Le personnage de Miguel est excellent et l'animation incroyable dans les émotions transcrites sur les visages, surtout le combats à main nues avec Miguel, qui est plus un plaquage au sol qu'un père abusif pourrait faire subir à son fils. C'est intéressant de voir que ce conflit entre Miguel et Miles culmine dans une lutte littérale pour le CONTROLE. Ni le père de Miles, qui cherche avant tout à être un bon père (et demande de la validation à la mère de Miles tout le temps), ni l'oncle de Miles ne sont des personnalités perverses. Quand l'oncle étrangle Miles, il lâche Miles dès qu'il comprend son identité, et meurt. On peut dire que l'oncle de Miles se sacrifie, malgré sa propre déchéance, il a suffisamment d'empathie et de capacité à aimer pour ne pas entraîner Miles dans sa déchéance criminelle. L'arc de rédemption de Aaron est magnifique.
C'est dommage, mais il faut revoir le premier film, et retourner cette suite une deuxième fois, pour ne pas être distrait par le style graphique, le montage épileptique, les dimensions bigarrées et l'histoire un peu éculée en mode teenage drama / multiverse.
Miguel est donc le personnage le plus intéressant, et c'est par rapport à lui qu'il faut lire tous les autres, par contraste, même.
Miguel est un pervers. Evidemment que c'est le méchant, c'est évident rien que dans son design!
Il y a des tas de clins d'oeil à peine marqués, comme "Miguel, you're gonna die." de la part du Peter blond cendré (j'insiste que le Peter mentor de Miles est blond lui aussi). Et aussi le fait que Miguel se fasse traiter de "good guy", souvent en négatif "You don't look like a good guy", disent les pilotes de l'hélico avant que celui-ci ne se fasse dégommer par le Vautour, et sauver in extrémis par les "vrais" Spiderpeople.
Miguel a aussi la même motivation que Kingpin dans le premier film, quoi qu'il semble s'être repenti. On a donc une suite thématique de l'arc de Kinpin.
Miles n'est pas un Spiderman, c'est un usurpateur qui est très énervé quand on remet en question sa légitimité en tant que Spiderman. "You've got CLAWS ? Are you SURE you're Spiderman ?", demande Miles. Cette scène au bout de la course-poursuite est la plus forte du film, c'est la catharsis, après le plot twist, où les masques tombent. C'est celle qui révèle le véritable conflit, non plus moral pour sauver le Spiderverse, mais personnel entre les deux. Notez que le combat a commencé dès le début entre Miles et Miguel, avant même que Miguel ne dise quoi que ce soit.
La rencontre est tellement chargée et prégnante, elle a été tellement "forshadowed", qu'on peut palper l'électricité ambiante. Les observateurs détendent l'atmosphère, le Spider Punk Brit est complètement détaché et pas du tout affecté par le numéro de Miguel, Gwen est totalement codépendante et retombe en enfance, et Peter joue le rôle de l'entremetteur.
Mais tout de suite, Miles, qui n'a aucun respect pour son héritage latino (il a eu un B en espagnol alors que c'est sa langue maternelle, reprend sa mère quand elle parle Spanglish), "insulte" Miguel en le ramenant à son ethnicité par le biais de la empanada, que Miguel jette à la poubelle, un acte d'agression frontale, avec un propos médisant -- en espagnol, évidemment. D'ailleurs, ils énumèrent leurs pédigrées, preuve que la question est présente. Le Mexique n'est pas Puerto Rico. Ensuite, Miguel balance carrément la poubelle à la gueule de Miles.
Contrairement à Miles qui subit la société qui l'encadre, Miguel, lui, est au sommet, et veut tout contrôler d'en haut, en ayant une société entière de Spiderpeople à sa botte.
C'est une allégorie du contrôle par Miguel de l'identité de Spiderman, qu'il a "usurpée" (comme dans le comic). Dans le comic, Miguel est accro à une drogue que produit son employeur, et endosse le rôle de Spiderman dans une origine story peu convaincante. On voit dans ce film qu'il se pique avec un pistolet qui lui donne ses pouvoirs, qui ne sont donc pas acquis.
Dans la bagarre avec Miles, Miguel est beaucoup plus fort, et Miles se débat comme un enfant incapable de faire le poids. La scène est extrêmement malaisante pour qui a connu ce genre de maltraitances, par exemple avec un père violent.
On voit que Miles est profondément dégoûté, effrayé, et lui demande quel est son problème. Miles n'accepte pas la dictature de Miguel, et renvoie toujours ses reproches à l'envoyeur, là d'où ils n'auraient pas dû partir.
Miles a raison. L'évènement qui devait tuer l'inspecteur/capitaine du monde indien était bien provoqué par "Spot", donc rien à voir avec le canon. Mais Miles de rétorquer : c'est de ta faute, rien que de ta faute.
Miguel dit à Miles "Stop pretending you know what you are doing." C'est... pas vraiment du gaslighting, mais un peu quand même. Clairement, Miles cherche à échapper à l'emprise de Miguel, tandis que Miguel tente non seulement par la force mais aussi par la manipulation mentale de ramener Miles dans son giron.
On voit de manière générale que Miguel est très critique envers les autres "c'est stupide".. puis il se retient et déclare que lui aussi est stupide, en fait. Son air renfrogné est comique au début, et il a toujours un Comic relief pour le faire passer pour un type qui se prend trop au sérieux. Je pense à l'hologramme orange qui sert d'assistant personnel à la J.A.R.V.I.S. qui aime jouer avec ses nerfs. On notera que quand Miguel s'énerve, il ne sait pas quoi dire, et demande à tout le monde de poursuivre "Spiderman". Etrange. C'est le signe :
- Qu'il ne s'inclue pas dedans lui-même car il s'oublie lui-même (la catégorie "Spiderman"). Spiderman est un "il" et non pas un "je", un autre et non pas un soi.
- Qu'il s'attend à ce que les autres lisent ses pensées. D'ailleurs avec l'hologramme, il lui demande de montrer le truc et l'hologramme demande le plus naturellement du monde "quel truc" ? ET MIGUEL S'AGACE COMME UN CONNARD.
- Que Miguel considère bel et bien Miles comme "un Spiderman", même comme "Spiderman" tout court, contrairement à son accès de rage où il explique à Miles qu'il est une anomalie et qu'il est un imposteur parce que son Peter Parker est mort à cause de lui. On décèle ici une forte dose de ce qu'on appelle en psychologie LA PROJECTION NARCISSIQUE. Il est donc probable que Miguel soit en réalité lui-même responsable de la morte de son variant.
Peter blond cendré, le mentor de Miles dit à Miguel : "Pourquoi tu n'es pas marrant ? On est tous marrants." Et le comique réside alors dans les caractères contrastés du Miguel bougon et faussement calme, bouillonnant à l'intérieur et du Peter bout-en-train. Là encore, on note que Miguel n'est pas comme les autres Spiderman, qu'il est un outsider. Notez la façon dont Miguel dit "PEter!", comme le Green Goblin de Willem Dafoe, EXACTEMENT PAREIL, ce qui le signale DIRECT comme le méchant.
Ensuite, Miguel n'existe que par les autres et à travers les autres. Il a pris la place de son variant, il prend l'identité de Spiderman (canon du comic), et il dispute à Miles sa légitimité en tant que Spiderman. Mais cette critique est en réalité de la projection, comme on l'a vu, qui est provoquée par la remarque de Miles concernant les griffes de Miguel et sa légitimité en tant que Spiderman.
Miguel se sent aliéné par la contradiction de son identité, par tout ce qui ne va pas dans son sens. Quand il n'est pas là, il inspire la peur chez les autres. Il utilise les Spiderpeople en les manipulant. Gwen passe d'une personnalité moqueuse et sarcastique (elle prévient Miguel sans le prévenir, du coup le Vautour le dégomme, et elle a un rôle de comic relief), à une soumission totale en l'espace de quelques mois (elle n'envoie plus aucune pique à Miguel et lui est totalement soumise). Mais ce qui peut passer pour un gain de maturité est en réalité un embrigadement. Gwen est une mineure fugueuse qui est manipulée par une bande de loubards, bande qui menace de la chasser tout en la maintenant dans une emprise et un contrôle permanents du fait de cette menace d'abandon. C'est caractéristique des victimes d'abus.
Ce n'est pas un hasard que Miguel soit introduit sans son masque de Spiderman, lors du premier face à face avec Miles. Ce n'est pas un hasard qu'il soit placé en hauteur avec plein d'écrans, comme un control freak qui espionne tout le multiverse. Comme le dit Miles, lorsque Miguel tente de le faire douter de son identité : "I am Miles Morales, I was bitten by a radioactive spider, AND I'M SURE YOU KNOW THE REST, JERK!" Parce que Miles a compris que Miguel espionnait constamment les autres et surtout, c'est plus insidieux que ça, cela est une critique IRONIQUE AU POSSIBLE de l'idée que se fait Miguel de la continuité au sein du multiverse. En gros, j'ai pas besoin de te dire qui je suis parce que tu es un monsieur je sais tout.
Miles est un être de lumière qui voit à travers le jeu pervers et hypocrite de Miguel, un être noir. Miles comprend que la continuité du multiverse est une supercherie
Ce n'est pas JUSTE une différence de point de vue et de morale, comme Captain America / Iron Man dans Civil War. C'est PERSONNEL-IMPERSONNEL, c'est vicéral.
Peter cendré dit à Miles : "Tu es une merveilleuse personne et je voudrais que ma fille te ressemble car j'adore passer du temps avec toi." Peter sert ici de "plot device", pour définir Miles comme un être lumineux, sain, positif, authentique, et Miguel comme l'homme qui, par contraste, ne lui offre PAS cette sécurité affective qu'il a voulu obtenir en ayant sa fille, en plus des remarques reloues qui prédisent le décès de Miguel dans le prochain film, et son imposture originelle. Peter est sur la voie de la rédemption, mais le fait qu'il mette sa fille en danger, montre qu'il n'a pas tourné la page et qu'il peut encore rechuter.
On peut soupçonner que Miguel a embrigadé Gwen, la japonaise et Peter juste pour avoir le moyens d'obtenir la confiance le Miles et de faire pression sur Miles, pour un but détourné. Ce serait une technique en accord avec la construction du personnage de Miguel en tant que pervers, car les amis de Miles serviraient de "Flying monkeys".
Quand Miguel se présente à Miles, son ascenseur est ultra lent et Gwen dit que c'est "son truc", pour être théâtral et intimidant, et elle conseille à Miles de laisser passer cette passive-agressivité manifeste. En fait, tout le monde décrit Miguel comme un tyran qui aime jouer avec les émotions des autres pour créer la peur en eux, mais tout le monde JUSTIFIE le comportement de Miguel, ou demande à Miles de TOLERER le comportement de Miguel. Ce sont des "enablers", des personnes qui encouragent et soutiennent le pervers et donc contribuent au maintien de son emprise.
Miguel est ce qu'on appelle un PERVERS NARCISSIQUE, un supervillain qui revient toujours dans les histoires. C'est un homme qui semble vouloir le bien de tous mais pense avant tout à lui. C'est quelqu'un qui ne peut pas imaginer que d'autres personnes puissent avoir un point de vue différent de lui, et qui est dans le contrôle au point d'assassiner les proches de Spiderman. Le pervers narcissique va chercher à assassiner la réputation de sa victime, et si la victime est saine d'esprit et donc résiste, il va l'attaquer sauvagement, en lui disant qu'elle ne vaut rien, que ses traumatismes sont sa responsabilité, qu'il est à l'origine des problèmes de tout le monde.
Là on a un miroir intéressant avec "Spot" le "dalmatien - vache" qui affirme que Miles l'a créé au même titre qu'il a créé Miles en allant chercher des araignées dans le multiverse. Mais pourquoi des araignées ? Passons. Spot dit à Miles qu'il est le supervillain de l'histoire, mais on comprend bien que c'est Miguel, le "twist villain". Si on considère le Spot comme un "plot device", alors on comprend pourquoi il sert de clown pour faire des blagues, c'est pour perdre en crédibilité devant Miguel. La quête de crédibilité est le leitmotiv de ce personnage.
Là ou le Spot est un narcisse vulnérable et pathétique qui demande de l'attention et de la considération et dont la voix et la toxicité sont constamment retournées contre lui-même, comme une autocritique permanente, Miguel lui est un narcisse sûr de lui.
Le Spot est un trou sans fond, littéralement comme figurativement "I'll feel my holes with more holes" est le seul horizon de progression de cet être misérable. Il est au plus bas, ayant perdu son visage (donc son identité), ses amis, son travail et même sa famille et sa colère et sa rancune sont des structures identitaires. Il n'a pas la possibilité de jouer un double jeu, en tant qu'outil narratif, ni de porter un masque.
Miguel quant à lui est un véritable pervers narcissique mégalomane, toxique, au sommet de son pouvoir et avec une emprise totale sur son environnement, et qui perd les pédales quand des émotions fortes comme la colère ou les reproches à Miles prennent le dessus sur lui. On rappelle que la colère et la vengeance sont au contraire structurantes et orientent l'existence du Spot.
Un mot sur le rapport à la famille. La famille du SPOT l'a rejeté. Miguel a perdu sa famille. Miles n'a pas ces deux problèmes diamétralement opposés et pourtant similaires.
Il est NOTABLE que Miguel ne montre pas son PROPRE "évènement canonique", car il me semble que ni son "oncle/père" ni son "officier de police/capitaine" ne décèdent.
La règle, enfin, est que la personne qui n'appartient pas à l'univers ambiant "glitche" ou "buggue". Ce n'est JAMAIS le cas de Miguel dans ses souvenirs. Oui, mais Miguel a des bracelets anti-glitche. PEUT-ETRE, MAIS C'EST L'INVERSE qui se passe : tout l'univers glitche SAUF LUI. Sans aller trop loin dans l'interprétation des règles, et sans présumer que c'est un reveal qui aura lieu, Miguel ne considère pas, dans ses souvenirs, que c'était lui le problème, ou plutôt, il dit qu'il se repent, que c'est de sa faute, mais les images montrent QUE C'EST L'UNIVERS AUTOUR DE LUI QUI EST FAUX, pas lui. Est-il retourné dans sa dimension ? C'est ce qu'a l'air de dire l'un des personnages du début. Gwen : "he lets me crash in his dimension".
J'opte pour une explication simple. En tant que pervers narcissique, Miguel est un mythomane pathologique, et rien de ce qu'il dit n'est vrai. Il n'est donc pas étonnant que les images contredisent les mots dans ses souvenirs.
Les expressions faciales de Miles pendant qu'il se fait plaquer au dos de la structure par Miguel et qu'il se débat sont remarquables et si on laisse le "jeu d'acteur" faire son effet, si on regarde en ne se laissant pas éblouir par le festival de formes et de couleurs, alors on comprend que ce Across the Spiderverse est une vraie suite thématique au premier film.
Je pense que cette suite corrige un défaut du premier méchant, Kingpin, qui n'avait pas de réelles motivation à s'en prendre à Miles.
Fais attention de ta femme.
A plusieurs reprise je l'es vu faire des effort pour être gentil, il accepte Gwen dans son équipe alors qu'il a clairement aucune envie.
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Sinon pour revenir à la crituque..., ton avis il est complètement basé sur un biais de confirmation qui est "Miguel est le méchant" et après t'essaye de tourner tout les évènements du film dans ce sens. Je rappelle que Miguel ne voulait pas de Gwen à la base. Et idem il aurai pu directement buter Miles si c'était l'anomalie originelle, il a plutôt choisi de le laisser dans son coin sans l'inviter qu'il vive sa vie ou de tenter de lui expliquer le principe de l'association des Spiders avant de voir qu'il refuse d'accepter l'idéologie(compréhensible). Miles et Gwen sont venu de leur propre chef.
Pour Migel il a bien des pouvoirs c'est juste qu'il a plus hérité du côté bestial de l'araignée d'où son côté vampire. C'est plus un traitement qui prend pour canaliser ces pouvoirs.
Le caïd un défaut du premier non ta juste pas compris le film, Miles prend enfin ces responsabilités du à ces pouvoirs et doit faire face à lui. Il est quand même au centre de l'histoire du synchrotron.
Es-tu sadique ? Est-ce que tu la négliges ? Est-ce qu'elle te reproche de lui faire de fausses promesses ? Es-tu en proie à des accès de colère soudains et incontrôlés ? T'arrive-t-il de cogner dans des portes et de jurer en hurlant, de casser des objets chez toi ? Menaces-tu de te suicider ? Lui fais-tu du chantage affectif ? Est-ce que tu l'insultes, est-ce que tu lui dis qu'elle n'est rien ? Est-ce que tu remets en cause son intelligence ? Etes-vous souvent en train de vous disputer pour refaire le match ? Est-ce qu'elle te reproche de te contredire à longueur de temps ?
Est-ce qu'au fond de toi, tu la méprises et tu la détestes et tu es heureux quand il lui arrive une tuile, parce que "ça lui apprendra" ? Est-ce que selon toi c'est de sa faute si tu as raté des opportunités dans la vie ? Avez-vous un projet commun qui traîne depuis des années (achat de maison, voyage sans cesse repoussé, etc.) ou simplement quelque chose qui ne coûte pas d'argent ? Est-ce que tu l'as déjà dissuadée de se lancer dans un projet (reprise d'études, changement de travail, entreprise, gosse) juste parce que tu lui as dit qu'elle n'en était pas capable ? Est-ce que tu t'es senti délaissé quand vous avez eu des enfants (si vous en avez) et est-ce que vous vous disputez dès qu'elle a une activité sans toi ? Cherches-tu à la contrôler, à savoir où elle va ? Est-ce que tu la trompes et est-ce que tu la soupçonnes de te tromper ?*
Je te demande pas de répondre, hein ?
* Et pour les choses qui ne sont pas objectives, ou qui ne dépendent pas du point de vue de l'un ou de l'autre, est-ce qu'il y a une conversation sur le sujet entre vous, même si ce n'est pas vrai de ton point de vue ? Ce sont des indicateurs, et tu peux en avoir 3 ou 4 sans être PN. Mais si t'en as plus, moi personnellement j'aurais fui la relation à sa place.
Il faut savoir que ton sexisme puant ("à destination des femmes") est un gros gros signe de PN, mais ça ne suffit pas à te qualifier de PN. La description de la perversion narcissique n'est pas du tout à destination des femmes, et les hommes ne sont pas plus des PN que les femmes. Par contre le sexisme c'est super utile pour un PN, parce que c'est une solution clé en main qui permet de manipuler la victime, de la rabaisser, en ayant le soutient de toute un réseau de connards.
Je te renvoie à Miguel dans SpidermanATS, qui a une armée de Spiderman à son service pour imposer sa loi, parce qu'ils partagent des "valeurs".
La perversion narcissique est une conception française d'un certain narcissisme pathologique. La première, le PN n'est pas dans la classification américaine de référence (DSM-5) des pathologies mentales, mais la seconde, si (le trouble de la personnalité narcissique). Et on peut dire que le terme "pervers narcissique" en français correspond en fait aux narcisses grandioses et qui associent un comportement sadique et une volonté de destruction de l'autre pour le soumettre à une emprise et l'empêcher de les quitter. Du reste, le narcisse est toujours pervers car il modifie sa parole, ses valeurs, son comportement, déguise ses intentions en fonction de son interlocuteur et de son intérêt. C'est un manipulateur, ou "kiné", selon certains Kikoo31.
Alors déjà, si t'as pas compris que Miguel est le méchant (L'ANTAGONISTE) de l'histoire, c'est sûr que ça va être compliqué de parler de lui comme tel.
Il n'y a pas de biais de confirmation, ce n'est pas ça un biais de confirmation. J'ai cité des éléments objectifs qui marquent l'agressivité de Miguel, même en dehors d'un conflit ouvert. J'ai noté que le concept du multiverse ouvre à des questionnement sur l'identité, un questionnement qui est au coeur de tout film de superhéros, et complexifié avec le dédoublement du personnage (Jeckyll and Hyde l'avait fait). Quand deux personnes partagent un corps ou une identité, cela permet de parler de l'ego.
Enfin la problématique de l'égo surdimensionné ou sous-dimensionné est présente chez les trois personnages principaux, à savoir The Spot, Miguel et Miles. Les deux antagonistes représente chaque extrême, et Miles représente le conflit interne. Ce n'est pas de la science complexe, c'est même très classique en narration que les personnages soient des échos les uns des autres et justement se confrontent les uns les autres sur des surfaces communes.
Smiley golriste -> encore un truc de débile.
On peut commencer.
"T'es psy ou quoi ?" Devine.
"Le film ne tourne pas QUE sur Miguel". Je n'ai pas dire que le film tournait QUE sur Miguel. Voilà. Générique de fin. Le film tourne EVIDEMMENT autour de Miles. Miguel est un antagoniste central, donc il est normal que les autres personnages préparent la confrontation avec le personnage principal pour que la lutte soit vicérale. C'est de la bonne écriture et c'est du bon character building. On comprend le conflit parce que Miguel est lié à Miles par son hispanité, par le fait qu'il est aussi "Spiderman", parce qu'il partage le cercle d'amis de Miles. Enormément d'éléments contribuent à préparer la rencontre avec Miguel, comme je l'ai expliqué, sans exposition. On comprend énormément de choses rien qu'avec l'hispanité de la mère, et l'échec scolaire en Espagnol, pour comprendre que Miles fait face à une de ses faiblesses / de ses démons intérieurs quand il rencontre Miguel, symboliquement.
Suite à l'altercation, Miles fait face à son propre alter-égo quand il passe dans l'univers 42, et vit donc une crise de l'identité qui est le reflet de ce que Miguel vient de lui apprendre sur lui-même. Miguel lui a ouvert les yeux, ou plutôt symboliquement, Miguel a créé une insécurité qui rouvre une ancienne plaie que Miles avait résolue, notamment avec la vérité irréconciliable de son oncle qui était un supervillain, et de la culpabilité qu'il porte en lui. Le multiverse est un prétexte à l'exploration des alter-égos à la Jekyll and Hyde.
Difficile de croire à une exagération de la part d'un tiers quand c'est toi qui fais de telles généralités.
Donc quand on reproche et qu'on dénigre et qu'on met en doute la parole d'un survivant, c'est généralement un mécanisme de défense personnel parce qu'on est personnellement trigger et qu'on n'accepte pas que d'autres arrivent à mettre en mots leur traumatisme et à aller de l'avant MALGRÉ leur lourd passé.
En réalité les personnes comme toi reprochent à la victime de PN qui est tout le temps branché sur la fréquence PN de comprendre et d'avoir surmonté un traumatisme similaire au tien.
C'est classique des survivants de relation PN, de se voir reprocher de connaître le diagnostic probable de leur persécuteur, et de reconnaître leur persécuteur dans d'autres personnes qui partagent la même tare mentale que le persécuteur pervers narcissique.
Les victimes de PN sont capables de reconnaître les narcisses de façon instinctive, innée, et de par le renforcement négatif que leur ont fait subir leur bourreau. C'est d'ailleurs ça qui fait qu'ils sont attirés par les PN, et que les PN sont attirés par eux, et ce constat est une vérité scientifique communément admise. Donc, loin de "révéler" quoi que ce soit, tu enfonces des portes ouvertes en décrivant une personne qui reconnaît tous les personnes réellement porteuses de failles narcissiques à un niveau pathologique autour d'elle. Ca ne veut pas dire que ces personnes sont toutes PN, ça veut juste dire que la personne dont du parles est capable de reconnaître les personnes insécure, tyranniques, toxiques, sadiques, malhonnêtes, immatures, dangereuses.
Les victimes de PN sont justement des personnes qui ont une capacité d'empathie spécifiquement calée sur la "fréquence PN", parce que le PN qui les a victimisés les a "dressés" à subvenir à ses besoins de pseudo-victime (le pervers narcissique est une pseudo-victime). C'est effectivement un trouble post-traumatique qu'il faut apprendre à canaliser en thérapie, car c'est invivable au quotidien :
- Parce que le traumatisme de la victime est non résolu
- Parce que la victime codépendante continue à s'inquiéter des autres et de leurs failles au lieu de s'inquiéter d'elle-même et de ses propres failles
- Parce que ce comportement signale la victime comme une cible et attire encore plus de dégénérés autour d'elle.
Si la personne voit des narcisses partout, c'est parce qu'elle parle de son traumatisme dans des situations non contrôlées (thérapie), et que les véritables authentiques pervers autour d'elle vont venir se coller à elle comme à un aimant, DE CE FAIT SEUL.
Mais, dire que c'est à la mode, c'est un propos tout aussi éculé et vidé de son sens, à partir du moment ou toute mention du PN est accompagnée d'un disclaimer que ce serait juste une mode.
Imagine un véritable PN. Sa victime se plaint, et se voit dire qu'elle a inventé parce que c'est la mode. C'est hyperviolent pour la victime.
Donc, le discours qui vise à dire que c'est une mode est une violence envers les victime et participe du "victim blaming" classique et du déni collectif, qui est lui aussi pathologique.
Derrière chaque personne qui attaque l'autre parce qu'elle dénonce son calvaire, il y a une personne en souffrance qui va chercher à étouffer la parole de la victime, parce qu'en lui-même, l'étouffeur a besoin qu'on ne parle pas de son propre traumatisme ou qu'on ne lui rappelle pas son propre traumatisme.
Exemple : Sussudio qui a comme réaction à mon article "Ma femme me le dit tout le temps donc ton article est douteux." Quel rapport avec sa femme ? Quel rapport avec moi ? Quelle rapport avec la réalité, quand on parle de fiction ? Est-ce que tu vois la projection et le déni ?
Une bonne tisane au thym te fera du bien
Je pense que tu es pas quelqu'un de très stable.
J'ai honte d avoir lu ton avis sur spider man au sérieux.
J'ai rien contre ton avis que tu a détaillé mais je pige pas le délire "pervers" que tu décrits mais bon.
Je pense qu'il est bon de voir l'ensemble des 2 parties pour y mettre certaines hypothèses constructif. A bon entendeur.
Mais qu'est-ce que tu racontes ?! o_O
En faite tu ne fais que confirmer ce que je dis dans ma réponse, tu pars d'une gigantesque biais de confirmation avant de trouver tout et n'importequoi pour justifier ton biais.
La t'es parti du principe que je suis sexiste directement, alors que je suis littéralement d'accord avec le fait qu'une vraie victime de PN où on lui dira "non mais c'est qu'une mode" c'est justement un immense problème et ca n'aide pas les victimes. C'est ce que je dis dans mon message, n'importe qui d'un minimum ouvert d'esprit l'aurai compris. Mais t'es tellement biaisé que tu ne le remarques même pas.
Ou encore à peine je remets en cause le fait que Miguel est pas l'antagoniste de l'histoire (et ca sera peut-être le cas hein, mais je cite des éléments) Tu commences directement par "ok si tu comprends pas que lui c'est l'antagoniste...". T'es sérieux là ?
bref, donc t'es dans une boucle où tu penses un truc basé sur un préavis, puis le moindre truc qui ne vas pas dans ce sens, tu pars en vrille en disant que l'autre n'as rien compris où carrément en le jugant en te basant sur rien. T'as même pas relevé un seul de mes arguments, à part dire "non mais tu comprends rien" en gros.
Bref, comme dis au dessus, c'était au final pas du tout intéressant d'échanger avec toi. Dommage.
Bah c'est pas grave après, ca aura au moins été marrant de voir ce sacré cas de figure HAHAHA. J'ai pas l'habitude.
C'est très intéressant ce que tu dis et je suis vraiment déstabilisé par ton avis. Je vais complètement me remettre en question.
Les attaques ad personam quand on a plus rien a dire, c'est pas du tout un truc de narcisse, va.
yanssou
C'est bien que tu admettes que mon avis était constructif puisque j'ai détaillé et donné des exemples. Si tu ne connais pas la perversion narcissique, j'ai aussi donné des exemples et décrit ce que c'était dans mon très long texte. Donc tu admets à moitié t'être trompé, mais l'autre moitié aussi tu as tort.
Ca ne fait pas de moi quelqu'un de condescendant. D'ailleurs si ça n'était que ça, c'est à ton message irrespectueux du soin que j'ai mis à donner mon avis sur le film et à ton smiley golriste que j'ai réagi. Donc ne me dis pas que JE suis condescendant stp, j'ai pas à apprendre le respect.
kinectical
Je regarde TOUS tes messages et je me dis, pour quelqu'un qui s'en fout, j'ai vraiment dû lui déchirer le vagin à celle là parce qu'elle arrête pas de saigner dans mes mentions.
Pour le féminisme, on parle de Spot-Miguel-Miles, trois hommes. Tu inclues les femmes parce que t'es obsédé dans ta misogynie. C'est tout toi, entièrement toi, et rien que toi qui vient parler de féminisme.
Voilà donc l'autre il débarque et il emboîte le pas sur le terme "condescendant". Ils ont trouvé leur angle d'attaque collectif et ils se répondent les uns aux autres. Si on veut parler de communauté toxique on peut parler du phénomène qui est en train de se passer, là.
Le coup de la maison d'édition palme d'or machin... Ce genre d'exagération qui imagine les propos de la cible s'appelle de la projection, c'est un phénomène mental qu'on trouve, incidemment, chez le PN. Tu imagines un délire mégalomaniaque que tu projettes sur moi, parce que soit tu veux rendre compte de ton complexe d'infériorité, soit tu es pervers et tu cherches à me faire passer pour arrogant.
Concernant la première réaction à ton premier message, ce n'était pas un petit truc, c'était un réponse abrutie, car un article dont le sujet est X contiendra forcément le mot X plusieurs fois. Je pense que tu as mérité de te faire rembarrer; mais que ça te déplait, donc t'es en train de chercher à projeter à nouveau la faute de ton agressivité initiale sur moi.
Ca marche sur d'autres ici comme tu vois, mais ça marche pas sur moi.
"il faut comprendre que justement les personne qu’il utilisent autant ces termes à tout va pour décrire les autres sont la plupart du temps eux même cela mais ne se l’avoue pas alors préfèrent voir les autres comme ça et se voit eux même comme “le hero” comme toi en ce moment "
Tu vois, tu viens de donner la définition de la projection. Mais je note
- Que tu aura de toute façon pu constater que c'est le sujet de l'article
- Que tu cherches à retourner la chose contre moi.
- Que ce retournement des rôle auteur-cible est un aspect de la perversion narcissique (félicitations).
onsentapedequijesuis
Non, je ne confirme pas ce que tu dis. J'ai nié confirmer ce que tu disais, j'ai démontré pourquoi avec des arguments. Même délire, même réponse.
Je t'ai donné un hypothèse. Une simple hypothèse. Si on accepte que la victime est réellement victime et que c'est réellement un PN. Mais même ça tu n'arrives pas à l'imaginer, ou alors tu fais semblant de pas comprendre par perversité.
Le pervers va toujours se plaindre que dénoncer les auteurs dessert la cause des victimes. T'es un cliché, mec. Et encore une fois, je t'ai soumis un scénario hypothétiquement parfait, pour dénoncer l'effet que ton négationnisme aurait sur une véritable victime. Reconnaître la réalité d'une agression ne dessert pas la victime. Ton propos est inverse par rapport à la réalité, ce qui est la définition de la perversité.
Miguel est un antagoniste.
- Screenrant le qualifie d'antagoniste trois fois.
- El Pais en anglais titre "Spider-man 2099: The Irish-Mexican antagonist of ‘Across the Spider-verse"
- IGN USA le qualifie de "villain" et "antagonist".
Tu as complètement tort. Peut-être que tu ne comprends pas que c'est un méchant ou un antagoniste (Ouh là là non, je suis CONDESCENDANT).
popomolos
Quand je suis revenu après 7 ans d'absence tu m'as pété les couilles direct comme à l'époque. Change pas.
On est quand même sur un site de LOISIRS dédié au TEMPS LIBRE pour JOUER A DES JEUX dont on est clairement plus le coeur de cible depuis 15 ans, et le mec toxique vient demander si j'ai le temps.
Et toi t'as le temps ? Sinon change de hobby.
Ta perception du film et ce délire pervers narcissique est juste ridicule et n'est absolument pas pertinent. Si tu sais tout sur tout tu devrais allez voir les scénaristes pour en débattre. Tu refuse de croire que tu est condescendant mais visiblement je ne suis pas le seul à te le dire.
Bref libre à toi d'avoir le dernier mot je m'arrête ici.
te vraiment à l'ouest tu sais visiblement pas comment échanger
--> Gaslighting. Ceci ne me représente pas, c'est un symptôme de ta part. Il s'agit en plus d'une projection, puisque c'est toi qui ne fais qu'être dans l'attaque personnelle au lieu de parler du sujet. Le sujet ne t'intéresse pas, tout ce qui t'intéresse est de te faire valoir en attaquant l'autre. C'est donc bien toi le problème, malgré tes accusations. Gaslighting + projection = pervers manipulateur.
sans ramener tes propos arrogants. J'ai l'impression que chaque com est une provocation pour toi
--> Projection. Encore un propos pathologique qui ne me concerne pas. Tu te sens inférieur, alors tu vas me traiter d'arrogant. Tu prends aussi toute la communauté de haut en cherchant à leur faire croire qu'ils se font mépriser par moi, mais ton seul but est de créer un effet mobbing contre moi. C'est un phénomène qui arrive dans ton crâne et qui n'a rien à voir avec moi. C'est un élément pathologique auquel tu t'accroches désespérément puisque tu sais pas changer de disque.
tu manque cruellement de clairvoyance.
--> Gaslighting. Ceci est l'expression d'un trouble mental chez toi qui te pousse au blâme et à la manipulation perverse. Le but étant de remettre en cause l'entendement de la personne. Ca ne marche pas sur moi bien sûr, et pourtant tu continues : la preuve que tu es un dégénéré.
Ce qui te dérange en réalité, c'est que j'ai justement assez de clairvoyance pour voir à travers toi.
Ta perception du film et ce délire pervers narcissique est juste ridicule et n'est absolument pas pertinent.
--> Ma vision est pertinente, argumentée, circonstanciée, et partagée par des sites professionnels que j'ai cités dans mon post précédent. Encore une fois, quand on remet en question la perception de quelqu'un, sans vraiment parler de l'objet du discours, et sans dire pourquoi ce n'est pas pertinent, ni sans offrir d'alternative ou s'ouvrir au débat, dans le seul but de critiquer l'interlocuteur, cela s'appelle du gaslighting et cela relève de la pathologie, vu le caractère forcené et répétitif.
Si tu sais tout sur tout tu devrais allez voir les scénaristes pour en débattre.
--> Projection délirante, projection de démesure (mégalomanie). Je n'ai pas besoin de me conformer à des critères draconiens fixés par toi pour juger de la pertinence de mes points de vue. Là encore, c'est du gaslighting, tu cherches à poser des critères volontairement inatteignables. Je n'ai pas, ensuite, à te prouver quoi que ce soit et j'ai malgré tout le droit d'avoir mon opinion. Je ne suis pas contrôlé par toi, même si tu voudrais avoir un contrôle névrotique sur moi, pour que je dise ce qui te plait, pense ce qui te plaît, fasse ce qui te plaît. Ton délire de contrôle est assez puissant, on sent le mec pas sociabilisé ou le petit tyran familial. Enfin, pour ce qui est des scénaristes... leur oeuvre est sortie, elle est sujette à la critique et au commentaire. Et tu l'ignores manifestement, mais l'intention des multiples auteurs scénaristes n'est pas le fin mot de ce qu'une oeuvre représente.
Oui arrête-toi ici, franchement arrête, car ton avis sur moi ne m'intéresse pas, et parce que tu es hors sujet depuis le début.
doux jesus mec tu est tellement à la dérive j’ai envie de t’envoyer une bouée de sauvetage
--> Toujours ce smiley golriste derrière lequel tu te caches. C'est un signe d'insécurité évidente. Ensuite, on ne peut pas faire plus contradictoire dans les propos. Tu es là uniquement pour foutre la merde, et depuis le début.
et tout le monde le voit et se fout de ta gueule tellement tu as lair d’un pauvre taré qui fait une psychose et tu pense avoir la vérité absolue…
--> Voici une illustration EVIDENTE de ce qu'est la projection.
1. Tu commences par un propos généralisant "TOUT LE MONDE", qui est un propos absolu. Et hop, tu m'accuses d'avoir un propos absolu. Je n'ai jamais dit que je détenais la vérité absolue. C'est de la projection. TU as un propos absolutiste, et tu projettes sur moi. TU ne vois pas comment me contredire, sans doute parce que tu es d'accord avec moi, DONC tu vas projeter sur moi que je serais intransigeant. C'est toi qui as un problème.
2. Les RH connaissent bien le schéma qui vise à dire "Tout le monde te déteste" : insécurité perverse. Tu as besoin de savoir que tu es en meute, tandis que moi, je continue mon chemin sans me soucier de toi. J'ai donné mon avis sur un film, et on en arrive à "tu sais pas réfléchir t'es névrosé etc." Mais QUI est névrosé dans cette histoire ? C'est à peine croyable et il n'y a qu'ici qu'on trouve un tel parterre de dégénérés.
tu devrait vraiment consulté pour ton syndrome de supériorité et comme dit plus haut on te laisse tous avoir le dernier mot dans ta tête tu pense avoir raison alors que en réalité …..t’es qu’un paranoïaque
--> Encore et toujours cette ligne commune, concertée, de parler de "supériorité". Effectivement, c'est pathologique chez toi.
Vous avez eu besoin de créer un phénomène de mobbing pour... pour ? Je suis sûr que vous-mêmes ne savez même pas.
En quoi est-ce que lire un film pour ce qu'il est serait paranoïaque ? J'ai la réponse : ça n'a aucun rapport. Tu utilises des mots que tu ne comprends pas, tu accuses sans raison, ou alors tu projettes.
Je comprends parfaitement que des pervers dégénérés soient vexés que le personnage avec lequel ils s'identifient soient qualifié de pervers dégénéré (Miguel).
Saches que tu tu aimes Miguel et que tu le prends pour un héros alors que c'est un antagoniste, alors c'est que tu as une faille sévère. On peut aimer un méchant parce qu'il est "relatable", sans pour autant le valider. Personnellement j'ai du mal avec le fait de plaquer un adolescent au sol et de lui hurler dessus qu'il est à la source de tous les problèmes du monde.
C'est de la fiction, donc tous les critères de réalismes et d'enjeux ne comptent pas. Tu ne sais pas faire la différence entre un monde intradiégétique et des représentations et des thèmes qui sont violents. Miguel est un antagoniste, et le propos du film n'est pas de donner raison à Miguel, mais de le présenter comme un défi et une remise en question pour Miles.
Tu n'es pas seul, c'est vrai. D'autres individus au QI inférieur continuent à se raconter des films sur ce long-métrage, et saignent du sphincter quand on leur apprend que Miguel est un être méprisable qui s'en prend à un gosse et se comporte comme un tyran.
Je me fiche de ton avis, parce que clairement tu te moques toi aussi du film, et que tout ce qui t'intéresse est de venir me pomper l'air.
Encore une fois, j'en ai strictement rien à foutre de votre avis sur ma personne ou des attaques personnelles qui n'ont rien à voir avec le film.
Ne pas voir que Miguel est l'antagoniste, c'est être une personne toxique, violente, masculiniste, et oui, narcissique.
Cette communauté a toujours été toxique, donc pas de souci de ce côté-là, et ça ne m'atteint pas du tout vos conneries pathétiques.