""Dontnod Entertainment compte bien garder sa relative indépendance"
Quand une énorme multi-nationale chinoise investit autant dans ton capital au point d'avoir un représentant au conseil d'administration j'ai du mal à croire que tu recherches l'indépendance.
Après, le patron de dontnod peut bien dire ce qu'il veut à la presse, ça ne trompe pas grand monde."
"@wazaaabi En fait, tout est relatif : si t'es un ptit jeune dont le seul réferentiel c'est la génération d'avant, c'est sur que 80 euros, ça pique. Si tu as plus d'expériences et que tu as connu les 16 bits, ben finalement, 80 euros c'est la norme...
en plus, on parle d'une époque ou les jeux n'étaient pas fait par 500 programmeurs éparpillés sur 3 continents pendant 4 ans, comme les AAA d'aujourd'hui, donc si y'a des joueurs qui se faisaient "mettre", c'était plutot les jeunes des années 90, pas ceux d'aujourd'hui..."
"Et en plus, c'était une époque ou le smic était à 700 euros net (genre 4600 francs), donc quand tu claquais 70 ou 80 euros (soit 500 francs), ça te faisait mal au c.. Bien plus que 80 euros aujourd'hui. Tout ça pour des jeux qui parfois duraient 5 heures..."
"@djfab Et en plus, les 699 francs/100 euros, si tu les compares au salaire moyen de l'époque, c'est encore beaucoup plus cher que 100 euros d'aujourd'hui, donc, franchement, on a pas se plaindre..."
"Après, 75 ou 80 euros ça vous parait cher, mais honnêtement, regardez le prix de certains jeux 16 bits officiels, dans les années 90, c'était le même tarif alors vous devrez même vous estimer heureux que l'inflation n'ait pas fait son travail pendant les 30 dernières années. Parce que si c'était le cas, vous les paierez 150 euros, vos jeux"
"Vu que le gamepass ne me coute pas un centime, ils peuvent l'augmenter tant qu'ils veulent, ça ne m'empeche pas de dormir. Par contre j'ai besoin des types qui achètent leurs jeux day one (donc bien buggés) à 80 boules : comme ça quand ils arrivent dans le gamepass, 6 mois ou 1 an plus tard, ils sont bien débuggés. (et en plus, donc, je ne les payes pas).
Merci les mecs."