Sacré Champion de France pour la 5e fois de son histoire, le PSG affrontait ce samedi soir le Stade de Reims pour son dernier match de la saison au Parc des Princes. Une rencontre marquée par les adieux de Zoumana Camara honoré par le brassard de capitaine. Laurent Blanc a écartement fait tourner son équipe avec les titularisations de Douchez, Van der Wiel, Lucas et Digne...


Coup d'envoi donné, le PSG se créer une première grosse occasion avec Lucas qui passe le cuir en retrait pour Pastore déclenchant une frappe dans la surface, mais le cuir est sauvé de justesse sur la ligne par Signorino (5e). El Flaco toujours offre un premier caviar à Cavani qui crochète Conte dans surface et tir, mais le ballon est stoppé par Agassa (14e). Un bon début de match des Parisiens qui imposent le tempo dans les premières minutes. Bien en jambes et lancé par une déviation de Cavani, Lucas file au but, mais il voit un tacle in extrémis d'un Rémois tue son action (26e). Malgré cette domination, Reims réagit avec une belle frappe de Moukandjo de 30 mètres obligeant Douchez à se détendre et réaliser un incroyable arrêt (29e). Une parade qui résonne comme un tournant puisque dans la foulée Edinson Cavani ouvre le score sur un super caviar de Verratti (30e, 1-0). El Matador est ensuite proche d'un doublé sur un puissant tir, mais le ballon ne trouve pas le cadre (33e). Reims panique face aux nombreux assauts parisiens et va une nouvelle fois craquer. Lucas, encore, adresse un bon ballon ras de terre à Rabiot armant une lourde frappe qui meurt au fond des filets (45e, 2-0).





De retour sur la pelouse, les Rémois montrent un nouveau visage et réduisent le score grâce à Mandi (2-1, 54e). Un but de l'Algérien qui vient après quelques erreurs défensives. Dans la foulée, Laurent Blanc procède au premier changement avec Thiago Silva qui laisse sa place à David Luiz. Après cet orage, Cavani tente sa chance d'urne frappe du droit, mais elle est détourné par Agassa (61e). Requinqué par cette réduction du score, Reims s'offre une grosse balle d'égalisation suite à un tacle manqué de Camara dans la surface, mais heureusement pour Paris Diego en embuscade ne trouve pas le cadre de Douchez qui semblait battu (72e). Rabiot amorce ensuite la réaction parisiennes dans les dernières minutes avec une volée du plat droit hors cadre (82e). Suivi d'Edinson Cavani qui s'offre un doublé suite à un centre de lavezzi (84e, 3-1), l'Uruguayen finit ainsi à 18 buts en championnat cette saison. Alors que l'on pensait que le score en resterait là, Reims profite d'un relâchement des Parisiens pour réduire une nouvelle fois le score grâce à Kyei d'un tir piqué qui trouve la lucarne opposée de Douchez (89e, 3-2).

Paris s'impose 3-2 et signe donc son 9e succès consécutif en Ligue 1, un record dans l'histoire du PSG. Les Parisiens vont soulever maintenant l'Hexagoal et garder en tête la finale de la Coupe de France face à Auxerre dans une semaine au Stade de France qui pourrait offrir un quadruplé historique pour le club. Pour le moment, on a envie de dire juste... Merci Paris !

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Le PSG affrontait Montpellier ce samedi soir au Stade de la Mosson pour le match du titre de Champion de France. Un match nul ou une victoire offrait le graal au PSG. Pour cette rencontre Laurent Blanc a relancé David Luiz en chanière centrale et titulariser Ezequiel Lavezzi, des choix qui se sont montré convaincants...


Coup d'envoi donné, le PSG se créer les premières grosses occasions avec Lavezzi qui reprend un centre de Maxwell de la tête, mais le ballon passe à côté (7e). C'est ensuite Edinson Cavani qui prend sa chance et qui se présente seul devant Ligali, mais El Matador manque son dribble et son lob (11e). Un bon début de match des Parisiens qui va finir par payer. Servi par un bon ballon d'Adrien Rabiot, Blaise Matuidi se présente en tant qu'avant-centre et ouvre son pied droit pour envoyer le ballon au fond des filets (19e, 0-1). Une ouverture du score qui met un coup aux joueurs de Rolland Courbis craquant une nouvelle fois. Sur un centre de Serge Aurier, ras de terre, Cavani manque le ballon, mais Ezequiel Lavezzi le reprend et permet au PSG de réaliser le break (25e, 0-2). C'est le huitième but de la saison pour l'Argentin. Malgré ce nouveau coup dur sur la tête, Montpellier réagit et réduit le score dans la foulée avec un centre tir de Mounier qui lob Sirigu (40e, 1-2). Une piqure de rappel pour le PSG provoquant de petites échauffourées en fin de première mi-temps entre Hilton et Javier Pastore. Après avoir calmé le jeu, l'arbitre sort un carton jaune pour l'Argentin. C'est un coup dur puisqu'El Flaco était sous la menace d'une suspension et manquera donc la finale de la Coupe de France face à Auxerre le 30 mai prochain. C'est donc avec cette frustration que les deux équipes rentrent aux vestiaires.






De retour sur la pelouse, le PSG est brouillon dans son jeu et il faut attendre l'heure de jeu pour voir une occasion parisienne avec Edinson Cavani prenant un centre de Maxwell, mais Ligali capte le cuir dans les airs (59e). Revenu avec d'autres intentions, Montpellier profite d'un cafouillage dans la surface sur un coup franc pour amener le danger, mais David Luiz contre la tentative d'Hilton (64e). Souhaitant donner un nouveau souffle à son équipe, Laurent Blanc fait entrer Lucas pour les 20 dernières minutes de la rencontre. Paris souffre et concède de nombreuses occasions, mais la défense parisienne est solide. C'est dans les dix dernières minutes de la rencontre que le PSG se réveil avec une deux tentatives consécutives de Serge Aurier (81e) et d'Adrien Rabiot dans la foulée sans réussite. Marquinhos passe tout près ensuite d'inscrire un troisième but pour le PSG, mais sa tête effleure de peu le ballon sur un corner (84e). Une fin de match difficile pour les Parisiens qui s'offrent une énorme occasion dans les arrêts de jeu avec Javier Pastore qui heurte la barre transversale.

Le coup de sifflet final est donné, le PSG s'impose 2-1 face à Montpellier et peut célébrer son titre de Champion de France. Son troisième consécutif et le 5e dans son histoire.

Rendez vous le 30 Mai prochain au Stade de France pour tenté de faire un triplé historique en france.

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En match d'ouverture de cette 36e journée de Ligue 1, le PSG affrontait ce vendredi soir Guingamp et avait l'occasion de mettre une grosse pression sur Lyon... Chose faite. Pour ce match, Laurent Blanc était privé de Thiago Motta (blessé), David Luiz (blessé) et Grégory Van der Wiel (suspendu). En revanche, il retrouvait Salvatore Sirigu dans les buts et Serge Aurier aligné dans le onze de départ.


Coup d'envoi donné, le PSG prend rapidement à la gorge les Bretons et ouvre très rapidement le score. Sur une belle passe de Pastore, Serge Aurier adresse un centre au premier poteau où Edinson Cavani coupe la trajectoire et envoie le ballon au fond des filets du pied gauche (3e, 1-0). L'entame idéale pour les Parisiens présents dans tous les duels. Guingamp souffre dans ces premières minutes de jeu, mais va tenter une première réaction sur un coup franc de 40 mètres. Claudio Beauvue à la frappe tente sa chance avec une lourde frappe du droit obligeant Sirigu à la parade avec une claquette de la main droite. Reprenant sa marche en avant, le PSG réalise dans la foulée le break avec un contre lancé par Marco Verratti. Présent dans la surface, l'italien décale vers la droite, glisse le ballon à Zlatan Ibrahimovic finissant l'action d'un crochet sur un breton et envoie le ballon au fond des filets (19e, 2-0). C'est ensuite Javier Pastore qui s'illustre dans cette partie en s'offrant une balle de 3-0, mais le ballon de l'Argentin heurte le poteau gauche de Lossl (27e). Solide défensivement, les Parisiens tuent les différentes offensives de Guigamp dans le dernier quart d'heure et rentrent aux vestiaires avec cet avantage qui permet à Paris de revenir à égalité au Goal avérage avec Lyon (+41).





De retour sur la pelouse, le PSG repart de plus belle avec un nouveau but d'Edinson Cavani sur une passe de Zlatan Ibrahimovic (3-0, 52e). Un but qui semble mettre sous l'eau les Guigampais. Dans la foulée, Javier Pastore lance sur la droite le géant suédois proposant un centre en forme de louche où le cuir est poussé au but des filets par #Maxwell (4-0, 56e). C'est le troisième but de la saison du brésilien. Mais le festival parisien ne s'arrête pas là, puis sur un coup franc joué rapidement par Verratti, l'Italien lance Edinson Cavani s'offrant un triplé avec une volée du pied droit (5-0, 70e). C'est son premier sous le maillot du PSG. Abattu par cette claque qui se profile, le gardien breton Lossol évite de peu que le match tourne à la correction sur deux arrêts décisifs devant Zlatan Ibrahimovic (75e) et Lucas d'une tête à bout portant (79e). Victime d'un contact dans la surface par Sorbon, Zlatan Ibrahimovic conclut cette belle soirée avec un penalty dans les dernières minutes de la partie (6-0, 90e) et marque donc son 106e but sous le maillot du PSG.

Collectif et surclassant cette équipe de Guigamp, le PSG prend donc six points d'avance sur son poursuivant Lyon sous haute pression avant son match face à Caen samedi à 17h00.

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Pour ce déplacement à Nantes comptant pour la 35e journée du championnat et capital en vue de la course au titre, Laurent Blanc aligne un onze sans surprises. Douchez titulaire dans les buts pour la 14e fois cette saison (toutes compétitions confondues), en l’absence de Sirigu toujours blessé. Devant lui, on retrouve une défense composée de Van der Wiel et Maxwell sur les côtés, Silva et Marquinhos forment la charnière centrale. Motta, Verratti et Matuidi sont alignés en milieu de terrain. Devant, on retrouve le trio d’attaque du moment : Pastore, Cavani et Ibrahimovic, en dépit de la comédie faite par J.M.Aulas.


Coup d’envoi donné par les parisiens qui monopolisent le ballon dans les premières minutes. Cette conservation est récompensée dès la 3e minute, suite à un centre de maxwell au second poteau, Ibra tente une frappe, mais cette dernière est contrée. Cavani en profite pour reprendre le ballon d’une demie volée un peu ric-rac qui trompe malgré tout Riou à l’aide du poteau. 13e but de la saison pour l’Uruguayen en championnat, 1-0 pour Paris ! Paris prive Nantes de ballon. Verratti et Motta notamment paraissent faciles avec le ballon, comme d’habitude. A la 11e minute, Pastore trouvé seul dans l’axe sert magnifiquement Cavani dans la profondeur, mais ce dernier oublie Zlatan et bute sur Riou qui remporte le face à face. Cavani que l’on retrouve 3 minutes plus tard bien servi par Ibrahimovic, mais sa frappe du gauche est une nouvelle fois stoppé par Riou.

Une domination parisienne qui s’atténue après le premier quart d’heure, Paris recule et suite à un bon centre de Bedoya côté droit, Gakpé d’une tête décroisée au point de penalty oblige Douchez à réaliser un arrêt de grande classe. Avec face à eux un Ibra et un Pastore pas au sommet de leur forme, les Nantais multiplient les tentatives sans réellement inquiéter la défense parisienne. Les hommes de Laurent Blanc conservent toutefois la maîtrise du jeu et à la 20e minute, Van der Wiel déborde et centre en retrait pour Pastore qui, d’une frappe molle à raz de terre, butte sur un Riou en grande forme ce soir. Paris se réveille et à la 31e minute, Motta parvient à se démarquer au milieu et trouve Ibra qui sert parfaitement Matuidi qui trompe Riou (0-2). 3e but de la saison pour Blaise Matuidi et 4e passe décisive du suédois.

Les Parisiens emmenés par un Motta en jambe continuent à attaquer et Pastore, à 5 minutes de la pause, lance Ibra en profondeur et sollicite un une-deux, mais l’attaquant parisien préfère la jouer seul et se fait reprendre à l’entrée de la surface par la défense nantaise. Mauvais choix du suédois qui oublie son partenaire argentin. Seul bémol dans cette première mi-temps, le douzième carton jaune reçu par Marco Verratti cette saison, assez sévère certes, mais qui le privera du déplacement à Montpelier pour la 37e journée du championnat.





Paris repart tout doucement, gère sa seconde mi-temps. À la 49e minute, Ibra est bousculé dans la surface, mais Ruddy Buquet ne bronche pas. Blaise Matuidi, visiblement blessé, est remplacé par Adrien Rabiot à la 51èmeminute. Rabiot dont l’entrée n’aura rien apporté au jeu parisien et dont la prestation du soir sera peu convaincante. Les Parisiens laissent davantage le ballon aux Nantais, mais ces derniers ne sont pas vraiment dangereux.

Par période Paris accélère, mais en vain. Rien jusqu’à la 55e minute et la tentative de Pastore bien servi par Ibrahimovic à l’entrée de la surface. Mais sa frappe du gauche manque une nouvelle fois de puissance et est contrée sans difficulté par la défense nantaise. Paris recule, s’expose aux tentatives nantaises, mais la charnière Silva-Marquinhos est infranchissable. À la 75e minute, Verratti auteur une nouvelle fois d’une très bonne prestation cède sa place à Cabaye qui dispute ce soir son 22e match de la saison en championnat.

Mauvaise nouvelle à la 79e minute lorsque Motta, suite à une semelle, reçoit un carton jaune qui le privera lui aussi du déplacement à Montpelier qui pourrait s’avérer décisif dans la quête du titre. Pastore qui disputait ce soir son 48e match de la saison toutes compétitions confondues sort à son tour, remplacé par Lavezzi. Rien à signaler au cours d’une fin de match tranquille même si, à la 92e minute, Motta sert magnifiquement Cavani qui réalise un contrôle de toute beauté, mais qui rate complètement sa frappe, une nouvelle fois.

6e victoire consécutive pour les Parisiens qui reprennent la tête du championnat. Un pas de plus vers le titre de champion de France.

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Trois jours après sa démonstration face à Lille (6-1), le PSG était de retour ce mardi soir sur la pelouse du Parc des Princes pour affronter le FC Metz afin de mettre à jour le calendrier de la Ligue 1. Pour cette rencontre, Laurent Blanc a retrouvé son capitaine Thiago Silva aligné en défense avec David Luiz et Lucas Digne a pris le poste de latéral gauche pour les principaux changements.


Paris prend le contrôle du jeu dans les premières minutes et se créer une première occasion avec un centre de Van der Wiel pour Cavani, mais la tête de l'Uruguayen passe de peu à côté (7e). Dans la foulée, le PSG enchaîne deux corners consécutifs, mais ne trouve pas l'ouverture. Paris continue donc de pousser pour ouvrir rapidement le score et cela finit par payer. Joliment servi par Motta, Pastore transmet un premier caviar à Verratti qui croise un tir du droit et envoie le cuir au fond des filets (25, 1-0). C'est le deuxième but de la saison pour le petit italien en championnat. Galvanisé par ce but, le milieu de terrain parisien adresse un long ballon à Cavani, mais El Matador s'emmêle les pinceaux dans son contrôle (35e). Sur un corner, Pastore va tenter la balle du break sur un centre tir et voit son ballon frôler la lucarne du portier messin. Flamboyant dans cette première mi-temps, l'Argentin offre ensuite un nouveau caviar à Cavani et cette fois-ci l'attaquant du PSG ne se manque pas et trompe Mfa d'une petite balle piquée du droit (42e, 2-0). Une balle de break qui arrive au meilleur des moments juste avant la pause. Sérieux et dominateur, Paris rentre ainsi aux vestiaires avec cet avantage de deux buts.





De retour sur la pelouse, Metz ne lâche pas les armes et parvient à surprendre le PSG sur une contre attaque. Sarr prend de vitesse la défense parisienne et centre pour Maïga qui d'un coup de tête trompe Douchez avec l'aide du poteau gauche (53e, 2-1). Cavani tente d'apporter une réaction, mais le portier grenat bouche bouche bien son angle et remporte son duel permettant à son équipe de rester dans la partie (59e). Combattant, Metz possède ensuite la balle de l'égalisation dans les pieds de Malouda, mais le tir du milieu de terrain de Metz file dans les gants de Douchez (63e). Alors que les Grenats pousse et tente d'arracher d'un match nul, Grégory Van der Wiel les crucifie sur un nouveau caviar de Pastore. Servi par l'Argentin, le hollandais frappe fort du droit et voit son ballon passé en dessous du portier messin filant au fond des filets (77e, 3-1). C'est son premier but en championnat de la saison. Abattus par ce troisième but parisien, les Messins baissent les bras et subissent plusieurs festivals de Lucas qui n'arrive toujours pas au bout de ses actions.

Paris s'impose donc 3-1 face à Metz grâce notamment à un grand Pastore et prend seul la tête de la Ligue 1, trois points devant Lyon, à quatre journées de la fin.

Pour la réception de Lille cette après-midi, Laurent Blanc a décidé de ne pas faire beaucoup tourner son effectif. Devant Sirigu, on retrouve une défense classique composé de Marquinhos et David Luiz dans l’axe, Maxwell et Aurier sont eux alignés respectivement à gauche et à droite. De retour de blessure, Motta est d’emblée titulaire et capitaine devant la défense aux côtés de Marco Verratti et Blaise Matuidi. Le trio d’attaque est quant à lui composé de Pastore, Cavani et Lavezzi préféré à Lucas sur le flanc droit de l’attaque.


Dès la 27e seconde, suite à une magnifique ouverture de Pastore pour Aurier, ce dernier centre, le ballon arrive au deuxième poteau sur Maxwell qui déclenche une frappe pied gauche qui trompe Enyeama, sous les yeux de Silva et Ibra en tribune. 1-0 pour Paris ! Paris déroule et à la 4e minute, Motta trouve une nouvelle fois Pastore entre les lignes qui se permet une nouvelle ouverture magnifique pour Cavani à la limite du hors-jeu qui trompe d’un lob somptueux Enyeama. 2-0 ! Paris domine, se procure des situations et gère la rencontre à son rythme face à un LOSC faible défensivement et peu créatif offensivement même si Boufal parvient, à la 17e minute, à transpercer la défense parisienne en dribblant notamment Verratti, Aurier puis Marquinhos, mais Sirigu est sur la trajectoire. 29e minute, suite à un corner Lillois, Motta récupère le ballon et lance Cavani complètement oublié par la défense lilloise. Seul face à Enyeama, Cavani sert généreusement Lavezzi d’une passe qui s’avère décisive pour l’Argentin qui inscrit son 5e but de la saison. 3-0, Paris fait le break. Seuls bémols pour Paris dans cette première mi-temps, les blessures de Sirigu touché à la cheville, remplacé à la 32e minute par Douchez et celle de Serge Aurier touché à son tour. Coup dur pour l’Ivoirien qui revenait à peine de blessure et doit céder sa place à Grégory Van der Wiel. Les hommes de Blanc continuent de faire tourner le ballon et inscrivent un nouveau but à la 43e minute, suite à une ouverture de Cavani qui lance en profondeur Matuidi, ce dernier parvient à éliminer Balmont pour servir Lavezzi, qui, seul face au but inscrit un doublé. 4-0 !







Paris redémarre tranquillement, conserve le ballon, domine sans vraiment attaquer. Après tout, il y a un match mardi à gagner contre Metz, on gère en évitant les blessures. Lille un peu sonné ne presse pas vraiment. Pas grand-chose donc jusqu’à la 59e minute et un corner lillois sur lequel Basa lob Douchez d’une tête au second poteau. 4-1. Mais Paris se réveille et à la 62e minute, contre-attaque parisienne menée par Pastore qui trouve Cavani au second poteau, mais le lob de l’Uruguayen est manqué. Pastore, en grande forme cette après-midi, élimine la défense lilloise et frappe, mais cette dernière est trop enlevée. À la 65e minute, Motta auteur d’une très bonne prestation est remplacé par Rabiot sous une ovation du Parc des Princes. Paris continue d’attaquer et suite à une merveille de ballon en profondeur de Pastore pour Lavezzi, ce dernier est stoppé irrégulièrement par Corchia à l’entrée de la surface. Penalty et carton rouge. Cavani s’élance et transforme magnifiquement le penalty. 5-1 ! 77e minute, bien servi par Pastore, Lavezzi contourne la défense lilloise de façon remarquable et ajuste une frappe croisée qui trompe enyeama. Triplé pour « El Pocho » et 6-1 pour Paris !

Une victoire, 3 points, des buts et du beau jeu, l’après-midi parfaite pour le PSG qui reprend la tête de la Ligue 1 et met une énorme pression sur les épaules de Lyon.

Après la claque reçue au match aller au Parc des Princes (1-3), le PSG espérait un miracle dans ce quart de finale retour de la Ligue des Champions face au FC Barcelone. Malgré les retours de Marco Verratti et de Zlatan Ibrahimovic... Il n'a pas eu lieu....


Libéré par le score acquis à Paris, le FC Barcelone s'est rendu la tâche facile dès les premières minutes en ouvrant le score grâce à Neymar (13e). Touché par ce coup à la tête, le PSG ne parvient pas à réagir et concéder une première frappe de Messi (22e) sans grand danger. Dans la foulée, une tentative de Daniel Alvès va être à contribution Salvatore Sirigu auteur d'une belle parade. Brouillon dans le jeu et pas assez agressif dans les duels le PSG ne parvient pas à mettre en danger le portier catalan. Profitant des boulevards parisiens sur les ailes, Daniel Alvès centre côté droit pour une tête de Neymar qui trompe Sirigu (33e) et enterre les espoirs du PSG. Une tête de Piqué sur Corner évite de peu de corser l'addition déjà sévère pour les Parisiens (38e). Le PSG rentre ainsi aux vestiaires avec ces deux buts encaissés, mais ne s'est pas montré dangereux pour espérer mieux.





Au retour des vestiaires, aucune réaction ou signe de révolte du PSG. Une frappe de Cabaye (50e) et un tir de Marco Verratti (59e) sont à signaler. Les minutes passent et Paris ne parvient pas à bousculer ce collectif catalan supérieur dans tous les domaines. Laurent tente ainsi de lancer le brésilien Lucas pour les 25 dernières minutes de jeu. Transparent dans cette rencontre, Zlatan Ibrahimovic tente une frappe de 20 mètres pour au moins sauver l'honneur, mais le tir du suédois est stoppé (73e). Cavani s'offre à son tour une occasion, mais l'Uruguayen échoue dans le petit filet (79e).

Impuissant face à cette équipe de Barcelone, le PSG quitte ainsi pour la troisième année consécutive la Ligue des Champions au niveau des quarts de finale. Une épopée européenne qui restera toutefois marquer par l'exploit contre Chelsea le tour précédent.



PS : Je désire rendre hommage à notre joueur qui nous à quitté beaucoup trop tôt, tellement tôt que nous n'avions même pas remarquer sa présence au club. Ta présence nous auraient surement manqué si nous avions su que tu étais auprès de nous, que ton âme soit en paix.


Bon ça y est les rageuses et accessoirement nouveau supporter du barca pour la soirée vous pouvez exprimé votre joie et votre haine envers le PSG.

Accroché, le PSG s'est finalement imposé à Nice (1-3), samedi, lors de la 33e journée de Ligue 1. Paris reprend la tête avec un point d'avance sur Lyon, qui accueille Saint-Etienne dimanche. De bon augure avant le match retour face au Barça, mardi.

Trois jours après la claque reçue face au Barça (1-3), Paris a mis une mi-temps à se remettre la tête à l'endroit. Mais après la pause, le PSG a déroulé pour signer un large succès sur la pelouse de l'Allianz Riviera (1-3). Le champion de France reprend provisoirement la tête du championnat avec un point de plus que l'OL, qui compte le même nombre de matches mais accueille Saint-Etienne dimanche. La mission parisienne est remplie. Ce n'est cependant pas cette rencontre qui va permettre aux Parisiens d'arriver en pleine confiance mardi au Camp Nou.

Qu'importe, l'essentiel est bien là. Ce match n'était pas évident à gérer pour le PSG. Coincée quelques jours après le match aller face au Barça et avant un retour où les hommes de Laurent Blanc visent un improbable retournement de situation, cette rencontre avait tout du piège. Pendant 45 minutes, ça y a ressemblé. En première période, le PSG s'est fait bousculer. Sans rythme, sans agressivité et sans génie, la formation parisienne n'a pas montré grand-chose et a même souffert.






En l'absence de Zlatan Ibrahimovic et Marco Verratti (suspendus), ou encore Thiago Silva, Tiago Motta (blessés) et Blaise Matuidi (sur le banc), un Parisien a cependant permis d'entrevoir la lumière : Javier Pastore. Placé plus bas sur la pelouse, l'Argentin a signé l'une de ses pires premières périodes de la saison. Mais sur un service de Lucas, il a d'abord trouvé l'ouverture du score (0-1, 40e). Et après la pause, c'est lui qui a symbolisé le regain de forme parisien. Repositionné plus haut sur le prés, il a remis Paris dans le bon sens avec Lucas Digne. Il s'est même offert un doublé (1-0, 63e) après avoir fait briller son aisance technique dans la surface sur une première frappe repoussée par Simon Pouplin.

Le match d'Edinson Cavani est beaucoup plus mitigé. Mais il y a une bonne nouvelle : l'attaquant uruguayen a stoppé sa période de disette de L1 en marquant le troisième but sur un penalty qu'il avait lui-même obtenu (1-3, 69e). S'il faut distribuer des bons points, il ne faut pas oublier Salvatore Sirigu. Impuissant sur l'égalisation de Mathieu Bodmer (1-1, 45e), le portier parisien a réalisé une parade superbe et décisive sur une tête de Carlos Eduardo (50e). Un tournant intervenu quelques minutes après une frappe de David Luiz parfaitement détournée par Simon Pouplin (48e). Après, Paris a passé la vitesse supérieure pour s'offrir une victoire logique. Merci Pastore. Il en faudra cependant beaucoup plus mardi au Camp Nou. De sa part mais aussi de celle de tous les Parisiens.





Le résumé vidéo de la rencontre sur ce lien :

http://www.wat.tv/video/resume-ogcn-psg-saison-2014-7bk6h_2jklh_.html

Sur ce ALLEZ LES VERTS!!!!!!

Très attendu, le PSG jouait son premier quart de finale de la Ligue des Champions face au FC Barcelone. Pour cette rencontre, Laurent Blanc était privé de Zlatan Ibrahimovic, Serge Aurier, Thiago Motta et Marco Verratti..


Sans surprise, c'est le Barca qui monopolise le ballon dès les premières minutes. Messi sur une frappe en roulé donne une première frayeur avec le cuir qui heurte le poteau droit de Salvatore Sirigu. Les Catalans trouvent ensuite la faille avec une frappe de Neymar qui trompe le portier parisien (0-1, 18e). Paris subit ensuite un premier gros coup dur avec la sortie sur blessure de Thiago Silva remplacé par David Luiz (20e). Sur un contre du PSG, Cavani pêche dans la finition après un bon mouvement collectif Pastore-Lavezzi (28e). El Matador trouve ensuite l'ouverture sur un centre de Maxwell, mais son ballon est stoppé par le portier catalan (34e). Malgré ce sursaut d'orgueil tardif, le PSG concède une nouvelle occasion de Suarez (42e), mais Sirigu stoppe le tir de l'Uruguayen. Les Parisiens rentrent au vestiaire avec ce but de retard et avec le sentiment d'être passé à côté de cette première période.





De retour sur la pelouse du Parc, le PSG cherche rapidement l'égalisation avec Pastore (48e) et Rabiot (50e) mais ils ne trouvent pas l'ouverture. Laurent Blanc tente alors de lancer Lucas pour donner du punch à son attaque, mais le PSG prend un nouveau coup sur la tête avec un premier but de Suarez (0-2, 67e) qui permet à Barcelone de faire le break dans cette rencontre. Abattu par ce nouveau but barcelonais, le PSG n'arrive pas à réagir et l'Uruguayen s'offre un doublé en ridiculisant David Luiz d'un deuxième petit pont (0-3, 79). Un but contre son camp de Mathieu (1-3, 82e) va permettre à Paris de réduire la marque en fin de match, mais la claque fait très mal aux Parisiens qui paient de nombreuses absences capitales.

Une douche froide pour le Parc des Princes qui voit ainsi sa forteresse explosée face à un FC Barcelone supérieur. Il va falloir un miracle au Camp Nou mardi pour que le PSG ne prenent pas la sortie aux portes des demies finale de cette Ligue des Champions pour la troisième année consécutivement...


ps : c'est ok pour ce soir les anti - PSG vous pouvez exprimé votre joie, on sais que vous n'attendiez que ça