Pour le général Ivachov, « l’attentat à Charlie Hebdo est l’œuvre de mercenaires »
Nous relayons cette opinion car elle émane du général Leonid Ivashov, qui était le chef d’état-major de l’armée russe au moment des attentats du 11 septembre 2001.
Ivashov a toujours dit que ces attentats émanaient de l’intérieur du complexe militaro-industriel des États-Unis ; il a participé à bon nombre de conférences pour la paix, dont la conférence Axis for Peace, à Bruxelles en 2005, et il est un de ceux qui en savent beaucoup sur pas mal de choses. Il est toujours bon d’écouter et de noter ce qu’il dit…
« L’attaque terroriste menée en France est l’œuvre de mercenaires, recrutés par les États-Unis ou Israël, dont l’objectif est de détruire l’image de l’Islam », a estimé le général Ivachov, vice-président de l’Académie des questions géopolitiques.
« Aucun vrai musulman ne se livre à de tels actes », a-t-il précisé.
« Les vrais musulmans ne sont pas à l’origine de tels actes, ce sont plutôt d’autres forces. Il se pourrait qu’Israël et les États-Unis soient dernière ces actes », a-t-il indiqué.
Et Ivachov de poursuivre :
Actuellement, nous assistons à une guerre des civilisations. Ce qui se déroule, depuis les États-Unis jusqu’au Moyen-Orient en passant par l’Afrique du Nord, est une tentative d’anéantir la civilisation islamique. Tout comme ce qui se passe actuellement en Ukraine ; l’objectif reste le même. En effet, l’incident survenu à Paris n’est pas la guerre des musulmans contre l’islam. Cet incident est plutôt l’œuvre de mercenaires et de personnes fanatiques et extrémistes. C’est un acte bien calculé, commis par des mercenaires qui, en contrepartie d’argent, se livrent à de tels actes. Ce sont des islamistes extrémistes, qui ne comprennent rien à la culture authentique islamique. Ils se servent du nom de l’islam comme d’un instrument.
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posted the 01/09/2015 at 03:49 PM by
solidfisher
Tout est dit.
lionera non tu tes trompé, Alain Soral c'est égalité réconciliation
En gros les 2 débiles font ça car il croient faire le bien pour leurs prophète un peu comme les débiles d’antan du KKK qui se revendique Chrétien pour dégommè du noirs pour "leur foi".
Si ça se peut c'est exactement ça, des mercenaires foutant la merde totu simplement.
Et tout le monde sera tombé dans le panneau
On peu les appeler par tout les noms mais je ne pense pas que "débile" soit le terme, ces mecs sont des mercenaires, pas des branleurs de cités manipulable
Non mais des fanatiques si...
ça me fait penser un peu à la crise de 29...ou les usa était bien dans la merde, jusqu'à ce que ...haut miracle éclate la seconde guerre mondiale.
quilucru nous avons eu la crise de 2008 et les dettes de certains pays défie l'imagination....forçant le peuple à supporté cette dette au détriment de leur santé et qui sait leur liberté.
dans tous les cas, à qui profite le crime ? est la question qu'il faut tjs se posé dans ce genre de probleme, SURTOUT ce genre de probleme !!
Et au final vous voyez des complot dans chaque chose a ce demande qui a vraiment le cerveau retourner .
Bref je m’arrête ici de toute façon l’assaut viens d’être donné la donc il a plus important pour l'heure comme la vie des otages .
Bonne journée
Le groupe Daesh, est financer par les etat unis?
La charia appliquer dans certain pays df'extreme orient et afrique sont aussi décidé par les état unis?
IL Y A DES EXTRÉMISTE, FANATIQUE ETC.
Tous le monde se serait passer de sa non?
On peu parlé de l'empire Ottoman par exemple du massacre des arménien aussi hein !
Faut arrêter de me prendre pour un con aucune religion n'est clean OK !
les intégristes ne sont pas de vrais musulman en même temps
"Pour vous, à quand remonte le plus récent complot dont vous ayez pris connaissance ?"
C'est une question importante car parfois les gens aiment bien prendre en exemples le 11 septembre et l'assassinat de JFK mais il y a rarement des événements plus récents.
La Question arménienne*
La majorité des Arméniens se trouvaient dans l’Empire ottoman, essentiellement dans les sept provinces orientales de l’empire (Van, Bitlis, Erzeroum, Diyarbékir, Kharpout, Sivas, Trébizonde) et en Cilicie (Petite Arménie). En dehors des régions historiquement arméniennes, existaient aussi d’importantes communautés dispersées sur tout le territoire, en particulier à Constantinople, où le patriarche était le représentant de la nation devant les autorités.
Avant le début du processus d’extermination (1894), il y avait sur le territoire de la Turquie actuelle trois millions d’Arméniens et autant de Turcs ; l’autre moitié était composée d’une véritable mosaïque de peuples (Kurdes, Grecs, Assyro-Chaldéens, Lazes, Tcherkesses, etc.).
En 1914, les Arméniens n’étaient plus que 2 250 000 (suite aux massacres, conversions forcées à l’islam et à l’exil). Dans l’Empire ottoman, les Arméniens subissaient une discrimination officielle. Ils étaient considérés comme des citoyens de seconde catégorie qui devaient payer plus d’impôts. Ils n’avaient pas le droit de porter des armes (contrairement aux musulmans), ne pouvaient pas témoigner devant les tribunaux. Dans leur grande majorité, les Arméniens étaient des paysans pauvres qui devaient en plus subir les violences des nomades kurdes armés venant régulièrement les rançonner.
Avec la décadence de l’empire au XIXe siècle, la situation des Arméniens ne fit qu’empirer ; parallèlement, les peuples dominés s’émancipaient au fur et à mesure. La déclaration d’indépendance de la Grèce en 1821 marqua le début du démembrement de l’Empire ottoman.
On peut situer le début de l’émergence de la Question arménienne à la guerre russo-turque de 1877-1878. Après la défaite de la Turquie, le traité de San Stefano, signé en mars 1878, accordait l’indépendance à la Serbie, au Monténégro, à la Roumanie et l’autonomie à la Bulgarie.
L’Arménie obtint, pour sa part, d’après l’article 16, des réformes assurant la protection de ses habitants. Les Arméniens n’en demandaient pas plus à l’époque. La Russie, d’après ce traité, annexait une partie de l’Arménie turque et ne devait se retirer de l’autre partie (de l’Arménie turque qu’elle occupait), seulement après l’application des réformes.
Mais l’Angleterre, ainsi que l’Allemagne et l’Autriche, voyaient d’un très mauvais œil la future et prévisible indépendance de l’Arménie. Quelques mois plus tard, au congrès de Berlin qui conduisit à la révision du traité de San Stefano, l’Anglais Salisbury fit transformer l’article 16 en... 61, en y rajoutant une phrase assassine qui rendait très aléatoire l’application des réformes. En guise de remerciements, l’Angleterre reçut comme cadeau des Turcs l’île de Chypre.
Les représailles reprirent de plus belle. Des tribus kurdes organisées et armées par le gouvernement répandaient plus que jamais la terreur dans les provinces arméniennes, particulièrement les territoires d’où l’armée russe s’était récemment retirée.
En 1879, le Grand Vizir déclare : « Aujourd’hui, même l’intérêt de l’Angleterre exige que notre pays soit à l’abri de toute intervention étrangère et que tout prétexte à cette intervention soit éliminé. Nous, Turcs et Anglais, non seulement nous méconnaissons le mot Arménie, mais encore nous briserons la mâchoire de ceux qui prononceront ce nom. Aussi, pour assurer l’avenir, dans ce but sacré, la raison d’état exige que tous les éléments suspects disparaissent.
Nous supprimerons donc et ferons disparaître à jamais le peuple arménien. Pour y parvenir rien ne nous manque : nous avons à notre disposition les Kurdes, les Tcherkesses, les gouverneurs de province, les percepteurs, les agents de police, en un mot tous ceux qui font la guerre sainte à un peuple qui n’a ni armes ni moyens de défense. Nous, au contraire, nous avons une armée et des armes, et la protectrice de nos possessions en Asie Mineure est la plus grande et la plus riche des puissances du monde. »
L’intention des Turcs, dès 1879, de « faire disparaître à jamais le peuple arménien », d’après les propres paroles du Grand Vizir, ne peut pas être plus claire.
La résistance s’organise
Les Arméniens commencent bientôt à s’organiser. La première organisation de combat naît : c’est le parti Armenakan, créé à Van en plein cœur de l’Arménie, en 1885. Les deux autres partis, le Hentchak, créé en 1887 à Genève et le Dachnak, créé en 1890 à Tiflis, ont tous les deux des philosophies révolutionnaires marxistes et sont plutôt partisans d’actions violentes et spectaculaires ; ce qui n’est pas le cas des Armenakans.
Les fédaïs arméniens commencent à se faire connaître par leurs actions héroïques de défense du peuple contre les Kurdes et l’armée turque. Ils suscitent toute une légende populaire à travers de nombreux chants et poèmes. Nombreux furent ces héros issus du peuple à vouer leur vie à la libération de leur patrie. Le plus prestigieux d’entre eux fut sans aucun doute Antranik (1865-1927), originaire de Chabin-Karahissar (Arménie mineure) et vénéré par le peuple arménien.
Le génocide
Face aux revendications arméniennes, la riposte des autorités turques fut radicale. Trois régimes (Abdul Hamid, les Jeunes-Turcs et Kemal Attaturk) ont, de 1894 à 1922, appliqué de différentes façons le même plan d’extermination des Arméniens avec son point culminant des années 1915-1917.
Au printemps 1894, les habitants de Sassoun et sa région (à l’ouest du lac de Van) s’insurgèrent contre les Kurdes venus les rançonner pour la énième fois. Le sultan Abdul Hamid profita de cette occasion pour tester la réaction des puissances européennes. Il envoya sur Sassoun une véritable armada : la 4e armée turque et la 26e division commandée par Zeki pacha, forte de 12 000 hommes, ainsi que 40 000 Kurdes armés jusqu’aux dents, qui se livrèrent à une véritable boucherie qui dura plusieurs semaines. Les réactions des Européens, bien que parfois outragées, ne furent que verbales. C’est ce qu’attendait le sultan qui pouvait désormais mettre en application son plan d’extermination à grande échelle, à travers tout l’empire, dès l’année suivante.
La méthode était toujours et partout la même : vers midi, on sonne le clairon, c’est le signal des tueries. Préalablement préparés, des soldats, des Kurdes, des Tcherkesses, des Tchétchènes et des bandes de tueurs spécialement recrutés massacrent la population arménienne, sans distinction d’âge et de sexe. Dans les quartiers ou villages multinationaux, les maisons habitées par les Arméniens sont préalablement marquées à la craie par les indicateurs (troublante coïncidence, c’est la même méthode qui fut utilisée, lors des massacres des Arméniens d’Azerbaïdjan en 1988 et 1990).
Aucune région ne fut épargnée. Même la capitale, Constantinople, fut le théâtre de deux effroyables massacres. C’était là peut-être l’erreur des Turcs, car il y avait à Constantinople des témoins oculaires occidentaux (ambassades, sociétés diverses, etc.). Après une sérieuse menace d’intervention militaire des Occidentaux, suite à la boucherie de Constantinople d’août 1896, qui était consécutive à la prise en otage des dirigeants de la Banque ottomane par des fédaïs arméniens (du parti dachnak), le sultan arrêta enfin les massacres.
Deux ans (1894-1896) de massacres sans précédent transformèrent donc l’Arménie occidentale tout entière en un vaste champ de ruines. Le missionnaire allemand Johannes Lepsius mena une enquête minutieuse, au terme de laquelle il fit le bilan catastrophique suivant : 2 493 villages pillés et détruits, 568 églises et 77 couvents pillés et détruits, 646 villages convertis, 191 ecclésiastiques tués, 55 prêtres convertis, 328 églises transformées en mosquées, 546 000 personnes souffrant du dénuement le plus complet et de la famine... et il rajoute :« Ces chiffres sont le résultat de mes recherches personnelles ; ils ne correspondent pas à la réalité des faits, réalité bien plus épouvantable encore ! ... »
Compte tenu de ces données, des 300 000 personnes tuées, des 50 000 orphelins et des 100 000 réfugiés en Transcaucasie, la population arménienne de l’Empire ottoman diminua de plus d’un demi-million d’âmes entre 1894 et 1896.
En 1908, les Jeunes Turcs arrivèrent au pouvoir, apportant avec eux des promesses d’égalité et de fraternité entre tous les peuples de l’empire. Beaucoup y ont cru. Les dirigeants du parti dachnak en premier (ils avaient d’ailleurs contribué à leur arrivée au pouvoir). Il y eut même de grandes manifestations de fraternité arméno-turques dans la capitale et dans les provinces.
Hélas ! La métamorphose des Jeunes Turcs fut fulgurante. Bientôt ils devinrent de farouches nationalistes panturquistes. Cela pourrait peut-être s’expliquer comme une conséquence de la perte des provinces balkaniques. En effet, les Turcs, originaires d’Asie centrale, se retournèrent naturellement vers les pays et peuples frères situés en Asie centrale et en Azerbaïdjan (tous soumis au joug étranger, russe ou persan), d’où la tentation de créer un très vaste état turc du Bosphore à la Chine. De surcroît, les Jeunes Turcs considéraient la race turque comme supérieure. L’Arménie et les Arméniens se trouvant au centre de ce projet, il était impératif, d’après cette logique raciste et barbare, de les éliminer.
Dès avril 1909 des massacres commencent en Cilicie, d’abord à Adana, puis dans le reste de la région. Les Jeunes Turcs se montrent les dignes héritiers du « sultan rouge ». Il ne manquera rien à leur panoplie des cruautés. Il y aura au total 30 000 morts. Certains attribuèrent les massacres de Cilicie à l’ancien régime du sultan, revenu un court moment au pouvoir, mais les vrais responsables étaient bien les Jeunes Turcs.
En 1913, les trois dirigeants de l’Ittihat, Talaat, Enver et Djemal, établissent une dictature militaire.
à la veille de la guerre, les réformes en Arménie avaient paradoxalement bien avancé. Malgré les réticences de l’Allemagne et de l’Autriche, les puissances européennes parvinrent à un règlement de compromis qui regroupait les sept provinces arméniennes sous la forme de deux grandes régions administratives autonomes (au nord : Sivas, Trébizonde, Erzeroum ; au sud : Van, Bitlis, Dyarbekir, Kharpout), le tout sous la surveillance d’inspecteurs généraux européens de pays neutres. Ainsi, l’Arménie, après tant d’années de souffrance, était parvenue au seuil de l’indépendance. Malheureusement, tout autre était le sort qui lui était réservé par les dirigeants turcs, qui avaient déjà secrètement programmé la solution finale. La guerre allait procurer aux Jeunes Turcs les conditions idéales pour mettre en application leur plan diabolique.
Avant même que la guerre n’éclate en Europe, le gouvernement envoie des gendarmes dans les villes et les villages pour réquisitionner les armes. Cette réquisition est limitée aux Arméniens ; ni les Turcs, ni les Kurdes, ni les Tcherkesses n’y sont astreints. Elle est accompagnée de l’arsenal connu des plus cruelles tortures. Plus grave encore, dès août 1914, les inspecteurs généraux européens nouvellement nommés dans les régions arméniennes sont expulsés ; sans que la guerre ne soit déclarée l’Empire turc procède déjà à la mobilisation générale et met sur pied la redoutable « Organisation spéciale », chargée de coordonner le programme d’extermination.
Le 29 octobre 1914, la Turquie s’allie à l’Allemagne et entre en guerre contre les Alliés. Le champ est désormais libre. Dès janvier 1915, on désarme les 250 000 soldats arméniens de l’armée ottomane pour les affecter dans des « bataillons de travail ». à l’aube du 24 avril, qui deviendra la date commémorative, le coup d’envoi du génocide est donné par l’arrestation à Constantinople de 650 intellectuels et notables arméniens. Dans les jours suivants, ils seront en tout 2 000, dans la capitale, à être arrêtés, déportés et assassinés. Dans tout l’Empire ottoman, c’est le même scénario : on arrête puis on assassine partout les élites arméniennes. Le peuple arménien est décapité.
Les soldats arméniens affectés dans les « bataillons de travail » seront assassinés par petits groupes, le plus souvent après avoir creusé eux- mêmes les « tranchées » qui leurs serviront de fosses communes. Le peuple arménien est non seulement décapité, mais il est dorénavant privé de ses défenseurs. Il ne reste plus aux dirigeants de l’Ittihat qu’à achever le génocide.
La déportation - solution finale
L’idée est nouvelle et terriblement efficace: c’est la déportation de toutes les populations civiles arméniennes vers les déserts de Syrie pour des prétendues raisons de sécurité. La destination réelle est la mort.
D’après l’ambassadeur des états-Unis à Constantinople de 1913 à 1916, Henri Morgenthau, ainsi que d’après certains historiens, les Turcs n’auraient jamais trouvé tout seuls cette idée. Ce seraient les Allemands qui auraient suggéré cette nouvelle méthode. D’ailleurs, pendant toute la guerre, la mission militaire allemande était omniprésente en Turquie, et il est vrai qu’un général allemand, Bronsart Von Schellendorf, avait (imprudemment) signé un ordre de déportation avec une recommandation spéciale de prendre des « mesures rigoureuses » à l’égard des Arméniens regroupés dans les « bataillons de travail ». Or « déportation » et « mesures rigoureuses » étaient des mots codés qui signifiaient la mort. Quant au commandant Wolffskeel, comte de Reichenberg, chef d’état-major du gouverneur de Syrie, il s’était distingué lors des massacres des populations de Moussa-Dagh et d’Urfa.
à la fin de 1915, à l’exception de Constantinople et Smyrne, toutes les populations civiles arméniennes de l’Empire ottoman avaient pris le chemin mortel de la déportation vers un point final : Deir ez-Zor en Syrie.
Les convois de déportation étaient formés par des regroupements de 1 000 à 3 000 personnes. Très rapidement, on sépare des convois les hommes de plus de 15 ans qui seront assassinés à l’arme blanche par des équipes de tueurs dans des lieux prévus à l’avance. Parfois les convois sont massacrés sur place, à la sortie des villages ou des villes, notamment dans les provinces orientales isolées. Les autres, escortés de gendarmes, suivront la longue marche de la mort vers le désert, à travers des chemins arides ou des sentiers de montagne, privés d’eau et de nourriture, rapidement déshumanisés par les sévices, les assassinats, les viols et les rapts de femmes et d’enfants perpétrés par les Kurdes et les Tcherkesses. Les survivants, arrivés à Deir ez-Zor, seront parqués dans des camps de concentration dans le désert et seront exterminés, par petits groupes, par les tueurs de l’Organisation spéciale et les Tchétchènes spécialement recrutés pour cette besogne. Beaucoup seront attachés ensemble et brûlés vifs.
à la fin de 1916, le bilan est celui d’un génocide parfait, les deux tiers des Arméniens (environ 1 500 000 personnes) de l’Empire ottoman sont exterminés. Tous les Arméniens des provinces (vilayets) orientales, soit 1 200 000 personnes, d’après les statistiques du patriarcat, disparaissent définitivement d’un territoire qui était le cœur de l’Arménie historique depuis des millénaires. Seuls survivent encore les Arméniens de Constantinople, de Smyrne, quelque 350 000 personnes qui ont réussi à se réfugier en Arménie russe, quelques poignées de combattants arméniens qui résistent et se cachent encore dans la montagne et des milliers de femmes, de jeunes filles et d’enfants récupérés par des Turcs, des Kurdes et des Arabes.
Il y eut tout de même de nombreux actes héroïques en certains endroits. Prévoyant ce qui allait être leur destin, les Arméniens refusèrent la déportation et résistèrent désespérément, avec des moyens dérisoires, à Chabin-Karahissar, Van, Chatakh, Moussa-Dagh, Urfa, Sassoun, Mouch, etc. Le plus célèbre de ces épisodes est celui des « Quarante jours du Moussa-Dagh », immortalisé par le roman de Franz Werfel : sur cette montagne de la côte méditerranéenne, une population de 5 000 personnes (principalement des femmes et des enfants), dont 600 combattants, résistèrent plus de 40 jours au siège de l’armée turque. Les survivants (environ 4 000 personnes) furent sauvés par le vaisseau français Jeanne d’Arc.
Le parachèvement
L’Arménie occidentale était anéantie, mais les Turcs ne s’arrêtèrent pas là. Profitant de la retraite de l’armée russe consécutive à la révolution de 1917, la Turquie lança une offensive sur l’Arménie orientale (russe). Elle fut arrêtée au dernier moment par une fantastique mobilisation populaire le 24 mai 1918 à Sardarapat, près d’Erevan. Le 28 mai, l’Arménie (ce qu’il en restait) proclamait son indépendance et devenait, après des siècles de dominations diverses, la première République d’Arménie.
La capitulation, le 30 octobre 1918, de l’Empire ottoman, suscita de vastes espoirs chez les Arméniens survivants. Effectivement, au début, les Alliés vainqueurs semblaient tenir leurs promesses de rendre justice aux Arméniens. Le traité de Sèvres accordait l’existence d’un état arménien sur une bonne partie des provinces orientales de l’ex-Empire ottoman. En 1919, il y eut même un « Nuremberg » avec le « Procès des Unionistes » à Constantinople. Les principaux responsables du génocide s’étaient enfuis en Allemagne ; ils furent néanmoins condamnés à mort par contumace. Si ce procès resta sans suite, il a toutefois le mérite d’avoir existé et prouvé (si besoin était) la véracité du génocide, grâce entre autres à ses minutes et conclusions publiées dans le supplément judiciaire du « Journal officiel » ottoman.
Mais la Turquie vaincue ne fut jamais démobilisée. Bientôt, face au danger bolchevique et afin d’y faire face, les Alliés se montrèrent de plus en plus bienveillants envers la Turquie qui allait bientôt renaître de ses cendres.
à peine arrivé au pouvoir, Mustafa Kemal se donna comme priorité... la liquidation du reste de la présence arménienne en Turquie. Jouant astucieusement et parallèlement des appuis bolcheviques et franco-anglais selon la circonstance, il attaqua et écrasa dans un bain de sang (faisant 200 000 victimes) la République d’Arménie de septembre à décembre 1920, qui ne dut sa survie qu’à l’intervention in extremis des troupes bolcheviques. Annulant le traité de Sèvres, Turcs et bolcheviques s’accordèrent sur les frontières d’une Arménie réduite au minimum. Une bonne partie de l’Arménie ex-russe (20 000 km²) était cédée à la Turquie ; le Karabagh et le Nakhitchevan aux Azéris.
à mille kilomètres de distance de la République d’Arménie, les Français avaient créé, en 1919, un foyer arménien en Cilicie (Petite Arménie), sur les bords de la Méditerranée, où 160 000 Arméniens rescapés du génocide étaient retournés dans leur foyer. Malgré la présence des Français, les troupes de Kemal massacrèrent, en 1920, plus de 25 000 Arméniens à Aïntap, Marach, Zeïtoun, Hadjin et ailleurs. Finalement, la France abandonnait les Arméniens à leur sort en 1921 et bradait la Cilicie aux Turcs, ce qui provoqua l’exode de tous les Arméniens de Cilicie vers la Syrie et le Liban.
En 1922, à Smyrne, les Arméniens furent massacrés (en même temps que les Grecs) pour la dernière fois en Turquie. Il s’ensuivit une dernière et importante vague d’exode. Tous les Arméniens (survivants) revenus dans leurs foyers après l’armistice de 1918 furent systématiquement chassés.
Si le gros du travail du génocide avait été fait par Abdul Hamid et les Jeunes Turcs, c’est bien Kemal Ataturk qui l’a parachevé en s’appropriant, en même temps, tous les biens nationaux et individuels des Arméniens. Depuis, tous les gouvernements successifs de la République turque, fondée sur les ruines de l’Arménie, ont toujours nié la culpabilité de la Turquie dans le génocide des Arméniens.
En 1923, la Conférence de Lausanne annula les accords signés à Sèvres entre la Turquie et les Alliés. Winston Churchill écrivit dans ses mémoires : « Dans le traité qui établit la paix entre la Turquie et les Alliés, l’histoire cherchera en vain le mot Arménie. »
M'enfin faut être aveugle ou abrutis pour dire que la religion musulmane et une religion de bisounours elle aussi est une religion qui à commis des crimes à travers son histoire.
Je répète aucune religion n'est clean OK ! Toute sont des ramassis de conneries et de sornette.
Allez changeons la donne . Les images de la guerre israelo palestinienne sont truqué pour que le monde se range derrière les palestiniens et haïssent les israéliens ... En fait a Gaza ils sont au top et tous en Porsche !
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En vérité, on ne sait pas. Et je dois avouer que cette affaire est étrange.
Je ne dis pas qu'il y a complot ou quoi que ce soit (lolz), ou que c'est la vérité vraie (lolz), mais tout cela me parait étrange depuis le début (on dirait qu'ils sont intouchables ces terroristes en plus ... certains éléments font très cliché. Et puis on est en France, quand même, à moins qu'ils soient hyper intelligents et que la chance leur souri, c'est un peu gros de voir 3-4 gusses fusiller à tout va et s'enfuir les mains dans les poches).
Bref ... Nous ne saurons probablement jamais la vérité. Mais j'espère fortement qu'elle éclatera aux yeux de tous, complot ou pas complot.
heu non , on se torche avec les peaux d animaux en voie d extinction , je le sais , la j ai de la peau de panda dans mes chiottes
Alors non, faut arrêtés avec les complot, ou alors donner des preuves
Par contre tu fais des amalgames entre la religion, les religieux de base et les gouvernants qui utilisent la religion pour parvenir à leurs fins en l'instrumentalisant. Quand est-ce que vous comprendrez que certaines personnes se cachent derrière de fausses identités? C'est des fdp avant tout, pas des religieux.
"si tu peux supprimer cet article..."
Pour dire ça, tu peux changer d'avatar
Il y surement quelque chose mais je suis pour que l'Homme devienne son propre dieu.
Ce sont ces exemples là qui m'intéressent justement mais je comprends que tu t'abstiennes d'en parler ouvertement.
Je crois qu'à partir de la semaine je vais commencer à exposer tout ce que je sais sur mon blog avec des preuves irréfutables à l'appui car je crois que beaucoup ravaleraient leur salive s'ils découvraient certaines choses sur lesquelles on leur a menti.
Depuis quand les mercenaires sont des bisounours ?
Bien évidemment, on ignore qui ils sont, mais pour en revenir aux mercenaires, ils s'en tapent pour beaucoup de la moralité, ils font ça pour le fric, pas forcément pour eux directement d'ailleurs.
Une grosse somme pour la famille, quitte à ce que ce soit toi qui prenne dans les dents (mourir ou pas mourir).
Comme je le dit, si c'était le cas, sa déclarerai une guerre.
Plus argumenter que ton message (je ne fume pas, ne bois pas et ne me drogue pas) ?
'N'empêche que le coup des papiers d'identité retrouvés dans la voiture abandonnée c'est un peu gros..'
Carrément. Ca n'a aucun sens.
Soit ils sont à la fois super intelligents et ultra cons, soit y a un truc qui cloche.
Certain on dut mal a voir que parmis leur rang, y a des brebis égaré, qui se font manipuler par soit disant des représentant de leur religion.
Regardez vous dans un miroir avant de juger les autres d'idiots, car nous ne pouvons avoir aucune certitude
Par contre on est en droit de se poser des questions ,c'est même essentiel
On ne sait pas. Juste 'on ne sait pas'.
On pourrait également dire 'à force de crier au loup'. Maintenant est-ce que quelqu'un ici à des preuves, une boule de cristal et peut me raconter l'histoire sous sa forme véritable et dévoiler l'identité de ces hommes (obviously) entrainés ?
Possible.
Mais dans ce cas quel est l'intérêt de se cagouler ?
Putain c'est tellement évident, mes yeux se sont ouvert d'un coup !!
Plus sérieusement, la tromperie peut exister dans n'importe quelle domaine et elle existe certainement dans les guerres d'images, mais sous entendre que les musulmans ne sont jamais à l'origine d'un mal comme tuer un semblable humain c'est juste une connerie monumentale. Non mais sérieux... Genre le fait d'être musulman nous épargne de l'imperfection...
Plus simplement, je pense qu'il ne faut pas confondre religion et religieux, un abime les sépare.
Les enquêtes c'est joli, mais comment être sûr que l'information n'est pas contrôlée et que l'on nous dit tout ?
Encore une fois, je ne dis pas qu'il y a complot (on sait jamais pour les génies qui font des raccourcis), mais comment peut-on être certain que ce que l'on nous racontera sera véridique ?
Ce n'est que mon avis
La seul chose qu'on peut faire a notre niveau, c'est de se battre contre les amalgames
xiaomin82
J'avais juste un problème avec ton commentaire ...
Voila. Comment faire confiance quand tu regarde les mensonges ou les versions "officielles" qui tiennent pas debout que l'on nous a servi par le passé ?
C'est comme si on devait bouffer toutes leurs paroles sans réfléchir, comme si les médias, le gouvernement étaient universels. On sait bien que ce sont des êtres humains comme tout le monde qui sont derrière la presse, la politique et tout le bousin ... De ce fait, doit-on faire confiance aveuglément ?
Non.
Ce serait bien que ton ami nous amène des preuves et ne fasse pas comme les USA et leur fiole de pisse avec l'Irak.
Ah j'oubliais, la rigueur intellectuelle ne marche que dans un sens
kayama
Les gens remettent en doute le 11 septembre parce qu'il y a du solide derrière. Par exemple, des ingénieurs, des architectes qui te font une démonstration par A + B.
Quand on veut parler de complot, faut être sérieux sinon c'est la porte ouverte à tous les fantasmes débiles.
mais sous entendre que les musulmans ne sont jamais à l'origine d'un mal comme tuer un semblable humain c'est juste une connerie monumentale. Non mais sérieux... Genre le fait d'être musulman nous épargne de l'imperfection...
Le problème, c'est qui a l'autorité ultime pour dire qui sont les vrais musulmans et qui sont le faux ?
Réponse : personne.
Ce Monsieur fait de jolies phrases, mais ne raconte que des conneries.
Mah nigga.
T'as déjà réussi à monter dans un avion sans passeport ou document d'identité en règles ?
T'as déjà réussi à monter dans un avion sans passeport ou document d'identité en règles ?
Le christianisme représente une religion très vaste avec des interprétations bibliques extrêmement variées selon le groupe d'individus. Ce n'est pas pour ça qu'un groupe est moins chrétien qu'un autre. Ils le sont tous.
D'un point de vue plus isolé, je pense qu'il faut simplement accepter que le mal peut être présent dans sa propre maison. D'ailleurs, même ici sur gamekyo, quand je vois que certains membres se disent capable de tuer un autre pour un spoil dans The Last of Us...
Tu sais, même les règles de droit que tu peux trouver dans le code civile sont sujettes à interprétation. Alors que peut-on dire de textes séculaires ?
Je suis assez d'accord avec ton analyse.
Je parts également du principe que toutes les religions ne se valent pas. Certaines ont des textes plus apaisés que d'autres.
C'est également un élément factuel.
Tout le monde (en tout cas une grande partie de la population) est d'accord pour dire que ces terroristes islamistes ne représentent absolument pas les musulmans.
Mais pitié, acceptez le fait qu'il y a un problème croissant avec l'islam en occident, trop de personnes à l'origine musulmanes deviennent des extrémistes, parfois dangereux. Ce n'est pas en détournant la tête que le situation s'améliorera, que ce soit pour la France dans son ensemble ou la communauté musulmane.
C'est dans votre intérêt, amis musulmans. C'est mignon de dire que les vrais musulmans ne sont pas comme ça, je suis bien d'accord... Mais tout le monde à son rôle à jouer pour résoudre ce problème, vous y compris! Ouvrez les yeux.
J'en pense pas grand chose pour l'instant de cette affaire. Dégoûtant et triste.
Sans parler de ce qu'il se passe à droite à gauche, les tensions, racisme, amalgames, haine, etc. Prévisible.
Au lieu de se concentrer sur les vrais problèmes en France, voila où on en est actuellement. Ce pays manque réellement d'éducation et de lucidité.