus si tu parles de puzzles dans ces lieux, mais est-ce qu'on en a, même si j'imagine qu'on aura pas le même "formalisme" que Symphonia?
Et je suis agréablement surpris que l'histoire soit ressentie comme l'une des meilleurs des derniers opus 3D, sachant que je m'attendais à un scénario faussement edgy un peu con con au premier abord.
Vivement fin Janvier.
Merci pour ton test, mais j'aurai quelques petites questions.
Alors vu que ça reprend l'univers de Zestiria, je suppose qu'on a le même système de domaine avec les lords?
Et le système de progression des personnages reste-t-il identique ( craft, des sphère lachés par monstre violet et certains boss qui augmente les HP), car j'ai remarqué que t'en a pas vraiment parlé dans ton test.
J'espère que celui me réconciliera avec les tales of car depuis grâces f que j'ai adorée, j'avoue que la licence continue de me décevoir de plus en plus. J'ai plutôt apprécier Zestiria mais avec le manque de contenu annexe ainsi que les villes vides, on a vraiment l'impression que le jeu a été bâcler : par exemple à gododdin, on peut rentrer dans aucune maison, il a juste une auberge et c'est tout, et c'est pareil pour beaucoup de villes...
fredoneyottaflops Yep, il y a pas mal de choses que j'ai oublié, malgré le fait que j'ai édité l'article. Alors non, le système de jeu est complètement nouveau, malgré que Berseria se déroule dans le même monde que Zestiria. Il y a plus de système de Seigneur de la Terre et la progression des stats se fait à l'ancienne, a savoir que les HP augmentent soit en gagnant des levels, soit en mettant les capacités de tes pièces d'équipement au level max (comme le Vesperia en gros). Et le craft est ridiculement facile, vu qu'il faut juste récupérer des matériaux pour améliorer tes armes et armures en boutique.
Ah merci pour ta réponse.
Dommage pour le système de seigneur de la terre(me rappelais plus du terme), par contre, c'est pas plus mal pour les stats et le craft, j'étais pas fan du système sur Zestiria, le craft était bien trop laborieux à mon goût et la montée de niveau ne te donnait pas vraiment l'impression d'évoluer si tu vois ce que je veux dire.
Ah et une autre question, pendant les combats, on a bien 4 vrais perso, et pas le système d'un seraphin associé à un humain?
C'est bien cool alors, merci.