À quatre jours de son rendez-vous décisif en Ligue des Champions, le PSG a fait le boulot sans toutefois séduire face à Nantes (2-0), s'est fait peur et a encore enregistré de la casse.

Alors qu'Unaï Émery avait annoncé que la concurrence était relancée, le coach parisien a finalement fait marché arrière et a réalisé un seulement gros changement avec la titularisation de Jean-Kevin Augustin à la place d'Edinson Cavani.



Malgré cette gestion curieuse après la trêve internationale, les Parisiens se sont imposés 2-0 grâce à des buts d'Angel Di Maria et Jese qui a marqué son premier but sous le maillot sur PSG sur un penalty en fin de match. À noter également une grosse prestation de Kevin Trapp. Le portier allemand a sauvé son équipe à plusieurs reprises.

Cette victoire qui permet de répondre à Monaco est la bonne chose de la soirée, mais deux mauvaises nouvelles sont tombées : les sorties d'Angel Di Maria et Javier Pastore. El Fideo a quitté la pelouse peu avant la fin de la mi-temps souffrant d'une pointe à la cuisse et El Flaco a laissé ses coéquipiers quelques minutes après son entrée. Deux blessures qu'il faudra surveiller dans les prochains jours dans l'optique du match face à Arsenal.





PS : Je ne serais pas là durant 2 ou 3 semaines et je ne sais pas si je posterais durant cette période.

Pour la première fois de la saison, le PSG a réussi un match abouti durant 90 minutes, a fait souffrir son adversaire et fait vibrer le Parc des Princes avec cette démonstration 4-0 face à Rennes. Il s'est clairement passé quelque chose...

Après une victoire arrachée face au FC Bâle en Ligue des Champions, le PSG voulait se rassurer et surtout envoyer un message dans un Parc des Princes chaud bouillant avec la présence de 300 ultras dans le virage Auteuil. Dès le début du match, le Rennais Ntep a tenté de donner une douche froide au Parisiens mais Kevin Trapp est présent, titulaire dans les buts à la place d'Alphonse Aréola forfait. Après c'est un festival parisien. Gelson Fernandes sauve une balle de but sur la ligne suite à une tête de Thiago Silva, puis marque dans la foulée contre son camp suite à une spéciale d'Edinson Cavani qui coupe au premier poteau un corner de Di Maria (1-0, 31e). L'Uruguayen offre ensuite le break à son équipe avec un but splendide à 20 mètres qui lobe Costil (2-0, 43e). Un moment de joie qu'il partage avec les supporters. Mais coup dur pour Le Matador sur ce superbe geste il se blesse musculairement et cède sa place à la mi-temps à Jesé.




3 buts, 2 barres, 1 poteau...

Au retour des vestiaires, le PSG ne se met pas dans une gestion comme à son habitude et prend de nouveau d'assaut le but Rennais où les défenseurs bretons ne savaient pas d'où pouvait venir le danger. Serge Aurier trouve une première fois la barre transversale avant qu'Adrien Rabiot déclenche une frappe de 30 mètres qui fonce au fond des filets (3-0, 67e). La semaine parfaite pour le nouveau Bleu du PSG. Paris ne s'arrête pas là. Serge Aurier trouve à nouveau la barre sur une tentative de la tête après un ballon dévié par Thiago Silva au premier poteau. Dans la foulée petit évènement, Hatem Ben Arfa qui est entré à la 70e minute, donne un caviar à Marco Verratti dans la surface qui aggrave le score et s'offre un beau cadeau d'anniversaire pour ses 24 ans (4-0, 79e). Enfin dans les arrêts de jeu, Thiago Motta aurait pu être de la fête, mais il voit sa tête se fracasser sur le poteau droit de Costil.

Emery voulait une victoire de l'envie et de l'intensité, ses joueurs l'ont entendu et répondu sur le terrain avec la manière. Un beau message envoyé par le PSG ! Grâce à ce succès, Paris ne lâche pas Monaco et revient à trois longueurs du leader Nice.

Paris est Magique !

Alors que le PSG maitrisait le FC Bâle ce mardi soir au Parc St-Jacques, il s'est peur en fin de rencontre et a remporté son match sur un bijou de Thomas Meunier dans les derniers instants (1-2).

Blaise Matuid avait pourtant ouvert le score en fin de première période après un tir croisé de Thomas Meunier (43e, 0-1), décidément l'homme du match. Après le PSG beaucoup mieux dans son jeu s'est créé d'énormes occasions, avec Lucas et Di Maria, mais ne parvenait pas à faire le break pour se mettre à l'abri.





Alors que les Parisiens semblaient ne pas être en danger, Zuffi tente une frappe de 30 mètres qui lob Alphonse Aréola (77e, 1-1). Une égalisation qui a également donné des espoirs aux Suisses puisqu'ils sont tout près de punir le PSG quelques minutes plus tard avec Janko oublier sur la droite qui manque le cuir. On se dirige alors vers la fin du match et sur une passe d'Adrien Rabiot, Thomas Meunier sauve son équipe d'une incroyable reprise de volée qui file dans la lucarne du portier suisse (90e, 1-2).

Grâce à ce résultat, Paris est qualifié en 8e de finale de la Ligue des Champions et jouera la finale du groupe A à l'Emirates Stadium, le 23 novembre prochain face à Arsenal.

A l'issue d'une partie maîtrisée, le Paris Saint-Germain a pris le dessus sur Lille (1-0), ce vendredi soir, lors de l'ouverture de la 11e journée de Ligue 1.

Disposés dans un 4-5-1 très défensif, les Dogues ne manquaient pas de mordant dans les premières minutes et bousculaient des Parisiens qui tâtonnaient. Le pressing lillois, régulier et intense, gênait considérablement des visiteurs en manque d'inspiration dans les phases offensives. Paradoxalement, les champions de France se montraient plus dangereux sur des longs ballons mais Enyeama veillait au grain sur deux tentatives de Di Maria.

L'Argentin pensait même ouvrir la marque à la 22e minute mais M. Bastien refusait son but pour un contrôle supposé de la main non-intentionnel. Même au ralenti, les images prêtaient à confusion... En tout cas, les Franciliens accéléraient sérieusement le rythme et obligeaient les locaux à se montrer moins entreprenants. Di Maria dans le bon tempo, Lucas remuant, seul Cavani affichait un niveau médiocre devant avec une énorme opportunité ratée avant la pause.





Au retour des vestiaires, le PSG insistait mais Cavani manquait de précision sur une nouvelle tentative. Mais El Matador ne doutait pas et sur un service précis de Di Maria, l'Uruguayen réalisait un superbe contrôle de la poitrine avant d'enchaîner une lourde frappe sous la barre d'Enyeama (0-1, 65e). Paris était libéré ! Dès lors, les hommes d'Unai Emery géraient la rencontre après avoir fait sauter le verrou nordiste.

En fin de partie, le LOSC poussait et Sankharé manquait une incroyable occasion d'égaliser après une passe puissante d'Eder. Le premier et dernier frisson dans la défense francilienne, solide jusqu'au bout. A défaut d'avoir été flamboyants, les Parisiens ont été très sérieux et ont préparé au mieux leur déplacement à Bâle mardi (20h45) en Ligue des Champions.

Ce soir se déroulait au Parc des Princes le tant attendu Clasico opposant le PSG à l'OM dans le cadre de la 10e journée de L1. Unaï Emery a aligné son désormais habituel 4-3-3 avec le retour de Thiago Motta en sentinelle et Rabiot, auteur d'un gros match mercredi, envoyant Matuidi sur le banc. Autre surprise, le retour de Maxwell en lieu et place de Kurzawa sur le côté gauche de la défense parisienne. Pour le reste, une composition plutôt classique démarrait la rencontre.

C'est une première période terne que nous ont offert les deux équipes avec une possession large à l'avantage des locaux mais stérile, ces derniers peinant à se rapprocher des buts marseillais. Hormis une tête de Cavani juste au dessus de la cage de Pelé, rien à signaler pour cette première partie, si ce n'est une action litigieuse en toute fin de mi-temps pendant laquelle Di Maria lance l'uruguayen qui semble arrêté de manière illicite dans la surface adverse. Clément Turpin a estimé qu'il n'y avait pas contact, c'est donc sur ce score de 0-0 que se sont séparés les deux camps.






La physionomie du match ne change pas sur l'entame de cette deuxième période et la première alerte parisienne intervient à la 70e minute, à laquelle Lucas trouve Cavani qui s'est bien démarqué sur coup franc mais sa tête passe au dessus des buts de l'OM. 10 minutes plus tard, Maxwell à l'entrée de la surface à la possibilité d'ouvrir le score mais sa frappe passe à côté. La plus grosse occasion est encore pour El Matador qui se retrouve dans les 6 mètres marseillais sur un centre de Matuidi mais qui rate incroyablement la mire alors que le but était vide (82e). En toute fin de rencontre, le milieu français se retrouve seul a quelques mètres de Pelé mais son tir est contré. Plus rien ne bouge malheureusement et le PSG doit se contenter de ce triste match nul au terme d'une partie assez pauvre en terme d'actions et de jeu.

ps : heureusement que les stats ne sont pas dispo sur le site de la lfp

Le Paris Saint-Germain a rempli son contrat en dominant le FC Bâle 3-0 ce mercredi. Une victoire très flatteuse pour le club de la capitale, son gardien Alphonse Areola ayant été sauvé à trois reprises par ses montants au cours de cette rencontre.

Les Parisiens se faisaient peur d'entrée quand, dans la surface, Lang voyait sa tête être repoussée par la barre transversale d'Areola. Dans la foulée, Thiago Silva se faisait manger par Doumbia mais Areola était là pour sauver la maison parisienne devant Steffen. Deux énormes occasions avant même le quart d'heure de jeu pour les Suisses, on ne s'attendait pas du tout à ce scénario en début de rencontre.

Bien que poussés par leurs supporters, qui donnaient de la voix au Parc, les champions de France affichaient d'étonnantes largesses défensives. Devant en revanche, les hommes d'Unai Emery se réveillaient enfin à la demi-heure de jeu par l'intermédiaire de Di Maria dont la volée acrobatique passait de peu à côté. Mais le PSG inquiétait encore ensuite quand, de la tête, Doumbia trouvait le poteau d'Areola ! Dans l'autre camp, Vaclik brillait sur une frappe lointaine de Rabiot, performant au milieu de terrain.

La délivrance venait finalement de Di Maria, qui profitait d'une remise heureuse de Cavani dans la surface, pour fusiller le portier de Bâle d'une demi-volée puissante du droit (1-0, 40e). Le premier but de la saison de l'Argentin, très critiqué ces dernières semaines. Dur pour les Suisses.





Au retour des vestiaires, Paris pouvait se mettre immédiatement à l'abri mais la tête de Cavani touchait le montant. A l'heure de jeu, Cavani se procurait encore une grosse occasion mais l'Uruguayen perdait son duel face à Vaclik. Confirmation que lorsqu'il a le temps, El Matador est d'une maladresse étonnante. Mais Lucas faisait oublier immédiatement ce raté en profitant d'un mauvais renvoi adverse pour ajuster le portier bâlois (2-0, 62e). Dans la foulée, c'est encore le poteau qui sauvait Areola sur une tête de Suchy. Incroyable. Même le portier parisien n'en revenait pas.
Il était écrit que les Suisses ne marqueraient pas ce soir. Pas malheureux, les Parisiens s'en sortent donc avec une victoire 3-0 finalement, puisque dans le temps additionnel, sur penalty, Cavani parvenait finalement à inscrire son petit but (3-0, 93e). Mais la chance ne leur sourira pas tout le temps. A Bâle dans deux semaines, il faudra notamment mettre un terme à ces largesses défensives.

Alors que le PSG nous avait régalé contre Bordeaux, Paris a joué seulement 20 minutes face à Nancy où il a réussi à faire la décision avant de s'endormir et se faire peur, mais les Parisiens arrachent trois points très précieux (1-2)...

20 minutes, c'est seulement ce que l'on va retenir de ce match où les Parisiens ont débuté très bien la rencontre et ouvert le score sur un coup franc de Lucas, à 40 mètres, qui file au fond des filets en profitant d'une grande bourde du gardien nancéien (13e, 0-1). C'est ensuite Edinson Cavani qui profite d'une erreur de Chrétien pour faire le break d'un lob sur N'Dy Assembé beaucoup trop avancé (18e, 0-2). Après cela, Paris a laissé le ballon à son adversaire et permit à Nancy de se montrer avec une frappe de Koura déviée par Alphonse Aréola. Une attitude de ses hommes qui met hors de lui Unaï Emery agacé par cette passivité de son équipe.





Au retour des vestiaires, Paris reste sur le même ton et ne montre rien pour tenter de tuer le match. Du coup, Nancy profite de ce PSG endormi pour relancer le match sur une tête gagnante d'Alou Diarra sur un coup franc de Pedretti (55e, 1-2). Une réduction du score qui a donné des frayeurs dans la dernière demi-heure, mais les Parisiens n'ont pas craqué et ont arraché la victoire.

Si on s'est relativement ennuyé sur cette partie, le PSG arrache trois points précieux qui a un impact important après les défaites de Monaco et Lyon vendredi soir. Les hommes d'Unaï Emery ne laissent donc pas filer Nice et reviennent à quatre points des Aiglons avec une deuxième place au classement. Paris devra toutefois montrer autre chose dans les deux prochains matchs au Parc des Princes face au FC Bâle mercredi et l'OM dimanche.

Après la défaite contre Toulouse, le PSG voulait réagir dans son jardin face à Bordeaux, cest chose faite et avec la manière (2-0)...


Attendu après son voyage compliqué à Ludogorets en milieu de semaine, le PSG a rapidement mis les pendules à l'heure en ouvrant le score dès la 3e minute de jeu grâce à Edinson Cavani sur une offrande d'Angel Di Maria (1-0). Un sacré coup de massue pour les Bordelais qui se sont complètement éteints durant les 40 premières minutes où seul Carasso sauvait la maison bordelaise sur une frappe de Thomas Meunier avant d'avoir vu un ballon de Lucas passé de peu à côté de son poteau gauche. Malgré cela, une magnifique action de Layvin Kurzawa, entachée d'une position hors-jeu, permet à Edinson Cavani de doublé la mise sur une madjer qui file au fond des filets (2-0, 30e). Complètement battu dans les duels et par l'intensité du jeu parisien amorcé par un bon Thiago Motta, méconnaissable par rapport à ses deux dernières sorties, Bordeaux ne voit pas la lumière et se fait asphyxier par les hommes d'Unai Emery. Rolan tente une réaction en fin de période obligeant une parade du pied d'Alphonse Aréola très tranquille dans ces 45 premières minutes.



Au retour des vestiaires, le PSG a baissé le pied face à des Bordelais incapables d'accélérer et de bousculer des Parisiens présents sur chaque ballon. Alors que le caoch basque s'activait sur son banc pour creuser l'écart, Edinson Cavani se créer deux belles occasions mais ne parvient pas à tuer le match. Paris va toutefois se faire une frayeur avec une double parade d'Alphonse Aréola. Enfin après une absence de cinq match, suite à 4 mises à l'écart et une blessure, Hatem Ben Arfa a fait son grand retour à la compétition pour disputer le dernier quart d'heure sans toutefois peser sur la fin de la rencontre. Paris réagit donc après sa défaite face à Toulouse, chasse certains doutes et prend provisoirement la 2e place de la Ligue 1 derrière Nice. Le PSG retrouvera désormais son Parc des Princes dans trois semaines pour deux matchs qui s'annoncent bouillant face au FC Bâle en Ligue des Champions et face à l'OM pour le premier Clasico de la saison. Deux adversaires déjà prévenus...

PS : que c'est bon de revoir un peu d'ambiance dans ce stade même si on est encore très loin de ce que l'on pouvais avoir à l'époque.

Piégé par Ludogorets sur un coup franc direct, Paris a renversé les Bulgares grâce à Blaise Matuidi et un doublé d'Edinson Cavani pour s'imposer 1-3 lors de la 2e journée de la Ligue des Champions.

Bousculé dans la première mi-temps, le PSG est passé complètement à côté de sa première partie de jeu et s'est fait punir sur un coup franc direct de Natanael où Blaise Matuidi et Edinson Cavani sont coupables en créant un énorme trou dans le mur pour faire passer le ballon du bulgare qui fait filet (1-0, 15e). Un coup de massue pour les Parisiens qui ne trouvaient pas la solution pour revenir dans le match et non aidés par l'arbitrage où un penalty a été clairement oublié sur Cavani. Mais un éclair de Marco Verratti a finalement offert la balle d'égalisation à Blaise Matuidi qui se fait pardonner en offrant l'égalisation à son équipe juste avant la mi-temps (1-1, 41e).



Le PSG est ensuite passé par tous les états ! Au retour des vestiaires, Edinson Cavani donne pour la première fois de la partie l'avantage au PSG en reprenant de la tête un coup franc d'Angel Di Maria (1-2, 56e). Alors que l'on pensait que Paris se mettait à l'abri, Aurier fait une énorme erreur de relance et Thiago Motta concède un penalty. Incroyable ! Moti prend alors le cuir face à Alphonse Aréola et le gardien du PSG détourne le tir du Bulgare. Le vrai tournant du match puisque dans la foulée, galvanisé par cet arrêt, Les Parisiens portent un contre et Edinson Cavani tue le match en signant un doublé sur un service de Lucas (1-3, 60e).

Soulagés par ce retournement de situation, les Parisiens ont ensuite géré, mais auraient pu enfoncer le clou avec Lucas et Matuidi qui gâchent des occassions. Mais l'essentiel était fait. Avec ce succès, le PSG reste en tête du groupe A avec Arsenal qui s'est imposé 2-0 à l'Emirates Stadium face au FC Bâle.