En référence à une célèbre célèbre série, RTL a dénoncé hier dans son journal de 19h que, pour la fermeture du Musée du Jeu Vidéo et de son acolyte le Musée de l'Informatique, la vérité est bien ailleurs...

je vous invite à écouter ce reportage qui énonce, pour une fois, la simple vérité. Je vous invite également à signer la pétition (pour ceux qui ne l'auraient pas encore fait) et à la faire tourner au plus grand nombre !
(Le reportage et la pétition via le lien suivant)

Après un sympathique premier épisode, Crackdown remet le couvert et nous propose de replonger dans les rues infestés de criminels et même des zombies de Pacific City, pour une aventure orchestrée non plus par les gars de Realtime Worlds (qui bossait alors sur All Points Bulletin), mais par les mains innocentes de Ruffian Games. Si pour beaucoup Crackdown premier du nom rime avec bêta multijoueur de Halo 3, pour bien d'autres la mélodie est différente. Une suite qui fait malheureusement « crack » bien trop rapidement...

Papa du premier volet, Realtime Worlds ne s'est pas occupé du second épisode et a donc laissé la suite du titre entre les mains de Ruffian Games, composée en très grande partie d'anciens de Realtime Worlds ainsi que des développeurs ayant travaillés sur des titres comme Fable II ou encore Project Gotham Racing. C'est lors de l'E3 2009 que le studio écossais a annoncé pour la première fois, en grande pompe, la venue du second épisode Crackdown. Un premier volet pas particulièrement inoubliable, mais relativement défoulant. On se souvient surtout de Crackdown pour le code présent dans la boite du jeu : celui de la bêta multijoueur de Halo 3. Une technique de vente imparable.C'est donc quelques années après la parution de l'épisode de Realtime Worlds que Crackdown refait surface sur Xbox 360 uniquement une fois encore, une fois de trop peut être...
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Ken, Ken, survivant de l'enfer. Ken, Ken, souvent croise le fer sur nos consoles. Dans le chaos de la HD, contre les fous, les punks et les bandits... Ken, Ken, tu m'a fendu le coeur ! Et pourtant, ce n'est qu'une preview. Je vous laisse imaginer notre test complet au mois de septembre.

C'est déchirant de déjà dire ça (c'est une version import qui nous a servis pour la preview), de tuer le suspens dès le début, mais voilà : Fist of the North Star : Ken's Rage est une déception. Pitch trop puissant, trop prometteur, on l'a trop rêvé, ce croisement de jeu de baston massif et du monde de Ken le survivant. Comme au lendemain, on pointe du doigt, on cherche des responsables. Pour commencer : intro bof qui ne laisse pas de doute sur la maigre qualité de la modélisation, musique "pas de la série", voix digits jouées par de jeunes acteurs (vivement la version pal) qui essayent de simuler les "atatatata wata", ça commence mal. Ken le survivant commence à affronter quelques punks décadents. Quelques seulement, car ils viennent à un rythme peu soutenu qui laisse présager une autre douleur : le jeu est ultralent, ralentissant à tous les combos. Attention, c'est un effet voulu, pas un bug. On se dit qu'on va galérer, surtout que les missions s'allongent pour nous faire "admirer" un level design parfois consternant où heureusement, on pourra vaguement casser des décors. 2010 en force...
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Ken, Ken, survivant de l'enfer. Ken, Ken, souvent croise le fer sur nos consoles. Dans le chaos de la HD, contre les fous, les punks et les bandits... Ken, Ken, tu m'a fendu le coeur ! Et pourtant, ce n'est qu'une preview. Je vous laisse imaginer notre test complet au mois de septembre.


C'est déchirant de déjà dire ça (c'est une version import qui nous a servis pour la preview), de tuer le suspens dès le début, mais voilà : Fist of the North Star : Ken's Rage est une déception. Pitch trop puissant, trop prometteur, on l'a trop rêvé, ce croisement de jeu de baston massif et du monde de Ken le survivant. Comme au lendemain, on pointe du doigt, on cherche des responsables. Pour commencer : intro bof qui ne laisse pas de doute sur la maigre qualité de la modélisation, musique "pas de la série", voix digits jouées par de jeunes acteurs (vivement la version pal) qui essayent de simuler les "atatatata wata", ça commence mal. Ken le survivant commence à affronter quelques punks décadents. Quelques seulement, car ils viennent à un rythme peu soutenu qui laisse présager une autre douleur : le jeu est ultralent, ralentissant à tous les combos. Attention, c'est un effet voulu, pas un bug. On se dit qu'on va galérer, surtout que les missions s'allongent pour nous faire "admirer" un level design parfois consternant où heureusement, on pourra vaguement casser des décors. 2010 en force....
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Histoire d'être de bonne humeur pour la journée, je vous propose de découvrir aujourd'hui cette vidéo intitulée : « Et si les jeux vidéo étaient réels ».

Ainsi vous allez découvrir vos héros de jeu vidéo interpréter par des comédiens dans des scènes très drôles. Ils sont fous ces américains ! (Vidéo via
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Si vous avez toujours rêvé de voir à quoi ressemblerait une PlayStation 3 brûlé par les flammes de l’enfer, brrr j’ai peur, j’ai ce qu’il vous faut.
Inutile donc de cramer votre console, puisque un joueur l’a fait pour vous. Il faut signaler que cela s’est produit à l’insu de son plein gré suite à l’incendie de sa maison.
Des images choquantes ! (Les images dispos via le lien suivant) :

Lorsqu'on a prêté Disney à Tetsuya Nomura pour s'amuser avec, il en a fait un vrai bac à jouets perso. Voici le prochain en date qui va sortir en Europe. Préparer vos pelles et vos râteaux et suivi-nous dans une nouvelle aventure.

Dès les premières heures, on est heureux de constater que Square Enix et surtout Tetsuya Nomura, le mentor des Kingdom Hearts, ont corrigé ce qui n'allait vraiment plus dans la série. Après le médiocrissime jeu sur DS, il était devenu évident que les histoires tournant autour de l'organisation XIII avaient lassé les fans. Les mystérieux mecs en trench-coat aux noms imprononçables, ça s'est calmé. Square Enix a compris que les gens jouent à Kingdom Hearts pour avoir le mélange de Disney et de Final Fantasy, le reste c'est du baratin. Bon, il y a un prétexte : les héros (entraperçus dans Kingdom Hearts 2 Final Mix+, si vous suivez) exploreront le Disney-universe à la recherche du mystérieux maître Xehanort. Trois scénarios à jouer à tour de rôle pour Terra, Ventus et Aqua, tous armés d'une Keyblade, tels les dignes prédécesseurs de Sora de KH1. Encore un récit d'origine, sous-titré Birth by Sleep (Naissance par le sommeil). On espère ne pas en mourir sur PSP.

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Lorsqu'on a prêté Disney à Tetsuya Nomura pour s'amuser avec, il en a fait un vrai bac à jouets perso. Voici le prochain en date qui va sortir en Europe. Préparer vos pelles et vos râteaux et suivi-nous dans une nouvelle aventure.

Dès les premières heures, on est heureux de constater que Square Enix et surtout Tetsuya Nomura, le mentor des Kingdom Hearts, ont corrigé ce qui n'allait vraiment plus dans la série. Après le médiocrissime jeu sur DS, il était devenu évident que les histoires tournant autour de l'organisation XIII avaient lassé les fans. Les mystérieux mecs en trench-coat aux noms imprononçables, ça s'est calmé. Square Enix a compris que les gens jouent à Kingdom Hearts pour avoir le mélange de Disney et de Final Fantasy, le reste c'est du baratin. Bon, il y a un prétexte : les héros (entraperçus dans Kingdom Hearts 2 Final Mix+, si vous suivez) exploreront le Disney-universe à la recherche du mystérieux maître Xehanort. Trois scénarios à jouer à tour de rôle pour Terra, Ventus et Aqua, tous armés d'une Keyblade, tels les dignes prédécesseurs de Sora de KH1. Encore un récit d'origine, sous-titré Birth by Sleep (Naissance par le sommeil). On espère ne pas en mourir sur PSP.
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Sony a vendu la mèche en image sur l’édition très spéciale de Gran Turismo 5 qui fut annoncé cette année lors de l’E3.
Enfin prévue pour le mois de novembre (en tout cas c’est sûr pour le marché américain), cette même édition sortira aussi en Europe au prix de 179.99 €uro. Je vous laisse découvrir en image de quoi il en retourne, mais en gros vous aurez le droit a une clé USB de la marque du développeur du jeu, une pochette en cuir, d’un magazine de près de 200 pages et plein d’autres choses. En bref une version qui vaut vraiment le coup pour une fois.
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De passage à Paris, deux membres de la Bungie Team préparent la rentrée avec détermination et une arme de "scotchage massif" non-négligeable : Halo Reach. L'occasion rêvée de faire le point avec ces derniers sur l'outil Forge, le mode Firefight et s'extasier devant la beauté du travail accompli. Faites reluire les casques et crier les mitrailleuses ; cible en approche.

Annoncé comme le dernier volet d'une saga débutée en 2001, Halo a depuis sa création, déchaîné les passions ; scindant joueurs entre "pros" et "anti'. La faute à un second opus très en deçà des attentes des joueurs et une action parfois redondante. Conscients des multiples reproches ayant plus ou moins écorné la licence, les créateurs ont ainsi souhaité...livrer une copie complète. Le chant du cygne, somme toute. Adieu donc certains "codes" appartenant au passé ; la Noble Team fait son apparition ; comme portée par un vent nouveau. Exit donc l'archi connu Master Chief. Signe des temps nouveau. La première cinématique d'introduction de la campagne place la Noble Team à bord d'hélicos "Falcon" en approche des vallées embrumées de Reach ; pour une mission de "renseignements".

Le soft profite du trajet pour vous initier brièvement aux différentes manoeuvres ; la phase didacticiel se faisant fluide et digeste. En rien de l'inédit mais tout se subît rapidement et l'on se trouve immédiatement plongé dans l'action et la luxuriante faune environnante. L'ensemble des paysages offre une belle profondeur de champ et une belle gestion des effets de lumière et des textures. Tout est maîtrisé de main de maître ; laissant le champ libre à une mise en scène grandiloquente au possible. La cohérence sonore est assumée par un travail bluffant du très réputé Marty O'donnell ; finissant de vous plonger au coeur d'une action s'annonçant mémorable...
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Avec le PlayStation Move il était évident que nous allions avoir le droit à de drôles de choses dans le commerce. Comme quoi il y a toujours de petits profits à se faire.
Voici l’un des premiers exemples : avec des gants. Vous avez peur de suer des mais lorsque vous utilisiez votre PlayStation Move ? Voilà de quoi vous rassurer. Ou pas. C’est vrai que cela peut paraitre idiot, mais vous verrez que dans quelques mois ceci sera ultra tendance. (l'image sur le lien suivant):

Ce dimanche, un duo de cosplays représentant l'Italie a battu ses rivaux de 14 autres pays et a pris la première place lors du mondial Cosplay à Nagoya.

Les gagnants étaient habillés en Link et Ganondorf de la célèbre saga des jeux Zelda. Les finalistes ont interprété une scène de trois minutes en direct sur scène devant 15.000 personnes. Encore bravo à eux.
(l'image via le lien suivant) :

Quand on tient un concept fortement étrange comme Valkyria Chronicles, on ne le lâche pas simplement parce que les joueurs n'en ont pas assez acheté. On continue. Et sur PSP.

Valkyria Chronicles premier du nom a indéniablement montré l'aptitude de Sega à se sortir les tripes pour proposer un jeu original. Mais vu le succès mitigé du premier, qui a coûté un bras à l'éditeur, la suite se fera plus modeste sur PSP. Exit le merveilleux aquarelle-shading, on n'en verra plus qu'une lointaine trame de papier buvard censée évoquer la mélancolie de cette guerre fantasmée. Pourtant, en mouvement, la PSP maintient l'illusion à merveille, ou presque.

Le "charme" de Valkyria Chronicle résidait dans le mélange étrange de Seconde Guerre mondiale et du grotesque abusif si typique des RPG nippons. On était en permanence dans une métaphore pop et maladroite où venaient se mélanger des sortes de nazis et de camps de concentration d'un goût très limite, pendant que les héros d'une niaiserie cosmique se préparaient des pains au chocolat en compagnie de la mascotte officielle, un cochon ailé. Pas assez vrai ou trop con ! Cette suite a tranché : ça sera le délire plein. En plongeant l'histoire dans une guerre civile, deux ans après le conflit mondial du premier opus, Sega a trouvé la réponse : l'année se fera dans la joie scolaire. Le héros, triste durant une minute à l'annonce de la mort de son frère, s'engage et se retrouve à l'académie militaire de Gallia. On ne pouvait craindre pire bouffon pour donner le ton de cette suite avec son scénario qui donne parfois envie de faire "skip" à chaque discussion…. (la suite via le lien suivant) :

Je vous propose de consulter la petite Preview de Last Window sur DS, la suite du célèbre Hotel Dusk. (via le lien suivant) :