Le Paris Saint-Germain s'est largement imposé face à l'Olympique Lyonnais (3-0), ce mercredi soir, à l'occasion des 8es de finale de la Coupe de France. Il s'agit de la 17e victoire consécutive toutes compétitions confondues pour le club de la capitale !

Les Gones débutaient bien la rencontre et pressaient une équipe parisienne très timide qui jouait sur un petit rythme. Un bon premier quart d'heure des Lyonnais qui ne parvenaient pas à profiter de leur moment fort alors que les hommes de Laurent Blanc accéléraient peu à peu la cadence. Lopes puis Morel permettaient à l'OL de repousser les quelques velléités offensives franciliennes tandis que Lucas se montrait beaucoup trop brouillon dans le dernier geste.

C'était pourtant le Brésilien qui posait le plus de problèmes à la défense lyonnaise puisque ce dernier servait parfaitement Cavani, trop imprécis. Une chaude alerte pour les Gones, de plus en plus fébriles au fil des minutes et dépassés par la vivacité de la pile électrique auriverde. Juste avant la pause, Kalulu se créait la seule occasion rhodanienne du premier acte mais Sirigu veillait au grain…





La seconde période débutait comme la première : une légère domination stérile des Lyonnais et des Parisiens trop attentistes. Si Ibrahimovic était proche d'ouvrir la marque sur une belle frappe enroulée, le Suédois ne se ratait pas sur un service parfait de Lucas, conclu par une reprise de la poitrine (1-0, 62e). Une réalisation cruelle pour des Gones sonnés qui craquaient dans la foulée sur un nouveau but de renard du Scandinave, bien servi par Aurier (2-0, 66e).

Lyon coulait définitivement sur un joli but de Rabiot entaché d'une grosse position de hors-jeu du milieu parisien (3-0, 74e). Un détail dans une seconde période parfaitement contrôlée par le PSG, qui aurait même pu enfoncer un peu plus le clou mais Lucas trouvait finalement le poteau. Un succès logique qui permet au triple champion de France en titre de rester en lice dans toutes les compétitions, encore !

Tirage des quarts de final de la coupe de france :


Match 1 : Sochaux - Nantes

Match 2 : St Etienne-PSG

Match 3 : Granville - Trélissac (CFA) ou OM (L1)

Match 4 : Lorient - Gazélec

Comme au match aller, Paris a souffert face à des Marseillais coriaces et s'est imposé pour la neuvième fois consécutive face à son pire ennemi (1-2) grâce à Zlatan Ibrahimovic et Angel Di Maria.

Dès le début de la rencontre, Paris a mis le pied sur le ballon et refroidit dans la foulée le Stade Vélodrome avec une ouverture du score de Zlatan IBrahimovic (0-1, 3e). Le Suédois marque ainsi son empreinte en marquant le but le plus rapide d'un classico. Quelques minutes plus tard, sur une ouverture de Blaise Matuidi, Angel Di Maria manque le but du break en voyant son ballon passé tout prêt des buts de Steve Mandanda. Après un quart d'heure sous l'eau, Marseille réagit une première fois avec une frappe de Barrada qui manque le cadre. Une occasion qui va sortir du sommeil les Marseillais avec un Rémy Cabella percutant qui efface Thiago Motta et déclenche une frappe, déviée par David Luiz et qui file au fond des filets alors que Kevin Trapp l'a touché de la main (1-1, 26e). Le Vélodrome explose alors pour cette égalisation ! La réaction du PSG est immédiate avec Lucas qui a l'opportunité de redonner l'avantage à Paris, mais se manque complètement. De son côté Marseille a également une énorme occasion de menée avant la mi-temps sur corner où Maxwell présent sur la ligne sauve une reprise de Batshuayi.





Au retour des vestiaires, les Parisiens ont mis beaucoup de temps à se remettre dans le match et se faisait confisquer le ballon par les Marseillais poussés par leur public. Il faut alors un grand Thiago Silva pour repousser les offensives phocéennes. Après cet orage d'une dizaine de minutes, le PSG reprend le contrôle du match et Zlatan Ibrahimovic manque de peu d'inscrire un doublé dans cette rencontre sur un beau service de Blaise Matuidi distribuant de très beaux caviars dans ce match bouillant. Mais si le Suédois n'enfonce pas le clou, il se transforme quelques minutes plus tard en passeur décisif pour Angel Di Maria qui élimine Dja Djédjé dans la surface pour crucifier Mandanda (1-2, 71e). Avec l'apport de Cavani en fin de match, Paris défend cet avantage jusqu'à la fin et s'impose pour la 9e fois consécutive face à Marseille, un record pour le club de la capitale.

Si Paris a souffert, Paris ne rompt pas et poursuit son incroyable série de 34 matchs en Ligue 1 sans défaite. Place maintenant à une série de matchs sur notre pelouse du Parc des Princes avec la réception mercredi de Lyon pour les huitièmes de finale de la Coupe de France.

Il ne fallait pas être en retard, car dès les premières minutes de la partie le PSG a ouvert le score grâce à Edinson Cavani (1-0, 6e) après une belle ouverture en profondeur de Zlatan Ibrahimovic. Le premier but en 2016 pour le Matador ! Ibrahimovic sur coup franc, Marquinhos sur corner et Serge Aurier sur un tir du pied droit sont ensuite très proches d'enfoncer le clou, mais Lecomte est présent et permet à son équipe de resté en vie dans ce match. Alors que les Bretons semblaient être pris à la gorge, Lorient opère sur un contre rudement mené et conclu d'un superbe tir de Guerreiro qui crucifie Kevin Trapp (1-1, 20e).

Décomplexé par cette égalisation, les Merlus sont ensuite tout près de jetter un froid dans le Parc des Princes avec Waris qui voit sa frappe ne passant pas très loin des cages du portier allemand (24e). Après cet orage, le PSG reprend la partie en main et Jean-Kévin Augustin manque de redonner l'avantage à Paris avec un duel manqué face à Lecomte. Dans la foulée, c'est un coup franc de Thiago Motta qui pousse le gardien Merlus à la parade (32e). Paris poussait ainsi dans cette fin de mi-temps, mais la réussite n'est pas au rendez-vous.





Au retour des vestiaires, Paris démarre à nouveau en trombe avec Cavani qui est tout près de s'offrir un doublé sur un audacieux du droit qui fracasse le poteau gauche de Lecomte. Un superbe geste ! Dans la minute qui suit, Ibrahimovic, lui, ne rate pas la cible sur un centre de Layvin Kurzawa (2-1, 35e). Les Parisiens se font ensuite une frayeur sur tir de Cabot (67e), mais le but du Troyen est heureusement refusé pour un hors-jeu.

En feu ce soir, Kurzawa fait exploser à nouveau les supporters Parisiens sur une reprise de volée après un bon service de Blaise Matuidi (3-1, 69e). Entré en jeu à la place de Augustin, le magicien Angel Di Maria ne tarde pas à faire le spectacle en tentant un lob qui flirte avec le poteau lorientais. Kevin Trapp s'illustre dans la fin de match avec un grand Marquinhos qui s'arrache pour garder cette avance de deux buts.

Paris s'impose donc 3-1 et signe son 33e match d'invincibilité en Ligue 1. Aussi incroyable, Paris a remporté 19 de ses 20 derniers matchs, toutes compétitions confondues. Les Parisiens sont donc prêts pour le Classico dimanche face à l'OM

Au terme d'un superbe match, où les deux équipes ont joué, le PSG s'est imposé 0-2 à St Étienne grâce à un doublé de Zlatan Ibrahimovic et un grand Kevin Trapp dans les buts...

Alors que l'on annonçait une attaque-défense, les Stéphanois ont choisi la carte de l'agressivité dans les premières minutes de la rencontre et ont bousculé les Parisiens. Le gardien du PSG Kevin Trapp s'est alors illustré avec deux parades face à un centre tir de Malcuit et un tir de Tabanou dans la foulée. Un début de match qui met rapidement en confiance les Verts présent dans les duels et ne permettant pas au PSG de mettre en place son jeu habituel. Malgré cette difficulté, Lucas aurait pu ouvrir le score dans cette première période, sur une talonnade d'Ibrahimovic, mais le tir du brésilien qui prenait le cadre est sauvé sur la ligne par Bayal Sall.





En seconde mi-temps, les efforts des Stéphanois pour rivaliser avec le PSG se sont fait ressentir et Paris parvenait ainsi à approcher facilement les cages de Stéphane Ruffier. Laurent Blanc a donc profité de ce temps fort pour relancer à la compétition Marco Verratti. Un changement qui donne un nouveau punch à Paris permettant même de débloquer la situation. Sur un ballon bien distribué par l'international italien, Lucas lance Serge Aurier sur le côté droit. Le latéral droit centre alors pour Zlatan Ibrahimovic au point de penalty qui étend son pied droit pour envoyer le ballon au fond des filets (62e, 0-1). C'est alors le 13e but inscrit par le Suédois face aux verts.

Libérés, les Parisiens développent plus facilement leur jeu et font courir les Stéphanois. Toutefois, les verts trouvent des ressources en fin de partie pour tenter d'arracher l'égalisation sur une frappe de Clément, mais Kevin Trapp est à la parade avec un bel arrêt. Quelques minutes plus tard, Zlatan IBrahimovic enfonce le clou après une action collective Di Maria-Cavani pour le break du match et la victoire (90e + 1, 0-2)

Avec un Kevin Trapp décisif qui fait clairement gagner des points à son équipe ce soir et un Zlatan Ibrahimovic réaliste, le PSG reste donc invaincu et enchaîne son 32e match cette saison sans défaite en championnat égalant le record du FC Nantes en 1995. Prochain match mercredi face à Lorient au Parc des Princes avant le déplacement tant attendu à Marseille au Vélodrome.

Pour la troisième fois en dix jours, Parisiens et Toulousains se retrouvent sur un terrain de football. Si le PSG part forcément grandissime favori de cette demi-finale, le TFC peut espérer réaliser une belle performance, comme c'était le cas en Coupe de France et en championnat. Dès le coup d'envoi, les Parisiens se ruent à l'attaque et acculent Mauro Goicoechea. Avec ses cinq défenseurs, le TFC fait le dos rond et laisse passer l'orage. Un orage qui manque de peu de leur coûter une ouverture du score prématurée. Mais, après un bon rush, Augustin est contré dans la surface (10e). En contre, Ben Yedder est souvent bien seul et doit en plus essayer de passer un bon Kimpembe. Passé un premier quart d'heure un peu fou, les Parisiens manquent d'inspiration dans les trente derniers mètres. Et au jeu des frappes de loin, c'est Benjamin Stambouli qui gagne avec un ballon à ras de terre qui passe à quelques centimètres des buts toulousains (21e).

Pour son match annuel, Nicolas Douchez n'a pas grand-chose à faire. Logique, les Toulousains attendent les Parisiens qui n'arrivent pas à se montrer dangereux. Un centre de Lavezzi contré par-ci (28e), quelques bonnes passes par-là, mais pas vraiment d'occasions franches. Et même carrément de grandes phases de somnolence. À la demi-heure de jeu pourtant, Lavezzi et Di Maria combinent bien et s'infiltrent dans la surface adverse. Mais la frappe de Lavezzi est trop croisée. Et celle de Cavani, quelques instants plus tard, est trop écrasée. Quant à celle d'Augustin, difficile de ne la décrire qu'avec un seul adjectif. Côté arbitrage, pas d'erreurs pour M. Delerue. Même la simulation grotesque de Lavezzi ne l'a pas dupé (39e). Après une frappe lointaine de Regattin, la première cadrée du TFC, tout le monde rentre aux vestiaires.





Au retour des vestiaires, Zlatan reprend sa place sur le banc et laisse aux Toulousains quelques minutes supplémentaires de répit. Sur la pelouse, on prend les mêmes et on recommence comme en fin de première mi-temps. Les Parisiens sont toujours dominateurs, mais n'arrivent pas vraiment à inquiéter des Toulousains toujours en place. Dix minutes après la reprise, M. Delerue quitte la pelouse. Blessé au mollet, il est remplacé par son adjoint, le sosie officiel de Noel Gallagher. Inexplicablement, le Parc se met à siffler. Sans doute des incultes fans de Blur. À l'heure de jeu, Dominique Arribagé fait entrer en jeu Braithwaite et Pešić. Le TFC passe alors en mode ultra offensif. Un choix plutôt osé, mais qu'on ne peut que saluer. Un choix qui ne paye malheureusement pas pour les Toulousains, qui encaissent un but cinq minutes plus tard... À la retombée d'une belle passe, Lavezzi ouvre le score. C'est mérité pour le PSG, qui domine et gagne même sans être convaincant.

Après un énorme tacle d'Aurier, qui ramasse son carton jaune au passage (69e), Ángel Di María, plutôt timide aujourd'hui, double la mise d'une belle frappe (72e) légèrement déviée. La messe est dite, les Parisiens peuvent passer en mode gestion. Les joueurs du TFC, eux, peuvent regretter de n'avoir jamais vraiment voulu jouer au football. Tout comme Edinson Cavani, très mauvais ce soir. La preuve, l'attaquant uruguayen n'a touché en 80 minutes que... 15 ballons. Difficile de prédire l'avenir de Cavani à Paris. Le Z, lui, profite de son quart d'heure de jeu pour s'amuser. Après un rush de cinquante mètres, il décide de frapper au but, en oubliant peut-être ses coéquipiers au second poteau (81e). À deux minutes de la fin du match, le jeune Kimpembe fauche Braithwaite dans la surface et offre un penalty de consolation au TFC. Mais Nicolas Douchez sort la frappe de Braithwaite. Le résultat est assuré. Les Parisiens seront bien en finale de la Coupe de la Ligue face à Lille pour aller chercher un nouveau titre.

Le PSG affrontait ce samedi à 17h le surprenant 4e de L1, le SCO d'Angers, au Parc des Princes dans le cadre de la 22e journée de championnat...

Le solide promu démarrait le match, comme à son habitude avec un bloc bas, ce qui conduisait à une grande possession stérile des Parisiens qui peinaient à trouver la faille dans le jeu. Cela malgré une première alerte sur une frappe de Van der Wiel bien stoppée par Letellier, nouveau titulaire dans les buts angevins suite au départ cet hiver de Butelle pour le FC Bruges. Le salut est venu d'un pressing haut qui a permis aux joueurs de Laurent Blanc de se retrouver face au but en 3 passes sur une récupération de Matuidi, ce dernier trouvant un décalage pour Zlatan Ibrahimovic a l'entrée de la surface qui d'une puissante frappe déviée ouvrait le score (1-0, 33e). Sur sa lancée, le leader de L1 continue à faire tourner le ballon quand Di Maria, très actif sur son côté droit, permet d'une talonnade à Van der Wiel de se projeter dans la surface puis, avec un brin de chance, d'obtenir un contre favorable, après un ballon poussé un peu loin, et enfin de servir Lucas dans la surface qui creuse l'écart d'un puissant plat du pied (2-0, 40e). C'est sur ce score de 2 à 0 que se séparent les 2 équipes pour donner suite à une deuxième mi-temps de haute volée.



A la 54e minute, le récital débute : Motta récupère le ballon sur une tête à 35 mètres des buts. Le ballon arrive à Ibra qui effectue un une deux avec Angel Di Maria. Le géant suédois jongle avec le cuir puis transmet à l'Argentin qui d'une touche lance Matuidi dans la profondeur, ce dernier, sans contrôle et en bout de course, centre au deuxième poteau pour Van der Wiel qui conclut une action de grande classe pendant laquelle le ballon ne touche pas le sol (3-0, 54e). Les Angevins montent d'un cran et cela paie puisqu'ils reviennent au score sur un dégagement de Serge Aurier, intérimaire dans l'axe de la défense, qui retombe dans les pieds de Capel qui frappe instantanément puis trompe un Kevin Trapp qui n'avait pas grand-chose à faire jusque là (3-1, 59). Mais ce but n'arrête pas les Parisiens puisqu'à la 63e minute, Lucas lancé dans la profondeur s'arrache et trouve Di Maria en retrait qui profite d'une position avancée du gardien et aggrave le score d'une superbe reprise enroulée du gauche (4-1). Quelques minutes plus tard, l'ancien joueur du Real Madrid s'offre un doublé sur une superbe passe de Blaise Matuidi, sa troisième de la soirée, en trompant le gardien du SCO d'une magnifique balle piquée (5-1, 66e). Ce joli but, encore une fois, parachève le score lourd du match.

Les Parisiens conservent la possession jusqu'au terme du match et gèrent tranquillement par l'intermédiaire d'une circulation de balle par moment interminable. Ils encaissent les trois points au cours d'une rencontre dans laquelle ils ont retrouvé leur fluidité et leur efficacité. Un très beau match du PSG ce soir qui s'est, à coup sûr, réconcilié avec son public.

Trois jours après sa victoire à l'arrachée au Stadium, le PSG retrouvait Toulouse en 16e de finale de la Coupe de France et s'est qualifié de justesse (2-1).

Les Toulousains vont certainement se mordre les doigts. Assez rare, Toulouse a malmené le PSG durant la première période en panne de finition et a sanctionné les Parisiens avec un but de Moubandje (0-1, 11e). Une douche froide pour le Parc des Princes, mais totalement méritée à l'issue d'une première partie de jeu peu en occasion pour inquiéter sérieusement le gardien des Violets du soir Goicoechea.




Mais ce PSG à la haine de la victoire et mets en marche une réaction au retour des vestiaires. Toulouse va toutefois s'offrir la balle de break en début de seconde période avec Moubandje qui oblige Sirigu à la parade sur une superbe frappe. C'est incontestablement le tournant du match ! Puisque dans la foulée, David Luiz sonne la révolte en égalisant sur un corner de Ezequiel Lavezzi (1-1, 54e).

La rage du brésilien sur son but démontre que le PSG ne veut pas lâcher son Trophée. Paris prend alors d'assaut le but toulousain pour s'éviter les prolongations. Alors que l'on se dirige vers les dernières secondes de la partie, Layvin Kurzawa est touché dans la surface par Spajic et offre alors un penalty au PSG. Entrée quelques minutes plus tôt, Zlatan Ibrahimovic le transforme et offre la qualification à Paris en 8e de finale de la Coupe de France (2-1, 89e).

Paris continue donc de corser son calendrier et connaîtra son futur adversaire jeudi lors d'un tirage au sort.

Rien n'arrête cette équipe du PSG ! Alors que le PSG ne trouvait pas la solution et qu'il a perdu deux joueurs sur blessure, les Parisiens ont été chercher leur victoire avec la rage de vaincre sur une tête de Zlatan Ibrahimovic (0-1).

Pourtant au début de la rencontre, aucun signe ne montrait que le PSG souffrirait face aux Toulousains. Dès l'entame de la rencontre, les Parisiens se créer même une grosse occasion avec Zlatan Ibrahimovic qui voit sa reprise de volée sauvée sur la ligne par Diop (10e). Mais après le premier quart d'heure de la partie, Paris perd Javier Pastore sur blessure, semble-t-il, touché à un mollet (15e). Un sacré coup dur puisque ce remplacement va perturber les hommes de Laurent Blanc avec l'entrée en jeu d'Edinson Cavani et le passage dans un nouveau système en 4-4-2. Les Parisiens perdent donc leur repère de début de match et se font surprendre par des Toulousains qui opèrent en contre. Kevin Trapp fait un premier arrêt sur la tête de Ben Yedder et voit ensuite une grosse occasion de ce même attaquant fracasser la transversale. Paris souffre en cette fin de période et Toulouse semble avoir manqué sa chance...





Au retour des vestiaires, Laurent Blanc fait le choix de repasser en 4-3-3 et remettre ainsi Edinson Cavani sur un côté. Malgré une domination dans le jeu, Paris se heurte à nouveau sur le repli défensif de Toulouse et ne parvient pas à approcher les cages du jeune Lafont. Puis nouveau coup de massue ! Marquinhos sort sur blessure également (60e). Le brésilien est touché aux adducteurs et cède sa place à Van der Wiel. Presnel Kimpembe n'étant pas sur la feuille de match oblige ainsi Serge Aurier à prendre place en défense centrale. Malgré cette poisse, Paris s'offre une grosse occasion avec Lucas qui manque le cadre (64e). Serge Aurier s'illustre ensuite dans un tacle guerrier dans la surface anéantissant une énorme occasion toulousaine. Étant peu brillant et trop brouillon dans le jeu, on pensait alors que Paris laisserait filer des points face au 20e de Ligue 1, mais finalement la solution est venue. Sur un corner de Lucas, David Luiz dévie le ballon pour Zlatan Ibrahimovic qui crucifie à bout portant le gardien de Toulouse et ouvre le score (0-1, 73e). Un coup derrière la tête pour les hommes de Dominique Arribagé qui n'ont plus les jambes pour riposter et s'inclinent donc face au mental d'acier du PSG qui sans génie est capable de gagner.

Paris remporte donc la première manche des trois confrontations face à Toulouse et devra montrer autre chose pour sortir cette équipe nourrie de regrets et qui aura à coeur de se battre mardi au Parc des Princes pour une qualification en 8e de finale de la Coupe de France.

Au terme d'un match plaisant, le Paris Saint-Germain a dominé (2-1) l'Olympique Lyonnais lors des quarts de finale de la Coupe de la Ligue.

Si les Lyonnais avaient la possession du ballon en début de rencontre, Lavezzi se procurait la première occasion mais ratait complètement sa frappe lors d'un duel avec Gorgelin. Malgré des Gones séduisants pendant le premier quart d'heure, Rabiot profitait d'une mauvaise relance et d'un énorme cafouillage dans la surface pour ouvrir le score (1-0, 16e). Ce but n'aurait jamais dû être accordé car le ballon était sorti des limites du terrain, un scénario cruel pour l'OL !

Les joueurs de Génésio réagissaient et Beauvue, seul dans la surface, butait sur un Sirigu bien sorti. De mieux en mieux, les Parisiens étaient les plus dangereux mais D. Luiz puis Stambouli rataient deux belles opportunités. Juste avant la pause sur un mauvais renvoi de Rabiot, Tolisso décochait une magnifique frappe qui terminait dans la lucarne de Sirigu (1-1, 42e). Une égalisation méritée !




Au retour des vestiaires, les Parisiens prenaient le contrôle de la rencontre et poussaient de plus en plus. Après un premier duel gagné face à Kurzawa, Gorgelin sauvait à nouveau les siens en s'imposant devant Cavani ! Puis sur un contre parfaitement mené par Di Maria, les Lyonnais craquaient sur une frappe croisée de Lucas (2-1, 73e). Quel travail de l'Argentin.

En souffrance, l'OL ne parvenait pas à réagir et Lucas était même à deux doigts de tuer le match ! Malgré une belle révolte lyonnaise en fin de rencontre, le PSG l'emportait et se qualifiait pour les demi-finales.

Tirage des demi finales :
PSG - Toulouse
Lille - Bordeaux


Paris et Toulouse ne se quittent plus. Alors qu'ils doivent s'affronter en Championnat, samedi au Stadium, dans le cadre de la 21e journée de Ligue 1, puis trois jours plus tard en 16es de finale de la Coupe de France au Parc des Princes, le Paris Saint-Germain et le Toulouse FC se retrouveront de nouveau pour les demi-finales de la Coupe de la Ligue quelques jours plus tard dans le stade parisien.

Pour rappel, Toulouse a sorti Marseille (2-1) ce mercredi en quarts de finale.
L'autre demi-finale opposera Lille, tombeur de Guingamp aux tirs au but (0-0, 4-2 t.a.b.), aux Girondins de Bordeaux qui ont éliminé Lorient (2-0). Les rencontres auront lieu les 26 et 27 janvier.