C'est avec l'intention de faire du jeu et de ne pas subir que Willy Sagnol débarquait au Parc avec ses troupes. De l'autre côté, c'est un PSG toujours pas au complet, et avec Jean-Christophe Bahebeck titulaire en pointe, qui se présentait face aux Girondins.

Comme il est de coutume depuis le début de saison, Paris monopolise le ballon en début de rencontre, mais comme souvent, de manière stérile. Il faut attendre la 23e minute pour voir une bonne tentative de Verratti contrée. Peu avant la demi-heure de jeu, Van der Wiel, suite à un tacle par-derrière sur Khazri, se voit exclure par Tony Chapron. Paris est à dix. Les choses auraient pu s'empirer si Rolan avait trouvé le cadre seul face à Sirigu suite à un corner (30e). Les débats se rééquilibrent lorsque Poko est exclu à son tour suite à un vilain tacle sur Verratti. La fin de première période est à l'avantage des Parisiens, avec des occasions pour David Luiz (39e), qui trouve le poteau, ou encore Aurier et Verratti dans les minutes suivantes. Et c'est le petit milieu italien qui obtient un pénalty transformé par Lucas (45e). Paris regagne le vestiaire avec un avantage mérité.



La deuxième période démarre sur le même rythme que la fin de la première, et Lucas double la mise (50e), toujours sur pénalty en se faisant justice suite à une faute dans la surface. À 2-0, l'affaire est entendue. L'heure de jeu, c'est le moment choisi par Laurent Blanc pour lancer Lavezzi à la place de Lucas (65e). Le PSG, qui maîtrise les débats, gère cette fin de rencontre sans trop forcer. Le match perd en intensité, malgré quelques opportunités de part et d'autre. Ezequiel Lavezzi est d'ailleurs à la conclusion de l'une d'elles (80e), offrant le troisième but aux Parisiens. Le PSG revient donc momentanément à quatre longueurs de l'OM, mettant aussi leur adversaire du soir à trois points. Les Parisiens vont donc pouvoir regarder dans un fauteuil le déplacement de Marseille à Lyon dimanche.

Ce mardi, le PSG était à Chypre pour affronter l'APOEL Nicosie lors de la troisième journée de C1. Après le succès contre Barcelone, Paris pouvait prendre une option sur la qualification. Contrat rempli. Sur le plan comptable, les Parisiens font une bonne opération, mais le niveau de jeu, lui, inquiète fortement.

Compte-rendu de la rencontre

Ce sont les Chypriotes qui se procurent la première occasion, par Sheridan, mais Sirigu est vigilant. Les Parisiens dominent territorialement la rencontre, la possession de balle avec, mais cela reste stérile. Les solutions offensives ne sont que trop peu nombreuses, et le trio Pastore, Cavani et Lucas est amorphe. La mi-temps est sifflée et l'on se demande si l'on assiste bien à un match de C1.



La deuxième période débute comme la première, par une occasion chypriote, avec une tête de Tiago Gomes repoussée sur sa ligne par Luiz, alors que Sirigu était battu. L'Apoel pousse et se crée quelques petites opportunités, Paris subit et ne propose rien offensivement. Triste constat d'une équipe amorphe sur le terrain. Mais où sont passés ceux qui ont battu Barcelone ? Portés disparus... Heureusement, Bahebeck détourne de la poitrine un centre de Maxwell pour Cavani. Ce dernier reprend en pivot et trompe le portier adverse (0-1, 87e). Enfin ! Mais cela ne fera en rien oublier la prestation décevante de l'équipe.

Désolé d'avoir délaisser ce groupe, pour des raisons personnelles j'ai du aller en Algérie. Si quelqu'un voudrais bien le faire vivre ce groupe en mon absence je ne serai pas contre.

Annoncé comme imminent, le PSG a confirmé ce vendredi soir le transfert du défenseur de Chelsea David Luiz.

Ça y est, le PSG ouvre en fanfare le mercato estival et frappe un énorme coup. Le Brésilien devrait signer un contrat de quatre ans assorti d'une année supplémentaire à partir du 10 juin, date de l'ouverture du marché.

"Pour répondre au souhait du joueur de préparer et jouer dans les meilleures conditions possibles la Coupe du Monde dans son pays, la volonté des deux clubs et de David Luiz était de parvenir au plus vite à un accord entre d’un côté le Paris Saint-Germain et Chelsea FC et de l'autre entre le club parisien et le joueur afin d’officialiser le transfert dès l’ouverture du mercato" annonce le communiqué du club.



Si j'ai bien compris QSI s'en branle de Platini et son fairplay financier

Pour son dernier match de la saison, le PSG recevait Montpellier, un soir de fête en somme au Parc des Princes. Seule ombre au tableau, la blessure de Cavani à l'échauffement, remplacé par Lavezzi à la dernière minute.

Et après deux minutes de jeu, Paris ouvre la marque, un but de... Lavezzi, en vrai renard des surfaces ! Le PSG domine la partie, et Lucas envoie une frappe contrée sur la barre (10e). Et la troisième occasion est synonyme de but, avec une passe de l'extérieur du pied de Pastore dans la profondeur pour Ibra, le Suédois trompe Jourdren (2-0, 20e). Le troisième but est refusé pour une position de hors-jeu à la 33e, après un superbe une-deux entre Pastore et Lavezzi. Ce dernier manque d'ailleurs le cadre à la 39e sur un centre tendu au premier poteau de Digne.

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À la reprise, Lucas donne le troisième but au PSG. Bien servi par Pastore, le Brésilien trompe Jourdren d'une frappe du droit dans la surface au premier poteau (3-0, 50e). Paris gère tranquillement son match face à un adversaire bien faible. À l'heure de jeu, Laurent Blanc choisit de faire tourner, avec les sorties d'Ibrahimovic, Lavezzi et Motta sous les applaudissements du Parc. À la 75e, Jallet est tout proche d'inscrire le quatrième but, mais il manque son face à face avec le portier adverse. C'est Adrien Rabiot qui le marque, à la 89e, sur une belle action de Coman, Jourdren relâche le cuir, et Rabiot a bien suivi pour marquer dans le but vide. 4-0, le Parc vibre et chante son bonheur de voir le Champion de France s'imposer.



En s'imposant sur sa pelouse face à Montpellier (4-0) ce samedi, le Paris Saint-Germain a empoché son 27e succès de la saison en Ligue 1.

Un total qui n'avait jusqu'ici jamais été atteint dans l'histoire du championnat de France !

En achevant cet exercice 13/14 avec 89 unités au compteur, Paris a également battu le record historique du nombre de points glanés sur une saison (Reims 1959/1960 et Nantes 1965/1966 avec 86 points).




Bref merci PARIS et bravo aux Lyonnais de ne pas avoir laissés la 5ème place aux marseillaises et aussi Stéphanois pour leurs bonne saison.

Quelques jours après son sacre, le PSG avait deux objectifs pour son dernier déplacement de la saison à Lille : mettre fin à la série de trois matchs sans victoire et battre le record de points en Ligue 1... Objectifs atteints.

Zlatan Ibrahimovic se procure la première occasion de ce match avec une lourde frappe (9e) déviée par Kjaer. Béria s'enfonce ensuite dans la surface (13e) et chute en sentant Digne dans son dos, mais l'arbitre ne bronche pas. C'est ensuite Yohan Cabaye qui tente sa chance d'un tir du droit, mais le gardien lillois est à la parade. Victime d'un gros tacle sur Cabaye, Marvin Martin est expulsé et l'international français sort sur civière (37e). Alors que le PSG n'a pas effectué le changement, les deux équipes jouent à 10 et Paris ouvre le score par Marquinhos (41e, 0-1). Au début de l'action, Lucas provoque dans l'axe, feinte pour déséquilibrer Kjaer, et frappe du droit. Le ballon est stoppé par Enyama, mais Marquinhos reprend le cuir de la tête et envoie le ballon au fond des filets. Lille tente de réagir dans la foulée avec un centre de Kalou pour Roux, mais l'attaquant nordiste n'arrive pas à couper la trajectoire du ballon. Sans briller, mais se créant les meilleures occasions, le PSG à 11 contre 10 mène à la mi-temps.



Sous la pression du résultat de St Étienne à Nantes, Lille se montre mordant dès la reprise et manque d'égaliser dans les premières minutes avec Kalou qui voit son ballon s'envoler (51e) et Basa manquer le cadre d'un coup de tête puissant (57e, 58e). Alors que le stade pousse son équipe, Lucas met un coup derrière la tête des hommes de René Girard. Sur un contre parisien, alors que les Lillois se montraient dangereux, Pastore adresse une passe au Brésilien côté droit qui d'un tir à ras de terre du droit crucifie Enyama (65e, 0-2) et permet à Paris de faire le break. Le feu follet offre ensuite un caviar à Blaise Matuidi en profondeur (82, 0-3) qui conclue du gauche. C'est la 10e passe décisive de la saison pour Lucas. Sur une erreur de Marco Verratti dans la surface, Kalou reprend le ballon et le glisse en retrait à Delaplace qui sauve l'honneur pour Lille (89e, 1-3).

Le PSG s'est imposé avec la manière et s'est offert sa 26e victoire de la saison en Ligue 1, ce lui permet d'exploser le record de points de Lyon en 2004 !

C'était le match du titre pour le PSG, suite à la victoire de Monaco face à Ajaccio samedi. Et les Parisiens n'ont pas répondu présents...

Le début de match parisien est cataclysmique, aucun rythme, aucune envie de jouer. Les joueurs retombent dans les travers de leurs dernières sorties. Il faut attendre la 20e minute pour voir Cavani et Lucas mettre en danger Pelé, sur une frappe et une tête sur le corner qui a suivi. Dans un enchainement parfait, contrôle de la poitrine et frappe du droit, Cavani ouvre le score (0-1, 24e) sur une ouverture parfaite de Motta. Roudet n'est pas loin d'égaliser juste avant la pause, mais Sirigu fait la parade.



Le match reprend sur le même rythme en seconde période. Sochaux domine et se crée la première occasion, une frappe du droit de Corchia, détournée par Sirigu. Dans la continuité, Silva marque contre son camp sur un dégagement du poing de Sirigu (1-1, 55e). Égalisation logique. Cavani, décidément très remuant bute sur Pelé à la 61e, tout comme Verratti la 65e. Sochaux ne démérite pas et se crée une grosse occasion, quand un centre passe devant le but et que Sirigu était battu. La fin de match est engagée pour les deux équipes. Match nul logique : 1-1. Pour le titre, il faudra encore attendre.






PS : perso ce résultat m'arrange vu que j'aimerais bien voir Sochaux ce maintenir et que je vais aller voir aux Parc des Princes le prochain match contre Rennes

Après la victoire en Coupe de la Ligue samedi, le PSG avait rendez-vous avec le championnat ce mercredi, au Parc des Princes, contre Evian Thonon-Gaillard.

Dès la quatrième minute, Sirigu est battu sur un coup franc de Wass de 35 mètres, mais c'est la barre qui vient sauver le portier italien. C'est de nouveau le défenseur qui met le gardien parisien à la parade, sur une tête sur un corner à la 10e minute de jeu. Paris n'y est pas en ce début de match, et les visiteurs en profitent. Il faut attendre la 22e minute pour voir la première occasion parisienne, une ouverture de Verratti pour Lavezzi qui voit sa frappe repoussée par Hansen, bien sorti. Les Parisiens sont amorphes, ne courent que trop peu, les joueurs sont-ils déjà en vacances ? À l'image d'un Pastore fantomatique...



Au retour des vestiaires, le match repart sur le même rythme décevant. Lavezzi manque le cadre à la 56e sur un service de Rabiot. Blanc essaye enfin quelque chose, en sortant Rabiot, pas le plus déméritant, loin de là, pour faire entrer Lucas (58e). Abdallah se fait exclure à la 61e, Evian TG est à dix. Paris pousse timidement et ne donne pas l'impression de vouloir tout donner sur la pelouse du Parc. Matuidi manque une grosse occasion à la 81e, un tir non cadré dans la surface. Il se rattrape à la 89e, un tir dans un angle fermé, bien servi par Lucas. Paris mène 1-0, enfin. Le titre est tout proche désormais pour le PSG, qui compte dix points d'avance sur Monaco, mais cette fin de saison semble compliquée sur le plan physique et moral.

ps : désolé si je poste tard mais bon trop claqué une fois revenu du stade.

Samedi, le PSG s'est imposé 1-2 sur la pelouse du stade de France en finale de Coupe de la Ligue. Compte rendu de la rencontre.

Compte-rendu de la rencontre

Après l'élimination en Ligue des Champions et le revers subi à Lyon le week-end dernier, les Parisiens étaient attendus ce samedi soir au Stade de France pour la finale de la Coupe de la Ligue. Une réaction de champions était nécessaire, elle s'est produite, presque naturellement, même si le niveau de jeu fut globalement décevant.

Et dès l'entame du match, Edinson Cavani donne l'avantage aux Parisiens, suite à une percée superbe de Maxwell côté gauche et une sortie ratée de Lopes, El Matador pousse le cuir au fond des filets (0-1, 4e). Le match est lancé, et Lyon n'abdique pas. Les Gones se créent deux occasions par l'intermédiaire de Gomis. Cavani montre qu'il a retrouvé la forme, avec une jolie volée de l'extérieur de la surface, mais elle est repoussée par Lopes (14e). 30e minute, tournant du match. Sur une ouverture de Silva pour Lucas, l'arbitre accorde un penalty, alors que la faute est en dehors de la surface, et il n'exclut pas Lopes, une double erreur. Cavani, tranquille, transforme en force (0-2, 32e). Quelques minutes plus tard, Lucas sert parfaitement Cavani qui manque son duel face au portier lyonnais. La balle de match.



Au retour des vestiaires, Lacazette réduit l'écart, d'une frappe à ras de terre à l'entrée de la surface qui trompe Douchez (1-2, 55e). Une passivité défensive étonnante et le match tombe dans une morosité béante. Paris gère, se fait quelques petites frayeurs, mais rien pour empêcher le club parisien de soulever ce trophée si attendu cette saison. Laurent Blanc a réussi son pari, réaliser le doublé Coupe/Championnat, même s'il n'est pas (encore) officiel. Mission accomplie pour le Président. Merci !



ps : désolé de posté le lendemain mais comme vous vous en doutez je suis rentré tard du Stade de France et ma nuit aux Champs Elysées.

e Paris Saint-Germain s’est incliné face à l’Olympique Lyonnais au stade Gerland en match de clôture de la 33ème journée de Ligue 1 (1-0). Une deuxième défaite consécutive pour les Parisiens, qui possèdent encore dix points d’avance sur Monaco au classement de la Ligue 1.

Cinq jours après la grosse désillusion vécue en Ligue des Champions face à Chelsea, le PSG devait se replonger dans le championnat afin d’officialiser le plus rapidement possible son nouveau titre de champion de France. Face à une équipe lyonnaise diminuée par les absences, notamment celles de Grenier et Gourcuff, Laurent Blanc décidait de laisser Verratti et Maxwell sur le banc des remplaçants, tout comme Lucas. Digne, Cabaye et Pastore étaient donc titularisés.

Dans un stade Gerland comble, la rencontre démarrait très fort avec une première très belle occasion pour le PSG. Sur un centre parfait de Van der Wiel, Cavani plaçait sa tête au premier poteau, ce qui forçait Lopes à réaliser une magnifique parade (3e). Mais les Lyonnais répondaient tout de suite par une frappe lointaine de Gomis, bien repoussée par Sirigu (4e). Quatre minutes plus tard, Cavani était idéalement servi dans la surface mais suite à un crochet, l’Uruguayen simulait un contact avec Lopes et tombait dans la surface. Digne poussait ensuite le ballon au fond des filets lyonnais mais l’arbitre annulait logiquement le but pour une position de hors-jeu (8e). Une grosse opportunité gâchée qui réveillait un peu plus les Lyonnais et notamment Gomis, encore dangereux sur deux tentatives, dont une cadrée (10e et 12e). Il s’en suivait ensuite une période pauvre en occasions, lors de laquelle les Parisiens dominaient la partie dans la possession du ballon. Malheureusement, les Gones allaient profiter d’une grossière erreur parisienne. A la relance, Lavezzi voyait sa passe interceptée par Ferri, qui ne se posait pas de question pour ouvrir son pied et tromper Sirigu d’une jolie frappe des 25 mètres (1-0, 31e). Avant la mi-temps, Cavani profitait d’un fantastique travail de Pastore mais sa frappe était trop molle pour inquiéter Lopes (41e). Cabaye prenait ensuite sa chance mais son tir croisé n’était pas cadré (44e). C’est donc sur cet avantage d’un but pour l’OL que l’arbitre renvoyait les deux équipes aux vestiaires.




Après la pause, les vingt-deux mêmes acteurs retrouvaient la pelouse de Gerland et les Parisiens décidaient d’appuyer sur l’accélérateur. Mais à part une tête manquée de Cavani (52e) et une frappe cadrée de Cabaye (62e), les occasions franches étaient rares. Laurent Blanc remplaçait alors Matuidi par Lucas pour donner plus de peps à son équipe, pas franchement convaincante depuis le coup d’envoi. Les champions de France se procuraient ensuite une belle occasion mais la frappe de Digne était repoussée par Lopes et le but de Lavezzi refusé pour une position de hors-jeu (63e). Un avertissement qui ne faisait pas douter les Lyonnais, plutôt dans un bon soir et dangereux sur plusieurs offensives. Ferri frappait de loin et forçait Sirigu à sortir une parade (70e) et Gomis était à deux doigts de redresser le ballon de la tête dans les buts parisiens (71e). Dos au mur, les Franciliens tentaient de réagir mais ils se montraient beaucoup trop maladroits dans la dernière passe ou le dernier geste, à l’image de Lavezzi, dont la reprise était manquée alors qu’il était seul dans la surface (73e). Laurent Blanc décidait alors de remplacer Alex et Lavezzi par Rabiot et Ménez (80e). Ce dernier, à peine entré en jeu, récoltait un carton jaune pour un tacle sur Ferri, avant de voir Thiago Silva et Cavani à deux doigts de reprendre un coup franc de Cabaye (82e). C’est ensuite Pastore, sûrement le meilleur joueur parisien du soir, qui faisait trembler Gerland mais sa tentative était repoussée par Lopes (85e). Dans les ultimes minutes de la partie, les Parisiens poussaient mais ne parvenaient pas à inquiéter véritablement le gardien de but lyonnais, bien protégé par sa défense. Et ce jusqu’au coup de sifflet final.

Après Chelsea, c’est donc au tour de Lyon de parvenir à battre le PSG. Pas convaincants dans le jeu et peut-être encore sous le coup de la déception en Ligue des Champions, les Parisiens ont montré quelques signes de faiblesses, notamment physiquement. Si Monaco reste tout de même à dix points au classement, il faudra vite se ressaisir pour préparer au mieux la finale de la Coupe de la Ligue de samedi prochain face à ces mêmes lyonnais.