Et oui, encore un article HS mais je souhaitais partager un avis, une critique sur l'emploi de la part d'un homme sur son blog, JCFROG de son pseudonyme, qui mérite réflexion avec les membres de Gamekyo.
Je tiens à dire, sur le sujet que je n'ai pas d'avis positionné, avant qu'on me fasse tel ou tel remarque.

Je suis exaspéré. Si, si
Je n’entends parler que d’emploi. C’est devenu l’étalon or, la justification absolue, le fourre tout. Pas une émission, pas un discours politique sans que cela ne dirige les débats. On se moque de l’intérêt des choses, on ne compte que les emplois. Et en plus on compte mal, souvent on ment.
J’ai 45 ans, je suis né en 68, année de certains rêves. Je suis à peine plus vieux que le 1er choc pétrolier, je n’ai entendu au cours de ma vie que des encravatés me dire qu’ils se battent pour la croissance et l’emploi. Et je n’ai jamais connu que le chômage de masse et la décroissance de mon environnement.
Reconnaissance Social
On a besoin d’argent pour vivre, soit. On a besoin de faire des choses pour s’épanouir, je le pense. Mais quel rapport avec l’emploi? Pourquoi est-il si profondément ancré en nous que c’est une valeur? J’ai bien une idée mais là on va tomber dans le subjectif et je voudrais être consensuel aujourd’hui
Restons en donc aux faits. Qui pourrait dire qu’un employé de nos armuriers qui travaille pour un gras salaire sur les mines anti-personnelles ou les armes biologiques est plus utile à la société que Mr René, chômeur senior sans espoir de retour à l’emploi et qui passe son temps a donner du soutien scolaire à nos enfants.
Notre société nous éduque à la nuire
Je suis ingénieur, on m’a donné un diplôme qui sans me protéger de tout me donne toutes le chances. Et je m’en suis servi: j’ai tout. En tout cas j’ai tout ce qui pour moi fait une vie bien privilégiée, je ne souhaite rien de plus. Quand je regarde mes amis ingénieurs, l’immense majorité travaille, comme moi il y a peu, pour des grosses boites et mettent leur « génie » au service d’empires économiques sans avoir la moindre maîtrise de ce qu’ils font et pourquoi ils le font. Quand tu penses que des ingénieurs travaillent à l’obsolescence programmée, et on nous dira qu’il n’y a pas de sot métier.
Il y a 2 ans ma femme et moi avons pris une décision un peu folle: tout larguer pour aller s’installer au bord de la mer. La chance a été de la partie: un ami m’a offert un emploi de rêve, je travaille de chez moi sur des choses que j’aime. Le pied absolu.Cela n’empêche que je me suis posé beaucoup de questions à cette époque sur ce que j’allais faire de ma vie. Je débarquais dans un environnement de rêve mais quitter un boulot stable de cadre en région parisienne pour aller s’enterrer au fond du Morbihan, ce n’était pas très responsable en terme de carrière
J’ai encore des proches qui croient que j’ai fait ça pour faire plaisir à ma Dame. Ils n’imaginent pas que c’est moi qui ait eu l’envie, celle de changer d’air, de quitter ce cirque insensé où je fanais.
Lorsque je suis arrivé, tout à mon émerveillement, j’étais plein d’envies, de volonté de faire quelque chose de bien. J’ai pensé à 10 000 trucs pour mettre mes modestes connaissances au service de la commune, de l’école, du collège, des vieux, et le constat est simple: à chaque fois que je pensais à quelque chose d’utile à la société, c’était impossible de pouvoir en vivre. Et tous les trucs qui me semblaient avoir une chance de marcher étaient au mieux inutiles, plus souvent nuisibles, donc hors de question.
Pourtant il y en a des choses à faire pour booster la société. Pour ne parler que de mon domaine, les développeurs pleins d’envies et de générosité sont légions. Ils sont capables de grandes choses. Ceux qui ne connaissent pas ce monde n’imaginent peut être pas à quel point ils sont capables d’aider la communauté dans tous les aspects de la vie quotidienne.
Mais toute cette énergie, toute cette puissance est mise au service de la marge à 2 chiffres. L’immense majorité de ces artisans du futur finiront dans de tristes gratte-ciels à développer une technologie rentable pour les actionnaires, parfois nuisible, en tout cas éloignée de toute considération pour l’intérêt général. Un seul coupable:
l’emploi et donc la soumission comme unique perspective de revenus. Je sais, il existe aussi des entrepreneurs. On en parlera peut-être une autre fois
Tant qu’on nous éduquera dans l’espoir d’avoir « une belle situation » (entendez « grassement payée », pas « noble métier »), ça ne risque pas de bouger.
Etre ingénieur ce pourrait être beau. Innover, inventer pour libérer les hommes du travail abrutissant, ce serait grand, le faire pour pousser massivement les gens au chômage, c’est une honte. J’entendais récemment Fleur Pellerin déclarer tous sourires numériques déployés que «
les petits emplois c’est fini, on ne peut pas rivaliser avec les pays émergents, il faut développer les hautes technologies et les emplois hautement qualifiés ». Ah oui? C’est une ministre socialiste qui nous chante ça? Et on fait quoi des gens « non qualifiés », tout le monde à la poubelle? Concrètement oui, c’est bien ce que nous faisons. Et comme les dirigeants sortent exclusivement des zones « qualifiées », on continue le massacre dans des rêves illusoires de formation professionnelle qui vont élever le bon peuple.
Émancipation
J’ai travaillé 17 ans dans l’automatisation de tri postal. De merveilleuses machines qui mettent tellement de postiers au chomage. J’ai toujours eu l’utopie de la machine qui libère l’homme, mais le temps a passé et j’ai bien du me rendre compte que tout mon travail ne participait qu’au bénéfice exclusif de mes patrons, et au mien bien sûr. J’ai vraiment cru que ça changerait, que la révolution numérique mettrait un peu de temps à être comprise mais après toutes ces années pas l’ombre d’un début de prise en compte de cette nouvelle réalité: l’emploi disparaît.
Tout ceci n’empêche que le bilan que je tire modestement de ma petite expérience de vieux (j’ai appris récemment qu’à 45 ans je passais professionnellement dans la rubrique senior) est raide: nous marchons sur la tête. Au prétexte de booster la Sainte Croissance qui seule saura apporter le bonheur aux petites gens, nous avons appris à être rentables. Méritants dit-on dans le jargon politique, ultime hypocrisie. Tout ça pour qu’au final des jeunes rêvent de devenir footballeur ou rock star de la télé réalité, tu parles d’un mérite.
Il faut se libérer de l’emploi, je ne sais pas si c’est par le Revenu de Base, le Salaire à vie, ou d’autres propositions mais il existe des pistes de réflexion dont on n’entend jamais parler chez Pujadas. On continue de gaspiller des milliards à subventionner des pans entiers de l’économie dont l’activité est in fine nuisible à la société, tout cela soit-disant pour l’emploi.
Si les bonnets rouges pouvaient vivre sans être « obligés » de nuire à l’environnement breton, il n’y aurait plus de bonnets rouges. Mais faut bouffer, et donc l’intérêt général se sera pour plus tard, encore une fois.
Voila, n'hésitez pas à aller voir son blog et à commenter ici et labas 
de Boris Vian, extrait :
- Pourquoi sont-ils si méprisants ? demanda Chloé. Ce n'est pas tellement bien de travailler...
- On leur a dit que c'était bien, dit Colin. En général, on trouve ça bien. En fait, personne ne le pense. On le fait par habitude et pour ne pas y penser, justement.
- En tous cas, c'est idiot de faire un travail que des machines pourraient faire.
- Il faut construire des machines, dit Colin. Qui le fera ?
- Oh ! Evidemment, dit Chloé. Pour faire un œuf, il faut une poule, mais, une fois qu'on a la poule, on peut avoir des tas d'œufs. Il vaut donc mieux commencer par la poule.
- Il faudrait savoir, dit Colin, qui empêche de faire des machines. C'est le temps qui doit manquer. Les gens perdent leur temps à vivre, alors, il ne leur en reste plus pour travailler.
- Ce n'est pas plutôt le contraire ? dit Chloé.
- Non, dit Colin. S'ils avaient le temps de construire les machines, après ils n'auraient plus besoin de rien faire. Ce que je veux dire, c'est qu'ils travaillent pour vivre au lieu de travailler à construire des machines qui les feraient vivre sans travailler.
- C'est compliqué, estima Chloé.
- Non, dit Colin. C'est très simple. Ça devrait, bien entendu, venir progressivement. Mais, on perd tellement de temps à faire des choses qui s'usent...
- Mais, tu crois qu'ils n'aimeraient pas mieux rester chez eux et embrasser leur femme et aller à la piscine et aux divertissements ?
- Non, dit Colin. Parce qu'ils n'y pensent pas.
- Mais, est-ce que c'est leur faute si ils croient que c'est bien de travailler ?
- Non, dit Colin, ce n'est pas leur faute. C'est parce qu'on leur a dit : « le travail, c'est sacré, c'est bien, c'est beau, c'est ce qui compte avant tout, et seuls les travailleurs ont droit à tout. » Seulement, on s'arrange pour les faire travailler tout le temps et alors ils ne peuvent pas en profiter.
- Mais, alors, ils sont bêtes ? dit Chloé.
- Oui, ils sont bêtes, dit Colin. C'est pour ça qu'ils sont d'accord avec ceux qui leur font croire que le travail c'est ce qu'il y a de mieux. Ça leur évite de réfléchir et de chercher à progresser et à ne plus travailler.
Je n'ai jamais été aussi heureux et sentis libre que lorsque j'ai été au chomage aussi il y a quelques années. Quand on regarde le système d'un point de vue extérieur, quand on a cette chance, oui on se rend compte que quelque chose ne tourne pas rond, on se rend compte comme ce système bousille a vie des gens, à tout niveaux, ces pauvres gens qui tentent de survivre de manière précaire au jour le jour, alors même qu'il gagne parfois 2 à 3 mille euros par mois, mais suivant les régions (comme l'IDF) ce n'est pas suffisant.
Ce système tel que mis en place par les les 300 familles les + riches du monde, un système où tout un chacun qui ne fait pas partie des leurs n'est qu'un numéro et considéré moins que l'ombre d'un chien, il devient libérateur de comprendre qu'on peut vivre une vie autrement que celle qu'ils nous ont choisis et ce dès notre naissance.
Heureusement, d'ici une vingtaine de mois, le système va se transformer d'une telle façon, qu'il sera offert à tous et pour tous, de quoi vivre décemment, et à profusion sans que nous n'ayons plus aucun besoin de se lever le matin aux aurores pour accomplir notre labeur qui n'est en rien évolutif mais bien au contraire, qui nous empeche de vivre heureux et d'être nous même, de jouir de la vie comme on aurait du en jouir depuis longtemps si le système tel que nous le connaissons aujourd'hui n'avait pas été fabriqué de toute pièce afin d'uniquement nourrir ces 300 familles richissime et qui détiennent la quasi intégralité des richesses de ce monde.
Ok !!!! *ziiip... fap fap fap fap fap
On voit bien que la logique au départ et avant tout de l'évolution des machines était mis en avant par le fait qu'elle pourrait libérer l'homme des tâches difficiles, ou du moins pénibles.
La logique actuelle et la situation dans laquelle nous dirigeons est la suivante:
De plus en plus de jeunes sortent avec plus de diplômes qu'autrefois, il y a donc moins de gens sans grandes formations intellectuels.
En suivant ce fil, on verrait donc qu'avec l'évolution des machines, moins de gens sans formations seraient nécessaires, et donc d'une certaine manière, les trous sont comblées.
Or, l'évolution des machines est trop rapide et il y a encore trop de gens sans formations, d'où les chômage.
Tout en considérant en plus que rien ne garantit avec les diplômes au métier stable.
Pour ma part je suis en école d'ingé en formation NRJ et environnement. Je n'ai pas encore commencé à travailler que je considère déjà que JAMAIS je ne voudrais être cadre toute ma vie. J'aime bien dire que je finirais boulanger, ça fait toujours rire ^^.
On voit bien que plus de les gens serons diplômes, moins le prestige et les salaires serons élevées. D'où cette contrainte/peur pour ma part.
bonus: Quand je vois le nombre d'offres de stage pour faire du lean management, ça me dégoûte.
Part 2 tout à l'heure suivant vos questions, ou si ça vous intéresse
popomelon >
Mais pourquoi la branlette directe ?
Plus sérieusement je vais lire ton pavé, je ne l'ai pas encore lu
C'est un tournant majeur qui s'annonce pour l'histoire même de notre humanité.
Nous allons nous rendre compte à quel point ces gens qui tiennent le système nous ont volés nos vies et l'ont utilisé sciemment pour leur propre bénéfice.
A la barbe et au nez de nos gouvernements, un collectif, dont les médias font tout pour ne pas en parler évidemment, à décidé d'ici peu de donner à tout à chacun qui le souhaitera de quoi vivre dans l'abondance la plus totale, afin de rendre à chacun la liberté fondamentale de sa vie !
Ce collectif constitué d'hommes et de femmes souvent très riche ont travaillé d'arrache pied sans même qu'aucun d'entre nous ne puisse se douter de quoique ce soit, pendant 10 ans avant d'arriver à mettre en place ce qu'ils ont décidé de faire pour tous.
L'Etat français est déjà au courant de son existence mais tente par tout les moyens de faire péricliter ce projet (mais il n'y arrive pas malheureusement pour lui tant absolument TOUTE les précautions ont été prises pour que ce collectif arrive à sa fin !)
Que l'on me croit ou pas n'a pas d'importance, le plus important est d'espérer que ce que je vous partage sois vrai et de croire en le meilleur qui est entrain d'arriver pour nous tous.
popomelon > J'ai lu tes 2 commentaires et je suis tout à fait d'accord avec toi ! Cependant je remarque que tu parle souvent des "300" et pas que sur ce sujet. Mais c'est qui ces 300 ? Et comment tu peux être sûr de la révolution qui se créera dans les 20 mois ?
link80 > J'ai lu ton commentaire et ton point de vue (celui d'un étudiant) est intéressant
Il n'y aura pas de révolution, en tout les cas pas comme l'aurait souhaité nos gouvernements (contrairement à ce que l'on pourrait croire)
Quant à ses 300 familles les plus riches bah... c'est les 300 familles les plus riches du monde
Je ne sais que te dire de plus dessus sinon t'inviter à aller regarder ce que tu y trouveras sur google. (bien que tu risques malheureusement de vite tomber ensuite dans les sites complotistes)
Sinon j'avais vu un docu sur arte (je crois) qui parlait de Goldmen Sacks, tu devrais le retrouver car ça rejoint un peu l'histoire de tes grandes familles.
nicolasgourry >
"Mais, alors, ils sont bêtes ? dit Chloé.
- Oui, ils sont bêtes, dit Colin. C'est pour ça qu'ils sont d'accord avec ceux qui leur font croire que le travail c'est ce qu'il y a de mieux
POOOPOOO PUNCHLINE tout est dit je crois
Mais bon, maintenant garde en tête qu'un jour prochain, si tu t'accroches au peu de temps de galère qu'il te reste à vivre dans ce système, tout le meilleur te sera donner pour vivre la vie exactement comme tu l'entends et sans a avoir de compte à rendre à personne.
Il ne reste plus beaucoup de temps avant que tout cela arrive, alors juste patientons et observons la façon dont les illusions multi-séculaire dans laquelle nous ont plongés (et forcé à vivre) ces magiciens d'OZ de talents vont tomber...
Nous sommes à la porte de grandes surprises !
Parole "État d'âme"
L'aube se lève grise et sale
Sur la sinistre cour pavée
J'entends résonner sur les dalles
Les bidons tristes du laitier
C'est toujours quand cinq heures sonnent
Qu'on réveille les condamnés
Les feuilles des arbres frissonnent
Il va bien falloir y aller
Aï aï aï
A l'heure où les croissants sont chauds
Je n'ai pas l'âme d'un bourreau
De travail
A l'idée de l'éxécuter
J'ai le moral en marmelade
Si le travail c'est la santé
Tous mes copains en sont malades
Faites-le mettre à la torture
Par ceux qui en font leur régal
Bien au chaud sous mes couvertures
Je ne le toucherai pas d'un poil
Aï aï aï
A l'heure où l'on boit l'apéro
J'n'ai toujours pas l'âme d'un bourreau
De travail
Si j'dois l'abattre sans pitié
Avant d'abandonner mon lit
J'voudrais bien voir changer la vie
Dans la nouvelle société
J'voudrais voir les flics au boulot
Les tenants du grand capital
Les P.D.G. les généraux
Goûter aux cadences infernales
Aï aï aï
Ce n'est sans doute pas de si tôt
Que j'aurai l'âme d'un bourreau
De travail
Allez moi aussi je terminerais avec cette parole du grand sage et philosophe Raoul Vaneigem, propos de l'éducation nationale (à votre avis pourquoi elle a été crée et pour qui?
Raoul Vaneigem, philosophe comtemporain, sur l'éducation...
“Il n'y a pas d'enfants stupides, il n'y a que des éducations imbéciles.
Forcer l'écolier à se hisser au sommet du panier contribue au progrès laborieux de la rage et de la ruse animales mais sûrement pas au développement d'une intelligence créatrice et humaine.
Dites-vous que nul n'est comparable ni réductible à qui que ce soit, à quoi que ce soit.
Chacun possède ses qualités propres, il lui incombe seulement de les affiner pour le seul plaisir de se sentir en accord avec ce qui vit. Que l'on cesse donc d'exclure du champ éducatif l'enfant qui s'intéresse plus aux rêves et aux hamsters qu'à l'histoire de l'Empire romain. Pour qui refuse de se laisser programmer par les logiciels de la vente promotionnelle, tous les chemins mènent vers soi et à la création.”
“Ne permettez plus que les hommes politiques stigmatisent l'insupportable violence faite aux individus alors qu'ils la suscitent sciemment, dès l'enfance, vulgarisant, au nom de la rentabilité, un élevage concentrationnaire où, parqués de vingt-cinq à trente par classe, les écoliers se trouvent crétinisés par les principes de compétition et de concurrence, soumis aux lois de la prédation, initiés au fétichisme de l'argent, confits dans la peur de l'échec, infestés par l'arrivisme, livrés à des fonctionnaires amers et mal payés, moins enclins à nourrir la curiosité des jeunes générations qu'à se venger sur elle de leurs infortunes.”
“C'est une oeuvre de longue haleine que d'enseigner l'indépendance, de la soutenir par une affection dispensée sans réserve, d'ôter la peur de soi et de promouvoir en chacun cette créativité qui est la vraie richesse humaine.
La mutation de civilisation à laquelle nous assistons, a plongé dans le désarroi une multitude de gens si accoutumés d'être assistés, guidés, gouvernés, qu'ils ne conçoivent d'autre changement d'existence que le choix d'autres jougs.”
"Le système scolaire est à revoir on donne la peur de ne pas savoir au lieu d'enseigner l'amour de la connaissance ,en fait il est très simple de comprendre que ce conditionnement n'a qu'un objectif faire de vos enfants de bons et loyaux sujet ou mouton obéissant et ne remettant jamais en cause le système marchand dans lequel ils deviendront esclaves.
Et le meilleur levier pour en arriver là est la peur ,de l'échec de pas savoir ,obéissance dans une relation de soumission par la note,une relation de maître a esclave dés le plus jeune âge feront que tout petit ils diront amen a tout ce que l' on implantera sans jamais remettre en cause le mode de pensé dominant ,sous peine d' exclusion et de marginalisation !
Obéir deviendra une seconde nature ,et à force d'obéir on obtient des réflexes de soumission"
Libérés des chaines involutives des contraintes financières telles que nous l'avons vécu pour la plupart, c'est alors la liberté même de vivre notre vie telle que nous n'avions même plus oser rêver la vivre qui se manifeste.
C'est ce qui nous attends tous, bientôt... alors wait and see !
http://newscript.over-blog.com/article-attendre-109960703.html
jeanouillz ouais ça fait plaisir aussi de pouvoir échanger des choses un peu plus "terre à terre" que le jeu vidéo c'est sur !
Je vais sûrement bien me plaire ici
Je n'ai pas encore lu tout le texte, mais en tout cas l'émission "ce soir ou jamais" est l'une, voir la meilleure, émission sur les différents débats politique, économique et surtout social, que l'on puisse trouver sur le PAF selon moi.
Non sérieusement sinon il n'y a rien sur internet qui ne mentionne ce que j'ai dis. Désolé j'ai aucune preuve à te donner que ce que je te dis soit vrai. Tu verras par toi même de toute manière !
http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=a2cT95S3dC8
Ce sont les élites même qui parasitent le système et qui te force à avoir la vie que tu as qui t'ont convaincu qu'un personne qui ne travaille est un parasite !
Et puis quel parasite? Tu n'es pas sans savoir que si tu te retrouves au chomage, ce que tu touches comme allocations EST ce que toi tu as cotisé (et non le voisin!) donc en quoi serais tu un parasite puisque c'est un DROIT que tu as de pouvoir vivre avec un minimum d'argent que l'on te redonne après que tu l'aies mis de coté?
Travail vient du mot latin "tripalium" qui désignait un outils d'immobilisation et de torture.
Le mot travail est lié à une personne qui souffre.
Gloire à toi Elite du monde, et vive le nouvel ordre mondial!
On va pas se mentir hein trop de gens profite du système et ne branle rien j'en connait des tas et crois mois qu'ils n'ont pas envie de bosser rsa alloc la vie est belle mois je me casse le cul alors désolé si je te parait agressif mais tes grands discours me font pisser de rire mec j'ai des yeux et je vois les abus
Mais alors toi tu est à l'ouest je suis la france d'en bas mec je suis éboueur et j'ai aucune gloire à tafer mais je suis heureux de ne pas profiter du système comme beaucoup trop le font et oui j'ai plus de mérite à me lever tôt le matin est gratter toute la journée qu'un salopard qui touche le rsa est les allocs et qui branle rien et pour défendre ce genre de comportement faut vraiment être un bon à rien
Je t'écris un peu au hasard ce qui me vient dans ma plume, j'en serai bien content si en quelque sorte tu pouvais voir en moi autre chose qu'une espèce de fainéant. Puisqu'il y a fainéant et fainéant qui forme contraste. Il y a celui qui est fainéant par paresse et lâcheté de caractère, par la bassesse de sa nature, tu peux si tu juges bon me prendre pour tel.
Puis il y a celui qui est fainéant, le fainéant bien malgré lui, qui est rongé de l'intérieur par un grand désir d'action, qui ne fait rien, parce qu'il est dans l'impossibilité de rien faire, puisqu'il est comme en prison dans quelque chose, puisqu'il n'a pas ce qu'il faudrait pour être productif, parce que la fatalité des circonstances le réduit à ce point ; un tel ne serait pas toujours lui même ce qu'il pourrait faire, mais il le sent par instinct : pourtant je suis bon à quelque chose, je me sens une raison d'être !
Je sais que je pourrais être un tout autre homme !
A quoi donc pourrais-je être utile, à quoi pourrais-je servir ! Il y a quelque chose au-dedans de moi, qu'est-ce que c'est donc !
Cela est un tout autre fainéant, tu peux si tu juges bien, me prendre pour tel !
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Et les hommes sont souvent dans l'impossibilité de rien faire prisonniers dans je ne sais quelle cage horrible, horrible, très horrible.
Il y a aussi, je le sais, la délivrance tardive. Une réputation gâtée à tours ou a raison, la gêne, la fatalité des circonstances, le malheur, cela fait des prisonniers.
On ne serait toujours dire ce qui enferme, ce qui mure, ce qui semble enterrer, mais on sent pourtant je ne sais quelles barres, quelles grilles, des murs.
Tout cela est-ce imaginaire, fantaisie ? Je ne le pense pas ; et puis on se demande : mon Dieu est-ce pour longtemps, est-ce pour toujours, est-ce pour l’éternité.
Sais-tu ce qui fait disparaître la prison, c'est une affection profonde, sérieuse. être amis, être frères, aimer cela ouvre la prison par charme très puissant. Mais celui qui n'a pas cela demeure dans la mort.
Mais là ou la sympathie renaît, renaît la vie.
Puis la prison quelque fois s'appelle : préjugé, malentendu, ignorance fatales de ceci ou cela, méfiance, fausse honte.
Juillet 1880.
Pour rappel Van Gogh n'a vendu qu'une seule toile (à prix modeste, quand on voit le prix d'une toile de Van Gogh aujoud'hui) durant tout sa vie.
haloman Nous sommes tous le fainéant de l'autre....
Par ailleurs j'ai aussi créé un groupe d'actu général pour Gamekyo, même si je poste pas souvent (pour ne pas "spammer" gamekyo)
haloman > tu as lu l'article ?
Comment peux tu accepter ça? Tu ne considères pas valoir mieux en tant qu'individu?
Ne crois tu pas que ce sont des gens comme toi qui devrait être payé à prix d'or pour les efforts qu'ils font et le travail difficile qu'ils font? Ne trouves tu pas injuste de voir un trader qui spécule sur la faillite d'un pays et s'en réjouis même parce qu'il va rapporter un max à sa banque gagner un salaire de malade le cul assis sur une chaise à cliquer sur quelques boutons qui décident du destins de la majorité des gens alors que toi pour tout ce que tu donnes à la société tu es payé une misère?
Et toi là dedans, où te situes tu?
Que crois tu que penserais de toi le trader en te voyant faire ton métier sinon te considéré comme un raté par rapport à lui?
Tu vois suivant le point de vue où l'on se place les choses ne sont pas si simple qu'on le pense.
Les formations ça existe!
Chui au greta pour preparer le concour d'ambulancier et j'ai foutu des boite de conserves en rayon pendant 6 ans ..
A 30 ans me suis remis en question et me suis bougé ca paiera peut etre pas je vais pas être pris peu être mais j'aurai essayé...
Mais ceux qui se plaignent je fait un métier de merde que j'ai horreur , en se bougeant il est possible de faire des formations des emt etc pour trouver sa voix , c'est pas facile mais c'est réalisable...
Moi je connais beaucoup de personnes avec ou sans diplômes qui cherchent de l'emploi, ou qui voudraient un meilleur emploi. Et si tu n'en connais pas, bah choisis mieux tes amis