J’avais déjà acheté SteamWorld Dig sur 3DS et je vous avoue que j’avais déjà adoré le jeu, son concept simple mais tellement accrocheur. Ce jeu est une vraie addiction, une fois notre pioche en main, on part pour des heures et des heures de forage intensif à travers le sol de la petite ville de Tumbleton. La ruée vers l’or n’attend pas et notre héros mécanique, le cowboy Rusty, le sait bien. Ni une, ni deux vous voilà armés de votre première pioche conférée par votre oncle lors de sa mort. Plus qu’à rentrer dans la mine et à découvrir une aventure souterraine stupéfiante…

Si le début du jeu vous semblera assez lent car effectivement votre équipement est assez limité mais aussi pas très efficace face à la roche souterraine, il vous faudra plusieurs allers-retours vers la surface pour ramener votre butin en échange de pièces d’or pour pouvoir vous acheter de vrais outils afin de progresser plus vite. Surtout qu’au début on dispose que de 2 ou 3 emplacements dans sa sacoche, quelques pépites et vous voilà la banane remplie, plus qu’à remonter pour vous alléger.

En fait dans le jeu y’a trois choses importantes à développer, votre force de forage (nouvelle pioche, foreuse hydraulique, dynamite…), la capacité de votre sacoche et peut être le principal point votre source de lumière (évolution de votre lampe à pétrole, + 60s de lumière à chaque upgrade, pour la recharger revenir à la surface). Et je peux vous le dire, dans le noir personne ne vous entendra crier… enfin ça sera juste le bordel pour remonter surtout si vous vous trouvez à 400m en dessous de la ville.

La suite et la conclusion sur ce lien : http://koopa.fr/jeuxvideo/test-steamworld-dig-wii-u/

Le bon plan du week end, je sais que certain non pas forcément envie de prendre la « Première Edition » de Bayonetta 2 sur Wii U, donc voici tout de même l'édition spéciale (bi-pack) !
Cette version inclus : le disque de jeu Bayonetta, le disque de jeu Bayonetta 2.

Livraison gratuite en relais

– Bayonetta 2 Première Edition sur Wii U à 67.99€
– Bayonetta 2 Edition Spéciale sur Wii U à 54.99€
– Bayonetta 2 sur Wii U à 49.99€

Les éditions Ki-oon nous propose un nouveau thriller basé sur un jeu comme l’excellent King’s Game ou encore les séries Doubt et Judge. On pourrait déjà se dire que l’on va se retrouver dans des situations identiques et avec un manga qui donnera l’impression d’avoir déjà été lu. Mais non, à la lecture de ce premier tome de Darwin’s Game que j’ai acheté en avant première à la Japan Expo (je le signale car c’est vraiment sympa pour une fois d’avoir de vraies exclues, deux mois à l’avance quand même !), j’ai tout de suite accroché ! Je n’ai pas vraiment ressenti cette sensation de similitude avec les autres œuvres citées plus haut et pourtant je les possède toutes!

Non Darwin’s Game se démarque clairement, déjà le dessin est vraiment soigné avec un découpage plutôt dynamique souligné par des trames et des speeds lines bien utilisées. Même si on reprochera au mangaka d’abuser un peu des zones d’ombres pour rendre l’ambiance plus lourde qu’elle n’y parait. Mais dans l’ensemble FlipFlops réussit parfaitement la mise en scène dérangeante de ce jeu macabre. (cf. la première scène avec l’homme à tête de panda dans le train).

Ce qui m’a plu et surpris à la lecture de ce tome est que pour une fois le personnage principal n’est pas un gugus sans cerveau qui va agir sans réfléchir. On découvre un personnage assez réel dans ses actions, qui même s’il ne comprend pas ce qu’il se passe, va quand même aller voir la police pour porter plainte contre un homme-panda fou ! Ce genre de réaction est souvent mise de côté dans les mangas, l’auteur préférant le spectaculaire ou le cliché classique de la poursuite. Et le reste de la démarche est tout aussi intéressante; bien que sonné par les événements, Kaname Sudo rentre chez lui perplexe de ce qui lui arrive, s’interrogeant sur la réalité du jeu, le Darwin’s Game. La police passe chez lui, lui pose des questions, comme dans une situation réelle. Et c’est pour cela que j’ai beaucoup aimé l’histoire, on ne nous parachute pas dans une histoire improbable car l’auteur respecte le cadre de la réalité dans son thriller de science fiction. Bref, pour une fois que l’on a un héros un peu plus réfléchi, on ne va pas se priver.

Le verdict sur ce lien : http://koopa.fr/manga/avis-manga-darwins-game/

Avec son côté effet papillon, Kei Sanbe nous propulse dans un thriller surprenant. Posant bien son décor et son récit, l’histoire est plutôt lente à se mettre en place. Il faudra donc ne pas s’arrêter aux premiers chapitres et poursuivre sa lecture jusqu’à la fin du tome pour être touché par une drôle d’émotion entre l’étonnement et la mélancolie. Certes l’idée de jouer avec le temps n’est pas nouveau mais l’auteur l’expose de manière assez différente des codes existants. Appelé ici « rediffusion« , le personnage principal Satoru Fujinuma se retrouve parachuté dans le passé pour chercher dans un laps de temps imparti le problème lié à un événement (accident, enlèvement, danger). Ne maîtrisant pas le déclenchement de ses rediffusions, elles apparaissent aléatoirement dans son champ d’action. Le lecteur est donc aussi surpris que lui lorsque l’histoire se bloque d’un coup, limite cherchant avec lui la solution avant l’accident.

Avec ces saccades scénaristiques, le récit avance donc lentement mélangeant flashback sur son enfance et sa vie actuelle. Ce premier tome peut donc sembler assez lourd pour un lecteur non averti ou gavé aux shonen de combat. Car c’est bien sur les derniers chapitres que l’histoire prend tout son sens et que l’accroche du lecteur se fait, procurant l’impatience de découvrir le deuxième volume.

Côté dessin, encore là, le titre pourra en rebuter plus d’un (surtout les non habitués de Seinen). Le dessin est assez simpliste avec des traits noirs marqués et beaucoup d’aplats, peu de trames ou d’effets, le découpage étant propre, la lecture reste très agréable. Pour moi le gros défaut vient des personnages féminins qui sont tout simplement loupés, on sent bien que le mangaka n’est pas du tout à l’aise pour dessiner une femme. Et son style « assez brut » n’aide pas à rendre le visage d’une fille très féminine… (yeux, bouche, traits du visage) mais on différencie très bien chaque personnage.

Dans tous les cas, le dessin partagera probablement les lecteurs mais l’histoire elle, reste intéressante et devrait attiser votre curiosité.

Le verdict sur ce lien : http://koopa.fr/manga/avis-manga-erased/

La beta de Destiny se clôtura le 28 juillet dernier à 8h du matin et c’est pas moins de 4.5 millions de joueurs qui ont pris part à cette aventure intersidérale. A la base cela devait être une beta fermée mais finalement les portes se sont ouvertes pour le week end à tous les possesseurs de PS4, PS3, Xbox 360 et Xbox one. Alors parler aujourd’hui de beta « fermée » me fait bien rire, c’était surtout un test grandeur nature des serveurs plus qu’une vraie beta car il ne faut pas se le cacher, le jeu sortant le 9 septembre prochain faire une beta un mois avant ça me parait vraiment trop juste pour prendre en compte les retours des joueurs et modifier le jeu en conséquence.

Les joueurs seront peut-être dupes mais pas moi, même si à l’affichage du jeu, on découvre la magnifique phrase « Jeu en développement, merci d’être sympa avec lui car il va changer d’ici la sortie……ou pas », concrètement une beta normalement sert au développeur à améliorer et ajouter du contenu dans son jeu suivant le retour d’expérience des joueurs, cela prend donc du temps d’analyser chaque retour surtout qu’ici on parle de 4.5 millions de joueurs ! Normalement – la norme – pour une beta est de 8 mois avant la fin du développement, laissant au développeur plus ou moins 6 mois pour corriger et peaufiner les bugs et autres tracas de gameplay ou level design trouvés par les betas testeurs. Ici le jeu sort dans 1 mois, il est donc impossible pour l’équipe de Bungie de vraiment prendre en compte les retours surtout qu’il faut compter 2 semaines de production du jeu en usine. Le laps de temps est vraiment trop court, cette beta ressemble donc plus un test de serveur ou au pire à une grosse démo marketing pour faire gonfler les précommandes mais n’a aucun rapport avec une vraie beta en somme.



Bref, après cette petite mise au point, je vais vous donner simplement mon avis sur cette fausse beta. Au premier coup d’oeil, la première chose que je me suis dite en me lançant dans l’aventure, c’est « Est-ce que j’ai déjà joué à ce jeu ? » Car oui, Destiny est générique à souhait, l’impression d’avoir un croisement entre Halo, Mass Effect et Resistance. Je me retrouve finalement devant un fps bien classique, on avance de zone en zone, on bute tous les monstres, on récupère des points d’expérience, on active des mécanismes, on tue le boss, fin.

Je schématise un peu vite car le jeu dispose d’une aire de jeu assez vaste mais le cœur même qui gère le genre fps est bien là, basique et efficace à la fois. Le petit plus ici c’est de pouvoir faire des missions en coop à 4 et le fait d’être dans un faux MMO (un peu comme Monster Hunter Tri). Un hub central vous permettra de faire le plein d’équipements et d’armes à acheter et upgrader, un tableau de missions, de quoi discuter avec les joueurs présents sur le hub. Un vrai petit côté MMORPG mais très simplifié. Je le redis mais ça ressemble vraiment à Monster Hunter Tri pour le côté « compagnon », hop, on part dérouiller du boss ! Sur cette beta on avait le droit qu’a 2 environnements, la terre et la lune, mais sachez que le jeu disposera en tout de ….de…5 environnements seulement (Mars, Vénus, Lune, Terre, Saturne) avec une seule et unique zone pour chaque planète… En plus de ça, le level de votre personnage sera bloqué à 20 (8 pour la beta) autant vous dire que certains vont rusher comme des cochons et ensuite faire les dominateurs sur le monde de Destiny.

Bon vous ne l’aurez pas loupé, cette beta ne m’a pas marqué plus que ça. Je trouve le jeu vraiment sympa avec un bel univers mais trop générique à mon goût, des guns fight assez basiques, une progression simplifiée. On attendra tout de même le 9 septembre prochain pour se faire un vrai avis sur le rendu final du jeu même si je pense que le travail marketing ainsi que le budget monstrueux alloué fera le travail pour en vendre des palettes.

Voilà enfin le retour de Hive Jump sur Kickstarter, projet du studio Graphit Lab qui avait échoué en début d’année à cause essentiellement d’un manque de finition globale et de préparation pour l’annonce du jeu. Cette fois ci c’est la bonne, le jeu est beaucoup plus avancé, redesign des sprites, la campagne est mieux construite, il ne manque plus que vous pour que leur projet voit le jour en participant à la campagne Kickstarter de Hive Jump. Go Jumper !

La campagne est de 50 000 $ sur 30 jours, le jeu est prévu pour août 2015 sur PC, Mac, Linux et Wii U !



Un vrai mélange de sci-fi avec comme inspiration Starship Troopers et des jeux comme Spelunky et XCOM. Ce shoot 2D s’annonce vraiment fun à quatre avec une bonne dose de challenge. J’ai déjà participé au financement (backé 60$), je trouve le projet vraiment excellent typiquement le genre de jeu que j’aurai aimé créer. Simple, efficace mais terriblement fun.

Je vous invite donc à faire comme moi et à participer au projet via ce lien : https://www.kickstarter.com/projects/graphitelab/hive-jump-0

En attendant la version Wii U, je vous propose la version 3DS du nouveau Super Smash Bros à petit prix Surtout que le jeu comporte un mode solo exclusif !

Smash Bros 3DS à seulement 34.99€ avec le code « RESAAUCHAN » bénéficiez de -5€ de remise sur votre précommande Auchan.fr !

Nous sommes dans une époque bien sombre du FPS, les jeux de shoot se ressemblent et deviennent totalement génériques. On court, on tire, si on est blessé pas de soucis on se planque derrière un mur le temps que notre barre de vie remonte, on fonce dans le tas, on ne cherche plus à savoir où en est son équipe, l’objectif est devenu le même pour nombre de joueurs : avoir le meilleur ratio.

Le ratio c’est cette petite indication qui te dit combien de joueurs tu as tués et combien de fois tu es mort durant la partie, cette statistique est devenue primordiale dans un jeu de shoot tellement que certains éditeurs la mettent bien trop en avant dans leurs jeux pour faire monter l’esprit compétitif entre joueurs en plus de les rendre totalement accro. Le souci est que beaucoup de FPS sont à la base des jeux qui se jouent en équipe, on parle alors de Team play. Certains modes comme, le team deathmatch, l’assaut, la conquête, la domination ou encore le mythique capture the flag lui sont voués et pourtant aujourd’hui l’individualisme et l’orgueil prônent sur ces parties censées être jouées en équipe.



A l’époque, je vous parle de la génération Counter Strike, Unreal Tournament, Quake 3 arena, le Team play était la base de la conception même du jeu. Le gameplay était fait pour jouer en équipe, pour se soutenir et ainsi réussir l’objectif. Partir tout seul dans un CS c’est du suicide. Bien sûr on pouvait déjà trouver cette fameuse statistique du ratio kills/morts mais c’était clairement secondaire, le but premier restait de faire gagner son équipe, de désamorcer la bombe coûte que coûte, de ramener le drapeau jusqu’à sa base pour marquer 10 points avec l’appui de ses coéquipiers. On ne regardait pas le ratio car certains étaient même voués à faire des ratios négatifs car on les utilisait comme diversion ou bouclier humain, on respawnait à l’infini avec qu’un seul objectif avoir comme message de fin : La team bleue a remporté la partie !

La suite sur ce lien : http://koopa.fr/fps-le-ratio-a-t-il-tue-le-teamplay/

Même si vous avez envie de rester au frais toute l’après midi, une petite attaque trempette dans l’eau n’est tout de même pas de refus. Un peu de sable blanc, la petite brise dans vos cheveux, un peu de crème solaire étalée sur le dos hummm…mais qu’est-ce qu’il nous arrive ? Sinon un peu de lecture sous le parasol ça passe bien aussi Et ça tombe bien voilà un top 5 des mangas à lire pendant vos vacances histoires de se détendre un peu avant la reprise.



1) Nisekoi – Amours, mensonges et yakuzas ! (Edition Kazé)

En voilà un manga avec beaucoup d’humour et des événements qui mettent nos héros dans de drôle de situation. Vous suivrez l’aventure de Raku Ichijô, fils d’un chef Yakuza, qui est diablement amoureux de Kosaki Onodera mais ce n’était pas sans attendre une autre fille d’un clan rival pour venir semer la pagaille, Chitoge Kirisaki. Deux clans que tout oppose mais qui vont faire une trêve grâce à une supercherie entre Raku et Chitoge qui doivent faire semblant d’être en couple. Le manga part dans tous les sens, des scènes totalement WTF à vous en faire cracher du sable, des personnages charismatiques et une histoire passionnante entre amours, mensonges et clans de Yakuza. Un beau bordel qui en fait un excellent manga pour se vider la tête et rigoler un bon coup.

La suite suivre ce lien : http://koopa.fr/ete-2014-5-mangas-a-lire-a-la-plage/