Chez Nintendo, on ne possède pas seulement une réserve de pognon qui ferait baver Picsou, on a aussi des licences. Beaucoup de licences. Tellement d'ailleurs qu'on s'étonne d'en voir aussi peu d'exploitées depuis tans d'années. Suffit de prendre son (tout) petit frère/cousin, voir carrément fils pour les plus vieux d'entre nous, et de le balancer devant Super Smash Bros. Brawl pour qu'il constate de lui même à quel point il n'y connaît rien aux licences de Nintendo hormis Mario et Zelda. Faut dire qu'on attend tous un nouveau F-Zero, Starfox, Wave Race, 1080°, et ce depuis un moment. Certes, des licences pas forcément des plus vendeuses mais avec tout ce pognon, il doit probablement y avoir de quoi faire plaisir au peuple non ?
A la place, et on ne leur reprochera pas, Sakurai et sa clique ont décidé de plancher sur le retour de Kid Icarus, ce qui est somme tout logique vu le succès du personnage dans le dernier Smash Bros., et qu'un reboot de Ice Climber n'aurait peut-être pas eu la même prestance. Kid Icarus donc, licence disparue depuis 1991, date de la sortie de l'épisode Game Boy qui faisait suite à un jeu Nes de 1987. Tous deux tournaient autour d'un background issu de la mythologie grecque, mais à la sauce Nintendo, afin d'offrir de sympathiques jeu d'action et plates-formes à l'esthétique Metroïdienne. De quoi faire son petit effet à l'époque mais pas suffisamment pour que la firme du plombier s'y attarde davantage, du moins jusqu'en 2012.
Remake ? Suite ? Reboot ? Aucun des trois. Ou peut-être que si puisque Uprising est finalement un peu des trois à la fois. Remake parce qu'il apporte le même univers ainsi que les boss de l'époque, reliftés à la sauce 3D. Suite parce que tout simplement le scénario lui-même, aussi mince soit-il, se déroule bien quelques temps après les deux premiers épisodes et les développeurs se sont chargés de balancer quelques références. Et reboot, parce que le principe même du jeu a complètement changé pour incarner une sorte de redémarrage, et vu les premiers chiffres de ventes, il est probable que Nintendo ne crache pas sur une suite optant sur le même gameplay. Mais là encore, on y reviendra un peu plus bas pour se consacrer pleinement au background.
De ce coté, on ne peut que féliciter Sakurai d'avoir offert une patte admirable à son bébé. Le chara-design est franchement réussi, suffisamment soutenu par un paquet d'artworks lors des séances de dialogues (donc en images fixes) et, comme on l'a dit plus haut, si le scénario n'est pas ce qu'il y a de plus tonitruant malgré quelques petits rebondissements, il reste très bien écrit et ponctué de nombreux dialogues qui font la part-belle à l'humour. Entre Pit, son clone maléfique et les nombreux boss, les vannes non dénuées de niaiserie (de la part du héros) ou de cynisme (du coté des boss) fusent à tout va, ce qui aurait tout pour nous enchanter, à un petit détail près qui casse tout. Alors ok, il n'est pas forcément très simple de trouver des doubleurs français de qualité mais pour une fois, ils nous manquent ! Pire qu'un GTA IV ou un Red Dead Redemption, 95% des dialogues (en doublage US) se font durant les phases de jeu, donc sous-titré en français sur l'écran du bas, alors que l'action très nerveuse nous fait rarement décoller de celui du haut. Dans le registre des bourdes de localisation, on tient un challenger de très haut niveau, en somme.
Donc quitte à passer à coté du trois-quart des vannes, autant s'attarder sur le gameplay. De ce coté, plutôt qu'une simple réactulisation qui aurait pu être pleinement réussie m'enfin bon, les développeurs ont opté pour une approche action. Très action même puisqu'il s'agit ni plus ni moins qu'un shoot, avec tout de même quelques features intéressants. En premier lieu, il faut prendre en compte qu'un chapitre est divisé en trois parties. La première se déroule donc dans les cieux, où notre personnage évolue automatiquement avec donc pour simple but de shooter tout ce qui bouge, de balancer une limite de temps à autre, et bien entendu d'esquiver les attaques adverses. Passé cette étape plus ou moins longue en fonction des niveaux, on passe à la phase au sol, un poil plus problématique. Car si dans les airs la jouabilité est très simple (le stick pour esquiver, le stylet pour diriger sa cible et L pour tirer), au sol, les déplacements redeviennent libres et il faudra faire avec l'écran tactile pour tourner la caméra (tout en continuant à diriger son viseur). On peste souvent au début, et même un peu après lorsqu'il s'agit de devoir tourner autour d'un ennemi tout en tirant dans son dos, mais on finit par s'y faire, non sans quelques accrocs de temps à autre. Une mention spéciale aux stages qui nous demandent d'évoluer sur de petites plates-formes où, à la moindre poussée trop rapide du stick, c'est la chute libre.
De là on se pose tout de même la question. Quitte à perdre l'évidente précision du stylet, n'aurait-on pas dû laisser le choix aux joueurs et leur offrir une maniabilité TPS lors des phases au sol avec une utilisation du Slide Pad ? Juste pour voir ? Histoire de ? Peut-être pour une suite car pour le moment, il faudra faire avec ces quelques petits problèmes assez rares chez Nintendo, à croire que les fonctions d'une console doivent obligatoirement être exploitées pour justifier la sortie d'un jeu (on se souvient de l'obligation de secouer la Wiimote pour faire des roulades dans Donkey Kong Country Returns, l'une des plus mauvaises idées qui soit). Bref, pour en revenir au cheminement, la troisième phase nous oppose donc tout naturellement à un gros boss, qui, malgré sa stature généralement impressionnante, clamsera en quelques secondes. Du moins en difficulté normale. Mais, vous l'aurez compris, on va y revenir plus tard.
Arrivé au huitième chapitre, on éclate la grande méchante, conduisant directement au crédits de fin. 2H30 voir 3h de jeu au compteur, c'est un poil court mais c'est un shoot après tout et on aurait du mal à lui en demander plus. Surtout que, gros point fort du jeu, le titre possède une replay-value proprement indécente. Pour faire simple, on a constamment envie d'y revenir car il reste toujours quelque chose à faire. Du coté des armes tout d'abord. En fouinant un peu lors des phases au sol et avec une petite pincée de chances, il sera possible de débloquer de nouvelles armes répartis en plusieurs catégories, certainrs privilégiant la distance, d'autres la force, d'autres la cadence de tir, d'autres le contact... Bref, il y en a pour tout les goûts et il y a surtout de quoi faire puisqu'il sera possible d'en combiner deux pour en débloquer une nouvelle, sans parler des achats à effectuer grâce au cœur acquis en terminant les chapitres.
Posséder des armes plus puissante sera d'une certaine importance pour attaquer les modes de difficulté plus élevés. Et là encore, l'équipe n'a pas fait le boulot à moitié. Plutôt que de proposer une poignée de modes consistant à augmenter simplement la force et la résistance de vos opposants, les développeurs ont mis en place un système dit « d'intensité ». Concrètement, le mode de difficulté normale (et même plutôt facile) se situe à 2.0. A vous de parier à chaque début de missions un certain nombre de cœur pour augmenter la cadence à 2.4, 3.8, 5.2, etc, et ce jusqu'à 9.0. Plus l'intensité est haute, plus les ennemis seront nombreux, plus rapides, plus forts, et balanceront même de nouvelles attaques dans le cas des boss. Attention tout de même, mourir vous fera perdre des cœurs et abaissera directement l'intensité d'un pallier. Mais les récompenses sont de taille : plus la difficulté est élevée, plus les armes ramassées seront rares, sans parler de portes spéciales qui ne se déverrouillent qu'à un certain pallier (genre 5.0).
Au-delà des armes, on trouvera également des objets de soutien, qui là encore se ramasseront au fur et à mesure des niveaux et dont la rareté dépendra de la difficulté choisie. Seulement, si les items sont très nombreux, on ne peut en porter qu'un nombre limité via un système vu mille fois : le principe des cases. Pour ceux qui n'auraient pas joué à Kingdom Hearts 358/2 Days (ou même Resident Evil 4 tiens), votre inventaire se résumera à un carré de plusieurs cases, où vous devrez placer des items de différentes formes et taille, en jouant parfois du puzzle pour qu'un maximum rentre. Du coté des bonus proposés, on trouve donc le soin, le tir chargé... sans avoir besoin de chargé, les tirs empoisonnés, le saut (utile pour chopper certains bonus cachés), etc. Chaque objet pourra être utilisé une ou plusieurs fois, avec un renouvellement automatique une fois le niveau terminé.
Donc vous l'aurez compris, malgré les quelques aléas des phases au sol, on accroche véritablement et on se prend à faire le premier stage plusieurs fois d'affilée pour ramasser toujours plus de cœurs et d'armes à fusionner pour le ré-attaquer aussitôt en difficulté plus élevé. Et vu que c'est à la mode (et en attendant que la 3DS choppe enfin son propre système via une mise à jour), le titre propose l'équivalent d'une liste de succès/trophées pour motiver les troupes. Donc finalement, ces 2-3h en ligne droite, elles ont de quoi être multipliées sans trop de mal non ? Sauf que Sakurai s'est bien joué de nous. Ces huit chapitres en question, et ces « faux » crédits de fin, ce n'était en fait que l'introduction du jeu. Car oui, le jeu comporte en fait 25 chapitres, assurant vous l'aurez compris une durée de vie tout simplement dantesque pour le genre. Chapeau bas, point. Et on rajoute à cela deux sympathiques modes multijoueurs, avec du deathmatch classique (en solo ou en équipe à trois contre trois), et un mode où deux équipes s'affrontent jusqu'à faire apparaître un boss à éliminer. Là encore, les joutes sont motivantes puisque susceptibles de nous faire gagner cœur, items et armes pour le solo.
Conclusion : Qu'on l'attendait ou pas, Kid Icarus Uprising incarne juste l'une des plus belles surprises de ce premier trimestre 2012 et surtout l'un des meilleurs jeux de la machine. Nintendo nous propose tout simplement un jeu complet comme Sakurai sait si bien les faire, et seuls les quelques problèmes de gameplay au sol ainsi que l'absence de doublage français (rendant les dialogues très difficiles à suivre) l'empêchent d'atteindre l'excellence. Inutile de dire que Pit fait malgré tout le genre de retour réussi qu'on aimerait voir plus souvent. Et, même si on n'en a pas parlé durant ce test : c'est juste diablement beau.
Après 25 ans d'attente pour les joueurs que nous sommes, puis après une dizaine d'heure de jeu et avoir terminé les 25 chapitres de ce titre, je suis en mesure de vous donner mon avis.
Kid Icarus à tout du jeu culte. S'il s'inspire évidemment dans les grandes lignes (sur un ticket de métro) de son grand frère sur NES on se doute que le titre prend amplement ses aises pour y développer tout un univers incroyable.
Qu'est ce qu'un titre comme Kid Icarus, développé pour la Nintendo 3DS, par Nintendo a à nous offrir?
[g]La réalisation?[/g] En effet, comment ne pas s'extasier devant l"incroyable diversité des 25 chapitres (eux même divisés en 2 stages) que nous traversons. Pas une faute de goût (dans l'ensemble), des graphismes fins, colorés et une animation à tomber. De l'action, des moments forts a répétition, un excellent final bluffant et son boss bien coriace qui se paie même le luxe d'une mise en scène lorgnant du coté d'Asura's Wrath.
[g]La bande son?[/g] Oui évidemment. Unique et propre à chaque stage en vol, composée comme pour un film, elle accompagne chaque événement, chaque intervention d'un boss, d'un personnage, d'un passage dans le stage. Grandiose.
[g]Le scénario?[/g] Eh bien oui, contrairement ce que pourrait laisser penser l'univers du jeu exploité, le scénario est bien là. Alors évidemment nous sommes loin d'un FF mais en revanche sachez que l'histoire multiplie les rebondissements, jusqu'à offrir même un chapitre entier, incroyablement bien mis en scène, qui tranche complètement avec l'histoire du jeu en plus de la relancer.
[g]Les Boss?[/g] Pour sûr, on ne les dénombre plus tellement il y en a (au moins 1 vingtaine).
Et pas des boss vite fait, mal fait. Non des vrais bons boss avec chacun sa personnalité, ses attaques etc etc... Oui cette fois ci Nintendo n'a pas fait dans la demi-mesure. On est loin des 3 boss miteux de Mario land 3D. Monstrueux!
[g]Ses personnages?[/g] A n'en pas douter tant ils sont attachants (et vraiment nombreux (mythologie grecque oblige))
Pour la première fois dans un jeu (pour ma part) on ne s’ennuie pas 1 seconde tant les personnages sont sans cesse entrain de parler. Personnages ET Boss.
On ne peut aisément imaginer les dialogues qui vont suivre entre les différents protagonistes du jeu mais je pourrais vous évoquer surtout [g]l'humour étonnant qui s'en dégage de ces dialogues[/g].
[g]Entre clins d'oeil à l'univers des jeux vidéos en général puis aux titres Nintendo précisément, mis en abîme du jeu en lui même, jeux de mot à foisons, évocation de la crise financière, de l'écologie, évocation des conditions de vie et questions existentielles des Boss[/g] (Pandora qui veut passer son permis mais vu qu'elle n'a pas de main ni de pieds... lol), par de nombreuses fois on se croirait même dans un monty python tant l'humour devient absurde mais super drôle.
Ca n'arrête pas, chacun des protagonistes iront de leurs commentaires (un peu comme sur gamekyo en fait) commentant l'action à l'écran, se vannant à répétitions, toujours à essayer d'avoir le beau rôle (oui comme sur gamekyo d'ailleurs lol) Vraiment énorme de ce coté là. Entre les Boss géniaux comme Hydra, ou les empoignades incessantes de Palutena et Viridi, on est captivé, on en oublie presque parfois de jouer tant l'on guette la prochaine réplique qui fera mouche de l'un des protagonistes.
Comment expliquer l'énergie incroyable qui se dégage de ce jeu? Comment expliquer toute la magie qui en ressort? Cette magie estampillée Nintendo dont seul lui à le secret?
[g]Mais comment vous expliquez aussi comment nous sommes passé à coté d'un des jeux les plus cultes de cette année? Et l'un des jeux les plus cultes de Nintendo de ces 10 dernières années...
Je vous rassure pas à cause des 2/3 incohérences du scénario, ni pour le fait qu'on ne sache pas ce que deviennent certains personnages qui disparaissent d'un coup du jeu (magnus...). Ni non plus pour les 2 avant derniers chapitres du jeu, assez en retrait et beaucoup moins inspiré comme s'ils justifiaient presque de broder (avec recyclage de boss à la clé), presque, inutilement la durée de vie du jeu déjà remarquable. Ni pour ce niveau entier qui n'a pas bénéficié du filtre des textures et nous exposes donc ses textures de l'aire psone, hypra pixelisées (0_0).
Non. Tout simplement à cause de la jouabilité, effectivement.[/g]
Cette fichue jouabilité qui pour moitié du jeu (phase au sol) vient tout gâcher. Vous savez le genre de fête extraordinaire si ce n'est que la piste de danse est si étroite que l'on soit obligé de se contorsionner dans tout les sens pour y danser. Ou bien un repas de luxe servis dans des assiettes en or, avec une magnifiques fourchette d'un coté et a la place d'un couteau: une baguette chinoise. Pas évident pour couper la succulente pièce de boeuf que l'on vous a servis !
Eh bien voilà. C'est cette fichue jouabilité au stylet pour les phases au sol, [g]insupportable, inadaptée, récalcitrante avec laquelle l'on doit malheureusement s'y accommoder.[/g] Nintendo aura eu beau proposer 3 ou 4 façon de jouer possible (même sans stylet) qu'aucune n'est en fait vraiment adaptée pour ces saletés de phases au sol.
[g]Pourtant il n'était pas difficile de simplement, tout simplement, nous faire une jouabilité identique à Kingdom Hearts.[/g] Mais non, l'équipe de Sakurai s'est obstiné à conserver le stylet pour ces phases. Aberrant. C'est comme si vous souhaitiez rejoindre un étage et que l'on vous obligerais à prendre l'escalier alors que l'ascenseur est juste à coté.
Surtout qu'en plus, la rage est d'autant plus présente quand on voit combien il est jouissif d'avoir ce gameplay à la KH dans le chapitre au sol avec Magnus que l'on contrôle de cette façon, c'est a dire sans stylet ! (c'est ça le pire, ils ont osé !!)
[g]Ah "project Sora"... ironiquement, la mort dans l'âme on pense irrésistiblement à KH et son gameplay simple intuitif et qui aurait si bien collé à Pit qui se voit en plus affublé d'une piètre façon de se mouvoir, en clopinant... Etrange choix des développeurs que vous vous direz, et incompréhensions à l'infini face à cette jouabilité "par omission", risque d'être votre lot pendant une bonne moitié du jeu.[/g]
Bref, on est passé près de la perle, du jeu culte, de très très près, malheureusement il ne restera de Kid Icarus qu'un très bon jeu mais qu'on aura quand même un peu de peine à se refaire si ce n'est pour les sublimes phases en vol.
[g]Un peu comme faire un match entier au foot avec des chaussures de villes, partager que nous serions entre notre passion du ballon et les difficultés d'y prendre du plaisir dans de bonnes conditions. Arrivé au bout, malgré l'évident plaisir que l'on en aura retiré de notre match, on se dit qu'on aura quand même du mal à se le refaire avec ces fichues chaussures de villes.[/g]
Eh bien Pit et tout son univers c'est un peu ça aussi. Dommage.
Je ne comprends pas cette facilité à critiquer la maniabilité du jeu au sol. Elle n'est pas intuitive au premier abord, mais elle devient vraiment intéressante et nerveuse après quelques dizaines de minutes d'entraînement.
Le jeu est merveilleux, beau, l'histoire est passionnante et les dialogues très bien écrits (et traduits !). Bref, une bombe en puissance ! :)
Kid Icarus Uprising... Par ou commencer ? Mes impressions restes mitigés malgré le somptueux jeux que je viens de parcourir.
En effet, le jeu est graphiquement parlant une bombe avec une 3D du plus belle effet très bien maitrisée et une BO merveilleuse. Les décors et les effets sont époustouflants : la 3DS c'est du lourd ! Le scénario nous promet mont et merveille et nous sommes donc servit avec des rebondissements en veux tu en voilà et très bien amenés. L'aventure écrite ce suit avec grand plaisir.
Mais voilà... le tout est en Anglais. Pour les Anglophobes qui jouent en intensité élevée, il est impossible de suivre l'histoire convenablement. Soit sa vous est égal, ou comme moi, vous ne profitez pas à fond des blagues ou des subtilités ce qui rompt totalement l'immersion. De ce fait, j'ai erré dans ce jeu jusqu'au chapitre 10 et n'en pouvant plus, j'ai décidé de me faire le jeu en intensité 0... Certe je finissais le niveau full vie, sans challenge mais j'ai put au moins me delécter de tous les dialogues et le jeu ma semblé beaucoup plus intéressant. La durée de vie est également immense avec 25 chapitres + des succès avec récompenses + le multi qui est très bon en soi mais je n'ai pas adhéré (n'étant pas fan de multi). Beaucoup critiques la maniabilité mais il suffit de mettre le viseur aux boutons et le tour est joué.
Bref, ce jeu restera quelque part décevant pour moi malgré des qualités indéniables qui le dresses au firmament des jeux portables. Osez le mode facile !
Je ne comprends pas pourquoi tout le monde s'emporte sur ce jeu à ce point. Certes, c'est assez beau en vol et le jeu est assez complet, mais il souffre de défauts MAJEURS ! Notamment en ce qui concerne le gameplay. Sérieusement, au sol c'est une galère à diriger ( surtout pour un gaucher). Il faudrait 3 bras, d'ailleurs si Nintendo offre le socle c'est qu'il s'en sont rendu compte également. Jeu moyen.
Allé commençons par le gros point noir du jeu : la jouabilite lors des phases à pieds, le contrôle de la caméra avec le stylet ou les boutons et très loin d être évident et sincèrement gâche une partie du potentiel du jeu.Second petit soucis l absence de voix françaises car durant 95% du jeu les personnages discutent mais impossible de lire les sous titres lorsque l action devient trop frénétique. Pour le reste ce jeu est probablement le plus ambitieux que j'ai vue sur une portable, une réalisation superbe, des musiques splendides, des tonnes et des tonnes d ennemies, une exelente durée de vie, et des niveaux absolument sublimes ( l océan galactique ! ) certains passages dégage même une mélancolie surprenante. Pour moi ce jeu aurait pu être le meilleur jeu à ce jour sur console portable si la jouabilite avait été plus appropriée, en l état il n est qu en excellent jeux, et c est déjà pas mal.
J'attendais ce jeu avec impatience et que dire à part que je suis tout sauf déçu !
Graphiquement le jeu est juste phénoménale et démesuré pour une console portable ///SPOIL/// le niveau quand Palutena ouvre la mer en 2, les boss, le chara design, toutes les phases en vol ///FIN DE SPOIL///
Le travail de la Team Sakurai est monstrueux et franchement c'est limite frustrant de tels graphismes sur un si petit écran !
Je souhaite de tout mon cœur revoir cela voir en mieux sur grand écran ( WII U ? ) !
Musicalement parlant l'ost est juste sublime, les musique entrainante et marquante, une féerie sonore...
L'univers de Kid Icarus est riche, très riche détournant à sa façon la mythologie grecque avec ses dieux et autres monstres. On y parle beaucoup et il est souvent difficile de suivre l'histoire sous titrée en français, j en viens au gameplay !
Concernant le gameplay, je trouve qu il n y a rien à dire :
L'hors des phases de vol on dirige Pit sur l'écran avec le pad, on vie avec le stylet, et on tire avec L, c est parfait , au ptits oignons;
Au sol j ai lu beaucoup de critiques, et je ne comprends pas pourquoi, je e vois pas en quoi bouger la caméra en glissant le stylet à l’horizontale à causé autant de soucis !
Ca répond bien, on peut même passer en mode fps en appuyant sur x, je capte pas la polémique...Pour le reste le gameplay est le même que pour les phases de vol.
En fait le seul reproche que je ferais au jeu est justement les phases de gameplay au sol, qui m'ont soulé par leur répétitivités...Alors que les combats volants sont justes spectaculaires, démesurés et passionnants ! également le blabla du jeu dur à suivre, les sous titres quasi impossible à lire quand on shoot des centaines de monstres !
Mis à part cela ce jeu frise la perfection !
Un contenu énorme digne des jeux d’antan qui ne nous prenaient pas pour des vaches à lait, un replay value important pour obtenir tous les succès, toutes les armes à acheter avec les cœurs, que l on peut gagner un maximum en jouant au niveau le plmus dur, l'ost à écouter en bonus, les icarons ( personnages, monstres, villes etc...) a admirer...
Une tuerie, un des meilleurs jeux de la 3DS qui décidément est une console incroyable !
bon jeu des decords magnifiques ,de bonne musique , assez long pour les point positif un gameplay bien chiant sans second joystick bien que en vol plus abordable qu'au sol ou le placement de camera rend vraiment les combats confus .Les dialogue en anglais gache l'imerssion de ce titre qui parle tous le temps !
Un bon jeu gacher par des defaut trop important pour moi !
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