Les 3 pts sans forcé et une bonne soirée pour moi.

Après le match nul à Monaco dimanche dernier et avant le match contre le Bayer Leverkusen mardi, le PSG recevait Valenciennes au Parc des Princes ce vendredi. Et on ne peut pas dire que les Parisiens ont eu à forcer leur talent pour s'imposer 3-0. De bon augure pour la suite.

Dès la troisième minute, Ibrahimovic reprend un ballon de la gauche de Lavezzi, qui avait lobé le gardien, mais le défenseur repousse sur sa ligne. Puis c'est une triple occasion à la 8e, avec une reprise de la tête de Silva, repoussé par Penneteau, une frappe manquée d'Ibra et Marquinhos qui manque sa reprise au second poteau. C'est finalement à la 18e minute que le PSG trouve la faille, sur un coup franc détourné d'Ibrahimovic, Lavezzi récupère et trompe Penneteau (1-0). L'Argentin manque de peu de doubler la mise deux minutes plus tard, sur un centre de Van der Wiel, sa reprise est trop croisée, puis à la 23e, sur une frappe détournée par le portier de VA. Paris domine outrageusement, mais la réussite fuit les joueurs jusqu'à la mi-temps Pas mieux pour Valenciennes, avec un tir hors cadre de Ducourtioux (30e).



Mais dès la reprise, le PSG fait enfin le break, grâce à l'inévitable Zlatan Ibrahimovic, qui reprend à cinq mètres du but une frappe trop écrasée de Cabaye. Ezequiel Lavezzi est encore à l'origine de l'action en allant gêner la relance du défenseur. Et que dire du travail de l'Argentin deux minutes plus tard sur le troisième. Lavezzi déborde et centre pour Ibrahimovic, mais c'est Kagelmacher qui marque contre son camp (3-0, 52e). La messe est dite et le Parc scande le nom de Lavezzi. Laurent Blanc pense déjà au match de mardi en sortant Ibrahimovic et Motta à la 64e. Lucas et Rabiot les remplacent. Lavezzi sort un peu plus tard, sous l'ovation du Parc. Le match se termine sur un faux rythme et Paris gère facilement son avantage au score. Trois points presque faciles.

En ce qui concerne ma belle soirée c'est aussi parce qu'en plus de la victoire du PSG je me suis bien fendu la poire chez Dieudonné avant de me fendre l'estomac au resto, bref une bonne soirée qui va ce terminé en plus par du Dark Souls, que demandé de plus

On attendait ce choc des titans entre Monaco et le PSG avec impatience, car Paris avait la possibilité de frapper fort en cas de succès. Cinq points séparaient les deux équipes avant le coup d'envoi. Pour ce match, Laurent Blanc a décidé de se passer d'Ezequiel Lavezzi pour titulariser Javier Pastore dans son schéma en 4-3-3.

Paris prive dès le début du match les Monégasques de ballons et se trouve rapidement dangereux sur un premier corner. Tiré par Thiago Motta, le cuir est dévié de la tête par Alex pour Javier Pastore, qui, au second poteau ,ouvre le score d'une reprise de la tête à un mètre du but(8e, 0-1). El Flaco inscrit son premier but de la saison en Ligue 1. Une ouverture du score qui a provoqué une réaction immédiate de Monaco, par James Rodriguez (10e), mais Maxwell repousse l'offensive. Ensuite, c'est Salvatore Sirigu qui s'illustre face à Oscampos (14e). Paris va s'offrir ensuite deux balles de Break, avec Zlatan Ibrahimovic qui manque de peu un centre de Maxwell de la gauche et qui voit l'un de ses coups francs détourné par Subasic (24e). C'est ensuite Javier Pastore qui fait une percée dans la défense monégasque, mais l'Argentin pèche dans le dernier geste (31e). Paris maitrise les débats avec une solide défense dans cette première période et rentre aux vestiaires avec un léger avantage.



A la reprise, Paris confisque une nouvelle fois le ballon à des Monégasques attentistes et qui laissent les hommes de Laurent Blanc développer leur jeu. Zlatan Ibrahimovic s'offre une nouvelle grosse occasion sur coup franc (60e), mais il voit le cuir détourné in entremis par Subasic d'un magnifique plongeon. C'est ensuite Salvatore Sirigu qui s'illustre en boxant un ballon aérien devant Rivière (61e). Le portier parisien va ensuite se faire une grande frayeur en se trouant à la tombée d'une frappe contrée de Kondogbia. On entre dans la dernière demi-heure de la partie et Monaco lance sa dernière arme : Dimitar Berbatov. De son côté, Laurent Blanc fait ses premiers changements avec les entrées en jeu de Yohan Cabaye et Jérémy Ménez pour Marco Verratti et Javier Pastore. Coup de tonnerre alors que le PSG semblait contrôler le match, Thiago Silva détourne le ballon sur un centre de Fabinho, et Salvatore Sirigu est trompé (74e, 1-1). Zlatan Ibrahimovic est tout près de donner la victoire au PSG après un contrôle orienté incroyable, mais sa frappe est stoppée par Subasic (90e).

Paris peut s'en vouloir et avoir de gros regrets. Une deuxième mi-temps trop attentiste du côté du PSG qui paie cash sa seule erreur du match. Paris reste à cinq points devant Monaco et manque le break



ps : j'en peux plus de menez il faut le donné et même payé pour qu'un club le prenne.

Après l'élimination en Coupe de France, le PSG n'avait pas le droit à l'erreur dans le dernier carré de la Coupe de la Ligue dans un stade de la Beaujoire chaud bouillant. Dans sa composition d'équipe, Laurent Blanc a apporté trois changements par rapport à Bordeaux, avec les titularisations de Douchez, Digne et Lucas Moura qui avait la lourde charge de remplacer Cavani.

Paris démarre fort la partie avec une première occasion d'Ezequiel Lavezzi (3e), sur un décalage de Blaise Matuidi, mais le cuir tape le poteau droit. Ce fut ensuite un nouveau show Ibrahimovic. Sur un dégagement de Riou, le Nantais glisse et envoie le ballon dans les pieds du Suédois plein axe. Ce dernier reprend alors le cuir du plat du pied gauche et le lobe en pleine lucarne (5e, 1-0). Prenant ainsi le dessus sur son adversaire, le PSG a eu deux balles de break avec Matuidi qui manque sa tête sur un centre de Lucas (24e) et Lavezzi (29e) qui voit son tir côté droit repoussé par Riou. Un arrêt qui a sonné la révolte chez les Canaris. D'une frappe lointaine, Bessat, met en difficulté une première fois la défense parisienne. Puis sur un corner, c'est Djilobobodji (32e) qui a la balle d'égalisation, mais Marco Verratti sauve son équipe sur la ligne de l'épaule. Paris rentre aux vestiaires avec ce léger avantage.



À la reprise, les Nantais reviennent avec de nouvelles intentions et provoquent les Parisiens multipliant les fautes et créant un climat de tension. Les Canaris obtiennent un coup franc dangereux où Djordjevic (68e) manque de peu la lucarne de Douchez. Laurent Blanc tente de redonner du punch à son équipe en faisant entrer Cabaye et Ménez pour Verratti et Lavezzi. Paris n'arrive plus à contrôler et reste à la portée des Nantais. On entre dans le dernier quart d'heure de la partie et la pression des Canaris devient de plus en plus menaçante. Excentré sur la droite N'Koudou va sonner la charge et centrer fort devant le but de Douchez, le cuir arrive dans les pieds de Veigneau esseulé et d'une frappe du gauche il trompe le portier parisien (81e, 1-1).

Alors que l'on pensait que les deux équipes se dirigeaient vers la prolongation, Zlatan Ibrahimovic a profité d'un super centre de Lucas pour boxer le ballon de la tête (90e, 1-2) et envoyé le PSG vers une 5e finale de Coupe de la Ligue au Stade de France le samedi 19 avril face au vainqueur de Lyon-Troyes.



ps : Duhamel ça reste le summum de la nullité dans l'arbitrage, comment ça ce fait qu'il arbitre encore depuis tous de temps. Déjà la faute de Silva sur Djorjevic fallait le vouloir pour ne pas la voir (à quoi ils servent les arbitres de surfaces au faite????) et ensuite le mec met un carton à Maxwell alors que Sissoko fait un geste bien con et dangeureux sur lui. Bref la routine avec ces arbitres même si sur le penalty sont incompétences nous à arrangé bien qu'il l'habitude de nous faire la misère.

Après la match nul décevant ramené de Guingamp le week-end dernier, les Parisiens devaient une revanche aux supporters ce vendredi au Parc des Princes contre Bordeaux.

Paris entre fort dans le match, et Ibrahimovic aurait dû se voir accorder un penalty pour une faute de Henrique sous les yeux de l'arbitre, qui n'a pas bronché. Mais cette domination reste stérile, malgré quelques tirs contrés et une maladresse récurrente dans la précision des passes. Bordeaux tente, par bribes, de sortir de sa moitié de terrain, mais Sirigu passe une soirée bien calme. Mi-temps sur ce score de 0-0.



Au retour des vestiaires, Paris confirme sa domination, et Lucas, après plusieurs passes ratées, centre enfin comme il se doit, et le Brésilien trouve Ibrahimovic seul devant le but. Le Suédois trompe Carrasso facilement (1-0, 58e). Paris joue à son rythme, le Parc scande le nom de Lucas, puis Hoarau. Bordeaux prend un visage plus offensif à la 65e minute et les supporters peuvent réserver la première ovation pour Yohan Cabaye, qui remplace Pastore. Et pour sa première sous le maillot parisien, Cabaye manque de peu de marquer, sur un caviar de Lavezzi, il trouve le poteau. Dans la foulée, Lucas trouve Alex au premier poteau, qui reprend du droit et trompe Carrasso (2-0, 89e). Paris s'impose, presque tranquille.

Après la démonstration face à Nantes le week-end dernier, le PSG avait rendez-vous avec Montpellier ce mercredi en 16e de finale de Coupe de France. Laurent Blanc avait choisi de faire largement tourner son effectif et c'est un pari perdu.

C'est le PSG qui démarre le match sur un gros rythme. Frappes de loin, enchaînements dans les espaces, fautes provoquées, but en position de hors-jeu par Digne, tout y passe... Et pourtant. Sur sa première demi-occasion, sur un coup franc lointain, Congré place sa tête devant Douchez, clairement en retard, et c'est Montpellier qui ouvre la marque contre le cours du jeu (0-1, 20e). Paris ne doute pas un instant, et naturellement, Cavani égalise, sur un centre tendu de Digne devant le but (1-1, 30e). L'Uruguayen manque même un but tout fait, seul devant le but, deux minutes plus tard... Montano tente sa chance de loin, mais Douchez se réveille (36e). Mi-temps : 1-1.



A la reprise, le jeu repart sur les mêmes bases, mais le PSG peine cette fois à créer du danger, même si Pionnier se met en évidence, notamment à la 63e devant Cavani. Dans la foulée, Ménez sort sous les sifflets et Ibra entre avec une grosse ovation. Mais c'est bien Montpellier qui reprend l'avantage, sur un corner et une tête de Montano (1-2, 69e). Coup de froid sur le Parc qui ne parviendra pas à se réchauffer, malgré quelques escarmouches et un penalty non sifflé sur Cavani. Paris est éliminé de la Coupe de France et voit son calendrier ne pas trop se surcharger.

ps : Perdre contre une équipe aussi faible ça fait chier, mais voir menez sur le terrain ça me gonfle encore plus et je ne parle même pas de l'arbitrage français qui comme à son habitude nous montre que c'est de la merde avec Falcao et ce soir Cavani et le but refusé de Digne. Bref dégouté.

Avec la victoire de Monaco durant l'après-midi, le PSG devait impérativement s'imposer contre Nantes au Parc des Princes afin de reprendre le large au classement de Ligue 1, et c'est chose faite, tout en maitrise.

Et sur la première occasion parisienne, un corner bien tiré par Lavezzi, Cavani place sa tête au premier poteau, Riou repousse dans les pieds de Thiago Silva, qui pousse le cuir au fond des filets (1-0, 10e). Un scénario parfait. Un but qui met en confiance toute l'équipe et le Parc des Princes. Paris domine, confisque le ballon et accélère quand il le veut. Verratti réveillera le Parc d'une certaine léthargie à la 35e, en obtenant un penalty généreux. Ibrahimovic ne se fait pas prier (2-0, 36e). Nantes tente de sortir timidement de sa moitié de terrain, en vain. Paris maitrise et joue presque en marchant dans ce match.



À la reprise, Lucas remplace Lavezzi. Et ce n'est pas cela qui freine le PSG. Sur un centre de la droite, Matuidi remet de la tête pour Motta dans l'axe, l'Italien fusille Riou (3-0, 51e). Et Paris ne s'arrête pas là, Cavani marque le quatrième but, sur un service parfait d'Ibra, suite à un bon pressing de Verratti (4-0, 58e). La fête est belle, et le PSG ne force même pas. Le temps d'une ovation du Parc pour Verratti, remplacé par Pastore, qu'Ibrahimovic marque le cinquième but parisien (5-0, 64e). Le match tourne à la correction. Gestion parfaite de la rencontre jusqu'à la fin et le PSG s'impose brillamment 5-0.


ps ; désolé pour le jeux de mot titre il est à chier mais j'étais obligé de la faire

Le Paris Saint-Germain s’est qualifié pour les demi-finales de la Coupe de la Ligue en battant Bordeaux au stade Chaban-Delmas, grâce à des buts de Pastore, Rabiot et Matuidi (1-3). Une troisième victoire en trois matches en 2014 pour les Parisiens, qui démarrent idéalement cette nouvelle année.

Une victoire en Coupe de France face à Brest, une autre en championnat à Ajaccio, le Paris Saint-Germain pouvait commencer l’année en toute beauté en s’offrant un nouveau succès dans une autre compétition, la Coupe de la Ligue. Pour battre des Girondins de Bordeaux bien décidés à créer l’exploit, Laurent Blanc décidait d’aligner une équipe compétitive malgré les déplacements et l’enchaînement des matches. Ibrahimovic et Thiago Silva, pourtant à Zurich lundi soir pour la cérémonie de remise du Ballon d’Or, étaient donc titulaires.

La rencontre démarrait d’une manière peu rythmée, entre deux équipes en pleine phase d’observation. Beaucoup d’imprécisions, des mauvais choix des deux côtés, et donc très peu d’occasions à se mettre sous la dent. Pour preuve, il fallait tout simplement attendre les dernières minutes de cette seconde période pour voir une vraie offensive. Après un coup franc sur le poteau d’Ibrahimovic, le PSG allait réussir à faire la différence. Ibrahimovic décalait Lucas dans la surface, le Brésilien se débarrassait d’Orban pour servir Pastore au point de penalty. Sans contrôle, El Flaco plaçait un plat du pied hors de portée de Carrasso pour ouvrir le score (0-1, 45e+1) ! Un premier but parfaitement amené, juste avant la pause, qui permettait aux Parisiens de faire oublier une première période assez indigeste au niveau du jeu.



A la mi-temps, Laurent Blanc décidait de remplacer Ibrahimovic par Cavani. Mais malheureusement, les champions de France démarraient très mal cette seconde période. Suite à un ballon perdu par Rabiot, mis dans une mauvaise situation par Verratti, Poko récupérait le ballon et trompait Sirigu d’une frappe sous la barre (1-1, 48e). Une grossière erreur du milieu de terrain parisien qui permettait aux Bordelais, pourtant très discrets depuis le début de la rencontre, de revenir au score. Il fallait ensuite attendre la demi-heure de jeu pour observer une réelle réaction parisienne. Suite à un tir de Ménez repoussé par Carrasso, Marquinhos était à deux doigts de reprendre le ballon sur la ligne de but mais les défenseurs et le portier bordelais empêchaient le défenseur brésilien d’inscrire le second but parisien (62e). Le rythme s’accélérait ensuite entre deux équipes bien décidés à prendre l’avantage mais les Parisiens, pourtant mal embarqués, prenaient toutefois le dessus. Après un ballon bien récupéré au milieu de terrain, Pastore servait superbement Rabiot dans la surface. Le jeune joueur parisien se rattrapait de son erreur sur le but bordelais et donnait l’avantage à son équipe d’un tir du gauche parfaitement placé (1-2, 85e) ! Dans la douleur, les Franciliens prenaient donc une grosse option sur la qualification, d’autant plus que les Bordelais étaient incapables de conserver le ballon et de s’approcher des buts de Sirigu. Le PSG en profitait donc pour inscrire le but du KO par l’intermédiaire de Matuidi, lorsque l’international français était servi par Pastore et profitait du placement de Cavani pour tromper Carrasso (1-3, 89e) ! Un but qui donnait définitivement la victoire aux champions de France.

Dans la douleur et au terme d’un match compliqué, le PSG s’est offert une troisième victoire en 2014 et rejoint le dernier carré de la Coupe de la Ligue. Une très belle opération pour les hommes de Laurent Blanc, qui vont pouvoir aborde sereinement la réception du FC Nantes, prévu dimanche soir.

Trois jours après sa qualification en 16e de finale de Coupe de France face à Brest, le PSG a retrouvé la Ligue 1 avec un déplacement en Corse face à Ajaccio. Pour ce match, Laurent Blanc a aligné son équipe type à l'exception de Marco Verratti remplacé par Adrien Rabiot.

A la surprise générale, c'est l'adversaire qui ouvre la marque avec un but dans les premières minutes. Mostefa centre pour André qui manque son tir, mais le cuir est poussé au second poteau par Edouardo (6e, 1-0) au fond des filets de Sirigu. Dans la foulée, le PSG va tenter une réaction avec Ezequiel Lavezzi suite à un centre en retrait de Matuidi, mais Ochoa est à la parade (10e). Les Parisiens se font ensuite une frayeur avec Cavalli qui manque de peu la balle de break. Bousculé par une solide équipe d'Ajaccio, Paris est brouillon dans son jeu et accumule les déchets techniques. À la demi-heure de jeu, Ibrahimovic obtient un coup franc côté droit, mais son ballon heurte le poteau droit d'Ochoa (29e). Les Parisiens continuent donc de prendre d'assaut la surface corse, mais ne trouvent pas la solution. On approche alors de la mi-temps que le PSG enclenche un contre. Servi par Cavani au milieu de terrain, Blaise Matuidi lance Zlatan Ibrahimovic en profondeur qui remet le cuir dans l'axe pour une reprise d'Ezequiel Lavezzi qui pousse le ballon dans le but et offre la balle d'égalisation à son équipe (41e, 1-1). Matuidi manque ensuite de peu la deuxième but du PSG mais il est trop court de la tête (44e). Paris se rassure et revient dans la partie au moment de rentrer aux vestiaires.



Lors de la reprise, le PSG tente de prendre le contrôle du ballon, mais ne se montre pas particulièrement entreprenant et se crée très peu d'occasions. On approche alors l'heure de jeu de la rencontre et Laurent Blanc commence à penser à ses premiers changements avec Lucas et Ménez envoyés à l'échauffement. Adrien Rabiot est tout près de donner l'avantage au PSG avec une tête piquée, mais son ballon est dévié (64e). Pas en grande forme ce samedi, le PSG va une nouvelle fois se faire une frayeur suite à un contre ajaccien où Eduardo déclenche une frappe puissante, mais Salvatore Sirigu est à la parade avec une manchette (66e). Voyant que son équipe n'y arrive pas, le coach parisien procède à un changement de système en passant à un 4-4-2 avec les sorties d'Alex et Lavezzi pour Pastore et Lucas. Un coup tactique qui va faire la différence avec Javier Pastore au départ de l'action qui d'un joli geste technique glisse le ballon sur la tête d'Ibrahimovic pour servir Matuidi qui marque d'une tête plongeante (74e, 1-2). Après ce but, Paris solidifie sa défense avec l'entrée de Marquinhos pour Rabiot afin de gérer ce léger avantage. Paris se fait deux nouvelles frayeur avec Eduardo qui manque sa tête (83e) de peu et Lasne qui ne trouve pas le cadre (87e).

Paris s'est fait peur et on retiendra seulement les trois points de la victoire qui permet au PSG de s'envoler au classement et de posséder dorénavant 5 points d'avance sur Monaco.

Après un flottement de dix minutes, où les Parisiens sont difficilement entrés dans la rencontre, c'est le PSG qui prit rapidement l'avantage avec un premier but de Zlatan Ibrahimovic (10e). Le Suédois décale à gauche Maxwell qui centre de suite à ras de terre. Présent au point de penalty l'attaquant du PSG déclenche un extérieur du droit qui scotche sur sa ligne le portier brestois. Thiago Motta signe ensuite quelques minutes plus tard le break (14e). Sur un centre de Blaise Matuidi, dans la surface, l'Italien tacle le ballon du pied droit qui le propulse au fond des filets. Paris prive ensuite pendant plusieurs minutes le cuir, mais se fait surprendre par Brest. Suite à un cafouillage dans la surface après un corner mal dégagé par le PSG, Lesoimier trouve la lucarne de Nicolas Douchez (33e). À ce moment là de la partie, Brest commence à croire à un possible exploit... pendant cinq minutes. Ibrahimovic va en effet inscrire un doublé (39e) sur un coup de pied arrêté de Thiago Motta, puis un triplé (42e) sur un centre d'Ezequiel Lavezzi. Le PSG rentre donc aux vestiaires avec un avantage de trois buts et un Zlatan Ibrahimovic en grande forme.



À la reprise, le PSG continue de corser l'addition avec une réalisation signée... Ezequiel Lavezzi (46e). Suite à un service de Zlatan Ibrahimovic, l'Argentin est lancé en profondeur et croise son tir droit qui trouve le petit filet de Hartock. Avec ce gros avantage à la marque, Laurent Blanc fait ses premiers changements à l'heure de jeu avec la sortie de Zlatan Ibrahimovic ovationné par le stade et de Thiago Motta. Lucas Moura et Javier Pastore font ainsi leurs entrées dans la partie. Paris continue d'imposer sa supériorité avec une possession de balle estimée à 71%, mais se fait une petite frayeur obligeant Nicolas Douchez à sortir dans les pieds de Nicolas Verdier sans faire la moindre faute. Paris concède des occasions dans les dernières minutes de la partie, mais Brest montre beaucoup d'inefficacité pour faire trembler le portier parisien. Jérémy Ménez sera le dernier remplaçant du PSG et prend la place d'Ezequiel Lavezzi pour les dix dernières minutes de la partie. Des trombes de pluies font leur appartition et rendent la fin de partie très difficile. Paris baisse de régime et les entrants n'apportent rien d'extrordinaire. Le dernier but sera marqué par Brest pour l'honneur par Ayité (89e). Servi dans la surface le joueur de Brest évite Alex et ajuste Nicolas Douchez d'un tir droit. Un fausse note dans cette démonstration du PSG qui se qualifie sans forcer et retrouvera Montpellier en 16e de finale le mercredi 22 janvier prochain au Parc des Princes.