Quatre jours après sa défaite à Santiago Bernabeu, le PSG a passé ses nerfs ce samedi après-midi sur Toulouse et n'a pas lâché son adversaire pour l'écraser 5-0, le premier gros carton de la saison.

Dès l'entame de match, le PSG a posé le pied sur le ballon face à des Toulousains assez timide. C’est Angel di Maria qui ouvre le festival avec un coup franc direct de 30 mètres que personne ne touche et qui file au fond des filets (1-0, 6e). C'est le but le plus rapide de la saison. Puis les Parisiens font le break dans la foulée avec l'aide de Tisserand qui offre un but de la tête à Zlatan Ibrahimovic (18e, 2-0). Malgré ce coup de tonnerre du PSG, les Parisiens se font une frayeur sur une erreur d'appréciation de Kevin Trapp qui reprend un ballon en retrait de Van der Wiel de la main... Les Toulousains obtiennent donc un coup franc direct dans la surface, mais heureusement le cuir est dégagé par le mur parisien. Angel di Maria s'illustre une nouvelle fois avec une frappe, suite à une passe en retrait, mais la frappe de l'Argentin puissante passe au-dessus (32e). Dominateur dans le jeu, Paris n'est pas mis en danger et rentre aux vestiaires avec cette avance de deux buts au compteur.





Au retour des vestiaires, c’est Edinson Cavani qui tente de retrouver de la confiance, mais l'Uruguayen voit sa frappe enroulée claquée par une main ferme du gardien toulousain (50e) puis il manque un contrôle sur une ouverture magnifique de Thiago Motta (58e). Vert de rage après ses deux occasions manquées, le Matador est remplacé par Lucas. À peine entré en jeu, le brésilien fait mal aux Toulousains et s'offre un but de la tête sur un service de Van der Wiel (3-0, 66e). Un troisième but qui donne un sérieux coup sur la tête des Violets qui baissent de pied et se font punir par une percée de Lucas qui offre le doublé à Zlatan Ibrahimovic (4-0, 75e), puis c'est Ezequiel Lavezzi qui donne le coup de grâce sur une passe décisive du Suédois (5-0, 78e).

Battu par le Real Madrid, le PSG s'est donc énervé face à Toulouse et signe sa 11e victoire de la saison dans cette Ligue 1. Une victoire qui donne ainsi 13 points d'avance à Paris sur Lyon et St Étienne avant le chaud bouillant derby demain soir au Stade Gerland.

Plombé par une grosse bourde de Kevin Trapp, le PSG s'est incliné mardi soir sur la pelouse du Real Madrid. Une défaite assez improbable après une nette domination et trois ballons sur les montants de Navas.

C’était l’une de ces soirées qui permettent de marquer les esprits, d’envoyer un signal fort à l’Europe du football et d’affirmer ses ambitions en Ligue des Champions. Mais en s’inclinant sur la pelouse d’un Real Madrid encore diminué et franchement surclassé, le PSG n’y est pas parvenu, faisant du même coup une croix quasi-définitive sur la première place du groupe. Ne vous y trompez pas : ce Paris-là a encore de beaux jours devant lui en C1, surtout s’il parvient à reproduire la qualité de jeu proposée en première période notamment. Mais pour aller loin une fois que le printemps pointera le bout de son nez, le PSG devra aussi rectifier le tir en termes d’efficacité.





Comment est-il possible que Paris ne marque pas dans un tel match ? La chance n’était certes pas au rendez-vous (Navas sauvé trois fois par ses montants) mais la maladresse de Cavani et à un degré moindre celle d’Ibrahimovic (qui n’a pas cadré ses tentatives) seront un souci à l’avenir. Alors bien sûr, on peut aussi parler de la sortie prématurée de Verratti. Il faut également évoquer la grosse bourde de Trapp qui offre un but inespéré au Real. Mais ce qui comptera surtout à partir des huitièmes, c’est cette capacité à faire mal ou pas à son adversaire. Ce soir à Bernabeu, le PSG n’a pas su le faire. Et c’est sur cet aspect-là que Paris a perdu le match. Plus encore que sur une erreur de son gardien.

Ce vendredi soir, le PSG affrontait Rennes pour le compte de la 12e journée de Ligue1, une rencontre décevante avec une équipe remaniée où Paris peut remercier Angel Di Maria, l'unique buteur de la rencontre.

Avant son deuxième rendez-vous face au Real Madrid, le PSG voulait une victoire et se mettre dans les meilleures dispositions pour préparer son déplacement à Santiago Bernabeu mardi soir en Ligue des Champions. Privé de plusieurs joueurs-cadres comme Pastore, David Luiz, Marquinhos ou encore Edinson Cavani, Laurent Blanc a présenté un onze de départ remanié en se passant notamment de Marco Verratti, Thiago Motta ou encore... de Zlatan Ibrahimovic.

Dès les premières minutes, les Parisiens montraient de l'envie et de l'intensité avec une première occasion d'Angel Di Maria, mais Benoît Costil de retour dans les buts Rennais était à la parade (1re). C'est ensuite Ezequiel Lavezzi qui s'illustre côté gauche en déclenchant une frappe sèche du gauche repoussée par le portier breton alors que le cuir prenait le chemin du cadre (17e). Après ces vingt premières minutes, les Parisiens relâchent progressivement la pression et donne confiance peu à peu aux hommes de Philippe Montanier qui se montrent dangereux à plusieurs reprises sur des contres. Il faut un grand Serge Aurier, repositionné en défense centrale, pour tuer les offensives rennaises et ne pas mettre le PSG en danger. C'est donc sur un rythme très décevant que les deux équipes se séparent sur le premier acte sur un score nul et vierge.





Au retour des vestiaires, certainement après des mots échangés pendant la pause, le PSG montre un autre visage et met la pression sur le camp breton avec Ezequiel Lavezzi qui déborde côté gauche et tente de servir Matuidi au point de penalty, mais celui-ci manque de peu l'interception (53e). Paris enchaîne les occasions, les corners, mais ne parvient toujours pas à faire craquer cette défense bretonne. Laurent Blanc décide alors de lancer Thiago Motta et Marco Verratti peu après l'heure de jeu. Un coup de coaching qui va payer. Marco Verratti adresse une longue transversale à Lucas, le brésilien accélère côté gauche puis centre en retrait pour Angel Di Maria qui fusille Benoît Costil d'une volée du gauche (0-1, 75e). Enfin ! Le PSG débloque cette rencontre grâce à son Argentin auteur de son troisième but de la saison. Malgré une tentative en fin de match de Pedro Henrique, Paris s'arrache pour protéger ses trois points et s'impose à Rennes.

Un succès historique puisque c'est la 700e victoire dans l'histoire du PSG en championnat. Paris s'envole donc encore en championnat en mettant son poursuivant à 10 points et marque les esprits avec 32 points enregistrés en 12 journée, du jamais vu en Ligue 1. Paris nous doit maintenant une revanche à Madrid en Ligue des Champions...

Ce soir, le Paris Saint-Germain s’est imposé 4-1 face a l’AS Saint-Etienne.

Pendant la première mi-temps, les hommes de Laurent Blanc ont largement dominé leur sujet. Une longue période de possession et de passes en début de match conclu par une magnifique action entre Ibra et Di Maria, mais le suédois va finalement buter sur Ruffier. Le PSG parviendra a ouvrir le score par l’intermédiaire de Kurzawa, qui bien servi par Verratti la place parfaitement au fond des filets. Une mi-temps largement maitrisée, mais beaucoup trop de déchet sur le plan offensif à l’image de ce face à face raté entre Cavani, Ibra et le portier Stephanois.





En seconde période les parisiens ont commencé de la meilleure des manières, même si Di Maria loupe son face à face, une minute plus tard Cavani vient inscrire le 2e but parfaitement servi par Zlatan Ibrahimovic. Un quart d’heure après l’Uruguayen lui rend sa passe décisive et le Suédois inscrit le 3e but de la rencontre. Un nouveau clean sheet en vue ou presque, puisqu’à 20 minutes de la fin et après un mauvais dégagement de Marquinhos, Marco Verratti marque contre son camp. Mais, cela ne perturbera pas les parisiens, en effet une dizaine de minutes après son entrée Lucas parfaitement servi trompe Ruffier d’une magnifique tête.

Un match parfait de la part du Paris Saint-Germain qui s’impose 4-1. Le PSG enchaine après son match face au Real Madrid et prend 7 points d’avance au classement sur son dauphin.

Malgré des nombreuses absences de taille au Real Madrid, le PSG n'a pas bousculé et fait douter ce géant d'Europe et s'en sort bien grâce à une défense de fer (0-0). La première place du groupe A se jouera donc dans deux semaines au Santiago Bernabeu.

Dans un rythme mou dans les premières minutes de la partie, le PSG parvient à se montrer dangereux seulement à la 14e minute de jeu avec une frappe de Blaise Matuidi. Après plus rien dans cette première mi-temps où les Parisiens se sont fait de grosses frayeurs, mais parvient à résister aux offensives madrilènes grâce à un Serge Aurier en mode guerrier et un Kevin Trapp réalisant parade sur parade. De retour de blessure, le portier allemand s'est imposé dans un face à face avec Jese qui a fait trembler le Parc des Princes, puis il s'est montré décisif coup sur coup en reposant deux têtes de Cristiano Ronaldo. Grâce à sa défense de fer, le PSG évite donc le pire et rentre aux vestiaires sur le score de 0-0.




Au retour des vestiaires, le PSG montre un autre visage plus tranchant. Edinson Cavani est même tout proche de trouver le cadre sur un bon centre de Maxwell. Par la suite, Paris tente à plusieurs reprises de trouver la faille sans grande réussite. Laurent Blanc change alors ses plans et fait entrer en jeu Pastore et Lucas. Parti à l'abordage, le PSG se fait alors très peur sur des contres attaques très rapides du Real Madrid avec Ronaldo qui croise trop sa frappe pour tromper un Kevin Trapp bien placé sur le tir. Paris pousse dans les dernières minutes de la partie, mais n'arrive pas à battre cette meilleure défense d'Europe et faire trembler son gardien.

Paris concède donc un match nul décevant (0-0) et va devoir montrer autre chose le 3 novembre prochain pour battre ce Real Madrid au Santiago Bernabeu afin de prendre la première place du groupe, objectif annoncé des dirigeants du PSG.

Après une première mi-temps compliquée face à Bastia ce samedi, le PSG a monté son niveau de jeu en seconde période et a fini par trouver la faille grâce à un doublé de Zlatan ibrahimovic (0-2).

Privé de plusieurs joueurs titulaires, Laurent Blanc a présenté une équipe remaniée avec un milieu de terrain Stambouli, Rabiot et Pastore. Passé complètement à côté de leur première période, les Parisiens se sont fait une grosse frayeur sur une mauvaise relance de la part de Salvatore Sirigu qui profite à Gaël Danic, mais le portier italien se rattrape dans la foulée avec un face à face gagnant (29e). C'est la seule chose à retenir de ces 45 premières minutes de jeu où le PSG n'a pas cadré une seule frappe.




De retour en seconde période, le PSG monte d'un cran et prend à la gorge les Bastiais notamment dans les duels. Paris est tout prêt d'ouvrir le score dès cette entame avec Edinson Cavani qui reprend un coup franc de Pastore, mais Zlatan Ibrahimovic, hors jeu, touche le cuir (48e). Un but logiquement refusé pour le PSG. Le Matador tente une nouvelle fois sa chance avec une reprise de volée sur un centre dévié de Serge Aurier avec le ballon file dans les bras de Jean-Louis Leca. Paris pousse et appuie sur l'accélérateur avec l'entrée de Thiago Motta à l'heure de jeu en même temps que... Brandao. Des premières retrouvailles 14 mois après le coup de tête du brésilien sur l'Italien.

Alors que le PSG ne semblait pas trouver la faille de cette équipe bastiaise, Zlatan Ibrahimovic finit par faire sauter le verrou. Lancé par Pastore, Cavani hors-jeu sur l'action sert le géant suédois dans la surface qui ne se prive pas pour marquer son 111e but avec le PSG (72e, 0-1). Abattu après ce coup de bambou sur la tête, les Corses tentent de réagir, mais Zlatan Ibrahimovic enfonce rapidement le clou en signant un doublé sur un centre gagnant de Serge Aurier, monstrueux dans cette rencontre une nouvelle fois (83e, 0-2). C'est alors le 112e but pour Ibrahimovic avec le PSG.

En montant simplement d'un cran et avec un peu de réussite, le PSG s'impose 0-2 face à Bastia et prépare de la meilleure des façons la réception du Real Madrid en Ligue des Champions mercredi. Avant les matchs de ce samedi soir, le PSG s'envole au classement et met son poursuivant... à huit points. Statistique incroyable, Paris a pris 26 points sur 30 possibles !

Au terme d’une rencontre particulièrement animée avec trois penalties, le Paris Saint-Germain a dominé (2-1) l’Olympique de Marseille au Parc des Princes lors de la 9e journée de Ligue 1.

Auteurs d’un bon début de match, les Phocéens posaient de sérieux problèmes aux Parisiens avec un bloc haut et un pressing important. Gêné, le PSG peinait à mettre en place son jeu et subissait sur les offensives olympiennes. Mais finalement, Ibrahimovic se procurait la première grosse occasion du match mais butait sur Mandanda. Réveillés par cette opportunité, les joueurs de Blanc montraient enfin un meilleur visage avec deux frappes dangereuses de Di Maria.

Et finalement, dans un temps faible de l’OM, Batshuayi ouvrait le score de la tête sur un bon centre de Barrada (1-0, 29e). Son 6e but de la saison en L1 ! Mordants, les Marseillais se montraient solidaires après cette ouverture du score. Ensuite, sur un ballon anodin de Batshuayi vers sa surface, Mandanda percutait Ibrahimovic et l’arbitre sifflait logiquement un penalty. Le Suédois ne tremblait pas et égalisait en prenant le gardien français à contre-pied (1-1, 40e).

Et quelques secondes plus tard, cette rencontre virait au cauchemar pour l’OM avec un second penalty concédé sur une main de Rolando dans sa surface ! Lucide, Ibrahimovic donnait l’avantage à Paris (2-1, 42e). Avec ce doublé, le Suédois devenait le meilleur buteur de l’histoire du PSG avec 110 buts devant Pauleta !





Au retour des vestiaires, le PSG avait la maîtrise du jeu mais sur un contre, Aurier concédait un penalty après une faute sur Barrada. Le joueur formé au PSG se chargeait lui-même du tir au but... et échouait sur Trapp ! Bel arrêt du gardien allemand ! Après une nouvelle parade de Trapp sur Batshuayi, les Parisiens reprenaient le contrôle des débats et étaient tout proche de faire le break avec une tête ratée d’Aurier et une frappe non cadrée de Matuidi.

En fin de match, le PSG poussait et il fallait un grand Mandanda pour stopper un tir à bout portant de Pastore ! Une parade exceptionnelle ! Malgré des dernières minutes tendues et une ultime occasion de Cabella détournée par Trapp, le PSG conservait cet avantage au score et remportait un 8e Clasico de suite !

Si le PSG s'est fait très peur en seconde période face à une équipe du Shakhtar qui n'a jamais abandonné, Paris s'est imposé 0-3 en faisant preuve de réalisme lors de la 2e journée de la Ligue des Champions.

Après un début de match poussif où les Ukrainiens s'annonçaient un adversaire coriace, le PSG s'est projeté vers l'avant et sur un superbe centre de Maxwell, Serge Aurier a mis un coup de casque victorieux (7e, 0-1). Son premier but en Ligue des Champions ! Dans la foulée, l'Ivoirien adresse un centre à son tour pour Zlatan Ibrahimovic, mais le suédois ne trouve pas le cadre.

Supérieur à son adversaire touché par cette ouverture du score, le PSG n'a pas tardé à faire le break avec un but de David Luiz... assez chanceux (23e, 0-2). Sur un corner, Serge Aurier met une nouvelle fois sa tête, mais le cuir est contré par le genou du brésilien et file au fond des filets. C'est ensuite Angel Di Maria qui profite d'un caviar de 50 mètres de David Luiz, mais l'Argentin manque son duel (28e). Reprenant du poil de la bête, le Shakthar va finalement sortir la tête de l'eau et se provoquer de nombreuses occasions sur des erreurs des Parisiens. Les Ukrainiens vont surtout s'offrir une balle de réduction du score avec Texeira, mais Trapp est présent et ensuite c'est Serge Aurier qui va sauver les buts du PSG (44e).





Au retour des vestiaires, les hommes de Mircea Lucescu montrent un autre visage, mais le PSG s'offre une belle balle de 3-0 avec une frappe de Marco Verratti des 18 mètres sauvée par Rakytskiy (54e). Angel Di Maria tente ensuite un lob sur un caviar de Verratti, mais ne trouve pas la même réussite qu'à Nantes (58e). Le rythme baisse au fil des minutes et le PSG va ensuite se mettre en grand danger dans le dernier quart d'heure. Il faut une superbe parade de Kevin Trapp pour repousser une frappe de près de Texeira (78e). C'est ensuite la transversale du portier allemand qui évite aux Parisiens une fin de rencontre compliquée sur une nouvelle frappe du brésilien (79e). Mais finalement malgré ses difficultés en fin de match, le PSG marque finalement son troisième but suite à un contre son camp du capitaine Ukrainie Srna après un drible de Zlatan Ibrahimovic qui avait laissé percevoir son 109e but avec le PSG justement non attribué (0-3, 90e).

Réaliste sur ses occasions, le PSG s'impose donc en Ukraine 0-3 et jouera donc la première place de son groupe sur la double confrontation à venir face au Real Madrid. Maintenant place au Clasico dimanche soir face à l'OM où Zlatan IBrahimovic aura à coeur de réussir ce qu'il a manqué ce soir, c'est-à-dire s'attribuer le record de Pauleta.

Paris bousculé, ce serait un euphémisme d’affirmer cela tant les Parisiens ont été catastrophiques en première période. Une absence d’envie, d’agressivité et de justesse technique sanctionnée par un but signé Bammou de la tête à l’issue d’une action pour laquelle Pastore et Zlatan sont loin d’être irréprochables (11e, 1-0).

Aucune occasion sérieuse à se mettre sous la dent en cette première période. Marquinhos, Kurzawa, Pastore, Lucas, Zlatan… Tous affichent un niveau de jeu affligeant et Paris peut s’estimer heureux de rentrer à la pause avec un seul but de retard sur une équipe de Nantes valeureuse.





En colère, on voit un Zlatan Ibrahimovic bousculer ses coéquipiers dans les vestiaires. Effet immédiat de cette gueulante, le PSG entame la deuxième période avec d’autres attentions. Paris reprend la maîtrise du jeu en étant beaucoup plus agressif et les Parisiens sont récompensés par un but de Zlatan Ibrahimovic. Bien servie par Pastore, Di Maria adresse une frappe repoussée par Riou dans les pieds de Zlatan qui n’a plus qu’à pousser le ballon (48e, 1-1).

Paris maîtrise, enchaîne et double la mise par l’intermédiaire de Cavani qui reprend d’une magnifique tête au premier poteau un coup franc de Di Maria (72e, 1-2). Paris prend l’avantage ! Possession, domination, tout y est en cette fin de match et Pastore se permet d’adresser une magnifique ouverture à Di maria qui lobe magnifiquement Riou (80e). 3-1 ! Paris déroule et inscrit un 4e but, une retournée magnifique de Serge Aurier sur un corner d’El Flaco (90e). 4-1 ! Score final.

Passé complètement à côté de ses 45 premières minutes, le PSG s'est remis à l'endroit après la pause et a retrouvé son niveau pour renverser et croquer des Nantais assommés par la réaction parisienne. Le PSG conforte ainsi son fauteuil de leader et ne pas oublier son réveil face au Shakhtar Donetsk mercredi soir en Ligue des Champions.