Voici maintenant la 3ème partie de mes articles sur le côté obscur des magical girls et maintenant nous allons parler de Creamy Mami
Creamy Mami, c'est l'histoire d'une gamine de 10 ans qui pour avoir sauver un royaume magique reçoit en cadeau un item magique lui permettant de devenir adulte et l'utilise pour devenir une idole.
rien de sombre ou particulièrement mature au premier abord, mais comme toujours dans les magical girl, il est nécessaire de creuser un peu.
Non passerons sur les nombreux panty shot que le Joueur du Grenier avait remarqué car ils se limitent au premier épisode (et au dernier où on a la petite Yu dans son bain)
Non, l'aspect sombre de Creamy est plus pernicieux.
Yu ne devient pas une idole car c'est son rêve, elle le devient sur un quiproquo.
Elle a été confondu avec une idole devant se produire dans un lieu public.
Et la raison pour laquelle elle n’arrête pas, c'est qu'a cause de son succès inattendu, la boite de prod de l'idole qui devait se produire a fait un coup de Poker et investi de l'argent dans Creamy Mami alors qu'elle ne bossait pas pour eux et qu'il ne savait même pas qui elle était.
On est donc face à la vie d'une gamine forcé de 10 ans de faire un travail qui lui déplait pour empêcher des adultes ayant voulu être trop cupide de se retrouver ruinés.
Et est ce que le boulot d'idole est montré comme un boulot de reve? Non loin de là, la série profite de son ton comiques et des diverse sub intrigues détournant l'attention du public pour aborder tout les problèmes du boulot d'idole.
tout y passe:
-Les fans excessif à la limite du harcèlement
-les rivalités entre idole
-le fait que dès qu'elle fait plus vendre, une idole est totalement abandonné
-les paparazzi ne laissant aucune vie privée aux idoles
-l'échec scolaire et l'épuisement dû au fait que pour une adolescente c'est juste un rythme de folie.
-la tentation de faire des photo sexy(un grande quantité d'idole au japon finissant par faire des photo sexy voir du porno, le plus important c'est d'être sur le fil du rasoir)
-le fait que Mami n'a pas réellement le droit à une vie, elle doit correspondre à l'image que ses fan ont d'elle.
Bref, non seulement Yuu fait un boulot qui lui déplait mais en plus le boulot lui pourrit la vie
Surtout que Yu est amoureuse de Toshio, mais Toshio n'a d'yeux que pour Creamy Mami, elle est donc sa propre rivale qui détruit ses chance d'être avec le garçon qu'elle aime.
En effet, Et là nous allons aborder l'autre aspect sombre de la série. Yuu est totalement manipulé par sa mascotte Pino Pino qui l'exploite tout a la faisant chanter.
Pino Pino est un extra terrestre venant de Feather star, un monde magique. Yu avait par hasard Feather Star et avait été attiré dedans où elle avait battu un dragon attaquant le royaume.
Le pouvoir de Yu de devenir adulte était supposé être une récompense et la seule condition pour ne pas le perdre est que personne ne la voit, sans quoi elle sera coincé sous une forme adulte.
Sauf qu'au milieu de la série, Pino Pino ne tient plus le même discours.
Yu n'a pas été attiré par hasard, Pino Pino avait besoin que Yu pour que Feather Star continue d'exister. Feather star se nourrit de bonheur et c'est Creamy lors de ses concerts qui alimente Feather Star. Mais ça, il ne l'a pas dit à Yu
Il l'a donc piégé pour qu'elle accepte son pouvoir et la contrainte est en fait une menace pour qu'elle n’arrête pas.
D'ailleurs Pino Pino n'accepte pas non plus que Yuu abandonne, quand elle fait cela à la moitié de la série quand Toshio découvre son identité. Pino Pino efface les souvenirs de ce dernier contre la volonté de Yuu et la force a recommencer en sortant un bobard sur les responsabilités de Yuu.
Au passage, Pino Pino en bon salaud qu'il est recommencera a faire des crasses à Yu au dernier épisode. Yuu au cours de la série a gagné en maturité, elle a commencé à aimer son travail, à vouloir vraiment aider sa boite de prod et sachant que ses pouvoirs vont disparaitre, veut faire un concert d'adieux a ses fans.
Mais Pino Pino débarque 24 heures en avance pour récupérer les pouvoir de Creamy alors que le concert allait commencer, l’empêchant de donner son concert d'adieu.
Et là il ressort le même discours qu'au début de la série comme quoi les pouvoirs étaient un cadeau donné pour un an et qu'elle doit les rendre.
A croire que son but c'est que Yuu soit malheureuse.
Cette façon d'agir pour un extra terrestre ayant besoin de l’énergie d'une magical girl, ça ne vous rapelle pas quelqu'un?
Et oui, Kyubey de Madoka.
Il est clair que Kyubey est inspiré de PinoPino. et je ne serait pas surpris que Mami porte ce nom dans Madoka en l'honneur de Creamy Mami
Bref vous l'aurez compris, Creamy Mami parle en fait de manipulation et qu'il est facile de manipuler les enfants et qu'il faut être prudent. Yuu a été naive et est prise dans un engrenage où elle n'a aucune liberté. Que ce soit le métier d'idole qui est tout sauf le reve qu'imaginent les gamines ou bien la magie où elle n'est qu'un outil n'ayant pas le droit d'avoir son libre arbitre.
Ce n'est d'ailleurs que quand Yuu n'aura plus de magie qu'elle pourra vraiment vivre sa vie et éventuellement commencer une carrière d'idole où elle ne sera plus le jouet d'autrui (ce qu'elle fait dans les OAV où elle est au collège)
Et en fait, on peut penser que la série denonce sa propre production.
C'est Creamy et Minky Momo(lancé la même année) qui ont ont véritablement donné un véritable aspect marketing au magical girl en introduisant les item magiques et en mettant systématiquement des mascottes pour faire des jouets.
De plus la production avait choisi une neophyte pour jouer Yuu et lui faisait chanter les chanson de la série dans de nombreuses emission pour lancer sa carrière en temps qu'Idole.
Il est possible que le réalisateur et le scénariste n'ait pas été content de voir le marketing interferer avec la créativité et aient voulu le denoncer
La première puella, c'était donc elle et non Jeanne d'Arc !!
Je ne connaissais pas le titre. L'article donne envie de découvrir même si je ne suis pas fan du rétro si il n'y a pas la nostalgie.
Cela dit je trouve que Puella Magi Madoka est un anime extrêmement bossé, unique et vraiment superbe pour celui qui appréciera le design.
zilwaine
Attention, tout de même en essayant la série. les aspect obscurs que je décrit de la série ne sont pas ce qui ressort en premier en la regardant, il est même fortement possible que cet aspect passe totalement inaperçu quand on ne regarde pas la série de façon analytique tel un adulte tant ces aspect sont utilisé pour des gags et caché par l'histoire d'amour principal. hurri
J'ai aussi oublié une dernière partie à l'article qui rend la série encore plus pernicieuse.
La série parle d'entités manipulant les enfants naifs pour leur profit et de tout les aspect pas joli du métier d'idole.
Et pourtant c'est avec Minky Momo(sorti la même année) le premier magical girl a exploiter la naiveté des enfants au travers d'un marketing intensif, des mascottes mignonne pouvant faire des peluches et different gadget pour utiliser la magie pour vendre des jouets.
De plus, le studio d'animation avait prit pour jouer Yuu une neophyte et lui faisait réellement chanter les chanson de la série et lui faisait faire des apparition dans des emissions afin de lancer sa carrière en temps qu'idole.
Vous vous rendez compte à quel point c'est pernicieux. On est face à une critique de systeme, du marché de la japanime. La mascotte manipulatrice n'est autre qu'une analogie à la production
Je ne connaissais pas le titre. L'article donne envie de découvrir même si je ne suis pas fan du rétro si il n'y a pas la nostalgie.
Cela dit je trouve que Puella Magi Madoka est un anime extrêmement bossé, unique et vraiment superbe pour celui qui appréciera le design.
Attention, tout de même en essayant la série. les aspect obscurs que je décrit de la série ne sont pas ce qui ressort en premier en la regardant, il est même fortement possible que cet aspect passe totalement inaperçu quand on ne regarde pas la série de façon analytique tel un adulte tant ces aspect sont utilisé pour des gags et caché par l'histoire d'amour principal.
hurri
J'ai aussi oublié une dernière partie à l'article qui rend la série encore plus pernicieuse.
La série parle d'entités manipulant les enfants naifs pour leur profit et de tout les aspect pas joli du métier d'idole.
Et pourtant c'est avec Minky Momo(sorti la même année) le premier magical girl a exploiter la naiveté des enfants au travers d'un marketing intensif, des mascottes mignonne pouvant faire des peluches et different gadget pour utiliser la magie pour vendre des jouets.
De plus, le studio d'animation avait prit pour jouer Yuu une neophyte et lui faisait réellement chanter les chanson de la série et lui faisait faire des apparition dans des emissions afin de lancer sa carrière en temps qu'idole.
Vous vous rendez compte à quel point c'est pernicieux. On est face à une critique de systeme, du marché de la japanime. La mascotte manipulatrice n'est autre qu'une analogie à la production