C’est par le biais d’un communiqué de Square Enix qu’en l’on apprends que les dlcs annoncés puis annulé (Aranea, Lunafreya et Noctis pour rappel) auront droit à une adaptation littéraire via l’ouvrage FF : The Dawn of the future.
Le roman sera publié au Japon dès le 25 avril, et le compte Twitter officiel de Final Fantasy XV indique que l’on aura droit au livre en Occident.
La traduction Fr n’est pas sûr mais nous sommes maintenant fixé quant au devenir de ce morceau d’histoire non raconté.
A noter que Square Enix a fait appel à Jun Eishima, qui a déjà bossé sur d'autres adaptations littéraires issues de l’univers Final Fantasy XIII (Episode Zero, Fragments Before et Fragments After), Dragon Quest : Les Héritiers de l'Emblème, ainsi que NieR Automata : Long Story Short.
Qu’est-ce que vous en pensez?
Comptez vous l’acheter?
Cela fait un moment que je ne poste plus d'articles (à cause de mes cours principalement) mais exceptionnellement je fais un effort car je n'ai vu personne sur le site reporter cette offre de reprise "d'ancien jeux" par Auchan, trouvé sur Dealabs, pour obtenir Red Dead Redemption 2 sur Ps4 et One à seulement 14,49€.
A noter que
1) On vous délivre un bon d'achat de 32 euros à faire valoir en magasin
2) L'offre permet aussi d'obtenir AC Odyssey, Call of Duty Black Ops 4 et d'autres à moindre coût.
Ils semblent surfer sur l'idée de escr... *cough cough* ...micromania qui ne propose pas de reprise de jeux récents pour faire chuter le prix de nouvelles sorties depuis un moment.
Voici la liste, à noter qu'elle s'applique aussi aux autres nouveaux jeux et pas seulement à COD.
Et le lien vers Hypergames (branche gaming de Auchan) et la page Dealabs
Je fais partager (en attendant de finir mon article sur FFXIII-3 Lightning Returns) l'interview faites par Kayane avec le compositeur mythique de nombreux Final Fantasy, Lost Odyssey, Front Mission GH, SSB Brawl ou notamment The Last Story dont on croise les doigts fort pour un remake sur Switch
La vidéo dure 10 min et on y apprends en autre quels sont ses épisodes FF préférés mais aussi sa manière de composer selon les jeux qu'il doit habiller musicalement.
En bonus, pour les mélomanes ou ceux qui n'auraient jamais écouté une de ses compositions, voici une mini sélection qui a mon sens entre au panthéon des BO vidéo-ludique :
• Lost Odyssey : Parting Forever
• Final Fantasy X : Wandering Flame
• The Last Story : The Flying One
Have a good night
N.B : La vidéo vient de la chaine de Wen180sec qui poste ses critiques ciné de temps en temps sur le site, pensé à liké si vous aimez l'interview.
Il est vraiment sympa, j'ai passé un bon moment devant. Bright, le fameux "Blockbuster" de Netflix sensé casser la baraque et leur rapporter des millions.
Après avoir lu plusieurs avis qui le présentait comme raté ou terrible navet, je me dois de venir défendre le film.
Je m'attendais à du kitsch dans tout les sens et des effets speciaux honteux et au final on se retrouve avec une production plus qu'honnête avec un Will Smith qui réussi à nouveau à convaincre par des dialogues vraiment drôle et sa complicité avec Nick Jacoby, son partenaire flic Orc.
Les dialogues ne sont pas les seules qualités, l'intrigue bien que simple est vraiment plaisante à suivre.
De plus, dans ce Los Angeles alternatif où le brassage de culture avec les Orcs, les Elfes et les humains qui tiennent chacun une place spécifique dans la strate sociale (riches, pauvres, ségrégué, etc...) est vraiment convaincant, on adhère assez facilement malgré que l'on aurait voulu plus de fantastique et de magie pour le coup.
Au délà d'une scène dans le film (celle avec les 4 flics dans la plaque qui se la joue The Shield du pauvre sans conviction), le reste du film n'a pas de défauts insupportables.
Ça bouge bien, l'action est soutenu et les elfes sont vraiment badass (leur cascade en particulier).
Bref le film vaut vraiment de lui consacrer 2h de votre temps.
J'espère une suite car il y a vraiment matière à en faire plusieurs.
Un article afin de saupoudré ce débat qui fait rage depuis la sortie de Star Wars VIII : "C'était mieux avant " ou "C'est mieux maintenant"? avec le retour à la TV des Minikeums sur France 4
Pour ceux qui était trop vieux ou trop jeune, Les Minikeums, c'était cette récréation ludique et parodie de notre vie à travers des marionnettes à la gueule botoxé façon Bogdanov passant le matin et à l'heure du goûter sur France 3.
Rappel nostalgique
Pour la nouvelle génération de téléspectateurs, les producteurs ont fait le choix de prendre des "personnalités" récentes afin de les appâter.
Ainsi on a droit à Keva (Alias Kev Adams), Normy (Norman le Youtubeur), Pog (dit Pogba), Riha (Rihanna pour ceux qui n'aurait pas deviner) et enfin LouLou (qui je présume est Louane) en plus de la mascotte bleu du groupe Hirsute.
Avis perso, je trouve cela pas mal malgré que je ne sois pas forcément fan des stars choisit, cela apporte un vent de fraîcheur pour les écoliers qui n'ont pas connu Coco, Zaza ou M'sé à notre époque.
Cela fou une baffe nostalgique, faut l'avouer, et on sent qu'il y a eu une réelle volonté de garder au mieux l'ADN de ce show bien que ça manque des mythiques parodies que j'aimais beaucoup.
Voici quelques extraits pour vous faire votre propre avis
Mise à jour disponible pour les japonais et devrait donc être à disposition Day One chez nous lors de sa sortie le 23 Janvier 2018, en version boite et démat' pour rappel.
La mise à jour "Le défi des trois divinités" étendra la durée de vie du titre et corrigera quelques bugs présent dans le jeu initial.
Voici la liste des ajouts :
- Nouveaux donjons à génération aléatoire en New Game +
- Transferts des effets associés aux armes/armures via les boutiques (une quarantaine de renforcement présent)
- 42 nouvelles armes et 17 armures à obtenir dans ces donjons
- Artefacts permettant de moduler le niveau des ennemis avec un palier de lvl 99
Pour rappel une démo est disponible sur le Playstation Store et Eshop.
Bon je ne suis pas un gros fan de la saga mais j'ai toujours suivi de manière attentive l'actualité autour des films.
Le 7ème opus sans me décevoir, ne m'avait vraiment pas marqué. Trop conventionnel ou manquant trop de punch, il restait malgré tout un bon divertissement pour les spéctateurs mais aussi pour les critiques assassines ou faciles.
Justifié de par le manque de risque de J.J Abrahms, on était en droit d'attendre quelque chose de différent, de plus profond de la part de Rian Johnson.
Est-ce le cas?
Jeuxvideo.com, critique à ses heures perdus propose un début de réponse sans spoil rassurez vous.
C’est dans ce contexte que nous arrive Les Derniers Jedi, écrit et réalisé par Rian Johnson, honnête artisan n’ayant pourtant qu’à son actif le sympathique Looper et quelques épisodes de Breaking Bad. Pari osé quand on songe à l’importance de l’entreprise bien que renvoyant à la façon de faire de la toute première trilogie, lorsque Lucas avait confié les rênes de L’Empire Contre-Attaque et Le Retour du Jedi à Irvin Kershner et Richard Marquand. On imagine donc l’état d’esprit de l’homme devant à la fois capitaliser sur le travail d’Abrams tout en faisant avancer l’histoire pour amener le troisième opus de la saga. Pour se faire, Johnson s’appuie tout d’abord, et de manière constante, sur la construction de L’Empire Contre-Attaque. Ainsi, si il évite partiellement le piège dans lequel s’était engouffré Abrams en saupoudrant à foison (et souvent de manière maladroite) son long-métrage de clins d’oeil, il reste cantonné à une construction connue ayant, certes, fait ses preuves, mais minimisant par là-même la découverte des scènes à quelques exceptions près. Pourtant, ce qui aurait finalement pu être une véritable faiblesse devient par certains côtés l’une de ses forces.
En effet, le réalisateur américain, plutôt que de s’affranchir de l’héritage de la saga en terme de mise en scène, utilise au mieux la construction du film de Kershner en imposant un style sobre quoique très élégant et efficace tout en tissant des relations plus fortes entre les personnages de la nouvelle trilogie. De fait si l’équilibre est plutôt réussi malgré les 2h30 de métrage, il est cependant regrettable que Johnson ait autant concentré son récit sur Rey (cherchant le savoir auprès de Luke) et Kylo Ren, bien mieux loti que dans Le Réveil de la Force. Si ceci est compréhensible, dans le sens où les deux protagonistes restent plus que jamais les figures d’un certain lendemain autour duquel pourrait évoluer la galaxie toute entière, cela se fait au détriment des personnages plus secondaires. Ceci se ressent nettement à travers Finn, dont l’importance est inversement proportionnelle à son temps de présence à l’écran.
Même son de cloches pour Poe Dameron, plus que jamais présenté comme un baroudeur censé prendre la suite d’un Han Solo et ce aussi bien dans ses décisions qu’à travers ses talents de pilote. Si chacun de ces personnages a bien entendu son moment de bravoure, il est malheureux que Les Derniers Jedi n’ait pas davantage cherché à creuser ses héros secondaires autrement que via un conflit naissant avec l’autorité pour l’un ou une rencontre fortuite pour l’autre. Sur ce dernier point, on ne pourra également qu’être déçu par l’intégration maladroite de Rose Tico dont la relation avec Finn semble aussi artificielle que la présence des Porgs, mascotte de cet épisode mais renvoyant surtout à un merchandising parfois intégré au forceps. Et quitte à enfoncer le clou, que dire de Chewie, vestige d’une époque empreinte de nostalgie mais dont le rôle ne dépasse pas celui de nounou servant surtout à amener ce genre de produit très gênant.
Pourtant au-delà de ses erreurs évidentes, Les Derniers Jedi conserve une dimension épique que nous n’avions pas connu depuis L’Empire Contre-Attaque. Ceci tient en partie à l’évolution de ses deux figures principales dont le traitement s’avère particulièrement intéressant. En effet, alors que Rey n’aurait pu être qu’un stéréotype de femme forte, son écriture, beaucoup plus subtile et d’actualité, offre à l’actrice Daisy Ridley l’occasion d’étoffer son jeu. Doutant de ses pouvoirs, des choix qu’elle doit faire, elle se montre tour à tour proie et chasseur. De l’autre côté du miroir déformant, Kylo Ren sort enfin de l’ombre de Dark Vador en étant plus que jamais déterminé à faire table rase du passé pour aller de l’avant. Magnifié par un visuel époustouflant, les décisions de l’apprenti de Snoke seront bien entendu synonymes de batailles spatiales homériques ou de duels tristement peu nombreux mais nous rappelant malgré tout que Star Wars trouve ses racines dans le film de chevalerie et le comte de fées qui prend ici une noirceur très appréciable.
Néanmoins, et bien que Les Derniers Jedi s’inscrive de plein pied dans un récit plus sombre, l’espoir n’en demeure pas moins le moteur de l’intrigue et ce même si il sera mis à rude épreuve. Malgré l’importance du récit, Rian Johnson ne perd pourtant jamais une occasion de distiller des traits d’humour, jamais intrusifs et souvent bien trouvés. Le real s’amuse, de l’auto-dérision sur la forme de certains vaisseaux en passant par le pendant dark de BB8, BB-9E qui n’est rien de plus qu’un autre exemple d’élément destiné au merchandising mais bien mieux intégré que le placement régulier des Porgs. En parallèle, le film explore avec une jubilation certaine l’univers de Lucas via de somptueux décors, un impressionnant défilé de créatures ou bien une mise en scène renforcée par des effets sonores donnant à certains plans une beauté absolue.
Les Derniers Jedi réussit donc là où Le Réveil de la Force avait échoué en offrant à ses personnages (du moins centraux) une personnalité plus marquée et surtout un but mieux défini qui alimentera le récit du prochain opus. Alors, oui, l’effet de surprise s’est évaporé (sorti de quelques séquences étonnantes) et on déplorera qui plus est que certaines idées, utiles en temps que ressort scénaristique mais assez discutables d’un point de vue de la mythologie, s’avèrent peu convaincantes voire légèrement risibles. Néanmoins, l’énergie déployée par Rian Johnson pour creuser et affiner ce qui avait été survolé dans Le Réveil de la Force, tout en jouant habilement sur certaines questions qu’on se pose tous, est sans doute la plus grande réussite du long-métrage au-delà de son visuel éblouissant et de la bande son de John Williams toujours aussi vaillant du haut de ses 85 ans. Une raison de plus pour placer un nouvel espoir dans le prochain volet.
Pour rappel, le film sortira demain dans toutes les salles sombres MAIS seulement en VF, un embargo a été imposé sur les versions sous-titrés pour la non-intégration de l'écriture inclusive.
De quoi relancer les joutes sanglantes entre les factions sectaires VO et VF
Après l'avatar, Mia Karnstein la blonde venu des pays froids, voici son petit frère Nicolas qui est mis en avant par Bandai Namco (qui a des airs de Relia de Star Ocean V d'ailleurs).
Mais aussi les environnements enneigés du jeu ainsi qu'un boss hybride, mi-cerf, mi-chevalier qui a vraiment la classe
Nicola Karnstein
Mia et Nicola
Le chevalier-cerf
... et un peu de gameplay
Pour rappel le jeu sortira courant 2018 sur Ps4 et Xbox One.
Avant-propos :
Vous vous souvenez de cette époque où chaque RPG japonais qui tombait dans nos frêles mains (que ce soit en import, par prêt entre amis ou achat d'une version euro si rare) nous étais si cher au point que chaque session de jeu était une délectation où l'on ne voyait pas le temps passé? Ces fameux jeux où le plaisir de la découverte était encore un bourgeon dans notre cœur d'apprenti gamer?
Cette ère où le mot "mélomane" n'existait pas dans notre vocabulaire mais qui ne nous empêchait pas de savourer de fraîche composition musicale excentrique et fait d'un doigté d'orfèvre?
Toutes ces sensations que vous avez ressenti, vous les retrouverez assurément dans Ys VIII.
Je ne vais pas tourner autour du pot en vous disant, d'entrée de jeu, qu'il est d'une générosité comme j'en ai rarement eu dans un RPG.
Si je devais citer les 3 piliers forts qui soutiennent la bâtisse qu'est ce jeu, ce serait : Dynamisme (des combats mais aussi de la progression) Bande son à se racheter une paire supplémentaire d'oreilles tant les pistes sont magistrales Une histoire riche en aventure
A contrario, je relèverais ses 2 principales faiblesses : Des graphismes ne faisant pas honneur à la Direction artistique et la variété des environnements Le côté conventionnel de l'histoire si l'on s'arrête aux 15 premières heures de jeu
Voici le topo de base : On incarne Adol Christin, vétéran aventurier, héros de Celceta (*clin d'oeil référence à l'opus PsVita*) qui se retrouve embarqué comme marin intérimaire sur le Lombardie, bateau regroupant des aristocrates/nobles, artisans, pécheur et roturier de tout horizon.
Suite à un "accident" lier à une malédiction pesant sur l'île de Seiren, ou "triangle des Bermudes-like", ce dernier se retrouve naufragé d'une île hostile où vivent des créatures pour certaines communes mais pour d'autres totalement fantasque.
Sa mission sera alors de retrouver les autres malheureux ayant échoué sur l'île avec lui afin de survivre à tout prix.
Histoire & Narration :
Si il y a bien un mot qui résume le scénario (dans tout ses aspects même les plus mystique) ce serait la "Survie". Et cet aspect sera au centre des préoccupation ainsi qu'enjeux narratif du début jusqu'à la fin, ce qui constitue une leçon de vie assez simple mais forte de par la manière dont il est traité ici.
Impossible de ne pas spoiler pour en expliquer le propos. Retenez juste qu'elle porte tout le scénario.
Globalement, l'histoire est conventionnel dans ses premières heures avant de décoller et toucher au domaine du mysticisme. Assez semblable à ce que peut proposé certains Tales of, mais le tout emballé dans un périple à la Jules Vernes.
Personnages :
Attachants, loin des clichés et instaurant une réelle ambiance friendly dans le groupe. Chacun à leur manière.
Je vous rassure, on est loin de la simple Tsundere de service, de la brute sans peur ni cervelle ou de la gamine Lolita agaçante que l'on a envie de baffer chaque seconde. Ne vous fiez pas au chara-design qui peut induire en erreur.
Pour les personnages secondaires, on a une pléiade de naufragé qui une fois sauvé livreront chacun une histoire intéressante à partager, sans excès ni stéréotypes.
Gameplay :
Nous avons affaire ici à un jeu d'action particulièrement axé sur l'exploration dynamique. Je réutilise souvent ce mot pour le décrire car cela correspond aussi à la manière dont on aborde les activités proposés dans le camp des naufragés et en dehors.
Craft, Troc, Agriculture, Couture, Défense du village, Contre-attaque du village, quête annexe, recensement de l'île, combat de boss, et plein d'autres à côté. On ne s'ennuie pas et chaque amélioration au camp se fait vraiment rapidement.
Il est à spécifier que les combats sont vraiment nerveux, toujours aussi plaisant même après 50h de jeu et demande de bons réflexes sur des boss aux paterns vraiment retors pour nombre d'entre eux.
Le sentiment de surpuissance aussi bien avec Adol et sa clique que les Phases avec Dana est vraiment jouissif et présent au gré que l'on maîtrise le système de combat/débloque des nouvelles capacités
Le mélange hétéroclite de la guitare électrique, du violoncelle, piano, cithare et de la flûte de pan, vous fait pleurer de joie? Vous aimez la classique, le rock, les sonorités sub-américaine? Okay, bienvenu au club
Me concernant, je considère avec beaucoup d'objectivité (sisi j'insiste ) que la qualité, la richesse et la variété de la bande son est équivalente en ce qui se fait dans du Nier Automata.
En conclusion, ce jeu m'a fait ressentir une bouffée d'air frais et d'aventure avec un dépaysement comme pas permis. Un plaisir pour les oreilles et les yeux avec des environnements qui ont du charme malgré un manque de finition sur ces derniers.
Bref, un très grand jeu. Bravo Falcom *clap clap*
BONUS :
Échantillons maison :
Et enfin la plus épique de toutes :
AVIS IMPORTANT : Pour ceux que j'ai convaincu de la qualité certaine de ce jeu, je vous invite à y jouer en difficile, qui je considère est la difficulté la plus adapté et intéressante pour ressentir l'aspect épique des affrontements.
News à côté de laquelle je suis passé à côté et grand mal m'en fasses car cela prouve que je suis un mauvais fan.
La mythique série irrévérencieuse Misftis après 5 saisons déjantés mêlant humour, super pouvoir et scénario WTF, remontera en selle mais cette fois dans son émulation US (comme cela avait été fait pour Shameless). Bien que les deux dernières saisons avaient peinés à convaincre avec un renouvellement des acteurs fait en douceur mais au final moins convaincant dans l'ensemble (sauf Rudy, Rudy reste l'enfoiré de mon cœur ) ont été en droit d'attendre un reboot ou une version US.
Ainsi les nominés, chargés de prendre la relève, ont déjà été dévoilés via le site allociné sont :
Iwan Rheon (plus connu sous le doux nom de Ramsay dans Game of Thrones) cédera le personnage de Simon à Charlie Saxton :
Robert Sheehan dans l'excellent rôle de Nathan passera le flambeau à Jake Cannavale (dont la gueule me dit quelque chose) :
Antonia Thomas* qui interprétait Alisha dans la série filera son uniforme des TIG à Ashleigh Lathrop :
Nathan Stewart-Jarrett, l'athlète de service que l'on connait mieux sous le nom que Curtis aura pour successeur, dans le rôle du beau-gosse du groupe, Tre Hall.
Et enfin, la grande gueule du groupe au patois british insondable Kelly (Laura Socha) aura pour actrice Allie MacDonald :
Piqûre de rappel pour les retardataires et nostalfag comme moi
Voilà hâte de voir ce que les deux réalisateurs Josh Schwartz et Stéphanie Savage (connu pour Gossip Girl) vont nous pondre de bon.
Qu'ils ne se foire pas car comme le disait si bien Nathan :
N.B : *Début de la promo* Elle joue aussi dans ma découverte de la saison, la série The Good Doctor qui mets en scène une équipe de chirurgien dont l'un est autiste asperger *Fin de la promo*
Bon bah, j'ai découvert ça hier et l'épisode 2 est déjà dispo sur Youtube.
J'en ai vu que 3 minutes et j'étais déjà en pls sur le sol
Je mets en lien l'article que j'avais fait avec la première vidéo... quoique vous pouvez aussi passer directement par Youtube et soutenir d'un like les créateurs de cette super mini-série
Je fais partager car cette mini-série humoristique produite par Crunchyroll est de l'or en barre J'ai failli me pisser dessus à partir de la 3ème minute juste excellent.
Y a des référence otaku tout zazimut et c'est grotesque au possible.
C'est court (9 min), Sous titré en français pour les non-anglophone, une vraiment bonne découverte pour le coup.