Paris s'est fait très peur ce samedi après-midi face à Reims et arraché le match nul grâce à Edinson Cavani (1-1) pour cette 6e journée de Ligue 1.

Malgré six changements dans le onze de départ, le PSG a entamé cette rencontre de la plus belle des manières en étouffant son adversaire. Alors que l'on a cru à l'ouverture du score de Javier Pastore, le but de l'Argentin a été refusé pour un hors-jeu indiscutable (15e). Sur un centre de Layvin Kurzawa, titulaire pour la première fois avec paris, Lavezzi piqué son ballon, mais Signorino sauve sur sa ligne ! (18e). Dans la foulée, Reims réagit et se créer une occasion franche sur un ballon perdu par Thiago Silva et cette fois c'est Marquinhos qui évite l'ouverture du score d'un tacle rageux (18e). Malgré ce réveil champenois qui subit un coup dur en perdant son gardien sur blessure, le PSG garde la maîtrise du jeu, mais baisse l'intensité de ses efforts permettant à Reims de reprendre confiance à l'image de cette frappe de De Préville qui heurte le poteau droit de Kevin Trapp battu sur le coup (41e).





Au retour des vestiaires, très discret, Zlatan Ibrahimovic a la possibilité d'ouvrir le score après une parade de Placide sur une frappe de Marco Verratti, mais la tête plongeante du suédois ne trouve pas le cadre du but complètement vide (62e). Après un long flottement, la rencontre s'est ensuite emballée pour dix dernières minutes de folie. Sur un exploit de De Préville qui efface au passage Layvin Kurzawa et Kevin Trapp, l'attaquant rémois sert Siebatcheu qui n'avait plus qu'à poussé le ballon dans le but parisien vide (83e 1-0). Mais quelques secondes plus tard, sur l'engagement, Javier Pastore fait une loupe à Edinson Cavani, entré en jeu quelques minutes plus tôt, et l'attaquant du PSG égalise dans la foulée (84e 1-1). Incroyable rebondissement pour le PSG qui prend ensuite d'assaut le but de Reims et aurait pu arracher la victoire grâce à son capitaine Thiago Silva, seul au point de penalty, manquant sa tête sur un corner d'Angel Di Maria (89e).

15 minutes bonnes, c'est la seul chose de positif dans cette rencontre que nous pourrons retenir et heureusement qu'Edinson Cavani était présent pour sauver le PSG de sa première défaite de la saison. Malgré ce match nul, Paris reste leader de la Ligue 1, mais va devoir montrer autre chose dans les deux rencontres à venir face à Guingamp (mardi) et Nantes (samedi prochain) pour ne pas être chassé de son fauteuil.

Supérieur dans tous les domaines, le PSG n'a pas raté son entame de Ligue des Champions en s'imposant face à Malmö. Un match marqué par le premier but parisien de Di Maria, intenable dans son couloir droit.


Le Parc des Princes a sans doute vu mardi soir l’adversaire le plus faible de la saison européenne du PSG. Et sans faire injure à Malmö, les Parisiens n’ont pas eu à puiser outrageusement dans leurs réserves pour entamer victorieusement leur campagne de Ligue des Champions. Mais toutes ces considérations sur l’adversité mises de côté, il faut bien reconnaître que ce PSG-là aura les moyens de poser des problèmes à toutes les équipes qui viendront visiter la Capitale.

Surtout si Angel Di Maria rend de telles partitions à chacune de ses sorties. Après ses débuts réussis à Monaco, l’Argentin avait un peu déçu face à Bordeaux. Manque de rythme, excès d’individualisme, pertes de balle… On se doutait bien qu’on verrait rapidement un autre visage de l’ancien joueur du Real et de Manchester Utd mais sans doute pas aussi vite dans la saison.




Dans son couloir droit, Di Maria a tout simplement régalé avec une rapide ouverture du score puis en étant impliqué dans presque chaque action. Son entente technique avec Verratti saute aux yeux. Celle avec van der Wiel a également fait beaucoup de mal aux Suédois. A l’arrivée, le PSG a décroché une victoire facile afin de débuter cette C1. Pour le match référence et le message envoyé à l’Europe entière, il faudra encore attendre un peu. Peut-être juste un peu…

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Au cours d'un match marqué par les erreurs de gardiens, le Paris Saint-Germain a été repris deux fois au score par les Girondins de Bordeaux (2-2) vendredi soir au Parc des Princes, à l'occasion de la 5e journée de Ligue 1.

Pour cette reprise des hostilités après la trêve internationale, le PSG n'a pas été brillant lors du premier acte. Certes, la possession de balle a été largement en sa faveur, mais pour une domination stérile, avec un déchet technique inhabituel durant la première demi-heure. Malgré l'absence d'une grosse poignée de joueurs, Bordeaux jouait le coup à fond. Un bon pressing, des projections rapides vers l'avant... A quelques centimètres près, Khazri aurait même pu se présenter seul face à Trapp.



La partie basculait finalement sur un coup du sort, un ballon relâché par Carrasso dont profitait Cavani (27e, 1-0) ! Sagnol était dépité sur son banc. Quelques minutes seulement. Car dans la foulée, Trapp appréciait mal une trajectoire lui aussi, et laissait échapper un corner dévié par Saivet dans ses filets (31e, 1-1). Un petit évènement puisqu'il s'agit du premier but encaissé par les Parisiens cette saison en championnat ! Les supporters n'ont pas eu le temps de trembler ; Cavani redonnait l'avantage à son équipe d'un coup franc direct (34e, 2-1) !

100% de réussite pour les coéquipiers de Di Maria, assez discret et qui perdait un face à face avec Carrasso peu avant la mi-temps... Après la pause, le match restait engagé et vivant. Les occasions franches étaient peu nombreuses mais le suspense persistait grâce à des Girondins refusant d'abdiquer, mais qui se retrouvaient à dix après l'exclusion de Saivet pour un second jaune (77e). Mais tandis que Carrasso passait une seconde période tranquille, Trapp plombait l'ambiance au Parc. Servi en retrait, le gardien allemand tardait à dégager et se faisait piquer le ballon par Khazri (79e, 2-2). Incroyable !

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Un 3-0 bien ficelé sur la pelouse d'un concurrent au titre, un doublé de Cavani et une entrée réussie pour Ángel Di María. Tout va bien au PSG, vainqueur à Monaco et en route pour un nouveau titre.


Pour sa première apparition en championnat cette saison, Ibrahimovic s'illustrait le premier dans cette partie. D'une frappe en pivot dans la surface, le Suédois inquiétait Subasic, pas malheureux de voir le ballon filer à côté. C'est ensuite Lucas, bien servi par Verratti, qui réussissait un superbe enchaînement contrôle-volée mais sa tentative manquait de puissance pour faire mouche. De l'autre côté, El Shaarawy, titulaire sur le flanc gauche, était l'auteur d'une bonne percée mais manquait le geste final, gêné par un retour limite de Matuidi.

S'il manquait une vraie étincelle pour débrider ce choc de la 4e journée de Ligue 1, les deux équipes affichaient tout de même une belle maîtrise technique. Pas de quoi cependant dérider un Louis II comble mais déçu du manque de rythme. Sur le banc parisien, Di Maria devait seulement être impressionné par un Thiago Silva impérial derrière. En revanche, la prestation de Cavani n'avait pas de quoi effrayer l'Argentin... Au retour des vestiaires, Trapp affichait, comme à Montpellier le week-end dernier, une grosse présence devant sa cage sur une frappe d'El Shaarawy. Moment choisi par Laurent Blanc, agacé par le manque d'allant offensif de son équipe, pour envoyer Di Maria à l'échauffement. Et moment choisi par Cavani pour se réveiller.





Sur un centre de Matuidi, l'Uruguayen, pourtant très moyen jusque-là, trouvait d'un puissant coup de tête la lucarne de Subasic (0-1, 57e). Di Maria faisait son entrée sur la pelouse 10 minutes plus tard. Et sur son premier ballon, l'ancien Mancunien était tout près d'être passeur décisif pour Cavani, bien moins inspiré qu'un peu plus tôt. Mais El Matador, lancé par Ibra, ne gâchait pas une deuxième belle opportunité (0-2, 73e). En fin de rencontre, Di Maria était décisif pour sa première sous ses nouvelles couleurs avec une offrande pour Lavezzi (0-3, 83e). Après 4 journées, le PSG compte déjà 12 points et n'a toujours pas concédé le moindre but. Et l'un de ses plus sérieux rivaux, Monaco, vient d'en prendre 3 à la maison... Bordeaux, prochain adversaire de Paris, tremble déjà.

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Voilà on connait les adversaire du PSG et de Lyon. Le PSG devrais s'en sortir bien qu'il soit tombé sur le Real de Madrid, quant à lYon c'est jouable aussi en espérant qu'il montre autre chose que ce qu'il font actuellement.

En tous cas on peut dire que le changement concernant les chapeaux est une bonne idée car on ce retrouve avec des poules homogène et de beau match à voir contrairement à avant ou tu avais une ou deux poule de la mort d'un coté et le reste avec des poule sans intérêt ou les équipes qui sortiront de la poule sont déjà continu.

Bref allez PARIS et bon courage à Lyon.

Privé de ses stars Zlatan Ibrahimovic, Angel Di Maria ou encore Marco Verratti, le PSG est allé chercher une victoire à l'arraché grâce à un grand Blaise Matuidi (0-1)...
Pourtant la partie avait bien débuté avec un coup franc de David Luiz direct (5e) qui a mis en difficulté Jonathan Luigi d'une frappe flottante pied droit. Quelques minutes plus tard, Paris est frappé d'un coup dur avec la sortie de Javier Pastore touché au mollet (10e). Sans son créateur, les hommes de Laurent Blanc perdent leur repère et leur jeu malgré une occasion franche d'Adrien Rabiot (14e). Les centres ne sont pas appliqués et Lucas et Cavani ne parviennent pas à faire la différence. Un coup franc de Thiago Motta va toutefois tenter de réveiller les Parisiens avec un but de la tête de Serge Aurier, mais cette ouverture du score (36e) est refusée pour un hors-jeu valable. C'est ensuite Ezequiel Lavezzi qui bénéficie d'une grosse erreur de Jonas Martin qui manque son contrôle dans sa surface, mais l'Argentin ne parvient pas à cadrer sa frappe. C'est donc au terme d'une triste période que les deux équipes se séparent sur le score nul de 0-0.



Au début de cette deuxième période, une image frappe avec une discussion dans les couloirs entre Laurent blanc et Blaise Matuidi qui aura finalement son effet. Mais c'est Montpellier qui prend confiance dans ce début de deuxième partie de jeu avec Mounier qui centre pour Bensebaini, ce dernier coupe le cuir de la tête et il faut une incroyable manchette de Kevin Trapp pour éviter le pire à Paris. Le premier grand arrêt du gardien allemand depuis son arrivée au PSG (49e). Une occasion qui met en confiance les Montpellérians où il faudra un grand Serge Aurier pour sauver un ballon sur la ligne. Alors que c'est le feu dans la défense du PSG, un éclair de génie arrive ! Servi dans la surface par Maxwell, Blaise Matuidi déclenche une frappe du gauche en pivot qui trompe totalement Jonathan Ligali et file au fond des filets (61e 0-1). Une ouverture du score qui sauve le PSG lors d'un temps fort de Montpellier. Paris va ensuite gérer la fin de son match et trembler jusque-là dernière minute de la partie avec un Thiago Silva en taille patron et un Serge Aurier impeccable défensivement. Entré en jeu dans les dernières minutes de cette partie, le jeune Jean-Kévin Augustin a la balle du break dans les pieds, mais perd son duel avec le portier sudiste (80e).

Paris remporte donc son troisième match consécutif en championnat et garde sa place de leader alors que Montpellier n'a marqué aucun point en Ligue 1 depuis le début de la saison. Une victoire arrachée avec la rage des joueurs de Laurent Blanc, mais qui n'amène aucunes inquiétudes puisque des ténors comme Zlatan Ibrahimovic, ou encore Angel Di Maria sont sur le point de faire leur apparition dans le groupe pour le premier choc de la saison face à Monaco dimanche prochain.

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Sans forcer, Paris a aligné un deuxième succès en deux matches. Dimanche soir, Blaise Matuidi et Thiago Silva ont été les bourreaux d'un Gazélec Ajaccio (2-0) qui a plié trop rapidement. Le triple champion de France est leader à la différence de buts.

Une formalité. Sans grande surprise, le PSG n'a pas eu à forcer son talent pour venir à bout du Gazélec Ajaccio (2-0) dimanche, en clôture de la 2e journée de Ligue 1. Les hommes de Laurent Blanc ont parfaitement négocié la venue du promu corse en prenant rapidement un break d'avance, grâce à des buts de Blaise Matuidi (11e) et de Thiago Silva (21e). Un succès qui permet aux Parisiens de prendre la tête du classement, avec une meilleure différence de buts que Reims et Caen. Déjà.






Les places vont valoir cher dans le onze de Laurent Blanc cette saison, et il ne sera vraiment pas évident de prendre celle de Blaise Matuidi. Déjà décisif à Lille (0-1), le milieu de l'équipe de France a lancé Paris sur le chemin de la victoire face au Gazélec. Suite à une longue ouverture de Thiago Silva renvoyée timidement par la défense corse, l’ancien Stéphanois a été le plus prompt pour s'emparer du ballon et l'expédier dans la lucarne d'une frappe puissante au premier poteau (1-0, 11e).
Hormis une reprise de la tête de Grégory Pujol (17e), le Gazélec, positionné très bas et incapable de ressortir le ballon, n'a pas vraiment pu réagir à l'ouverture du score parisienne. Et le PSG n'a pas tardé à se mettre à l'abri. Sur un corner parfaitement tiré par Thiago Motta, de retour dans l'équipe de départ, Thiago Silva a profité d'une certaine liberté pour venir catapulter le ballon au fond des filets d'une tête smashée, et donner un break d'avance au club de la capitale (2-0, 21e).

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ps : Que tous les pseudo supporter qui ont sifflés Stambouli au Parc ailles ce faire enculer. Je n'étais pas pour sa venu dans l'équipe mais maintenant il fait parti du PSG donc autant l'accepté et le mettre dans les meilleurs condition pour qu'ils soit bon et ce donne à fond.

Malgré l'expulsion d'Adrien Rabiot dès la 28e minute, le PSG est allé s'imposer vendredi à Lille (0-1), grâce à un but de Lucas (57e), lors du match d'ouverture du Championnat.

La trêve est passée, des joueurs sont arrivés, d’autres partis, mais le PSG a débuté la saison comme il avait terminé la dernière: en gagnant. Convaincants en matches amicaux puis lors du Trophée des champions contre l’OL (2-0), les Parisiens ont débuté le Championnat par un succès à Lille (0-1), vendredi, en ouverture de la Ligue 1. Le forfait d’Ibrahimovic, les états d’âme de Thiago Motta (placé sur le banc), ou le maigre historique des joueurs de la capitale lors des premières journées de L1 (voir plus bas), pas plus que l’expulsion rapide d’Adrien Rabiot (28e), n’ont altéré la dynamique parisienne chez des Nordistes en manque de solutions offensives.



Le bon début de match du PSG aurait pu lui offrir un avantage rapide au score si Edinson Cavani avait réussi à pousser le ballon dans les filets après avoir passé Enyeama (7e). L’activité lilloise a ensuite rééquilibré la partie. Guirassy, d’une frappe contrée par Thiago Silva, puis l’expulsion de Rabiot, ont réveillé le public de stade Pierre-Mauroy. Pas de quoi inquiéter les partenaires de Marco Verratti, qui reprenaient le contrôle de la rencontre dans le second acte. Lancé dans la profondeur par Matuidi, Lucas effaçait Enyeama avant de marquer le premier but de la saison, sous les yeux d’Angel Di Maria. Hormis une tentative de près de Guirassy, détournée par Trapp (60e), les Parisiens n’ont ensuite pas été inquiétés. Ce sont au contraire Aurier (77e) puis Cavani (90e+3) qui auraient pu creuser l’écart pour les champions en titre.

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Ça y est, le PSG a donné le coup d'envoi de sa saison 2015-2016 avec le Trophée des Champions face à Lyon ce samedi soir à Montréal. Une rencontre où le PSG était privé de deux joueurs majeurs en la personne de Javier Pastore et d'Ezequiel Lavezzi trop juste physiquement. Laurent Blanc a aussi décidé de ne pas prendre de risque avec la blessure de Thiago Motta à l'adducteur et a ainsi aligné Marco Verratti au poste sentinelle avec à ses côtés le jeune Rabiot et l'inévitable Blaise Matuidi. Zlatan Ibrahimovic et Edinson Cavani étaient tous les deux en pointe.

Les Champions de France n'ont pas manqué d'afficher leur état de forme face à des Lyonnais privé de pièce maîtresse comme Clément Grenier, Clinton Njie et Nabil Fékir. Sur leur première occasion, le PSG ouvre le score grâce à Serge Aurier impressionnant en ce début de saison. Sur un centre de David Luiz, l'international ivoirien glisse le ballon de la tête au fond des filets des buts d'Anthony Lopes (15e, 1-0). Un début de match parfait pour le PSG qui met dans la foulée un deuxième coup sur la tête de son adversaire du soir signé Edinson Cavani.

Opportuniste, Zlatan Ibrahimovic tente sa chance avec une première frappe face au gardien lyonnais. Si celui-ci s'interpose, le cuir file dans les pieds du Matador qui ne manque pas le cadre pour le break du match (17e, 2-0). Deux occasions, deux buts, le PSG n'a pas manqué de prendre le contrôle de cette rencontre face à des Lyonnais abbattus par ses deux coups sur la tête. Complètement à sens unique avec un Kevin Trapp qui ne s'est pas illustré, le PSG aurait pu corser l'addition à plusieurs reprises grâce notamment à de superbes gestes techniques de Zlatan Ibrahimovic ou encore un grand Adrien Rabiot qui profita d'une grosse erreur de Beauvue. Paris rentre donc aux vestiaires avec cet avantage de deux buts et une première mi-temps réussie.





Après le repos, incapable de relever la tête, les Gônes vont connaître un nouveau coup dur avec l'expulsion de leur capitaine Maxime Gonalons pour deux cartons jaunes. À 10 contre 11, Lyon ne verra pas la lumière durant cette deuxième mi-temps et le PSG manque à plusieurs reprises l'occasion d'aggraver la marque avec des occasions franches de Jean-Kevin Augustin, Adrien Rabiot très bon sur ce match ou encore Zlatan Ibrahimovic qui fait taire les critiques sur ce premier grand rendez-vous.

Le PSG remporte donc sans contestation le Trophée des Champions 2015 en dominant et écrasant dans le jeu son dernier dauphin en Ligue 1. Une rencontre qui nous laisse aussi de belles promesses surtout avec l'arrivée prochaine d'Angel Di Maria pour le championnat à venir qui débutera dès vendredi sur la pelouse de Lille.

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ps : Bon il ne s'agit que du trophée des champions donc on ne va pas en faire des tonnes mais il faut avoué que faire à Aulas c'est toujours aussi plaisant et si nous le PS avait perdu j'imagine même pas les remarques des supporter adversaires.