Pour le plaisir et sans prétention, mon petit test sur AC Odyssey, que j'ai eu envie d'écrire après avoir faire les extensions.
(PS : conformément aux règles de Gamekyo, je ne mets pas tout l'article . Si vous voulez lire directement l'intégral du test, vous pouvez le lire sur le site source en cliquant
ICI.
Bonne lecture !
Depuis la sortie du premier épisode, un beau matin de Novembre 2007, la série Assassin’s Creed est devenue une saga majeure du marché du jeu vidéo et l’un des plus brillants porte-étendards de la marque Ubisoft.
Qu’importe un rythme de sortie aussi effréné que FIFA ou Call of Duty : les joueurs veulent leur épisode annuel, véritable plongée dans l’Histoire et les guerres qui ont fait rage à travers le récit de l’Humanité.
Certes, tous les épisodes ne se valent pas, aussi bien en terme de renommée que de qualité, mais après un épisode
Origins marquant un véritable renouveau pour la saga, on peut dire sans demi-mesure que l’épisode
Odyssey était attendu au tournant : il s’agissait de confirmer que le succès d’Origins n’était pas dû au hasard ou au simple talent d’Ubisoft Montréal, mais que la saga allait bel et bien repartir sur des bases solides.
Il fallait également pour le studio Ubisoft Québec sortir définitivement de l’ombre de son grand frère montréalais : après un [b]
Syndicate[/b] qui fut leur premier épisode à part entière (avec des retours très disparates, pour ne pas dire désastreux),
Odyssey devait non pas égaler Origins, mais le surpasser.
Les canadiens d’Ubisoft Québec ont-ils remporté leur pari ?
La réponse est oui, et je vais tenter de vous expliquer pourquoi.
Place au test d’un véritable bon jeu.
De la folie ? C’est SPAAAAARRRRTE !!
Une intro très "300", forcément...
Après l’Egypte du Ier siècle avant notre ère qui nous faisait rencontrer (entre autres) Jules César et Cléopâtre, la saga repart une fois encore en arrière et remonte dans le temps jusqu’au Vème siècle avant JC, que les historiens nomment glorieusement « [b]le siècle de Périclès[/b] ».
Alors oui, vous l’aurez compris : notre nouveau volet va se passer dans la Grèce antique. Aux origines des « Origins » quoi.
Bienvenue dans les archipels grecs!
La Grèce antique ayant eu le vent en poupe ces dernières années au cinéma (en particulier grâce au film « 300 » de Zack Snyder), ce nouvel épisode commence forcément sur la célèbre bataille des Thermopiles et le Roi Léonidas.
Après un court prologue faisant office de tuto / flashback, nous revoilà donc revenu dans le temps présent : celui de Socrate, d’Aristote et d’Hippocrate.
Les villes sont cette fois ci innombrables.
Vous dirigez (au choix) Alexios ou sa sœur Kasandra. Ce choix ne changera absolument rien à l’histoire, ni même au personnage : les lignes de dialogues et les personnalités d’Alexios et de Kassandra sont exactement les mêmes, ce qui tournera ponctuellement au comique, même si cela s’avère la plupart du temps plutôt réussi, soyons honnêtes.
Le système de combat s'inspire toujours autant de Dark Souls
Une fois votre personnage en main, vous découvrez que les principes
d’Origins sont toujours présents : gestion désormais RPGiste (avec un système de niveau, de compétences et d’équipement), système de combat largement inspiré de la saga
Dark Souls de From Software, et open world de taille gigantesque, calqué sur le modèle de
The Witcher III.
On aurait pu craindre qu’Ubisoft Québec ne se cantonne qu’à « refaire » un Origins à la sauce grecque, sans aucune valeur ajoutée, ni supplément oignon.
Une sorte de Skin pour cacher un même écrin quoi.
Il n’en est rien : non seulement Odyssey va plus loin qu’Origins, mais il propose aussi ses propres valeurs ajoutées et il en résulte au final, manette à la main,
l’un des épisodes les plus réussis de la saga. Explications.
Un monde GIGANTESQUE
Enfin je me barre de Kefalonia!
Vous trouviez
Origins géant ? Vous allez perdre pied avec Odyssey ! C’est bien simple : les développeurs ont complètement craqué. Ils ont modélisé pas moins que TOUTE la Grèce ! Oui : TOUTE !
C'est juste magnifique. Tout le temps.
De la verdoyante Attique à la foisonnante Théssalie ; des eaux turquoises de la mer Egée aux péninsules Ioniennes ; de la sanguinaire Macédoine à la joyeuse île de Mikonos : tous les plus célèbres lieux du monde grec sont présents.
La Grèce est fidèlement modélisé. Ici l'île de Cythère.
La superficie donne le vertige : ce sont plusieurs centaines de km2 qui s’offrent à vous : aussi bien sur Terre que sur Mer !
Après un prologue qui va vous poser les bases du système de jeu (combat, quêtes, gestion de l’équipement), vous quitterez la tranquille île de Kefalonia pour rejoindre ENFIN le reste de la Grèce.
A partir de là, la liberté est totale : libre à vous d’explorer le monde d’
Odyssey comme bon vous semble.
J'ai foncé à Athènes, mais je n'y ai pas trouvé Seya, Shun, Hyoga ou Shiryu...
Certes, le jeu gardera un découpage par région, où les ennemis auront des paliers de niveau disparates : une façon de rendre les dernières zones du jeu plus difficiles d’accès, mais libre à vous (ou non) de suivre le fil d’Ariane tendu par les développeurs : vous partez à l’aventure, et vous faites ce que vous voulez.
Matez cette belle statue et le souci du détail
Pour ma part, j’ai tenu à foncer voir la belle Athènes, puis la légendaire ville de Sparte (parfaitement situées sur la carte) et rien ne m’en a empêché. Bref vous l’aurez compris : entre le gigantisme de son étendue de jeu et la liberté totale laissée aux joueurs dans ses déplacements, Odyssey est tout simplement grisant de liberté. [b]Un énorme bon point.[/b]
La surface de jeu donne tout simplement le vertige.
Un level design soigné
Le cycle jour et nuit donne souvent droit à de merveilleuses cartes-postales
N’allez pas cependant croire que les petits gars d’Ubisoft Québec se sont contentés de créer une map gigantesque et de la remplir après coup (coucou
Horizon Zero Dawn !) : Odyssée connait un
véritable travail de level design. Chaque ville, chaque base, chaque forêt, lieux, grottes, palais, temple est unique dans sa construction et ses dispositions.
Explorer les grottes amène à de belles trouvailles!
Chaque élément de design est posé pour s’adapter à tous les types de joueurs : approches directes, furtivité, etc. Tous les espaces sont parfaitement calibrés et réglés au bon distance : votre personnage ne se retrouvera jamais coincé entre deux murs.
La topographie du terrain est souvent très accidentée.
Un travail de titan, qui démontre des outils de travail calibrés au millimètre près.
Enfin la Grèce étant un pays particulièrement accidenté et volcanique, la topographie d’Odyssey s’en ressent : beaucoup de verticalité, de pente très inclinés et de montagnes à gravir.
Ajouter également que le jeu est
seamless : fini les temps de chargement entre mer et terre façon AC Black flag :
tout s’enchaine sans la moindre transition ou le moindre temps de chargement. Grisant.
Petit mot de la fin : non seulement la surface pédestre à été entièrement structurée, mais les profondeurs marines aussi. Partout. Vous n’êtes pas au bout de vos surprises.
Même les profondeurs ont été modélisés et révèleront des trésors d'explorations et de découvertes!
Une DA à couper le souffle.
"Yoho, yoho, et une bonne bouteille de rhum!"... Ah non je me trompe d'époque!
Profitant des technologie génération HDR et d’une colorimétrie chiadée, Odyssey est certainement le jeu le plus coloré et lumineux de la 8ème génération de console (note : du moins à sa sortie, un petit Ghost Of Tsushima a décidé depuis d’aller encore plus loin).
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Chaque habitation est emplie de fresques murales à découvrir...
...Et il en est de même pour les temples !
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Les Temples ont un rendu fidèle aux dernières révélations archéologiques
Des splendides teintes des forêts grecques (qui passent par toutes les couleurs de saison) à l’eau turquoises et cristallines, en passant par ses rivières d’argent et ses temples brillant de mille feux, Odyssey est une véritable carte postale permanente ; l’un des plus beaux jeux jamais fait par Ubisoft.
Les forêts sont sublimes et foisonnent de détails les rendant vivantes (ruisseaux, feuillages, lumières, faune...)
Ajouté à cela une technique irréprochable, avec un travail des visages sidérants sur les persos principaux, des armures bourrées de détails et des textures utilisant
Algorithmic (le meilleur logiciel de texture du monde) et le rendu d’Odyssey, pourtant open-world, est quasiment du même niveau qu’un bon gros Uncharted en couloir. Là encore, c’est une véritable prouesse, aussi bien technique qu’artistique. Chapeau.
Le jeu est aussi magnifique de nuit
A la fois superbe et horrible
Un sound design de qualité
Sentez les embruns claquer sur votre poupe !
Bruit du vent, des armes, des vagues, de la faune ou de la flore : AC Odyssey est criant de réalisme et sent le gros AAA bien fat niveau budget son. Rien à redire de ce côté là.
Par défaut, poids du jeu oblige, AC Odyssey ne dispose que de la VA en langue de base : l'occasion de découvrir un doublage original étrange, où tous les acteurs ont un accent grec à couper au couteau en parlant anglais : assez ridicule et incompréhensible.
La VF en revanche, disponible en téléchargement gratuit, s'avère plutôt bonne et fait fi de cette excentricité. Le doubleur d'Alexios, Adrien Antoine, déjà à la manœuvre en tant que Batman dans la série des [b]
Arkham[/b] ou dans le rôle de Superman dans les films de Snyder, s'avère être un choix parfait pour le personnage.
Les autres acteurs jouent justes, à défaut d'être inoubliables.
Enfin la musique s'avère TRES réussie. Mention spéciale au thème
Enzo's family, qui dispose dans Odyssey de sa plus belle variation.
L'approche RPGiste confirmée
Le jeu continue sur la lancée RPGiste initiée par le Reboot
Origins :
Odyssey conserve un sytème de levelling, de points d'expérience, de quêtes principales/secondaires et de loot.
Le jeu a un découpage géographique en zone classée par niveau : vous aventurer en zone
High Level est donc à vos risques et périls. Même les habitants peuvent littéralement vous défoncer si vous déclencher leur fureur.
Si l'ensemble de ces éléments est plutôt bien maitrisé, le
loot, en revanche,
fait office de véritable talon d'Achille.
Trop de loot tue le loot.
A l'instar de DarkSiders 2, AC Odyssey vous noie d'éléments d'armes et d'armure en permanence, au point d'en perdre vraiment l'intérêt puisque vous ne garderez que les meilleurs équipements : le reste passera à la trappe.
Les compétences
L’arbre des compétences est franchement plus clair dans Odyssey. Il est de plus séparé en 3 profils : chasseur, guerrier ou assassin.
L'arbre des compétences façon Origins est également de retour dans Odyssey. Il est en revanche beaucoup plus segmenté : vous pouvez orienter votre profil autour de 3 grandes familles de compétences.
-
Celles du Chasseur a trait à tout ce qui peut vous aider à la traque : reconnaissance du périmètre, suivi des traces, amélioration du tir à l'arc, etc.
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Celles du guerrier, comme son nom l'indique, concernent le combat pur : gros finish, enchainements, coups spéciaux... Si vous voulez faire du dégât, c'est ici qu'il faut aller.
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Enfin l'arbre de compétence des assassins vous apportera des capacités propres au meurtre en infiltration : faire moins de bruit, augmenter les dégâts de la Lame, utiliser du poison, se rendre invisible (oui oui)...
Chaque montée en niveau vous apportera un point de compétence, à utiliser dans l'une de ces 3 familles.
Certaines capacités sont passives et ne nécessitent qu'un point de compétence (ex : avoir plus de souffle pour nager sous l'eau). D'autres en revanche, les actives, peuvent avoir plusieurs points alloués pour monter en puissance (ex : le coup de pied spartiate).
De façon générale, les points de compétence sont une denrée rare dans AC Odyssey : le jeu bloque votre personnage au niveau 50, et à ce niveau, vous ne pourrez pas avoir toutes les compétences.
2 solutions s'offriront alors à vous : le new game +, ou les extensions /DLC, qui permettront de dépasser le niveau 50. Mais là, il faudra repasser à la caisse...
Enfin, un système de forge est présent pour améliorer les armes, mais honnêtement, ça ne sert quasiment à rien.
Ah si, un dernier point important : quelque soit le Move-set pour lequel vous optez (ou switchez), tous sont immédiatement disponibles. Pas besoin donc de développer votre personnage d'une certaine manière pour manier une arme (coucou Dark Souls!).
ET ON JOUE SINON ?
Combats : système de contre, et d’adrénaline.
Maîtriser la barre d'adrénaline (en jaune) s'avèrera primordial
Le système de combat reprend grosso modo les mêmes principes qu'
Origins. A savoir un système de combats inspiré de
Dark Souls, avec gestion de l'endurance et utilisation de coups spéciaux, déclenchés par une barre d'adrénaline.
Maîtriser l'adrénaline s'avère primordial, car c'est d'elle que dépend le déclenchement des attaques spéciales (qui font du dégât) ou même la compétence de soin.
A l'instar de
Darksiders ou
God of War,
Odyssey vous pousse donc à être toujours offensif, surtout si vous voulez vous soigner.
Aidez un camp ou l'autre
Summum de ces affrontements épiques, les grandes batailles de territoires vous permettront de prendre part à des affrontements entre les armées spartiates et athéniennes.
Un bon finish dans ta gueule !
A vous de choisir qui vous allez aider à remporter la bataille. De cette issue verra l'influence de l'un des 2 camps l'emporter sur l'autre (ou pas).
Un système qui rappelle légèrement la bataille des gangs de GTA San Andreas, en plus libertaire et plus poussée.
De façon globale : chaque assassinat de soldats, préfets ou membre quelconque de Sparte ou Athènes diminuera l'influence d'un camp face à un autre.
La destruction de ressources (nourritures) ou le pillage des bases et autres places-fortes [b]auront également un impact direct [/b]sur l'influence des cités grecques et de l'hégémonie athénienne ou spartiate. A voir si vous souhaitez aider un camp ou l'autre, ou bien détruire l'influence de tout le monde.
A noter cependant que plus vous ferez de tuerie, plus votre mise à prix augmentera et cela nous amène sans transition à notre élément de gameplay suivant : le système de mercenaire
Les mercenaires : relou
[pos=centre]

Les mercenaires, plus nombreux que jamais : la fausse bonne idée.
Complètement repris d'Origins, qui lui même reprenait l'idée des jeux de Rockstar et plus particulièrement la série des
Red Dead Redemption, le système de mercenaire vous amène à traquer ou être traqué par un nombre incalculable et sans fin de guerriers déambulant librement et presque aléatoirement dans le jeu.
Plus vous ôterez de vies, plus la jauge d'alerte augmentera, ce qui fera tout simplement
popper un, deux, voire 4 mercenaires en même temps !
Sacs à PV, forts en dégâts, les mercenaires sont des adversaires redoutables mais ont le défaut de débarquer un peu à n'importe quel moment. Si les combats sont intéressants et souvent riches en points d'expériences et équipements, leurs apparitions rendent les choses vraiment pénibles : ils apparaissent en plein combats contre d'autres adversaires et empêchent même parfois les quêtes de se clôturer, tout du mois tant que le combat contre eux n'aura pas pris fin...Relou
Bref, à vouloir augmenter bêtement le nombre d'attaques de mercenaires d'un point de vue strictement quantitatif,
Odyssey oublie tout sens d'équilibrage dans ce système qui était plutôt réussi dans
Origins. Dommage.
Sachez également que vous n'êtes pas obligés de subir la traque des mercenaires : vous pouvez également devenir le prédateur à la chasse d'une cible.
Enfin, il vous est possible, à tout moment, de payer depuis le menu principal pour remettre la jauge de traque à zéro : ça ne vous exemptera cependant pas des combats qui auraient pu être engagés en cours de route !
Au final la mécanique de la chasse des mercenaires s'avère décevante : elle n'apporte rien en terme de scénario, s'avère redondante, voire alourdissant dans votre progression et les loots qu'elle peut faire miroiter n'a rien de suffisamment singulier pour faire face aux objet amassés lors de la progression principale.
Autant donc s'intéresser à un autre système de traque, bien plus intéressant :
le culte de Kosmos.
Système de traque des membres du Culte de Kronos.
Le culte de Kosmos est la version grecque de "L'Ordre des Anciens" ou, plus tard, des Templiers.
C'est tout pour cet extrait. Vous pouvez lire la suite de l'article en cliquant
ici)
Je reviens notamment sur le Culte de Kosmos, les quêtes secondaires, le scénario d'Odyssey, la durée de vie, le système de bataille navale, etc.
https://www.gameforever.fr/assassins-creed-odyssey-11018.php
Pseudo Twinsen Threepwood
J'ai fini Oddysee l'année dernière et pareil sur un point: comme tous les précédents AC, c'est toujours magnifique a regardé. Depuis Origins, je joue que les missions principales qui ont déjà une bonne durée, pas le temps de faire le reste, d'autant que c'est toujours la même chose...
Mais comme beaucoup après avoir fait tous les AC, ce nouveau gameplay RPG j'ai du mal, transpercer l'ennemi avec les lames/épées ou même une flèche dans la tête, le connard reste toujours vivant^^
Tu compte faire Valhalla ?
C'est pourtant bien la sensation que j'ai ressenti dans cet épisode. La carte est très (trop) grande et à cause de cela, il y a une tonne de remplissage comme les innombrable camps à nettoyer, bien plus que dans Origins. Généralement, je fais le maximum sur un AC mais là, je n'ai pas pu, c'était de trop. J'en étais écœuré.
De plus, en dehors de l'aspect RPG plus poussé (mais j'ai moins apprécié, ne pas pouvoir oneshot avec la lame secrète, c'est complètement stupide, sauf si on se spécialise) et la partie navale, tout le reste n'est qu'une redite de son prédécesseur. Il n'y a pas de nouveauté qui saute aux yeux.
J'ai été très déçu de cet épisode. Là où Origins m'a charmé, Odyssey, je l'ai trouvé assez rapidement ennuyeux la faute à un scénario qui aurait pu être très bon mais qui finalement est d'une platitude ainsi que de son système d'évolution qui ne nous permet finalement pas d'être réellement un assassin chose que j'avais déjà reproché sur Origins mais là, c'est pire.
Sans oublié LA feature des grandes batailles qui finalement n'apporte rien et ne fait que se répéter en boucle dans son schéma. Un bonus que j'ai rapidement laissé de côté pour le peu que ça apporte et que ça change.
Et il est vrai que les membres du culte, c'était plutôt indigeste. Le seul point réellement positif, c'est que tu pouvais tomber sur l'un d'eux par hasard et le buter dans la foulée.
Dans Origins, il y avait aussi un peu trop de certaines choses mais ça passait encore. Pas dans Odyssey.
jaysennnin Il me semble que Odyssey a été développé quasi en même temps que Origins par une autre équipe. D'où le fait qu'il a pu sortir un an après son prédécesseur mais oui, il est possible que ça été trop vite.
Après, il y a tout de même deux ans entre Odyssey et le dernier, c'est déjà mieux mais je ne peux pas juger celui là vu que je ne l'ai pas encore testé.
Exact. Après odyssey ça passait encore, le pire c'est valhalla où vraiment même pour un fan comme moi c'est l'épisode de trop. J'aimerais qu'on revienne à quelque chose de plus condensé (par exemple des villes plus détaillées et plus petites ou des zones semi ouvertes et plus forcément un open world gigantesque).
Je ne sais pas si tu compte jouer à valhalla mais à mes yeux c'est une régression sur tous les niveaux (à part le gameplay) en comparaison de ce qu'a accompli odyssey (objectifs et quêtes annexes foiré, écriture médiocre, persos osefs, des features réutilisés jusqu'à l'écœurement total, mal rythmé, skill tree qui sert à rien), il a réussi à me dégouter définitivement de la licence, et quand je vois ce qu'ubisoft veut en faire à l'avenir...mon dieu
noukous J'ai commencé Valalala (6h de jeu pour l'instant), incroyablement beau comme tous les AC mais je dois avoué qu'il est moins captivant alors que Origins/Odyssey te scotch dés que tu prend la manette.
Déjà les super pouvoir et l'aspect fantaisie ont ruiné l'aspet historique que j'apprécie dans la saga. je ne comprend pas ce choix tant ça tue l'immersion.
l'aspet rpg est trop poussé et empêche de jouer l'assassinat. (je joue les AC en difficile et ça amplifie le souci malheureusement). Poussé les dégâts critiques limite le souci mais il arrive toujours un moment ou ça foire.
Les combats sont trop répétitifs, et étant en grèce antique, où est passé le bouclier? Tout les pnj en on un sauf notre perso..
Visuellement c'est très inégale, parfois sublime, et à d'autre moment presque moche. je trouve les asset de vegétation plutot loupé dans cet épisode.
Il y a également un gros manque de variété dans les décors, c'est très grand, et on a souvent l'impression de voir les même chose.
Pour le reste les batailles ne servent à rien, les combat de navire sont bien plus limité que dans black flag, le culte et les mercenaire: long chiant et répétitif.
J'ai bien aimé la tentative de poussé l'exploration, mais c'est vraiment timide et le joueur est toujours trop tenu par la main.
Et niveau histoire je l'ai trouvée vraiment pas prenante, et celle dans le présent digne d'un gros nanar.
Comme tu l'as indiqué, c'est l'aspect trop rpg où il faut se spécialiser qui a ruiné mon plaisir. Le côté assassin a été mit de côté. Déjà qu'il l'était un peu dans Origins, ici, c'est plus poussé. Je me demande si Ubisoft n'aurait pas voulu avoir son 300 version AC.
Visuellement, je ne serais pas aussi critique mais je n'ai pas vraiment eu de surprise. J'ai eu la sensation d'avoir déjà parcouru le même monde ailleurs. Bon après, c'est la Grèce, il ne fallait pas s'attendre à quelque chose qui tranche comme l'a fait son prédécesseur.
Pour les batailles navales, je n'ai pas plus apprécié que cela mais je doute qu'on aurait eu quelque chose de similaire à Black Flag sachant l'époque où ça se situe. Je me suis ennuyé mais je comprend pourquoi. Je pense que c'est une feature qui n'aurait pas du être implémentée. Ça casse trop le rythme.