Sonny Hayes était le prodige de la F1 des années 90 jusqu’à son terrible accident. Trente ans plus tard, devenu un pilote indépendant, il est contacté par Ruben Cervantes, patron d’une écurie en faillite qui le convainc de revenir pour sauver l’équipe et prouver qu’il est toujours le meilleur. Aux côtés de Joshua Pearce, diamant brut prêt à devenir le numéro 1, Sonny réalise vite qu'en F1, son coéquipier est aussi son plus grand rival, que le danger est partout et qu'il risque de tout perdre.
Dernières Nouvelles d'Alsace 4/5
Joseph Kosinski et Ehren Kruger visaient le grand spectacle hollywoodien : pari gagné. Leur filmage en Imax XXL immersif est bluffant. Caméras embarquées dans le cockpit, sensations d’adrénaline à fleur de peau : on est dans le baquet, pilote à vif.
Franceinfo Culture 4/5
Au total, on file certes la métaphore du vieux sage expérimenté versus un jeunot arrogant, mais les situations que l'on imagine restent subtiles et inattendues.
Le Dauphiné Libéré 4/5
Brad Pitt en fou du volant ultra-cool et ultra-sexy, dans un film de course auto qui se place en pole position du spectacle de la vitesse au cinéma, grâce au pilotage cinétique de la réalisation de Joseph Kosinski, aux images qui dépotent.
Le Figaro 4/5
On se dit alors que ce blockbuster estival « old school » (le producteur Jerry Bruckheimer ne doit pas y être pour rien) a bien des atouts pour délivrer sa dose de divertissement et de souffle épique. Même si l’intrigue semble parfois cousue de fil blanc, il serait malvenu de bouder son vrombissant plaisir.
Le Parisien 4/5
Dans la grande tradition des films de sport automobile, « F 1 le film », mené à 300 à l’heure et tourné par Joseph Kosinski lors de vrais week-ends de grands prix, électrise avec ses séquences de course filmées à hauteur de casque de pilote, qui mettent littéralement le spectateur au volant.
Le Point 4/5
En coulisses de cette superproduction high-tech financée par Apple, une mécanique bien huilée, avec une courroie de transmission liant comme jamais auparavant Hollywood et la planète F1.
Sud Ouest 4/5
De quoi ravir les fans de la discipline, sans décevoir les novices. Ces derniers profiteront de l’aspect drama calibré et du suspense entourant chaque Grand-Prix. L’implication de Lewis Hamilton, producteur, renforce la crédibilité du film.
Ecran Large 3/5
Après Top Gun : Maverick, il est assez logique de voir Joseph Kosinski faire son propre Jours de tonnerre, pour le meilleur et pour le pire. Si le scénario déçoit avec ses gros sabots, F1 reste une proposition esthétique foisonnante, qui entérine un peu plus le style de son réalisateur.
La Croix 3/5
Le scénario, bourré de testostérone, se rééquilibre un peu avec deux personnages féminins un peu clichés mais intéressantes, néanmoins, il exclut totalement la question de l’impact écologique du sport.
Les Echos 3/5
Blockbuster né du mariage des studios et des sports mécaniques, « F1 » ouvre l'été hollywoodien. Avec un scénario sans surprise, des scènes de course virtuoses et un Brad Pitt qui cavale contre les années qui filent.
Les Inrockuptibles 3/5
Il est rare qu’un film de sport laisse ainsi sa part à la dimension fondamentalement frustrante de la compétition, à la quasi impossibilité de l’épiphanie victorieuse. Une image, peut-être, de sa propre position à Hollywood : à la fois au-dessus du commun, et curieusement oubliable.
Ouest France 3/5
Brad Pitt incarne une ex-gloire de la formule 1 de retour au volant pour sauver l’écurie d’un de ses meilleurs potes dans un film incroyablement spectaculaire en dépit d’un scénario famélique.
Première 3/5
Brad Pitt y exploite à fond son côté terrien, costaud, yankee nourri au grain, un peu macho sur les bords – très Steve McQueen. Et si on pardonne beaucoup de choses à ce film, c’est aussi grâce à lui.
20 Minutes 2/5
Les scènes de Formule 1 sont efficaces mais cela ne suffit pas pour compenser un scénario vieillot.
L'Obs 2/5
Il faut voir ses interactions forcées avec son coéquipier et rival, un jeunot doué mais mal dégrossi (version fictionnelle du vrai pilote Lewis Hamilton, l’autre coproducteur) pour constater combien ce film supposé limpide, frontal, se cogne sans cesse aux contraintes du compromis et de la politique.
La Voix du Nord 2/5
Si on est indifférent aux dilemmes en temps réel (gommes tendres ou dures ?), le temps défile moins vite que les bolides. Rien à voir avec Top Gun : Maverick du même Joseph Kosinski, véritable feu d’artifice qui, en dehors de séquences d’action sidérantes, donnait un souffle à son récit et portait un vrai regard sur son héros vieillissant.
Le Monde 2/5
A l’heure où les studios, dans l’ombre du second mandat de Trump, mettent en veilleuse leur politique « woke », ce film célèbre en fanfare le retour du vieil homme blanc à la virilité charmeuse.
Libération 2/5
Accordons à F1 de ne pas récupérer le mauvais goût dans le bon, et de témoigner du dernier degré de décadence de civilisation sur fond de libations à Vegas ou Abou Dhabi. Dans cette fanfare, plutôt que la revanche sur la vie d’une vieille gloire oubliée, on aurait bien aimé un vrai film d’amitié.
Télérama 1/5
Un ancien prodige de la F1 revient dans la course… Une caricature de success story cousue de fil blanc, avec Brad Pitt en autopromo.
Faut regarder en connaissance de cause comme Top Gun
Bientot les males blanc bogoss seront interdit de cinema d'apres eux lol
Bonne BO, bien filmé et très bon rythme j’ai pas été déçu, je l’attendais beaucoup celui-là j’en suis satisfait!