Depuis des années, Metacritic est utilisé comme référence par beaucoup de joueurs (et même par les éditeurs).
Mais à force, le système ne semble plus aussi fiable :
- critiques pros parfois accusées d’être trop indulgentes (ou au contraire trop sévères),
- joueurs qui “review-bombent” pour faire passer un message,
- différences énormes selon les versions (PC vs consoles),
- et une moyenne qui ne reflète pas toujours la qualité réelle d’un jeu.
Alors, peut-on encore se fier au fameux “score Metacritic” pour juger un jeu ?
Ou est-ce devenu un indicateur parmi d’autres, qu’il vaut mieux relativiser ?

- La plupart des jeux ne sortent pas finis, ont des notes qui les impactent, et ne font que s'améliorer avec le temps (sans que la moyenne Meta ne soit modifiée, car personne n'a le temps de refaire un test).
Y a des exceptions évidemment, mais même des candidats au GOTY sont meilleurs qu'ils ne l'étaient au lancement, comme Clair Obscur qui a nerf ses compétences abusées qui pouvaient niquer la difficulté à un certain stade, ou inversement Hollow Knight Silksong qui commence à avoir du rééquilibrage.
A moins que la moyenne soit vraiment, vraiment tres basse sur un jeu que tu attend vraiment, la par contre ca peut jeter un froid.
ensuite le système de notation est devenu totalement inutile depuis qu'on ne note plus les point globaux du jv mais qu'on note le ressentit...
les notes métacritique ca donne juste une valeur de hype et plus une valeur de qualité de jeu, les journalistes jv ayant disparu depuis 20 ans, au profit de streamer et d'influenceur
je vais dire elle sont valable pour tous ce qui n'est pas AAA voir niche car du coup seul les vrai journaliste vont faire l'effort de tester les jeux, mais pour tous ce qui est grand publique, ca vaut 0
Ce qui donne notamment ces reviews bombing totalement inutile
Le concept de rassembler les notes de rédactions agréées n'est pas mauvais et est en soit très utile pour voir les qualités d'un jeu, ce sont les dérives cherchant notamment à gagner de l'influence sur ce système qui posent problèmes derrière.
Cependant, le système est actuellement imparfait et rend les notes pas totalement fiable. La faute ? Il sert les éditeurs, pas les joueurs.
Pour que les scores deviennent plus juste, il faut une charte éthique et des règles strictes. J'ai quatre propositions :
-C'est la base de l'indépendance. Recevoir un code gratuit crée un conflit d'intérêts et une dépendance. Les médias doivent financer leurs tests par leurs lecteurs pour garantir une critique honnête et éliminer la pression des éditeurs
-Un jeu qui sort avec des bugs majeurs ou qui dépend d'un patch Day One pour être jouable n'est pas un produit fini. Ces jeux doivent être sévèrement pénalisés dans la note. Il faut juger le produit tel qu'il est vendu, pas tel qu'il pourrait être dans six mois.
-Pour mettre fin à l'arbitraire et à la subjectivité extrême, tous les critiques doivent utiliser une grille d'évaluation commune. Cette grille doit allouer un poids clair à chaque aspect (ex. : 20% pour la technique, 30% pour le gameplay). On saurait ainsi pourquoi un jeu a eu telle note.
-Il faut distinguer :
La Note par Plateforme : pour évaluer la réalité technique (est-ce que la version de tel machine est un désastre ?).
La Note Globale : pour juger la qualité intrinsèque du gameplay et du contenu (comme "opencritic" qui mélange toutes les plateformes).
Metacritic ne doit plus être une moyenne d'opinions polluées par les relations publiques, mais une synthèse structurée et indépendante au service du consommateur.
Tu as tout à fait raison. La dépendance financière aux constructeurs est un poison. Ce biais n'est pas spécifique à Nintendo, il touche tout site dépendant d'un seul annonceur (Xbox, PS, PC, etc.).
Ton inquiétude sur l'indulgence des sites spécialisés est légitime, mais elle est déjà gérée par mes propositions de méthode :
Je propose de distinguer la Note Globale (le fond du jeu) de la Note par Plateforme (la performance technique). Le consommateur est ainsi averti du désastre technique, même si la critique aime le jeu.
Mon système obligerait le critique à suivre une grille où la "Performance Technique" a un poids précis (par exemple, 20 %). Si tu es obligé d'allouer 20 % de ta note à ce critère, un jeu buggé ou lent fera mécaniquement chuter la note globale, même si l'éditeur te finance. Le critique ne peut plus excuser ou masquer la mauvaise technique.
Mon objectif est clair : forcer le critique à l'honnêteté technique de la version qu'il teste, même si son média est financièrement dépendant.
Le problème, comme tu le dis, c'est l'argent. C'est pour ça que la presse doit payer ses jeux et être financée par les abonnés : pour être libre d'appliquer cette rigueur sans craindre de perdre son accès ou sa publicité.
Après depuis qu'il est possible de patcher les jeux, les jeux sont pas finis, mal calibré.
Un test n'a pas d'incidence sur mon envie. Si je veux le jeux, car la présentation etc m'ont convaincu, je le prendrai.
Peut-être pour quelque rare cas, j'attends des test ou le retour des joueurs.
Clair obscure a etais très bien noter, même mon frère me l'a conseiller alors qu'il me conseille rien
Je l'ai téléchargé et j'ai toujours pas commencer....
Parce que j'en ai pas envie maintenant. Un peu comme quand on te fait un cadeau de Noël....sa fini a la cave . Parce que j'en ai pas envie.
nicolasgourry les test de jeux, et les studio , font partie du même milieu. Bien entendu les testeurs doivent pas etre trop assassin, sous peine de ne plus recevoir de version a tester (en général envoyer gratuitement).
Après quand tu regarde hier et aujourd'hui, on a des jeux qui sont rarement a la moyenne, souvent compris entre 15 et 20 sur 20.
On se moque de Famitsu, mais on n'est guère mieux en Europe ou aux US. Soit c'est 9 ou 10 (surtout quand ce sont des exclues
Un jeu qui à 70 de moyenne devrait être un bon jeu, maintenant on voit ça comme une bouse. Meta jaune pisse hihilol.
Ma réponse, c'est bien la mienne. J'ai utilisé un outil pour la structurer et la clarifier (c'est l'un des meilleurs usages de l'IA, d'ailleurs), mais elle ne contient que mes arguments. J'aurais dû être plus explicite :
Le testeur doit payer son jeu (comme ça il a aussi une notion du prix et son jugement n'est pas biaisé par la gratuité).
La grille de lecture est obligatoire (Pour ça que j'ai fait ce questionnaire : https://www.gamekyo.com/group2067.html).
Le jeu non fini doit être pénalisé (sinon tu évalues un jeu non fini, à moins que ce soit bien spécifié comme un jeu en "accès anticipé").
La double notation technique/globale (justement pour bien distinguer la qualité du jeu en général de la performance sur une plateforme précise).
Maintenant sur le fond, tu as soulevé un point crucial (la dépendance financière des sites). Dis-moi, fondamentalement, ce que tu as à redire à ce système de notation. Pourquoi penses-tu que cette charte éthique et cette rigueur méthodologique ne fonctionneraient pas mieux que le système actuel ?
Sincerement ça fait bien longtemps que les notes ne veulent rien dire.
J'ai + confiance aux notes de Gamekyo où je sais que le testeur fait vraiment via son ame et conscience, sans aucune pression que sur les notes des autres sites et influenceurs.
Si le jeu m'intéresse je lis le test pour voir si les points faibles du jeu sont rédhibitoires ou non pour moi.
Par exemple un AAA grand spectacle type Spiderman ou Gears of War si les ponts faibles sont la narration je me dis que c'est pas trop grave car c'est un jeu pop corn je sais dans quoi je m'engage par contre si on met le gameplay mal équilibré ou ennuyeux bah je me dis que j'attendrai peut être un peu avant de mettre un billet dessus.
c'est d'ailleurs pour ca que les éditeurs ne passe plus par des journalistes, mais par des influenceurs, la promotion d'un jeu ne se fait plus par l'information mais par la corruption, ce qu'il faut faire pour que le jeu video redeviennent saint c'est inverser le rapport de force, c'est l'acheteur qui doit dicter les règles et non les éditeurs et les constructeurs... sans ca rien ne pourra jamais aboutir
et le seul moyen d'arriver a ca c'est de dégager le grand publique du jv, mais bon comme je le répète, pour ca rien besoin de faire de spécial a par attendre, le publique est en train de partir de lui même, on le voit avec les plus gros editeurs qui sont en train de se faire racheter un peu partout...
pour revenir a un jeu video sain, il faut dégager ce qui le tue a savoir le grand publique et ceux qui le cible...tous le reste se résoudra tous seul a partir de la, les journalistes redeviendrons des passionnés et plus des salarié, les couts (et donc les temps) de production diminueront, les studio feront des jeu avec des budget réduit et pour sortir du lot devront faire preuve de créativité, et le secteur redeviendra un enfer de crunch mais qui sera accetper par les travailleurs qui feront du jv par passion et pas pour l'argent (vu que il n'y a que les jeux ou les conditions de travail sont infernale qui produise des bonnes choses)
bref le soucis des notes ce n'est pas les notes mais toute l'industrie comme elle est actuellement, une industrie de comptable et pas de passioné
Parce que Gamekyo est old-school ça fait juste partie du charme du site.
Mais le plus important reste le teste en lui même ainsi que la conclusion.
Les avis user score j’ai l’impression que c’est écrit par des enfants qui protègent leurs jeux ou leurs constructeurs préférés (c'est 1000 fois mieux sur Steam). Et la presse comme d’habitude rien ne va, on caresse dans le sens du poil les gros éditeurs ou ceux qui ont une très bonne réputation malgré des défauts énormes, tandis que ceux avec moins de prestige ou de renommée prennent un malus dans la notation.
On sent quand même qu’il y a de l’argent en coulisse. Pas fan du tout.
Je peut être d'accord avec ton constat : l'essence du problème est bien l'inversion du rapport de force. Le journaliste sert l'éditeur au lieu de servir l'acheteur.
Mais je crois que tu confonds la solution systémique avec le chaos. Il n'y a pas besoin d'attendre l'effondrement total de l'industrie pour agir. L'acheteur peut dicter les règles maintenant.
Mes propositions sont les règles concrètes pour rendre la critique indépendante :
Le testeur doit payer le jeu. Point.
C'est la base de l'indépendance. Si le média achète le produit (financé par ses abonnés, avec des modèles flexibles d'abonnement selon la taille de la structure), l'éditeur perd tout pouvoir de chantage sur l'accès aux codes. Le testeur redevient libre. Ce seul acte inverse le rapport de force.
La rigueur de notation est obligatoire.
La grille de lecture stricte (par exemple, 50% sur le Gameplay, car le jeu vidéo est avant tout une idée d'interactivité pour moi) et la double notation (technique/globale) forcent l'honnêteté. Tu dis que c'est une industrie de comptables, mais cette grille oblige ce "comptable" à valoriser le fond et à pénaliser les jeux non terminés.
Tu mélanges également les métiers : peu importe la passion dans les studios, le journaliste est là pour protéger l'acheteur. Et pour ça, seule l'indépendance compte.
Maintenant, j'aimerais connaître tes solutions : En dehors d'attendre un cataclysme dans l'industrie, quelles sont tes propositions concrètes pour réformer la critique aujourd'hui ?
Des gens qui vont déglinguer un jeu car il est woke ou pas woke par exemple. A aucun moment ça ne donne d'idée sur la qualité du jeu.
J'imagine qu'Howard legacy va se faire dégommer sans possibilité de vérifier si les gens ont vraiment joué au jeu, juste parce que c'est tiré d'une licence d'une autrice prétendument transphobe. Donc aucun intéret.
Pour moi la seule évaluation (hors testeur que l'on connait et dont on sait que nos gouts correspondent) c'est les évaluations sur steam.
Quand quelqu'un comme shanks fait un test, on voit un peu ce que lui aime ou pas à force donc on peut se positionner. Par contre un chiffre global regroupant des inconnus sans vérification de multi comptes, de réel achat etc... non ça n'a aucun sens.
Idem pour les notes regroupés de magazines/sites. Quels sont les sites crédibles, les blogs etc...
La note est devenu un tel argument marketing que ça n'a pas de sens de se baser trop dessus aveuglement
et n'oublie pas les journalistes comme ceux d'IGN france qui ne servent ni l'éditeur, ni l'acheteur mais leur idéologie !
Et ça aussi c'est un problème, car ce n'est pas clairement écrit sur le site qu'ils sont de tel ou tel bord.
Car à la base c'est une personne avec une carte de presse. Combien en ont sur les différents sites de jeux vidéos ?
Très certainement pas beaucoup
Ton inquiétude sur l'idéologie qui pollue la note est légitime. Cependant, on ne peut pas interdire les opinions. La solution est de les séparer des faits.
On ne peut pas interdire l'idéologie d'un journaliste, mais on peut lui imposer une méthode qui distingue clairement les faits (le gameplay, la technique, l'interactivité) des opinions (le scénario, le message, l'idéologie). C'est le seul moyen de neutraliser ce biais et de préserver l'intégrité de la note.
Ma charte (50 % sur le Gameplay, double notation, etc.) force cette séparation. Le critique peut avoir son opinion, mais la note doit se baser sur les faits vérifiables du jeu.
Bref, mais au final, apprécier un jeu ou non, restera toujours subjectif, ça sera toujours au goût de chacun.
Bah non bien sûr que c'était pas un argument sérieux
Le truc pour Gamekyo c'est que si Shanks ne met pas une note il va se retrouver avec des mecs qui vont le faire chier "pourquoi t'as pas mis une note??".....alors que ceux qui n'en ont rien à foutre bah ça les dérange pas qu'il y ait une note ou pas.
c'est de l’idéologisme positif ca, ce serait bien si c'était possible, mais l'expérience m'a appris que les gens ne bouge quand quand le chaos approche, jamais avant... (on le voit avec le climat)
Mes propositions sont les règles concrètes pour rendre la critique indépendante :
Le testeur doit payer le jeu. Point.
C'est la base de l'indépendance. Si le média achète le produit (financé par ses abonnés, avec des modèles flexibles d'abonnement selon la taille de la structure), l'éditeur perd tout pouvoir de chantage sur l'accès aux codes. Le testeur redevient libre. Ce seul acte inverse le rapport de force.
je suis d'accord mais n'oublie pas que tu opposes le client a l’éditeur et que l’éditeur lui n'a aucune envie de laisser la main a l'indépendance, la seul chose qu'il l’intéresse c'est que ce pour quoi il paye lui rapporte le plus gros retour sur investissement possible, indépendance et marketing ca ne fait jamais bon ménage vu que le marketing (et l'argent associé) a pour but le contrôle...
donc ok, le testeur paye ses jeux, puis dis du mal dessus,et se voit retirer les pubs qui le finance et donc ses revenus... fermeture après 3 semaines... donc non ce seul acte ne change rien, car le problème principal reste la, le financement du testeur...
La rigueur de notation est obligatoire.
La grille de lecture stricte (par exemple, 50% sur le Gameplay, car le jeu vidéo est avant tout une idée d'interactivité pour moi) et la double notation (technique/globale) forcent l'honnêteté. Tu dis que c'est une industrie de comptables, mais cette grille oblige ce "comptable" à valoriser le fond et à pénaliser les jeux non terminés.
sur ce point mois aussi je suis d'accord mais la aussi rappelons que se sont les éditeurs qui ont imposer la disparition de cette structure aux site qui ont du tous s'y soumettre sous peine de perdre leur financements... encore une fois ce point est une demande éditoriale imposée au journaliste (qui annonçait déja a l'époque leur perte d'autonomie et d'impartialité)
Tu mélanges également les métiers : peu importe la passion dans les studios, le journaliste est là pour protéger l'acheteur. Et pour ça, seule l'indépendance compte.
oui, et c'est bien pour ca que je dis qu'il n'y a plus de journaliste, les journaliste d'aujourd'hui ne protège plus rien, ils font le boulot des commerciaux a savoir il vende le jeu a leur publique..., il n'y a plus aucune indépendance dans le jeu video
Maintenant, j'aimerais connaître tes solutions : En dehors d'attendre un cataclysme dans l'industrie, quelles sont tes propositions concrètes pour réformer la critique aujourd'hui ?
aucune, le cataclysme est en marche et il arrivera (et ca a déja commencer) qu'on le veuille ou pas, c'était en 2005 qu'il fallait bouger, on ne l'a pas fait, maintenant la date d'action est dépassée, et je me régale a chaque fois que je vois un gros studio se faire racheter, fermer ou restructurer, ils ont voulu cette situation, ils l'ont et il ne pourront plus sortir du piège dans lequel ils se sont enfermer, donc aujourd'hui rien ne pourra plus être fait en dehors d'attendre la chute et la transformation radicale de l'industrie comme dans les année 80, elle ne se fera pas de la même manière mais elle se fera pour les même raisons
ippoyabukiki te tracasse pas qu'ils sont financer par les editeurs, leur idéologie c'est juste du bonus en prime
Si tu t'es fait ban c'est que tu l'avais cherché et rien de plus.
Je te le dis clairement : ton fatalisme est le plus grand service que tu puisses rendre au système corrompu que tu dénonces.
Tu confonds l'indépendance avec la colère, et tu te fais le gardien du désespoir. Croire que le chaos va magiquement produire la "sainteté" est une naïveté dangereuse qui ignore les conséquences humaines.
Mon approche n'est pas une utopie, c'est une stratégie de Résistance active qui brise l'emprise financière des éditeurs :
Le média doit rompre tout lien publicitaire avec les éditeurs dont il teste les jeux.
Ce manque à gagner doit être compensé par l'Acheteur (la communauté). Ce financement doit être progressif selon les revenus pour garantir l'équité d'accès pour tous.
Les abonnés financent l'indépendance et choisissent les jeux à tester, reprenant ainsi le contrôle de la ligne éditoriale.
Le fatalisme est une démission. Mon approche repose sur la confiance dans le pouvoir de l'acheteur pour financer sa propre information honnête. Il n'y a pas d'autre voie que l'action.
dans ce cas là
bein écoute c'est déja lui (le chaos) qui a sauvé le jv dans les année 80 et comme je le répéterais jamais assez, même cause, même résultat...
Mon approche n'est pas une utopie, c'est une stratégie de Résistance active qui brise l'emprise financière des éditeurs :
Le média doit rompre tout lien publicitaire avec les éditeurs dont il teste les jeux.
briser l'emprise financière, tout en y laissant le publique cibler, c'est ce qu'on appelle de l'utopie, si tu veux dégager l'emprise financière, il faut dégager le publique qu'elle cible avec, tu ne sais pas faire autrement...
Les abonnés financent l'indépendance et choisissent les jeux à tester, reprenant ainsi le contrôle de la ligne éditoriale.
Et qui sont ces abonnés ? gamekult a voulu faire ca, on a vu le résultat...
Le fatalisme est une démission. Mon approche repose sur la confiance dans le pouvoir de l'acheteur pour financer sa propre information honnête. Il n'y a pas d'autre voie que l'action.
ce n'est pas du fatalisme c'est du réalisme (et le réalisme ce n'est pas souvent joyeux), l'industrie est gouvernée par l'argent, si tu veux sauvegarder un média il faut le rendre niche et peu enclin a l'investissement mais juste assez pour qu'il puisse survivre...
je ne vois d'ailleurs pas comment tu pourras changer par tes actions le mode d'achat et de consommation des gens, alors que justement ces gens on tendance a allez vers ou c'est le moins cher, histoire de ne pas trop perdre perdre si c'est pas bon (que se soit les info, les test ou les jeux), sachant que même en payant tu n'es jamais certain que l'information est honnête et correcte (tous les magasines jv n'était pas fiable a l'époque bien que payant)
Tu confonds toujours le résultat et la méthode, et tu justifies ton inaction en disant que le chaos produit le salut (comme le krach de 1983). C'est l'erreur fondamentale de ton raisonnement.
Le "Seal of Quality" est la Preuve de l'Action, pas du Chaos
Le "Seal of Quality" de Nintendo n'est pas la preuve que le chaos fonctionne. C'est l'exact contraire !
Le chaos (le krach) a créé l'opportunité. C'est l'action constructive, volontaire et méthodique de Nintendo qui a créé la solution et rétabli la confiance. C'était une norme imposée, tout comme la Sécurité Sociale a été une réforme solidaire post-guerre.
Ton fatalisme, c'est de laisser les gens crever en attendant que le chaos fasse le travail à ta place. Mon approche n'accepte pas ça : il n'y a qu'un privilégié qui peut penser comme tu fais (dans le sens d'une personne qui ne sera pas touchée directement).
Mon Approche est la Sécurité Sociale de la Critique
Mon approche n'est pas une utopie, c'est un "Seal of Quality" éthique et une construction solidaire :
Ma grille de notation stricte (50 % sur le Gameplay) est la norme qui garantit la rigueur. Elle force le critique à juger les faits avant l'opinion, neutralisant l'idéologie.
L'abonnement est progressif selon les revenus pour que l'honnêteté soit accessible à tous.
Les abonnés financent l'indépendance et choisissent les jeux à tester.
Ton fatalisme est une démission et un refus de la solidarité. Je choisis une voie alternative à ton fatalisme.
le résultat est induit par la méthode... le raisonnement est correct
Le "Seal of Quality" est la Preuve de l'Action, pas du Chaos
action qui est en réponse au chaos instauré, la causalité qu'on appelle ca... c'est pareil l'internet ou les micro onde, n'aurait jamais vu le jour sans la guerre...
Le "Seal of Quality" de Nintendo n'est pas la preuve que le chaos fonctionne. C'est l'exact contraire !
et pourtant justement ce seal of quality a disparu quand le jeu video a repris, preuve que les bonne actions ne sont prise que quand une situation va mal et sont abandonnée quand elle va bien...
Ton fatalisme, c'est de laisser les gens crever en attendant que le chaos fasse le travail à ta place. Mon approche n'accepte pas ça : il n'y a qu'un privilégié qui peut penser comme tu fais (dans le sens d'une personne qui ne sera pas touchée directement).
Ce n'est pas du fatalisme, encore une fois c'est du réalisme, sans le chaos, on serait toujours avec des dinosaure et l'être humain n'aurait jamais vu le jour, le chaos et ce qui appelle a l'évolution... et j'ai bien compris que ton approche n’acceptait pas ca et c'est pour ca justement qu'elle va se heurter a un mur ,rejeter le chaos c'est rejeter l'évolution, et ce qui n'évolue pas disparait...
Mon Approche est la Sécurité Sociale de la Critique
Mon approche n'est pas une utopie, c'est un "Seal of Quality" éthique et une construction solidaire :
Et ton approche montre aussi que on est partit de ton seal of quality pour en arriver a ce qu'on est aujourd'hui, seal of quality qui je rappelle est arriver en temps de chaos...
Ma grille de notation stricte (50 % sur le Gameplay) est la norme qui garantit la rigueur. Elle force le critique à juger les faits avant l'opinion, neutralisant l'idéologie.
je ne remet aucunement en cause ta métode, je dis juste qu'elle n'est pas applicable économiquement parlant..., bien sur que j'aimerais que tous ce passe bien et aille vers le mieux, j'ai cette envie depuis que je suis dans le jv, mais j'ai vu que plus j’espérai que ca aille bien ,plus la situation se dégradait, et ce n'est pas faute d'avoir milité, j'ai été surement un des premier a critiquer le changement de notation, expliquer les danger de l'évolution de l'industrie, je ne possède pas d'abonnement , et n'achète ni dlc ni microtransaction, et malgré tout je vois la situation qui continue a se détériorer car si ont peu guérir une maladie dans les premiers stade, une fois que le cancer c'est généraliser la seul chose qu'il reste c'est les soins paliatif (et c'est dans cette phase qu'on est) a savoir laisser trainer la souffrance jusqu'a la mort inévitable ( ce qui n'est pas du fatalisme ici non plus)
L'abonnement est progressif selon les revenus pour que l'honnêteté soit accessible à tous.
Les abonnés financent l'indépendance et choisissent les jeux à tester.
mais qui va payer pour que les gens test des jeux, alors qu'avec cet argent ils peuvent acheter les jeux et les tester eux même ? les gens sont bête mais ils ont quand même un semblant de bon sens...
Ton fatalisme est une démission et un refus de la solidarité. Je choisis une voie alternative à ton fatalisme.
on appelle ca se voiler la face..., croire que l'humain est bon et grand après avoir vu 2000 ans d'histoire et de regarder les informations journalière c'est de l'idéalisme...
Et je le répète ce n'est pas du fatalisme vu que cette situation de chaos va amener quelque chose de bon, de nouvelle évolution et de nouvelle technologie ,peut être même qu'un jour les IA testeront les jeux et seront certainement bien plus objective que les testeurs...
Je comprends ta frustration. Tu es désabusé, et tu as raison de voir que l'éthique a perdu contre l'argent. Mais ta solution, c'est de la paresse intellectuelle.
Tu ne peux pas comparer la météorite des dinosaures au crash du jeu vidéo. Le météorite, personne ne pouvait rien y faire. L'économie, ce sont des décisions humaines. On peut agir, planifier et réguler ce que l'on a créé. Attendre le chaos, c'est démissionner de notre responsabilité d'agir, c'est se cacher derrière les lois de la nature.
Le chaos n'est pas le moteur de l'évolution ; il est le moteur de la souffrance. Il mène au 'darwinisme social' : la loi du plus fort. Si tout s'effondre, seuls les gros éditeurs qui ont des réserves survivront et rachèteront les débris, rendant le système encore plus injuste.
Ma méthode (la réforme) n'est pas de l'idéalisme ; c'est le pragmatisme pour construire une alternative éthique avant qu'il ne soit trop tard. On ne laisse pas la maladie s'installer pour trouver un remède.
L'idée que l'IA va nous sauver est un fantasme. L'IA sera 'objective' seulement si elle a une éthique et des règles claires. Qui va fixer ces règles ? Les éditeurs ? Non.
Ma démarche est simple : Bâtir et financer cette éthique maintenant, pour qu'elle puisse encadrer l'IA de demain. L'évolution durable, c'est la volonté constructive, pas la destruction.
Mais ta solution, c'est de la paresse intellectuelle.
si tu le dis, pourtant j'en suis arriver a cette conclusion après être passé par la tienne il y a de ca 10 ans , donc pour moi c'est juste un pas plus loin
Tu ne peux pas comparer la météorite des dinosaures au crash du jeu vidéo.
et pourtant on peut y trouver beaucoup de point commun...
e météorite, personne ne pouvait rien y faire. L'économie, ce sont des décisions humaines.
Comme si les décision humaine, n'était pas le fait d'action biologique et naturelle... l'humain fait ce que la nature l'a programmer a faire...
Ma méthode (la réforme) n'est pas de l'idéalisme ; c'est le pragmatisme pour construire une alternative éthique avant qu'il ne soit trop tard. On ne laisse pas la maladie s'installer pour trouver un remède.
bien d'accord, mais pour ca c'était en 2005 qu'il fallait agir pas en 2025, le remède il fallait le trouver quand la croissance était la, maintenant qu'on est sur un phase décroissante ce n'est plus possible car tous le monde va vouloir réduire les risques... vous l'avez laisser s’installer depuis 20 ans cette maladie, elle touche maintenant l'entièreté du jeu video... donc oui je suis d'accord avec le constat mais il arrive juste 20 ans trop tard
L'idée que l'IA va nous sauver est un fantasme. L'IA sera 'objective' seulement si elle a une éthique et des règles claires. Qui va fixer ces règles ? Les éditeurs ? Non.
non l'IA est capable de changer sa propre étique, si un humain doit être derrière pour vérifier ce qu'elle dit, alors l'IA ne marchera jamais... l'avantage de l'IA est justement que la part humaine est moindre que dans les autre secteurs, donc moins l'humain intervient, plus elle est objective...
Ma démarche est simple : Bâtir et financer cette éthique maintenant, pour qu'elle puisse encadrer l'IA de demain. L'évolution durable, c'est la volonté constructive, pas la destruction.
pas d'accord l'évolution ca ce base sur l'échec pas la réussite, c'est une règle biologique... pour obtenir une évolution durable il faut donc que ca se casse la gueule 10 fois avant...
C'est facile de sourire quand on parie l'avenir sur l'échec des autres. Ton 'pas plus loin' n'est pas du réalisme, c'est de l'arrogance passive.
Comparer le crash économique aux lois de la nature est une démission. Les dinosaures ne pouvaient pas agir, nous si. L'évolution, pour l'humain, ce n'est pas d'attendre l'échec pour apprendre ; c'est d'utiliser notre conscience pour prévenir le désastre.
Un échec est formateur, une catastrophe irréversible est une tragédie. Ton plan garantit que seuls les acteurs avec les plus grosses réserves financières survivront, rendant l'industrie encore plus concentrée et injuste.
Tu dis qu'il fallait agir en 2005. Tu as raison, mais la conséquence de l'inaction n'est pas l'attentisme, c'est l'action immédiate !
En tant qu'anarcho-communiste, je cherche l'autogestion : un système éthique créé et financé par le peuple. Si le Capital est un cancer, ma proposition est de construire l'antidote maintenant, pas d'attendre que le patient meure pour voir s'il y aura une nouvelle vie après.
Tu t'appelles réaliste, mais croire qu'une IA sera objective sans régulation éthique humaine, c'est de l'idéalisme technologique pur ! L'IA est un outil que le Capital achètera et programmera à des fins de profit. Moins l'humain intervient, plus l'argent dicte la règle.
Le vrai réalisme est éthique : nous devons construire le contre-pouvoir éthique aujourd'hui. Le chaos est ta fuite. L'action constructive est ma seule proposition
bon en même temps j'avais dis ca aussi en 2005 mais plus personne n'étais la pour en reparler quand j'avais décris déja a l'époque la situation dans laquelle on est aujourd'hui...
Je suis d'accord d'attendre 5 ans, Keiku, mais tu confonds mon rôle.
Je ne suis pas un éditeur : je suis un membre de cette communauté qui agit en écrivant bénévolement et en achetant mes jeux. J'achète en neuf ou d'occasion, mais surtout, je ne finance jamais les microtransactions. C'est ça, mon action éthique.
Toi, tu te contentes de prédire la mort et d'attendre passivement que le chaos purge les 'indignes'. C'est le comble du confort intellectuel.
Dans 5 ans, je ne serai peut-être plus sur ce site, mais ce n'est pas le plus important. Si le site existe encore, ce ne sera pas la preuve de la justesse de ton fatalisme, mais la preuve que l'intégrité peut tenir et que l'engagement responsable est plus fort que ton cynisme.
Tu restes un consommateur, certes, mais tu te retires en spectateur de l'effondrement. Moi, au moins je propose une alternative concrète par mes propositions et mes choix. On se reparlera en 2030, peut-être.