Après un Demon's Souls qui de par la richesse de son gameplay, son background et sa direction artistique est définitivement pour moi LE jeu de cette génération je pensais que les autres jeux paraîtraient fades à côté.

Puis j'ai découvert Heavy Rain qui malgré les critiques envers lui ( personnellement je considère son gameplay comme une alternative au point and click comme le fait The Walking Dead) m'a vraiment bluffé et je me suis laissé immergé par cette "expérience" vraiment à part.

Pour la 3ème place de ce classement je pensais mettre Nier avec sa narration exquise et ses musiques à se faire damner mais cette semaine un autre jeu à pris sa place et il se nomme:



The Last Of Us qui m'a attiré lors de sa première présentation mais dont je n'envisageais pas l'achat Dééé Ouanee comme on dit ici mais après m'avoir fait goûter à de la plateforme déjantée sur PS1 avec les Crash Bandicoot, réussi à surpasser Mario Kart avec CTR et développé un des meilleurs jeux de plateforme de la PS2 avec Jak and Daxter je me suis dit que j'allais récompenser le travail de développeurs qui ne m'ont presque pas déçus et ainsi acheter leur dernier bébé.

Et là c'est la surprise de l'année! Explications.



Un des plus beau jeux de la PS3 assurément.
Si il reste inférieur à Uncharted 2 ou 3 les étalons de la console sa direction artistique ^rattrape largement les petits soucis d'aliasing ou de textures "foireuses".
Les décors visités sont cohérents, vivants et l'on prend plaisir à distinguer tous les petits détails à travers eux.



Les thèmes musicaux se font assez discrets et n'interviennent qu'à de rares occasions pour appuyer certaines scènes mais ils sont là et ils font mouche!

L'ambiance sonore par contre elle est bluffante.
Les lieux sont vivants et entendre le bruit du vent sur les arbres, les oiseaux qui chantent contribuent grandement au dépaysement que procure ce jeu.
Les personnages ne sont pas muets et tout au long de l'aventure les protagonistes parlent entre eux lors de notre exploration afin de renforcer le duo de ND.



Le gameplay quand à lui reste assez classique avec des commandes propres au TPS.
Le soft rajoute un côté survival avec le besoin de créer ses propres médics et autres bombes artisanales afin de survivre dans ce monde sauvage.
Toutefois contrairement à un TPS lambda il ne faut pas s'attendre à du shoot à tout va.
La progression se fait lente, les munitions rares si l'on ne fait pas attention et foncer droit devant conduira à un game over bien saignant



A titre énorme durée de vie énorme !
Etant du genre à bien fouiller les décors pour trouver les objets cachés tout le long du jeu il m'aura quand même fallu 19h30 afin de voir les crédits
Pour une personne plus "directe" je pense qu'il faut compter entre 16/17h de jeu ce qui est vraiment appréciable de nos jours.

Pour le scénario je vous dirais rien à vous de le découvrir

Le début de l'aventure parait assez redondant et prend deux bonnes heures avant de véritablement démarrer mais ce cap franchi cela monte crescendo à un point que lors des deux dernières heures je m'imaginais multitude de scénarios possibles et imaginables



Pour conclure je dirais que The Last Of US n'est pas un jeu mais une expérience.
Je dois dire chapeau à Naughty Dog qui ont réussi à me foutre une baffe à l'heure où tout le monde ne voit que la nouvelle génération de consoles.
Je ne peux que vous le conseiller le dernier chef d'oeuvre de ceux que l'on peut véritablement appeler

Le site Gamekult nous livre ses impressions sur un des jeux les plus attendus de l'année ( enfin pour ma part^^).

Ce nouvel opus part il dans la même lignée que les précédents opus ou bien cède t-il aux sirènes de "l'évolution" ? ( comprendre QTE inutiles, visée assistée et sonde anale avec option GPS).

La réponse dans les lignes qui suivent



A force de nous souffler le chaud et le froid, on ne sait plus trop quoi attendre de Hitman : Absolution. Avec une première apparition maladroite, une bande-annonce complètement idiote mais aussi quelques présentations largement plus réussies cette année, le jeu de IO Interactive semble vouloir nous séduire sans trop savoir comment s'y prendre.



S'il on a déjà eu l'occasion de prendre Hitman : Absolution en mains à plusieurs reprises depuis son annonce, cette version preview du jeu était notre première visite de son scénario en continu et dans l'ordre. De quoi nous donner une meilleure idée du rythme de ce début d'aventure en enchaînant cinq missions différentes, et de faire un premier jugement sur sa narration et la qualité de son histoire au passage. La première sortie de l'Agent 47 est en fait une reprise interactive du tout premier trailer cinématique du jeu et son didacticiel où l'on découvre les bases du jeu avec un déroulement assez linéaire. Le manque de latitude dans les décisions n'a rien d'étonnant pour cette phase d'apprentissage mais on apprécie tout de même que le jeu nous invite immédiatement à tenter de jouer discrètement, en évitant à tout prix de faire trop de vagues. Une bonne intention ruinée par un final qui passe sans nous laisser le choix par la case point shooting, le fameux système bullet time du jeu qui permet à 47 d'abattre des groupes entiers d'ennemis automatiquement en un claquement de doigts et au ralenti. Élégant comme un missile de croisière.



Cette introduction terminée, on retrouve heureusement un terrain plus connu - dans tous les sens du terme - puisque la seconde mission était un contrat tout à fait classique que l'on avait déjà pu découvrir en juin dernier. Notre assassin préféré est tout de suite beaucoup plus libre de ses actions dans ce type de mission où l'on peut s'amuser à chercher les meilleurs outils pour éliminer notre cible en toute discrétion. Bombe cachée sur la voiture de luxe, nourriture empoisonnée, chute cartoonesque d'un poids suspendu sur le visage, classique mais toujours efficace corde à piano, etc. ; les options ne manquent pas et si l'on se passerait bien des rappels du mode instinct (qui se sent obligé de nous pointer toutes ces possibilités du doigt), le fan de la série est plus ou moins à la maison. Ce premier assassinat est suivi par la prise d'assaut d'un hôtel envahi de portes-flingues où la progression était tout de suite un peu plus contrôlée, la liberté d'action généralement muselée pour ne pas sortir de la pièce dans laquelle 47 évoluait. Le rythme était ici assez inconsistant, avec des interruptions constantes d'une narration agaçante, et des choix imposés malvenus. La cible se trouve derrière une porte mais le scénario a décidé que l'on passerait par les conduits d'aération et il nous est donc impossible de faire autrement. Et n'allez pas nous dire que ladite porte était verrouillée, vu que 47 a crocheté la précédente sans problème.



Retour dans le connu pour la suite de l'aventure, puisque l'on enchaîne sur la fameuse mission dévoilée avec fracas à l'E3 2011. Il s'agit cette fois-ci d'un niveau à vocation cinématique dans laquelle notre liberté d'action dépasse rarement notre champ de vision. Il y est toujours possible d'y jouer l'assassin invisible... jusqu'à ce que le jeu décide du contraire en nous collant un hélicoptère surarmé aux basques. On passera sur les passages grotesques au ralenti et l'abus des éclairages saturés, c'est mauvais pour la tension. Berk. Pour finir, la dernière mission de cette preview nous fait traverser une enchaînement d'environnements différents avec des objectifs variés et pendant un bon moment. Plutôt bien construit, ce niveau nous amène à suivre des passages relativement dirigistes mais aussi d'autres beaucoup plus libres dans lesquels on retrouve très vite les bases de la franchise. La longueur de cette sortie permet aussi d'avoir un bon aperçu sur la variété des actions disponibles, qu'il s'agisse de faire de la grimpette, de balancer des objets pour créer des diversions, de se déguiser en tout ce qui passe et de remplir les frigos, armoires et poubelles de cadavres encore frais. Bien.



Déjà essayé plusieurs fois, Hitman : Absolution n'allait évidemment pas nous dévoiler trop de secrets de gameplay avec seulement deux réelles missions inédites. Le jeu de IO Interactive s'est par contre montré beaucoup plus bavard du côté de ses fonctionnalités secondaires. Le système de scoring, dont la mise en avant nous avait semblé si étrange lors de sa découverte plus tôt cette année, semble bel et bien être un aspect majeur du titre aux yeux de ses créateurs et son implication se ressent à tous les niveaux. La moindre action - du changement de vêtement au mitraillage décomplexé en public - a une incidence directe sur notre score, qui influera à son tour sur le déblocage de "techniques d'assassin". Dans les faits, il s'agit de bonus passifs aux aptitudes de 47, qui deviendra plus vif, capable de recharger ses armes plus rapidement, moins sujet au recul sur les rafales, etc. Pas sûr que ce soit le genre de chose qui fasse grimper les fans aux rideaux mais pourquoi pas, après tout.



Dans le genre découverte funeste, par contre, le système de sauvegarde par checkpoint va hérisser les poils de beaucoup de perfectionnistes dans le milieu de la discrétion. Il est heureusement possible de choisir le moment où l'on veut activer un point de sauvegarde (histoire de faire le ménage aux alentours avant, par exemple) mais ce n'est pas toujours utile dans les passages les plus linéaires du jeu. On se réjouit déjà à l'idée de recommencer des passages de plusieurs dizaines de minutes parce qu'on a raté une micro-action à la sortie. Autre aberration, il est maintenant possible de planquer les fusils comme n'importe quelle autre arme. La veste de 47 dispose apparemment de poches sans fond. L'impossibilité de crocheter les portes lorsque les gardes sont en alerte à certains endroits est de son côté simplement idiote : ils nous cherchent alors on ne peut plus sortir, logique. L'ergonomie globale du jeu nous a parue plutôt réussie, par contre, sauf du côté des sacro-saints QTE. Tout le monde adore marteler une touche pour étouffer une cible et jouer à Dance Dance Revolution lors des (horripilants) combats au corps à corps, n'est-ce pas ?



Ce nouvel essai du jeu a aussi été l'occasion de découvrir une ambition narrative exacerbée pour ce nouvel épisode de Hitman. La série a toujours été assez modeste, voire spartiate, à ce niveau mais Hitman : Absolution cherche clairement à nous en mettre plein les yeux. Dans le sens littéral du terme aussi d'ailleurs puisque l'éclairage cru à la Kane & Lynch y côtoie des lens flares par milliers. C'est un style. L'abus de cut-scenes et les interruptions occasionnelles du gameplay dénotent par contre d'un clair manque de maîtrise dans le domaine. L'histoire ne nous a pas du tout intéressée et la manière dont elle est amenée agace plus qu'elle ne captive. Une meilleure animation des visages n'aurait pas été de trop non plus, pour un titre aussi bavard. Le jeu semble aussi vouloir se montrer mature à tout prix en abusant d'une vulgarité crasse retenue à la toute dernière minute, comme un film d'action qui ne veut pas être interdit aux moins de douze ans. Le passage dans un strip club est particulièrement navrant à ce niveau, avec des répliques criantes de stupidité de tous les côtés. Finalement, les nonnes en latex seront peut-être dans le ton.

Bonne nouvelle pour ceux qui aiment le tir aux pigeons, jouer comme un bourrin à Hitman : Absolution est non seulement possible mais en plus complètement faisable sur PC. Même dans un lobby rempli de policiers suréquipés, 47 est capable de défourailler à tout va sans problèmes et d'envoyer tout le monde au tapis en rigolant. Le compteur de score en souffre immédiatement, ce qui invitera les élitistes à minimiser les victimes collatérales, mais on a vraiment été surpris de l'aisance avec laquelle il est possible de traverser les niveaux l'arme au poing en multipliant les headshots. Forcément, avec un système de couverture et une vie qui se recharge (partiellement mais en grande partie), il ne fallait pas s'attendre à trop de problèmes. L'utilisation du point shooting n'est même pas nécessaire pour se lancer dans le génocide, mais ça aide, surtout si l'on considère le taux de recharge très permissif de notre jauge de "mana". Tant que ce genre d'excès reste optionnel...

Là où cette pré-version PC de Hitman : Absolution met tout le monde d'accord, par contre, c'est sur le plan technique. Le moteur Glacier 2 est impressionnant : c'est très beau et très fluide, même avec des centaines de personnages à l'écran. Les effets de lumière ont beau être criards, ils sont aussi criants de réalisme. Square Enix a tout intérêt à rentabiliser ce moteur à l'avenir. Découvert à la gamescom cette année, le mode Contracts nous a une fois de plus paru très intéressant dans cette version preview. En deux ou trois clics, on se retrouve dans des bribes des niveaux de la partie solo pour choisir jusqu'à trois cibles, les exécuter d'une manière bien spécifique, opter pour une sortie et sauvegarder tout ça pour mettre le reste de la communauté au défi de faire aussi bien (ou mieux). Remplir ces missions permet au passage de remplir le compte en banque de 47, ce qui nous permettra d'acheter des armes et/ou des déguisements à utiliser dans l'histoire. Transformer la villa du didacticiel en mission d'assassinat hyper compliquée est aussi amusant qu'intéressant et permettra sans doute de prendre quelques bouffées d'air frais entre deux niveaux de l'histoire.

Tantôt réussie lorsqu'elle se replonge dans l'infiltration libre qui a fait les lettres de noblesse de la série, tantôt insupportable lorsqu'elle s'égare en QTE et autres scénarisations clinquantes, cette nouvelle preview de Hitman : Absolution n'arrive toujours pas à nous décider sur le sort du prochain bébé d'IO Interactive. On s'y amuse beaucoup à tourner en rond pour trouver l'approche qui tue (littéralement) puis des interruptions à base de mitraillage massif en bullet time et des bastons au corps-à-corps viennent s'écraser comme autant de cheveux sur le kebab pour ruiner l'ambiance. A force de nous faire tourner en bourrique, les développeurs d'IO Interactive pourraient bien créer la surprise avec leur titre, à condition de maîtriser leurs égarements (ou excès) en laissant le joueur décider de son approche du gameplay. Une fois de plus, le suspense est à son comble, et l'on se donne rendez-vous à la fin du mois de novembre pour avoir le fin mot de l'histoire.



Même si cette preview laisse planer le doute sur l'orientation de la série je reste optimiste pour que le Hitman Nouveau est la même saveur que les précédents opus

Rayman, le jeu qui dès sa première annonce s'est directement placé dans ma "Wishlist".

Après avoir bavé sur les trailers et les différentes captures du jeu, j'ai enfin taté la démo du jeu.

Alors Rayman is back?




Pour conclure je peux dire que pour l'instant Oui Rayman is Back!

J'ai été completement conquis par l'univers de ce jeu qui annonce du fun à l'état pur.

Si la durée de vie et la variété est au rendez vous alors ce sera un grand jeu et je pourrais dire un grand merci à Ancel qui nous montre sa passion du jeu vidéo et qui nous la transmet à travers ces oeuvres.

J'achete rarement DAY ONE mais je crois que celui va faire une exception.

Premièrement je décline toute responsabilité envers ce titre racoleur qui aurait pu mettre en transe certains fans trop sensibles
Cet article n'a pas pour but de troller mais d'entamer un débat que je présenterais en fin de ce test^^.

Oui, oui c'est possible mais pour cela il va falloir faire un petit saut dans le temps, en 1994 pour être plus précis, date de sortie d'un jeu nommé:


Derrière ce nom que George Lucas n'aurait renié pas se cache un Beat Them All de type Gargoyle's Quest édité par Sony Imagesoft qui se démarque par son gameplay différent des Castlevania de l'époque.



La principale caractéristique de ce jeu est le la possibilité de s'accrocher sur n'importe quelle surface à la manière de notre ami Spiderman pour pouvoir récupérer des items cachés ou tout simplement attaquer de cette position.



La progression se fait sous formes de niveaux que l'on parcourent pour arriver jusqu'au Boss qui nous délivera un nouveau pouvoir une fois vaincu.

Dash, attaque à distance..les pouvoirs sont assez variés et seront utiles pour franchir les niveaux qui augmentent en difficulté progressivement.





Pour casser un peu la "monotonie" des combats des séquences en Mode 7 sont présentes pour voyager d'un endroit à l'autre.



Je vous laisse une petit vidéo de gameplay pour apprécier le jeu.



Pour conclure Skyblazer est un excellent jeu que Sony aura contocté pour la super Nintendo et j'en amène à une question:

Sony et Nintendo définitivement fachés ou reviendront ils à leurs amours?

Perso je pense que le seul moyen de rapprochement est qu'une des firmes "coule" et que la deuxième par solidarité et fierté ( pour éviter le rachat par une société américaine) reprenne l'entreprise ou bien que l'une d'entre une devienne développeur comme Sega après la période Dreamcast.

J'arrive sur l'écran principal et là, premier choc l'héroine est en gros plan et la modélisation est bizarre, comme si les membres étaient détachés du corps, l'impression de voir Vectorman.
Enfin bref, je lance la démo et premier constat'est joli dis donc.
La patte graphique à un certain cachet; les couleurs sont vives, les animations et la modélisation des ennemis ..etc.
Avant d'avancer je fais un petit tour en arrière et je découvre un crâne rouge: il y a des trésors dénicher, au moins il va falloir fouiner un petit peu un bon point.

J'avance dans le niveau et je rencontre mes premiers ennemis, je fonce sur eux avec la touche de dash et commence à les taillader et un compteur de points s'affiche, je les envoye en l'air pour effectuer des combos aériens un multiplicateur s'ajoute: le jeu basé est basé sur le scoring sans aucun doute.
Je continue mon aventure et découvre plusieurs possibilités de gameplay: rebonds sur les murs, sauts sur la tête des ennemis pour atteindre de nouvelles hauteurs, succion de la vie pour regagner de la vie ou les transformer en bombe.

Je termine enfin le niveau et je reçois une note en fonction de mes performances.

Au final une bonne petite surprise pour ma part, le jeu est fluide, assez joli et agréable à jouer.
A surveiller en vue d'un test pour voir si le jeu ne s'essoufle pas sur la longueur et si les compétences évoluent avec le temps car les combos de base étant assez limités.

Petites vidéos de personnes pratiquant le Shamisen qui est mon instrument préféré.

Une japonaise qui joue magnifiquement bien.



Un de mes opening préféré au Shamisen par Kevin Kmetz qui demontre tout son talent.J'adore



Les Yoshida Brothers qui marient le Shamisen avec différentes sonorités.

Après avoir passé six heures sur la beta et atteint le niveau 20 je livre mes premières impressions.

N'ayant pas encore acheté Brotherhood je ne pourrais malheureusement pas comparer les deux multis.

Jouabilité

Les commandes répondent bien dans l'ensemble, les déplacements ne sont pas trop lourdauds ni trop rapides.La configuration est bien pensé, le maniement est instinctif, aisé à prendre en main.

Technique

Assez joli pour un mode multijoueur ( par rapport au solo j'entends), les maps sont vastes, très peu de clipping, même avec des passages remplis de foule pas un ralentissement ne se fait sentir.Quelques bugs de colllision sont présents ( se faire assassiner en plein saut de l'ange faut qu'on m'explique) mais dans l'ensemble c'est du très bon.

Online
Les serveurs sont très bon (une ou deux déconnexions mais cela reste une beta), on se retrouve dans une partie assez rapidement, pas de lag.
Point noir au niveau des groupes je n'ai pas réussi à rejoindre une partie après avoir créée une team et impossibilité de rejoindre la partie d'une personne qui joue déjà.
Du bon et du moins bon donc.

Intérêt

Les parties sont vraiment très agréables,les modes sont variés et funs, je me suis amusé durant ces sessions.La montée en EXP se fait assez rapidement et l'on peut personnaliser les personnages et les capacités en fonction de notre style.

Conclusion

Agréable surprise que cette bétâ malgré quelques défauts mineurs qui m'a donné envie d'acheter le Brotherhood sous peu

Petit moment choisi

Si j'avais su: Ma cible est repérée, je la suis discrètement et je la vois se diriger sur un personnage isolé.Elle n'aura pas le temps d'accomplir son méfait je la poignarde sauvagement .La personne sauvée se tourne vers moi et..... m'ecrase le crâne avec sa massue...et oui je venais de sauver mon assassin

Salut à tous.
Voila j'ai récemment acheté street 3 online sur le PSN et c'est un peu la douche froide -_-.

Si le jeu en lui même est toujours aussi bon de par son gameplay légendaire et de ses petits ajouts (défis , artworks...) niveau online c'est la misère:
-pas de recherches d'adversaires par zones (Europe..)
-10 min pour trouver un adversaire en classé

J'espère que Capcom va remédier à ça car c'est l'arnaque du mois pour moi.
J'aimerais avoir vos retours sur ce jeu si vous aussi vous avez craqué sous les trailers de Capcom que ce soit sur PSN ou XLA