Ce soir, le PSG se déplaçait à Caen dans le cadre de la 5ème journée de L1. Unai Emery a encore écarté Ben Arfa et a préféré Kimpembé dans l'axe de la défense. Le technicien basque a affiché un milieu travailleur avec Krychowiak en sentinelle, accompagné de Matuidi et Rabiot.

Les parisiens ont démarré fort la rencontre puisqu'à la 5ème minute, Cavani s'illustre avec une première frappe dans la surface. Ce n'est que partie remise pour l'uruguayen qui fait trembler les filets quelques minutes plus tard sur un centre de Maxwell (12ème, 0-1). Exerçant un pressing haut, les joueurs de la capitale gênent les normands et à la 20ème minute, Lucas intercepte une passe de Ben Youssef puis prend le défenseur de vitesse avant de se faire faucher dans la surface. Cavani prend ses responsabilités et transforme le penalty, plein de sang froid (21ème, 0-2). 30eme minute, après une circulation rapide, Meunier est servi par Rabiot sur le côté droit puis trouve Di Maria qui enroule sa frappe depuis la surface caennaise mais celle-ci passe juste au dessus de la lucarne de Vercoutre. Ce soir, Cavani n'a pas trouvé meilleur moyen pour se mettre en confiance puisqu'il s'offre un troisième but peu de temps avant la pause, suite à une superbe ouverture d'El Fideo pour Maxwell qui réalise une deuxième passe décisive en servant parfaitement l'uruguayen dans la surface, ce dernier crucifiant le portier du stade Malherbe d'un plat du pied gauche à bout portant (38e, 0-3). Comme si ce n'était pas suffisant pour lui, El Matador va ajouter une quatrième but à son compteur sur un tir sans contrôle dans le petit filet de Vercoutre après une belle offrande de Meunier (44e, 0-4). Au terme d'une mi-temps pleine d'intensité au cours de laquelle les parisiens n'ont rien laissé aux joueurs de Patrice Garande, les deux équipes se séparent sur ce score salvateur de 0-4.



La deuxième période commence sans le grand buteur du soir puisque Cavani cède sa place à Jesé sur la pointe de l'attaque. Les caennais haussent le rythme et se montrent plus entreprenants. Mais cela ne suffira pas à gêner les joueurs d'Emery dans un grand jour. En effet, à la 67e, Lucas, très remuant aujourd'hui, envoie une lourde frappe des 25 mètres sur laquelle Vercoutre est trop court et aggrave le score (0-5). La fête continue pour les joueurs de la capitale et Augustin se mêle à la partie en s'offrant son premier but de la saison en envoyant un missile dans les cages caennaises après un bon service de Rabiot (78e, 0-6).

Le stade Malherbe de Caen a, malheureusement pour lui, subi le réveil des parisiens qui ont aujourd'hui montré tout ce qu'on attend d'eux, à savoir de l'intensité, une circulation de balle rapide et des buts. Espérons que la saison soit belle et bien lancée pour les champions de France.

Longtemps devant au tableau d'affichage, le Paris Saint-Germain a concédé le nul face à Arsenal (1-1), ce mardi soir, pour son entrée en lice dans cette Ligue des Champions. Le PSG regrettera longtemps ses occasions manquées.

Il ne fallait pas arriver en retard au Parc de Princes puisque Cavani n'avait besoin que de 45 secondes pour ouvrir le score en reprenant parfaitement un centre d'Aurier d'une tête décroisée (1-0, 1ère). Quelle entame ! Parfaitement entrés dans cette rencontre, les Parisiens dominaient des Gunners gênés par le pressing adverse et peu inspirés offensivement, mais ne parvenaient pas à se mettre à l'abri rapidement malgré un corner rentrant de Di Maria détourné de justesse par Ospina.

Après 20 minutes d'une grosse intensité, les joueurs d'Unai Emery avaient besoin de souffler et Arsenal en profitait pour se montrer, notamment sur coups de pied arrêtés. Pas de quoi inquiéter Areola, préféré à Trapp, alors que Paris reprenait sa marche en avant après la demi-heure de jeu. Malheureusement, Cavani était moins en réussite qu'en début de match. L'Uruguayen loupait le cadre après avoir effacé Ospina, puis manquait un enchaînement contrôle-frappe alors qu'il était seul dans la surface...



En début de seconde période, le PSG était moins dominateur et Arsenal en profitait pour poser le pied sur le ballon, sans toutefois parvenir à réellement mettre en danger Areola. Les Parisiens s'offraient quelques opportunités en contres mais ils étaient trop brouillons pour inscrire ce but capable de les mettre à l'abri. Et quand ils se montraient enfin précis, il y avait un bon Ospina en face pour annihiler les occasions d'Aurier, Cavani et Di Maria.
A force de manquer des opportunités, Paris se faisait punir. Sur un tir d'Iwobi repoussé par Areola, Sanchez reprenait le cuir d'une reprise au ras du poteau (1-1, 77e). Derrière, Cavani manquait encore un duel face à Ospina et le Parc commençait à gronder. Logique puisque les Parisiens, et surtout l'Uruguayen, auraient pu mettre le PSG à l'abri depuis bien longtemps. Il fallait même un arrêt d'Areola sur un tir d'Iwobi pour éviter le pire... En fin de match, Giroud et Verratti étaient exclus pour un deuxième avertissement.

Pour son 1000e match au Parc des Princes, le PSG s'est montré très brouillon et semblait s'en sortir sur un but de Lucas avant de finalement craqué dans les dernières secondes...

Après la défaite face à Monaco, on attendait une réaction ! Elle est venue des modifications dans le onze de départ avec les titularisations de Matuidi, Jese et Ben Arfa. Si la partie a bien débuté, les Parisiens sont rapidement devenus brouillons n'arrivant pas à approcher les cages de Stéphane Ruffier. La première grosse occasion de la rencontre est venue des Stéphanois avec une frappe de Saivet obligeant Trapp à faire un superbe arrêt à la demi-heure de jeu. Avant la mi-temps, le PSG aurait pu bénéficier d'un penalty sur une faute de Malcuit sur Matuidi dans la surface, mais l'arbitre ne bronche pas.





À la pause, Unai Emery perd Kurzawa sur blessure. Il lance ainsi Krychowiak pour son premier match sous le maillot du PSG. Paris affiche un autre visage en seconde mi-temps loin d'être spectaculaire mais bénéficie d'un penalty pour une faute discutable cette fois de Malcuit sur Matuidi. Lucas prend le ballon et transforme le penalty (1-0, 66e). Alors que l'on pensait que le PSG était à l'abri, l'incroyable est arrivé. Dans le temps additionnel, Beric profite d'une erreur d'appréciation de Meunier et réussit à égaliser... (1-1, 93e). Une douche froide pour les supporters du PSG qui quittent ainsi le Parc des Princes avec des énormes doutes et des craintes à quatre jours de la venue d'Arsenal pour le premier match mardi de Ligue des Champions.

Trop longtemps désorganisé et dominé dans l’envie, le Paris Saint-Germain a déjà concédé sa première défaite de la saison (1-3) à Monaco dimanche dans le choc de la 3e journée de Ligue 1 malgré un réveil en seconde période.

Les hommes d'Unai Emery se montraient entreprenants en début de partie mais manquaient de justesse, permettant à Subasic de se saisir de toutes les passes en profondeur destinées à Cavani. Di Maria se procurait ensuite la première opportunité, mais Fabinho déviait sa frappe en corner. Pourtant, c'est Monaco qui profitait du manque d'agressivité parisien pour prendre les devants sur une belle reprise à ras de terre de Moutinho, trouvé sur un centre instantané de Sidibé (1-0, 13e) ! Sur une action similaire, Germain ne cadrait pas.

En manque de repères, les Franciliens ne parvenaient pas à riposter à l'exception d'une tentative de Cavani, qui gâchait une belle munition en manquant le cadre par précipitation, dans la lignée de son festival d'occasions ratées contre Metz (3-0)… En face, Bernardo Silva ne cadrait pas sa frappe lui non plus. Puis, juste avant la mi-temps, David Luiz agrippait Jemerson dans la surface après un coup-franc, provoquant un penalty logique, transformé par Fabinho d'un parfait contre-pied (2-0, 45e+2 sp).



Mais après la pause, les hommes de Leonardo Jardim reculaient dangereusement, permettant au PSG d’obtenir des situations dangereuses. Sans réussite sur la première, puisque sur un centre de Lucas, Cavani manquait sa talonnade puis Kurzawa ratait le cadre alors qu’il disposait d’un bel angle de tir… Mais El Matador profitait ensuite d’une remise d’Aurier pour enfin ouvrir son compteur cette saison et réduire le score de la tête (2-1, 63e) ! Glik sauvait ensuite la mise en s’interposant devant El Matador.

Le PSG combinait mieux et Subasic devait s’interposer sur un centre de Di Maria. Et pourtant, sur sa seule occasion de la seconde période, Monaco inscrivait le but du break lorsque le malheureux Aurier contrait la frappe de Sidibé pour tromper son propre gardien (3-1, 80e csc). Invaincu durant les 28 premières journées la saison passée et vainqueur (3-0) au même endroit il y a pratiquement un an jour pour jour, le PSG tombe de haut…

Loin de toute la difficulté face à Bastia la semaine dernière, les Parisiens se sont imposé solidement ce soir 3-0 face au FC Metz. Bien que les rouges et bleus aient éprouvé des difficultés à rentrer ce premier but au fond, les hommes d'Emery se sont montrés assez spectaculaires dans le jeu, comme promis par le coach.

Face au vaillant promu, le Paris Saint-Germain s'est baladé pendant 90 minutes dans son antre. Mis en difficulté à quelques reprises, obligeant Kevin Trapp à être bien plus que vigilant. S'il a fallu attendre la deuxième mi-temps pour voir le Paris Saint-Germain marquer, Lucas (52e) a été l'un des protagonistes majeurs offrant la victoire au club. Le spectacle était bel et bien au rendez-vous, les rouges et bleus doublent même la mise grâce à un nouveau but de Kurzwa (67e), énorme encore une fois.



Puis pour couronner le tout, Paris score pour la troisième fois dans le temps additionnel, sur un contre son camp de Rivierez (90e+4). Le PSG a confirmé sa bonne entame de saison face au promu messin, après avoir remporté la première journée face à Bastia. Les hommes d'Unai Emery ont donc parfaitement débuter à la maison. L'emportant 3-0.

Les Parisiens auront un tout autre défi dès la semaine prochaine puisqu'ils s'envoleront pour la principauté où ils affronteront l'AS Monaco. Auteur d'un bon début de saison les Monégasques représenteront un premier défi pour le PSG. Si les rouges et bleus se sont montrés assez impressionnants les deux premiers matchs, ils auront l'occasion de définitivement rassurer en l'emportant sur le rocher...

L'important, c'est les trois points ! Voilà ce que l'on va retenir de ce premier match des hommes d'Unai Emery face à Bastia délivrés par un but de Layvin Kurzawa (0-1).

Contrarié par une équipe de Bastia bien en place, le PSG n'a pas réussi à être dangereux lors de la première mi-temps. Plus les minutes passaient, plus les Bastiais croyaient en leur chance. Les Corses se sont même créer la plus belle occasion des 45 premières minutes avec un centre de Saint-Maximin qui trouve Diallo dans la surface mais la reprise de l'attaquant n'est pas cadré alors que Trapp semblait être battu. Il faut attendre jusqu'à la fin de la première mi-temps pour voir deux frappes signés Angel Di Maria mais pas assez puissance pour inquiéter Leca.





Au retour des vestiaires, les Parisiens montrent un tout autre visage et appuie sur l'accélérateur obligeant le portier corse à faire deux parades sur un centre de Serge Aurier et une reprise d'Angel Di Maria. Les Parisiens ne parvenait pas ensuite à être dangereux et le climat commençait à chauffer à l'image du projectile que Lucas a reçu lorsqu'il a souhaité tirer un corner.

Unai Emery a donc apporter un changement avec l'entrée de Jesé à la place d'Hatem Ben Arfa très décevant à son poste de pointe. L'international espagnol fait du bien et le PSG pousse de nouveau. Il est notamment à l'origine de l'ouverture du score. Sur une action où il étire la défense corse, il tente sa chance face à Leca, le ballon est repoussé et il est repris par Lavin Kurzawa en embuscade qui envoie le ballon d'une reprise de volée dans le but vide (74e, 0-1).

Dans un climat assez hostile en fin de rencontre, les Bastiais tentent d'aller arracher l'égalisation mais Kevin Trapp garde ses cages inviolés avec un arrêt en deux temps et s'impose ensuite dans les airs sur un corner. Paris s'impose donc par le plus petit des scores sur ce premier match de Ligue 1 et prend provisoirement la tête du classement puisque Monaco a arraché son match nul face à Guingamp (2-2) dans le deuxième match du jour.



Voici le lien de la source en bien gros pour les pleurnicheuses coincé du cul.

[url]http://www.paristeam.fr/ligue-1/bastia-0-1-psg-kurzawa-delivre-paris-une-premiere-victoire-dans-la-douleur-23322.htm[/url]
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Sans forcer, le Paris Saint-Germain a corrigé l'Olympique Lyonnais (4-1), ce samedi soir en Autriche, lors du Trophée des Champions.

Malgré un Trapp peu rassurant, les Parisiens ouvraient rapidement la marque grâce à Pastore sur un plat du pied parfait suite à un excellent service de Kurzawa (1-0, 9e). Cruel pour l'OL qui aurait pu encaisser un but extraordinaire de Di Maria du milieu de terrain sans un énorme arrêt de Lopes alors que Lacazette trouvait le poteau dans la foulée ! Trop naïfs, les Gones encaissaient un deuxième but fatal de Lucas après un moment de flottement dans la défense (2-0, 20e).

Complètement à la ramasse, l'OL était tout proche d'encaisser un troisième but mais Di Maria touchait la barre. La "Emery touch" se faisait ressentir au fil des minutes avec des latéraux franciliens en fusion qui posaient d'énormes problèmes aux Rhodaniens. A force de subir, les partenaires de Gonalons coulaient définitivement sur un coup de canon de Ben Arfa après une nouvelle action de grande classe initiée par Kurzawa et Di Maria (3-0, 34e). Quelle correction pour Lyon qui aurait pu en prendre deux autres avant la pause...



Au retour des vestiaires, Pastore se faisait plaisir et gâchait une énorme occasion sur un lob astucieux. L'Argentin se rattrapait et offrait un caviar à Kurzawa qui ne tremblait pas face à Lopes (4-0, 54e). Au fond du trou, Lyon réagissait par Cornet mais Trapp veillait au grain. Tout en gestion, les hommes d'Emery géraient leur avance et ne laissaient presque rien à leurs adversaires, incapables d'accélérer le rythme.

Dans une fin de match sans grand intérêt, Lyon sauvait l'honneur par Tolisso de la tête (4-1, 86e). Un premier titre pour les troupes d'Emery cette année et de très belles promesses. On a déjà hâte d'être à vendredi pour le déplacement à Bastia lors de la première journée de Ligue 1 !

On attend le tweet du pleurnichard d'aulas.

Ce soir se déroulait la finale tant attendue de coupe de France opposant le PSG à son ennemi juré l'OM au stade de France. Une rencontre marquée par les absences de Pastore et Thiago Motta côté parisien, et avec la titularisation surprise de Stambouli alors qu'on aurait pu voir David Luiz en sentinelle au milieu de terrain.

Le match débute tambour battant avec une première frappe dangereuse de Barrada qui frôle la lucarne de Sirigu. Les parisiens répondent immédiatement par un tir de Matuidi, bien décalé par Ibra, bien capté par Mandanda. Mais le milieu parisien ne tarde pas ouvrir le score des la deuxième minute sur une merveille de centre de l'extérieur de Di Maria bien coupé par l'international français qui ouvre la marque très tôt dans le match. Ce début de rencontre se joue sur un rythme très soutenu et les marseillais ne perdent pas de temps pour revenir à la marque par l'intermédiaire de Thauvin qui trompe le portier italien du PSG sur une frappe croisée qui rase le poteau des buts du champion de France.

Après cela, le match devient plus serré et les situations se font plus rares. Premier fait de jeu, Zlatan, sur corner reprend un ballon dévié par la tête de Marquinhos, mais son tir est arrêté par la main de Thauvin sur sa ligne de but, geste non vu par l'arbitre Clément Turpin. Le suédois, sur coup franc, à l'occasion de s'illustrer mais il doit s'y reprendre à 3 fois pour solliciter le gardien français de l'OM (37e). Hormis cela, rien de bien franc des deux côtés, ce qui donne un match nul 1-1 à la mi-temps.



La seconde période démarre aussi fort que la première et Matuidi se fait faucher par Nkoulou dans la surface sur une offensive parisienne. Ibrahimovic se charge de transformer le penalty avec succès en prenant à contre pied Mandanda. Les joueurs de Laurent Blanc hissent alors le ton du jeu et sur une récupération haute, Di Maria transmet à Zlatan qui trouve rapidement Cavani qui creuse l'écart d'un plat du pied plein de lucidité (57e). L'uruguayen va célébrer son but comme il se doit avec les supporters en mimant le geste "ici c'est Paris !".

S'en suit une belle maîtrise des parisiens qui gèrent la rencontre avec sérénité. Les marseillais peinent à voir le jour et le show continue avec le géant suédois qui fête son dernier match de fort belle manière en inscrivant un doublé bien servi par l'omniprésent Matuidi (82e). La messe est dite malgré un sursaut d'orgueil des joueurs de Franck Passi grâce à Batshuayi qui réduit le score a bout portant face à un Sirigu qui repousse mal une frappe de Mendy (86e). 2 minutes plus tard, c'est l'heure des adieux pour Zlatan Ibrahimovic qui sort sous une ovation bien méritée du public parisien présent au stade de France ce soir. Le suédois clôt son aventure parisienne avec une belle contribution dans l'obtention de ce dernier titre pour les champions de France. Lucas, en toute fin de match à l'occasion d'agrandir la marge mais son tir passé à côté après avoir dribblé Mandanda.

Les joueurs du PSG ont fait le travail et terminent la saison avec une jolie victoire pour s'offrir un deuxième quadruplé de suite mémorable. Un grand bravo pour cette belle saison.

PS : 10 comme le nombre de coupe de france et aussi le nombre de victoire consécutive contre marseille et malgré cette saison amère vu ce qu'il c'est passé en LDC finir en ce faisant marseille en finale de Coupe de France c'est toujours aussi bon.

Le Paris Saint-Germain remporte la Coupe de la Ligue pour la troisième fois consécutive ! Réduits à dix en seconde période, les Parisiens sont venus à bout d'une vaillante équipe de Lille grâce à un but décisif de Di Maria (2-1).

Le Paris SG aurait pu prendre très tôt l'avantage dans cette rencontre, après seulement 20 secondes de jeu ! Servi par Ibrahimovic, Di Maria était seul au point de penalty mais l'Argentin voyait son tir capté par Enyeama, qui stoppait ensuite deux tirs de Lucas. En cinq minutes, le gardien lillois avait déjà eu trois arrêts à effectuer. Après cette entame compliquée, le LOSC retrouvait des couleurs et Sirigu devait s'employer à son tour après un coup de billard dans la surface parisienne.



Les Parisiens s'offraient tout de même les meilleures opportunités au cours de ses 45 premières minutes. Il fallait une intervention déterminante de Corchia et un tacle salvateur de Basa pour empêcher le PSG de marquer. Mais le champion de France était finalement récompensé à cinq minutes de la pause. Sur un corner dégagé par Enyeama, la volée de Pastore était détournée par Soumaoro et trompait le gardien lillois (1-0, 40e) ! Un but entaché d'une position de hors-jeu de Kurzawa qui gênait Enyeama sur l'action. Ce but aurait pu être refusé par Monsieur Buquet et les Lillois pouvaient manifester leur colère.
Une colère transformée en joie dès le retour des vestiaires ! Sur un coup franc plein axe, Sidibé égalisait d'une frappe au ras du montant de Sirigu, lâché par son mur sur le coup (1-1, 49e). Alors que le PSG était inoffensif après cette égalisation, l'expulsion de Rabiot semblait compliquer la tâche des hommes de Laurent Blanc. Mais c'était sans compter sur le cadeau du LOSC avec des erreurs de Soumaoro et Enyeama pour permettre à Di Maria de redonner l'avantage à Paris (2-1, 74e) ! Malgré la pression lilloise en fin de match, Paris tenait bon pour soulever son premier trophée de cette fin de saison !