Christopher Nolan a tout comprit sur comment terminer une saga. Donner lui votre fric en allant voir sont film .
Version longue :
Après deux excellent opus, Christopher Nolan livre une conclusion à sa vision de Batman. Et autant dire qu'elle est maitrisé. Le scénario est excellent, exploitant bien la personnalité parfois complexe des persos, et offrant également des bons rebondissements. Le jeu d'acteur est également très bon, et les perso sont pour la plupart franchement bien traité. Quand à la bande son, elle se fait quand même un peu discrète, mais bon, elle reste quand même vraiment très bonne (vu le compositeur en même temps...). Alors certes, le film n'est pas non plus parfait, il y a quelques longueur je trouve, le début a un peu de mal a démarrer, on voit peut etre pas tellement Batman et ya pas tellement de scène d'action. Cependant au final ont se rend compte que tout ça est en fait totalement cohérents avec le scénario. Autre défaut, la VF, qui est pas mauvaise du tout, mais je sais pas, je trouve qu'elle cloche. J'aimerais bien le revoir en VO. Ya aussi deux trois autres scène que j'ai trouver plus ou moins raté (comme le combat final contre Bane). J'avais aussi l'impression que Nolan avait du raccourcir certaine scène pour x ou y raison. Peut etre pas mal de scène bonus dans les DVD?
Sinon franchement du tout bon. Il ne respecte peut etre pas forcément le comics par moment, mais c'est pas vraiment un défaut. La fin risque de pas plaire a tout le monde, mais elle m'a tout a fait plus.
Bref, un excellent film. J'ai peut etre quand même un peu préféré The Dark Knight, mais alors pas tellement non plus.
Christopher Nolan a tout comprit sur comment terminer une saga. Donner lui votre fric en allant voir sont film .
Et oui, moi qui ne comptait pas m'acheter avant longtemps car je troll plus ou moins dessus (même si j'admet que c'est quand même un jeu sympa) et que ce que j'en avait essayer ne m'avais pas tellement convaincu, et parce que je n'aime pas trop le développeurs, et bien finalement, j'ai craqué...
J'ai péché, triplement péché, car je n'ai pas fait l'épisode original, que j'ai prit l'inferior version (encore que...) et tout simplement que j'ai acheter le jeu. Certains me dirons que j'ai fait le bon choix, d'autre que je suis faible.... M'enfin, pour 15€ neuf chez Game, au lieux de 50€, j'ai pas su dire non, surtout que ça a l'air d'etre quand même un jeu sympa (même si loin d'etre excellent pour ma part)...
Bon, plus qu'a squatter chez des amis pour me faire le XIII, parce que bon, si je peut éviter de mettre de l'argent pour le faire...
Voila, je viens récemment de me mettre à Breath of Fire 3, et ça m'a rappelé que le ça fait depuis quelques années que le 5ème épisodes de la saga m'intéresse, mais je n'ai jamais eu l'occasion d'y jouer (j'ai bien faillit me le prendre un jour, mais un autre jeu me tentait aussi beaucoup...).
Et je voulais savoir si il valait le coup, car je comptait essayer de le tester pendant les vacs.
Bon je suis pas un très grand connaisseurs de la saga. J'ai juste jouer une dizaine d'heures au 1 et 3 (et à peine tester le 2 et 4, qui m'intéresse pas mal aussi tout les deux), mais ce 5ème épisode me tente pas mal. Je sais qu'il change énormément des 4 autres épisodes (que ce soit niveau gameplay, graphismes, scénario ou univers) et qu'il à beaucoup divisé, mais je suis assez ouvert par le changement. De plus j'ai entendu dire que le scénario était quand même pas mal peu présent, mais quand même plutôt bien foutu. C'est vraiment le cas?
Et pour finir, il parait que la difficulté est extrêmement élevé, et qu'il est quasiment impossible de "finir le jeu du premier coup", et qu'il y a un systeme appelé SoL. J'ai pas trop capté en fait, ça permet de recommencer le avec notre niveau actuel à tout moment en fait?
Ah et au passage, l'univers de la série est toujours le même? Car je croyais que c'etait un univers différents, mais il semblerais que non (a par pour le 5) et que l'on retrouve parfois certains perso
(Déjà, avant de commencer, mettez cette musique en route et lisez le test avec, elle résume parfaitement l'ambiance du jeu)
Il nous est tous arrivé, un jour ou l'autre, de faire des rêves. Pour certains cela arrive souvent, pour d'autre c'est au contraire rare. Et bien sûr, le sujet de ces rêves varient grandement en règle générale. On peut en faire des tout à fait normal, comme des très étranges. Tout dépend en fait de plusieurs facteurs.
Je vous rassure, je ne compte pas jouer les psychologues. En fait, ma seule intention est de vous présenter un petit jeu de 2005 développé sur RPG Maker par une seul personne appelé Kikiyama. Un jeu qui aura pas mal fait parlé de lui, et qui explore le thème des rêves, rêves pour le moins souvent bizarre, étrangement beau, ou au contraire terriblement malsain et glauque. Bienvenue dans l'univers de Yume Nikki...
Comme dit plus haut, Yume Nikki (Le Journal des Rêves) est un jeu sur PC créer avec RPG Maker version 2003 et sortie en 2005 dans une version incomplete, et développé par une seul personne appelé Kikiyama. La dernière version à être sortie (en 2007) est la version 0.10. C'est de celle là que l'on va parlé.
Bien que pas très connu au début (à part sur 2chan), le jeu a petit à petit gagné en popularité sur le net, et a eu le droit à des traductions en Anglais et Français entre autre. Le jeu à maintenant une assez bonne communauté de fan, qui est même à l'origine de fan game fortement inspiré du concept du jeu (les plus connu étant Yume 2kki(pas encore complet mais déjà bien fourni) et .Flow (que je vais rapidement me faire)).
Cependant contrairement à ce que l'on peut penser, ce n'est pas un RPG. En fait, c'est plus un jeu de "découverte" et d'exploration...
Mais avant d'aborder ce sujet, parlons d'abord un peu du scénario.
Ou plutôt du contexte du jeu.
On incarne une fille appelé Madotsuki, et on commence l'aventure dans sa chambre. Etrangement, Madotsuki refuse catégoriquement de sortir de la pièce : si on essaye d'ouvrir la porte, elle fera un non avec sa tête. Tout ce que l'on peut faire, c'est se rendre sur le balcon (ce qui est actuellement inutile), allumer la TV(qui ne capte aucune chaine), jouer sur la console (qui ne propose qu'un mini jeu pour le moins ennuyeux), aller s'assoir sur son bureau (ce qui nous permet de sauvegarder). En fait, la seule action utile que l'on peut entreprendre, c'est se rendre dans son lit et dormir, et ainsi se retrouver dans le monde des rêves, un monde aussi étrange que dérangeant...
Autant le dire direct, ici il n'y a strictement aucun dialogue. Les seules textes que l'on aura seront les instructions du jeu (donné en début de partie et que l'on peut relire à tout moment), et la description des différents "effets" que l'on trouvera. Aucun objectif ne nous est réellement donné (ou plutôt de manière très rapide et détaché) et c'est à vous de vous imaginer l'histoire.
Le gameplay se révèle très minimaliste. Le déroulement du jeu est résumé très simplement dans les instructions au début : Dormir, explorer, trouver des "effets", se réveiller(avec la touche 9, pour sauvegarder ou lorsque l'on est coincé), aller redormir, et ainsi de suite.
Pour être plus précis, dés que l'on va dormir, on arrive dans le monde des rêves. On commence sur notre balcon et ontdois retourner dans notre chambre, qui n'a pas changé, si ce n'est que le cahier sur notre bureau n'est plus là, ainsi que la console. Et cette fois, il est possible de sortir de la chambre, et de se retrouver ainsi dans un endroit appelé Nexus où se trouve 12 portes (plus celle de votre chambre). Chacune de ces portes vous mèneras à différents lieux, tous différents et plus étranges les uns que les autres. Ces lieux peuvent d'ailleurs vous emmener eux aussi à d'autres endroits, et comporte leurs lots de secrets.
Le but du jeu est de trouver les 25 "effets"(enfin 24, juste que les instructions sont comptés comme un effet), des sortes d'objets que l'ont peux équiper et qui ont différentes fonctions, plus ou moins utile. En fait, à part pour un effet, ont peux les trouver dans l'ordre que l'on veux sans avoir à utiliser d'autres effets. Il est tout de même fortement conseillé de chercher en premier la bicyclette (afin de se déplacer plus vite) et le couteau, qui permet de poignarder les différents habitants de cet univers.
Une fois tous trouvés, il faut alors se rendre dans le Nexus, les lâcher à terre (sous forme d'oeuf) avec la touche 5, et trouver la fin du jeu... Mmmh, je ne vais pas vous en raconter plus. Sachez juste que la fin est très bien caché et que la manière de l'atteindre est introduite de manière très discrète. Il y a de fortes chances que vous ayez à utiliser les solutions pour la trouver. En tout cas, autant dire que cette fin est particulièrement dérangeante, plutôt marquante (voir limite choquante) et qu'elle a de quoi donner lieu à de nombreuses questions et suppositions....
Cependant, résumer le jeu à cela serait une grosse erreur. Car le gros du jeu se résume à l'exploration. Il y a de nombreux secrets caché dans le jeu, et c'est là que les effets prennent leurs importance, puisqu'ils nous permettent de débloquer la plupart de ces secrets. Alors certes, il est possible de faire le jeu en ligne droites sans chercher ces secrets, mais croyez moi, ce ne serait que du pur gâchis tant ils se révèlent tous intéressant et participe à l'ambiance et au background si particulièr du jeu. Malheureusement, on regrettera que certains de ces secrets apparaissent de manières aléatoire, ce qui les rends parfois chiants à trouver (j'ai passer 1/4 d'heures à essayer de faire apparaitre Uboa, sans succès...).
Il n'y a aucun réel ennemis dans le jeu. A part les Toriningen (sortent de fille avec une tête bizarre qui nous téléporte dans une impasse, nous obligeant à nous reveiller pour continuer), tout les png sont inoffensifs. Ce qui est particulièrement malsain d'ailleurs, puisque l'on peut poignarder et tuer à peu prêt la totalité des PNG sans que ceux ci puisse se défendre ou autre (bon ils réapparaissent après mais bon). Il faut même le faire pour certains secrets. Et croyez moi, sortir le couteau, voir le png essayer de nous fuire, avant de pousser un cri lorsqu'on le poignarde, c'est particulièrement glauque.
Mais justement, c'est là que l'ambiance est franchement génial. L'univers est juste complètement bizarre, pouvant nous montrer à la fois des passages poétiques (le parc ou la maison de Poniko...), étrange (le monde des nombres, ou le monde néon), ou carrément glauque et super malsain (le monde des yeux par exemple). Il y a tellement de truc à découvrir que ce serait difficile de tout raconter. De plus cela gâcherait l'expérience du jeu.
Au niveau du reste... Les graphismes, bah c'est du RPG Maker, c'est à dire de la 2D façon SNES. Mais il faut avouer que ça participe grandement à l'atmosphère du titre. Pour l'ambiance sonore et les musiques, c'est le même constat, cependant ces dernières sont quand même de grande qualité et certaines sont vraiment belles, tandis que d'autres nous feront frissonner lors de certains passages.
Quant à la durée de vie, tout dépends de comment vous jouer. Perso je m'y suis mis hier soir et je l'ai finit cette après-midi en utilisant pas mal les soluces pour la moitié des effets (mais pas complètement). J'ai aussi chercher et trouvé quelques secret sans soluce, mais il m'en manque encore beaucoup. Disons que j'ai du mettre un peu moins d'une 10ène d'heures.
Si vous comptez faire sans soluce et en ligne droite, compter 15 heures, car certains effets sont très bien cachés et pas évidents à trouver. Rajouter le double pour les secrets.
Perso je vous conseille de faire le plus possible sans soluce, mais de l'utiliser quand même pour certains effets et secrets, car quelqu'uns sont franchement chaud à trouver (les cheveux-crottes par exemples) et comme dit plus haut, certains secrets apparaissent totalement au hasard.
Conclusion :
Plus qu'un jeu, Yume Nikki est une véritable expérience. L'univers, l'ambiance, les graphismes, les musiques, le gameplay... Tout dans ce titre est étrange, ce qui le rend difficile à décrire et lui donne un cachet véritable unique.
Plus jeu d'exploration qu'autre chose, tout est fait pour que l'on visite ces rêves étranges et malsains afin d'y dénicher par nous même ses moindres secrets. Et si le titre ne propose pas de réels scénario, on ne peut s'empêcher de se poser des questions sur le sens de tout ceci. L'ambiance est plus que particulière, et souvent malsaine, glauque, voir gore. De plus la fin, particulièrement marquante, n'arrange pas les choses et en laissera plus d'un complètement abasourdi.
Personnellement, il m'a aussi beaucoup rappelé Limbo. Même si le gameplay, les graphismes et l'univers sont totalement différents, ces deux jeux dégagent cette même sensation troublante qui nous met souvent mal à l'aise.
Bref un jeu à faire si on aime ce genre d'expérience. De plus il est totalement gratuit et facilement trouvable en anglais ou français (lien à la fin).
Désolé si le test est brouillon(en dehors de mes fautes habituelles). Je dois avouer que j'ai eu du mal à expliquer en quoi consiste le jeu. Il y a en à la fois peu de chose à dire dessus, et pourtant tellement ...
Pour finir, quelques screenshots que j'ai prit, ainsi que des musiques :
Votre jolie chambre.
Nasu, le jeu de la console dans votre chambre. Totalement inutile.
Le Nexus et les portes.
Certains décors sont étranges !
Le fameux couteau !
Vous pouvez tuer tout et n'importe quoi, même si c'est inoffensif.
Remarquez la "jolie" créature...
Un secret qui arrive de manière inattendu.
La chambre de Poniko, qui cache l'un des secret les plus célèbre du jeu.
Mais où descend t-on?
Je vous laisse deviner comment avancer dans cette salle ...
Les Toriningen, seules créatures pouvant vous posez des problèmes.
Certains environnements sont VRAIMENT bizarre.
Un endroit quelque peu étrange.
Un lieu qui est une grosse référence à un jeu culte de la NES.
Cela fait longtemps que la saga m’intéressait, mais malheureusement n'ayant pas encore de PS3, je n'avais aucun moyen de me faire le 1 et je ne voulais pas commencer par le 2. Finalement j'ai craqué, et je viens de me faire prêter le jeu(en attendant de pouvoir me l'acheter).
Et après 11heures de jeu, je dis juste : WOAW
Le T-RPG est un genre de jeu que j'aime beaucoup, mais malheureusement j'ai du mal à rester dessus et je fini par arrêter au bout de quelques heures. Le seul T-RPG que j'ai fait en entier (et quasi à 100%, si ont m'avais pas effacer ma partie à 294/300 ou 296/300 mission de faites è_é ) je crois, c’était mon premier jeu du genre, Final Fantasy Tactics Advance (et c'est pour ça que ce jeu restera toujours dans mon coeur, avec en plus le fait d'être mon premier FF avec Crystal Chronicles). Depuis, j'ai jamais fini un autre T-RPG, et pourtant j'en ai essayer pas mal, qui m'ont généralement bien plus, mais qui avaient du mal à me faire rester (ya que les Fire Emblem où je suis aller assez loin, et un peu Digaea).
Et c'est pour ça que j'avais quelques craintes avec la saga des Valkyria Chronicles.
Et putain la claque ! Ce jeu est une bombe
Comme dit plus haut, j'en suis à 11heures de jeux (11heures 18mins et 30 secondes en fait ), au mois d'Avril (chapitre 4 donc), avec toutes les missions des précédents mois de faites, toutes mes classes levels 8, une histoire d'un des membres de ma classe (Anisette) fini, et pas mal de d'autres trucs de fait. Et franchement j'ai du mal à décrocher
Les graphismes sont pas trop mal, et les images des persos, les CG ou les scènes animés rendent super bien. Le chara design est sympa (Anisette Aliasse ). L'OST, bah je savais pas que c'était le compositeur de FFXII en fait j'ai tout de suite reconnu à la musique des batailles, et franchement l'ost claque bien . Les voix... Bon je dois avouer que j'ai préféré faire un iso du jeu avec iso tool afin de mettre le patch undub --" Parce que bonjour l'horreur sinon. Et la durée de vie à l'air assez remplie ^^
Mais surtout, ce qui est juste énorme dans ce jeu, c'est le gameplay Les batailles sont juste kiffante quoi ! Un excellent mélange en T-RPG et jeux d'action (limite infiltration) Franchement on ne s'ennuie pas. En plus la difficulté est super bien réglé, et pas du tout rebutante (l'une des raisons de pourquoi j'accroche pas aux T-RPG). J'ai juste eu un game over lors de la mission d’escorte du Tank à la fin du chapitre 3 (et c’était parce que j'avais très mal commencer la bataille ^^", m'enfin elle était assez dure celle là).
Et puis même en dehors des combats ça reste pas mal Les interactions avec les membres de notre groupes sont sympa et rappel un peu les Social Link des Persona 3 et 4 ^^
Par contre, je dois avouer que je m'attendait à autre chose niveau scénar =/ Un truc plus mature et sombre quoi. A la place on se tape une sorte de gros shonen quoi. Et j'avoue que lors de la première heure, lorsque l'on découvre les différents perso, ma réaction a été "mais c'est quoi tout ces gros clichés O____O". Tu coup niveau scénar, ça commençait mal ^^"
Mais finalement ont s'y fait, les perso sont tous très bien développé, et malgré les clichés, ils se révèlent ultra attachant ^^ Bref c'est peut être pas aussi mature que attendu, mais franchement ça passe bien Et puis au moins, le thème du racisme est pas trop mal traité.
Bref un jeu que je vous conseille à 200% ! Un véritable coup de coeur En espérant que j'ai encore pas mal d'heures de jeux devant moi En tout cas, maintenant le premier épisode se propulse direct dans les jeux Day One que j'aurais quand j'aurais la PS3 A moins que j'arrive à me le faire chez un ami à moi, mais ça risque d'être dur =/
Dommage que Sega n'ai jamais sorti le 3 hors du Japon, va falloir se contenter du patch anglais ...
J'étais entrain de parler de cet anime avec quelqu'un, et du coup ça m'avais donné envie de me revoir l'op. Et je suis tombé par hasard sur une vidéo du début et de la fin du combat final, ce qui m'a rappeler que cet anime avait pour moi le meilleurs épisodes final que j'ai vu
Rien qu'avec le début on se dit "Fuck, ça va être épique ". Et puis cette musique ! Et le combat n'est pas en reste (bon c'est pas dans la vidéo, mais le coup d'utilisé des galaxies en tant que frisbee, c'etait quand même osé ). Bon certes, c'est abusé et brouillon par moment, mais c'est justement ce qui faisait le charme de cet anime. Et la fin du combat, avec l'opening qui démarre, nous faisant comprendre que là, ça rigole plus
Et puis la fin de l'anime en elle même est juste géniale, et plutôt triste (j'ai beaucoup plus été touché par la mort de Nia que par celle de Kamina).
Depuis j'attends toujours une saison 2 (car quand ont regarde bien le début du premier épisode ont retrouve pas ce passage de tout l'anime (Simon qui a pas la même voix , ce qui me fait demander si c'est la même personne, l'hamster en humain que l'on ne voix pas dans un combat dans le reste de l'anime ...) M'fin apres ce n'est qu'une impression que j'ai ^^"
Bref, mon anime préféré apres Mawaru Penguindrum
Et puis cette OST de malade aussi :
(d'aileurs si ya quelqu'un qui a le nom de la version du début du dernier épisode ^^" )
(de Asakim )
(de Momotaros )
(Je crois que je vais me le revoir durant les vacs )
Le nom du compositeur de Bravely Default, le prochain RPG de Square-Enix sur 3DS, est tombé. Il sagit de Revo, du groupe Japonais Horizon Sound. L'OST devrait sortir le même jour que le jeu.
Revo sortira également des singles de musiques inspiré par le jeu (mais qui ne se trouverons pas dedans). Le premier single sortira le 22 Aout pour 1200 yen, et on peut également voir dessus un artwork avec les 4 personnages principaux du jeu. Je ne sais pas si le 4ème personnages avais été dévoilé, mais il me semble que non...
Finalement avec un peu de retard, j'ai enfin reçu le mail de Nintendo et pu rentrer mon adresse. De quoi m'évité de leurs demander ce qu'il se passait x)
Donc si vous aviez pas reçu aussi le mail, aller regarder, ça se trouve il est arrivé
A l'occasion de l'E3, Gamekult a interviewé Warren Spector (Deus Ex, Epic Mickey) à propos de Epic Mickey 2.
Une interview assez intéressent, même si personnellement le personnage m'a plutôt surpris O_o
"A l’occasion de l’E3 2012, nous avons pu rencontrer Warren Spector, le célèbre créateur de Deus Ex. L’inénarrable game designer assurait la présentation de la suite d’Epic Mickey, Disney Epic Mickey : Le retour des héros et ce qui devait s’apparenter à une classique démo s’est finalement transformé en Epic Interview...
-Gamekult : Bonjour...
Warren Spector : Bonjour. Je vous en prie, prenez place. Vous avez fait Epic Mickey ? C’était un bon jeu. Je suis très fier de ce jeu. Il y a plein de bonnes choses dedans. Mais s’il y a une chose qui est en dessous du reste, et tout le monde nous l’a dit, ce sont les caméras. Dans Epic Mickey 2, c’est simple, nous avons un tout nouveau système de caméra, qui suit le héros de manière beaucoup plus efficace. Je crois que c’est le meilleur système de caméra du monde. Parce que je ne sais pas si vous vous rendez compte, mais ceux qui critiquent la caméra d’Epic Mickey ne se rendent pas compte de la difficulté du sujet.
Je fais des jeux depuis longtemps, et je peux vous dire que dans n’importe quel jeu en 3D, l’aspect le plus compliqué, c’est TOUJOURS la caméra. Les gens ne s’en aperçoivent pas, mais je peux vous le dire. Lorsque j’ai fait Deus Ex, j’avais une chose en tête : donner le choix entre la force, la discrétion et le dialogue. C’était le cœur du jeu. Pour Epic Mickey, le cœur du jeu, ce n’était pas vraiment le choix, mais l’importance de l’amitié. Et ça prenait la forme d’un jeu de plateforme/aventure. Seulement, ce n’était ni un jeu de plate-forme, ni un jeu d’aventure. Mais les deux en même temps. Tout le monde m’a dit : ne fais pas ça ! C’est trop compliqué. Mais je le voulais absolument, alors je l’ai fait !
Ce qu’il faut savoir, c’est qu’un jeu de plate-forme et un jeu d’aventure répondent à deux logiques radicalement différentes. Dans un jeu de plate-forme, ce que vous voulez, c’est doser vos sauts. Vous avez donc besoin d’une caméra légèrement en hauteur, légèrement plongeante [il mime en mettant son bras à l’oblique vers le bas, coude relevé]. Pourquoi ? Parce que si vous faites l’inverse, caméra en bas et qui pointe vers le haut, mais vous ne voyez plus où vous mettez les pieds ! Seulement, dans un jeu d’aventure, d’habitude le monde est plat. Ce que vous voulez, c’est donner la sensation d’envergure de votre univers, vous voulez des paysages impressionnants, des plans spectaculaires. Pour ça, vous avez au contraire besoin d’une caméra qui soit basse et s’ouvre vers l’horizon. Comme ça, vous avez un plan très large. Mais maintenant, si vous faites un jeu de plate-forme et d’aventure à la fois, comment vous faites ? Vous voyez, c’est impossible. C’est pour ça que dans Zelda les sauts sont automatisés. La caméra, c’est le plus dur.
Vous prenez n’importe quel jeu, et en trente secondes, je vous pète la caméra. Je vous le dis. N’importe quel jeu. Tenez, l’an dernier, il y a un jeu à très gros budget qui est sorti, un jeu adulte. A un moment, je me suis retrouvé... [il se lève d’un coup, fonce dans le coin de la pièce, et se roule contre le mur, tête en bas au niveau des pieds, jambes écartées et fesses en l’air. On échange un regard mi-hilare mi-halluciné avec les attachés presse et l’autre journaliste] ...je me suis retrouvé comme ça ! Et c’était un jeu à très gros budget ! [il gigote des bras et des épaules contre le mur, comme s’il était bloqué]. Je vous le dis, donnez-moi n’importe quel jeu, je pète sa caméra en trente secondes. [il se relève et retourne s’assoir, devant l’assistance médusée]...
Et compte-tenu de la difficulté du sujet, je trouve que mon équipe a fait un boulot formidable. Je ne dis pas que la caméra est parfaite, bien sûr, mais je dis qu’ils ont fait du super travail, quand on connaît les contraintes d’un jeu comme ça. Bien sûr qu’on peut critiquer. Mais comprenez-moi : j’aime mon équipe, et je veux que les gens sachent à quel point c’est difficile, et qu’ils ont vraiment fait un travail remarquable sur Epic Mickey.
Mais... c’est vous qui avez parlé des problèmes de caméra, personne n'a eu le temps de les évoquer.
Ah ? Ah oui, c’est vrai. Mince alors (hilare). Je suis vraiment le type le plus bête du monde. Vous n’avez encore rien dit et je vous assomme pendant 10 minutes à propos d’une critique que vous n’avez pas formulée ! (hilare encore)
Il y avait plein de bonnes choses dans Epic Mickey, mais s’il fallait critiquer, ce serait davantage le fait que la structure du monde était assez bancale, avec trois premières heures dans lesquelles les niveaux s’enchaînaient les uns après les autres, puis soudain, un overworld qui apparaît de nulle part et reste jusqu’à la fin du jeu.
Et un overworld minuscule en plus...
Oui, en effet... Je suis d’accord avec votre critique. Dites-moi : quelle partie avez-vous préféré, la première ou la seconde ?
La seconde, parce qu’elle correspondait davantage à un jeu d’aventure.
[il prend une grande respiration] Parfait ! Parfait ! Alors vous allez aimer Epic Mickey 2 ! On a cherché à reprendre la seconde partie ! Ouf, j’ai de la chance que vous ayez dit ça, j’aurais eu l’air bien bête sinon... L’aspect aventure est vraiment très important. On a vraiment cherché à reconstituer l’univers de Disney, à travers cette espèce de parc d’attraction cassé. Et Disney a adoré ça ! Vous saviez que dans Epic Mickey 2, tous les personnages auront leur propre voix ? Vous vous rendez compte ? Tous les personnages auront leur propre voix.
Dans Epic Mickey, ils parlaient le yaourt, au début je pensais que c’était la meilleure idée, mais je m’étais trompé. Là, ils auront tous une voix. Je crois que ne vous rendez pas compte. Un jeu vidéo va définir des voix pour des personnages Disney. C’est énorme, c’est grandiose. Un personnage comme Oswald a été inventé dans les années 20. A l’époque, les dessins animés, c’était du muet. Alors comment le doubler ? Nous avons mené un casting, et ça veut dire que l’acteur qui double Oswald dans le jeu va devenir le doubleur officiel d’Oswald. Vous vous rendez compte ? On fait un jeu vidéo, en 2012, et celui-ci influe à jamais sur la vision que les gens vont avoir d’un personnage créé dans les années 1920 ! C’est juste dingue.
Justement, l’un des aspects les plus surprenants d’Epic Mickey, c’était son timbre mélancolique très inattendu, très audacieux pour un jeu aussi grand public. On a un peu peur qu’il disparaisse dans la suite...
Je suis content que vous disiez ça. C’était très important pour moi d’apporter ce regard. Vous savez, je suis un fan de Disney devant l’éternel, un vrai Disney geek, et j’ai très longtemps réfléchi à ce que cela pouvait signifier, ce que je pouvais apporter à l’univers de Disney. Et figurez-vous que Disney a été très réceptif à ça, contrairement à ce qu’on peut croire ! Plus que quiconque, ils ont conscience qu’ils ont besoin de cette part de ténèbres pour mettre en valeur leurs héros, ils ont besoin de la méchanceté pour avoir des gentils... Bref, quelle était votre question déjà ? Ah oui. Donc pour vous répondre, oui, on garde cette dimension nostalgique dans Epic Mickey 2, elle est indispensable. D’ailleurs, vous serez attentif à la musique. Personnellement, j’adore la musique d’Epic Mickey. Je crois que c’est la meilleure musique qu’on ait jamais fait en dehors d’un Zelda... Non, je crois que c’est la meilleure musique qu’on ait entendu tout court, avec celles de Zelda. Les musiques seront très importantes dans Epic Mickey 2.
Vous parlez des problèmes de caméra. Lorsque nous l’avons interviewé, Michel Ancel confiait que Miyamoto avait critiqué celles de Beyond Good & Evil. Lors du développement d’Epic Mickey, qui était exclusif sur Wii, avez-vu eu l’occasion d’échanger avec Nintendo sur ce sujet ?
Très bonne question. Nous avons échangé sur plein de points avec Nintendo, pas forcément sur les caméras. Il faut savoir une chose. Au Japon, Epic Mickey n’a pas été édité par Disney, mais par Nintendo Japon. Vous vous rendez compte ? C’est énorme. Cela veut dire que nous avons échangé avec eux pendant des semaines et des semaines pour améliorer le jeu. Ces types-là sont des génies. Ce sont les meilleurs game designers du monde. On peut dire ce qu’on veut, mais ces gars savent comment on fait un jeu ! Cela a été une expérience extraordinaire. C’est pour ça que le jeu est sorti six mois plus tard au Japon. C’est la meilleure version. Grâce à cette expérience, on a appris plein de choses que l’on a essayé de mettre en pratique dans Epic Mickey 2.
Du coup, avez-vous eu l’occasion de discuter game design avec Shigeru Miyamoto ?
Oh... non. On s’est déjà rencontrés quelques fois, malheureusement nous n’avons jamais eu le temps de beaucoup parler. Vous savez tout le bien que je pense de Miyamoto. Pour moi ce type est une légende. Et pourtant il est si humble ! Je me souviens d’une fois, c’était à un E3 il y a un ou deux ans. Il faisait la démonstration du dernier Zelda, mais n’y arrivait pas très bien car il y a avait plein d’interférences dans la salle.
Quand il a fini sa présentation, on s'est croisé. Il avait l’air livide, il m’a posé la main sur l'épaule, et m’a dit d’un air très grave, très embarrassé : "it’s bad... it’s very bad... The wiimote won’t work.". Il se souvenait de moi ! Et quelle humilité dans sa voix ! Je me souviens qu’à cet exact moment où il a touché mon épaule, j’ai senti un fluide magique envahir mon corps et je suis instantanément devenu un meilleur game designer. (hilare) Depuis, cela fait plusieurs fois que l’on doit s’organiser un moment pour discuter ensemble, mais on n’y arrive jamais. Mais je ne désespère pas.
Merci, et merci mille fois pour votre passion, Warren.
Merci à vous. [Il nous sert la main]. Et maintenant, grâce à cette poignée de main, vous êtes désormais de meilleurs game designers !"
Voila, cette semaine, pas mal de personnes ont dit avoir reçu le mail de Nintendo pour donner l'adresse pour recevoir les pièce offertes aux acheteurs de Xenoblade Chronicles, The Last Story et Pandora's Tower.
Cependant j'ai toujours pas reçu le mail. Pourtant j'avais reçu les deux premiers mails me disant que je devait recevoir un mail lors de la première semaine de Juin pour donner mon adresse, mais que dalle. J'ai même regarder dans mes spams et fait une recherhe sur ma boite mail, mais toujours rien.
Suis-je le seul dans ce cas? Dois-je envoyer un mail à Nintendo pour leurs demander ce qui se passe? J'ai eu aucun problème pourtant avec l'artbook de Xenoblade
Bon j'ai fini le jeu hier : Un très très bon FPS/Horror par les créateurs de F.E.A.R, et ça se voit. Bref avis très rapide sur le jeu.
Bon les graphismes, c'est du début de la Xbox 360 et c'est franchement pas folichons, mais là n'est pas le point principal du jeu. ça reste tout a fait regardable ceci dit.
Niveau gameplay, c'est pas trop mal, le coup de ne porter qu'une arme et sympa, et les combats sont quasiment tous au corps a corps vu le peu de munitions qu'on peut avoir. Les armes sont nombreuses, et le jeu est assez difficile même en normal, surtout si on ne maitrise pas le systeme de parade (je me suis choppé une tonne de game over). De plus l'I.A est vraiment bien foutu (a croire que Monolith (pas confondre avec Monolith Soft) sont fort dans ce domaine)
Par contre gros point noir sur les phases d'enquêtes, franchement moyenne et pas assez bien utilisé. Il y avais de quoi faire un truc vachement cool mais c'est pas assez travailler.
Pour la durée de vie, le jeu est malheureusement court(une 10ène d'heures). C'est dommage mais bon, ça reste plus que certains FPS actuel. Cependant il y a pas mal de bonus a débloquer. En fait, chaque succès réussi permet de débloquer des trucs, comme des artworks ou autre. Franchement sympa, ça rend les succès plus attrayant.
Le scénario est bien sympa, et lorgne entre l'enquête policière et le surnaturelle, et le mélange est bien foutu. On retrouvera d'ailleurs de très très trèèèèèèèèèèèèèès nombreuses similitudes avec F.E.A.R 1, que ce soit au niveau de certaines idées du scénar ou de la mise en scène. Je pense surtout aux hallucination, qui sont limite par moment des copier/coller des apparitions d'Alma dans F.E.A.R dans leurs mise en scène. Cependant ce n'est pas du tout un défaut, loin de là, car ça le fait vraiment. Ajouté a cela une superbe ambiance sonore, et on a du très bon. Par contre autant prévenir direct, le scénario n'est pas complet. Je ne spoilerais pas, mais dites vous bien que a la fin, vous n'aurez même pas 1/4 du scénario résolu, et qu'on a plus de question qu'autre chose, donnant envie de se faire le deux A noté qu'il y a deux fin différentes, mais a par un minuscule petit truc, c'est exactement les mêmes.
Niveau flippe, c'est encore une fois comme dans F.E.A.R, a savoir que les ennemis en eux même ne vous feront pas vraiment toujours flipper (a la rigueur sursauté par moment). Cependant, les hallucinations et certains passages sont particulièrement stressant et flippant. Je pense par exemple dans le maasin le passage avec les mannequins qui nous entourent d'un coup, ou l'avant dernier chapitre dans la maison, que j'ai vraiment trouver stressant
Niveau défaut, disons que j'ai été un peu déçu dans le sens où je pensait que ce serait une vrai enquête, genre avec d'autres flics, poursuites de plusieurs suspect, plus de meurtres différents et autres, mais c'est plus un FPS horror normal plutot. Mais bon, pas très grave. Pas contre, on remarquera quelques bugs graphiques qui ne gène pour la plupart pas la progression. Cependant, il est possible de se chopper un sale bug (celui là http://www.jeuxvideo.com/forums/1-10421-8117-1-0-1-0-bug-boss-final.htm ) lors du dernier combat du jeu qui nous empeche de prendre une arme, nous obligeant a nous farcir le dernier boss avec seulement des coup de pieds(bien dur), ou a recommencer le dernier chapitre(bien chiant). Perso j'ai eu ce bug, et j'ai du faire la premiere solution, et c'est quand même bien dommage...
En bref, un très bon jeu. Peut être pas aussi exceptionnel et flippant que certains le disent pour ma part, mais un très bon jeu, assez bien stressant par moment et avec un bonne mise en scène ! Quelques défauts quand même, et un méchant bug pour le boss final cependant =/
Bref place au deux maintenant
Les plus :
-Bonne mise en scène et ambiance sonore
-Histoire et personnage interessant
-Quelques passages franchement bien réussi
-Gameplay très sympa et bonne difficulté
-I.A des ennemis réussi
-Systeme de succès assez interessant avec pas mal de bonus a débloquer
-De nombreux emprunts a F.E.A.R, et dans le bon sens
-Stressant et assez flippant par moment...
Les moins :
-Mais pas non plus le plus flippant qui existe
-Phases d'enquêtes moyennes et pas assez poussé
-Deux fins quasi pareils
-Réalisation moyenne
-Un méchant bug qui peut intervenir durant le boss de fin
Maintenant le petit achat du jour assez logique pour 5€50 (8€ plus 2€50 de réduc) :
Voila, j'etait entrain de jouer a ce très bon jeu qu'est Condemned à l'instant, et je crois en être vers la fin du jeu.
J'en suis au chapitre 10, contre un type avec des pics en fers dans le dos qui faut battre plusieurs fois d'affilé. Bon les deux premières fois aucun problème et tout. Et là, j'arrive a la 3ème partie. Je me retrouve sans arme, et vers moi il y a une trousse de soin, un tuyau de canalisation et une planche en bois.
Pas de probleme avec la trousse de soin, cependant impossible de prendre l'une ou l'autre des deux armes : je vais dessus, ça me dit d'appuyer sur A pour la prendre, mais j'ai beau appuyer, je la ramasse pas, je bouge pour essayer de voir si ça va mieux, mais toujours là même chose...
Est-ce un bug? Parce que bon, c'est vachement pas pratique, et j'avoue que j'ai un peu de mal a me farcir ce type avec seulement des coup de pieds ...
Merci d'avance pour les réponses ... (en tout cas, si je le fini ce soir, j'irais me prendre le 2 demain )
Voila, je parlais du groupe avec un membre du site hier, et on se disait que c'est dommage que ce soit pas plus connu que ça ici.
Du coup, je me suis dis que j'allais faire un article dessus pour présenter
Supercell est un groupe Japonais de 11 membres formé en Décembre 2007 par un type appelé Ryo.
A l'origine, c'était un groupe de musique Doujin (amateur) qui ne faisait que des musiques avec Vocaloid (ils ont entre autres fait les très connus Melt, World is Mine, Black Rock Shooter et Love is War), cependant ils réalisent maintenant des musiques avec des vraies chanteuses.
Ils ont entres fait pas mal d'opening et d'ending pour des animés, comme par exemple l'ending de Bakemonogatari ou encore les opening et ending de Guilty Crown.
Personnellement, Supercell est un de mes (si ce n'est mon) groupes préférés, que ce soit Japonais ou non, et c'est pour ça que je tient a vous faire partager quelques musiques (je vous épargne celle de Vocaloid, je préfère en parler dans le groupe dédié) :
-Commençons par l'ending de Bakemonogatari : Kimi no Shiranai Monogatari :
-Le theme d'un OAV appelé Cencoroll (pas une musique chanté cependant, contrairement à l'ending de ce même anime)
Ensuite leurs musiques sur Guilty Crown :
-My Dearest (le premier opening) :
-Departures (le premier ending ) :
-The Everlasting (l'opening 2 (désolé de la qualité ^^") ) :
-Et Kohuhaku (le second ending ) :
-Euterpe (une musique apparaissant à quelque reprise dans l'anime) :
Quelques autres musiques du groupe :
-Hero :
-Good Bye Memories :
-Perfect Day (merci a Kenren de me l'avoir fait découvrir celle là )
Et finalement je fini avec ma préféré du groupe -L'ending de Cencoroll, Love & Roll *-* :
Depuis pas mal de temps, les jeux amateurs et indépendants commencent à avoir une place de plus en plus importante dans le paysage vidéoludique. En effet, c'est souvent dans ces jeux que l'on retrouve ce sentiment de créativité, de magie et de poésie qui semble petit à petit disparaitre des jeux des grosses boites. Il serait facile d'énumérer les perles amateurs tant elles sont nombreuses. Cave Story ou World of Goo seraient des bons exemples. Cependant, ce ne sont pas ces jeux là qui nous intéresses et dont je veux vous parler aujourd'hui. Non, aujourd'hui, je vais plutôt vous parler d'un jeu pour le moins étrange, un jeu qui risque de vous bouleversez pour peu que vous accrochiez à son concept.
Aujourd'hui, je vais vous parler de Limbo...
Sorti en 2010 sur Xbox 360, et en 2011 sur PC et PS3, Limbo est un jeu indépendant du Studio Playdead, et c'est d'ailleurs actuellement leur seul jeu.
Dans ce jeu, vous incarnez un jeune garçon qui doit retrouver sa sœur (dont il ne sait rien de son destin) dans un univers étrange et particulièrement dangereux, où la mort le guette à chaque instant.
Ici, pas de cinématique ou de dialogue. Dés le moment où vous commencez une nouvelle partie, le jeu commence. Autant le dire direct, il n'y a pas de scénario à proprement parler, tout du moins pas à première vu. Rien n'est dit directement, et il ne tient qu'à vous de vous imaginer les raisons de votre présence dans cet univers, et ceci jusqu'à la fin. Fin qui d'ailleurs pourras se révéler simpliste et décevante au premier abord, mais qui se trouve être en réalité beaucoup plus profonde et compliquer que ce qu'il n'y parait. Pour faire simple, ne vous fiez pas aux apparences. Personnellement, j'avais choisie la solution de simplicité, et après en avoir parlé avec un ami et vu des théories sur internet, autant dire que j'étais à coté de la plaque.
Et croyez moi que une fois que vous aurez réellement comprit dans quel sens les développeurs veulent qu'on réfléchisses à la fin, vous vous mettrez à voir le jeu très différemment, tant cette fin vous permettra de construire au final une histoire pour le moins bien fichu et plutôt émouvante et triste. Et ça, c'est quelque chose de vraiment cool.
Mais laissons de coté le scénario du titre (je risquerais par ailleurs de vous spoiler en plus) et parlons du reste.
Déjà, ce qui frappe avec Limbo, c'est ses graphismes. Le jeu mélange habilement le noir et blanc, ainsi que le gris et toute ses nuances. Les personnages et créatures ne sont pas du tout détaillés, et sont au final plus des silhouettes qu'autres choses. Ajoutez à cela des décors magnifiques mais qui se basent sur le même principe, avec un habile travaille sur les différents plans, et vous obtenez un style graphique pour le moins particulier. Style graphique qui ne manquera pas d'ailleurs de rappeler Coma, un jeu flash sorti le même mois(mais quelques jours plus tôt il me semble) et que vous pouvez essayer en cliquant ici. Cependant, bien que le style graphique se ressemble en grande partie, les deux jeux sont assez différents, et je ne me permettrait pas de parler de plagia ni pour l'un ni pour l'autre, juste d'une coïncidence (ou inspiration).
Et niveau gameplay, ça donne quoi? Et bien, ont peut dire que Limbo joue dans la simplicité dans ce domaine là. On se déplace avec le stick directionnel ou les touches fléchés, et le jeu n'utilise que deux boutons : un pour sauté, et un autre pour faire certaines actions, tel que tirer une caisse ou actionner un levier...
Simple, mais diablement efficace.
Limbo est un jeu de d'aventure réflexion de type "Die and Retry". Pour être plus précis, de nombreux pièges se trouve sur votre route, et vous allez très très souvent mourir sans forcément vous y attendre. Ceci vous permettra de vous rendre compte de l'emplacement de ces pièges et de réfléchir à un moyen de les éviter. Mais cette progression par l'échec n'est jamais bien frustrante, la solution étant souvent facilement trouvable une fois qu'ont a bien comprit le truc. Il est d'ailleurs très plaisant de voir à quel point ces pièges sont habilement bien placé : jamais totalement caché, mais jamais totalement visible la première fois.
Le jeu est assez dur, sans être impossible. On est rarement totalement bloqué devant une énigme, et ont avance sans trop de prise de tête. Enfin, c'est tout du moins le cas pendant la majeur partie du jeu, car les énigmes et pièges des derniers chapitres sont pour le moins tordus (j'ai dans mon cas pas mal regardé les solutions pour les 5 derniers chapitres du jeux). Néanmoins, les énigmes restent cohérentes et logiques.
En ce qui concerne la bande sonore, elle est, elle aussi, très particulière. Le jeu est dénué de vraie musique tout le long, et ont devras se contenter de bruitages et autres. Mais cela ne dessert aucunement le soft, bien au contraire, ça participe même plutôt bien à l'ambiance.
L'ambiance... Je n'en ai volontairement pas encore réellement parler bien que j'ai déjà fait un paragraphe sur le scénario. La raison est simple : l'ambiance de ce jeu est clairement son point fort !
A la fois malsaine, glauque, dérangeante, mais aussi étrangement envoutante, l'ambiance de ce titre risque bien de vous marquer. Je ne dirais pas grand chose afin d'éviter tout spoil, mais aussi car il serait bien difficile de décrire les sentiments dégagé par Limbo. Dites-vous juste que les nombreuses situations dans lesquelles ce pauvre garçon se retrouvera sont loin d'être belles. Les nombreuses manières de mourir sont pour le moins gore et malsaine, et certaines font vraiment froid dans le dos(je pense surtout à une mort en particulier, où on se met à marcher vers des piques sur un mur sans pouvoir s'arrêter). Surtout que avec le style graphique, ont a plus tendance à s'imaginer nous même les morts de façon réaliste.
Le jeu est interdit aux moins de 18 ans, et ce n'est pas pour rien. Il est tout de même possible de supprimer les effets gores dans les options, mais je vous le déconseille.
On à même parfois plus l'impression qu'on ne fait qu'envoyer ce garçon vers des morts de plus en plus douloureuses, et c'est vraiment un sentiment dérangeant.
Mais comme ont le dit si bien, rien n'est parfait, et Limbo ne déroge pas à la règle.
Déjà niveau durée de vie : le jeu dure entre 3 et 4 heures, ce qui n'est vraiment pas beaucoup. Il y a bien des succès (sous la forme d'œufs cachés à ramasser) qui rallonge la durée de vie, mais ça reste quand même bien faible. Et pour 15€, ont aurais aimé avoir plus quand même.
Autre défaut, mais plus personnel : j'ai trouvé la deuxième moitié du jeu moins bonne. Les énigmes étaient toujours aussi bien trouvé, mais l'ambiance se trouvait être plus en retrait, ce qui est quand même sacrément dommage. ependant, il restait quand même de très bon passages, et cette deuxième partie n'était pas non plus mauvaise.
Au final, que peut-on dire de Limbo?
Fort d'une identité graphique magnifique, d'une ambiance malsaine et envoutante, mais aussi d'un gameplay à la fois simpliste et ingénieus, c'est une petite perle de la scène indépendante, un jeu comme on aimerais bien en voir plus souvent. Bien que des défauts (prenant la forme d'une faible durée de vie et d'une seconde partie qui s'essouffle un peu par moment) soient de la partie, ces derniers ne lui font cependant que peu d'ombre et ne dois en aucun cas freiner l'achat.
Certes, 15 € est peut être un peu cher compte tenu de la faible durée, mais l'expérience en vaut la chandelle, mais si comme moi vous possédez une Xbox 360, vous pouvez obtenir le jeu pour 30€ dans le triple pack, accompagné de deux autres jeux ('Splosion Man et Trial HD).
Limbo n'est pas un simple jeu, c'est une expérience unique, qui risque bien de ne pas vous laissez indifférent.