Blague n° 132
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Un monsieur prend un taxi avec son petit garçon. Sur le parcours, le véhicule emprunte une rue mal famée tout au long de laquelle des prostituées arpentent le trottoir.
-Qui c'est, les dames ? demande le gamin.
-Je ne sais pas, répond le père gêné. Je ne les connais pas...
-Ce sont des putains, dit le chauffeur.
-Qu'est-ce qu'elles font là, les putains ?
-Elles tapinent, dit le chauffeur.
-Ça veut dire qu'elles attendent leur mari... ajoute précipitamment le père.
-Ah ! Elles ont un mari ?
-Elles en ont même plusieurs par jour, ricane le chauffeur.
-Alors, si elles ont beaucoup de maris, elles ont beaucoup d'enfants. Dis papa, qu'est-ce qu'ils font quand ils sont grands, les enfants de putains ?
-Ils deviennent chauffeurs de taxi, mon chéri.

Blague n° 131
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Trois hommes arrivent en même temps à la porte du paradis.
-De quoi êtes-vous mort ? demande Saint Pierre au premier.
-Je ne sais pas. Je passais dans la rue, et j'ai vu une superbe voiture rouge, toute neuve, garée. J'adore les belles voitures... Je me suis arrêté, je l'ai admirée sous tous les angles, et au moment où je posais la main sur la carrosserie pour la caresser comme un animal, le ciel m'est tombé sur la tête !
-Et vous ? dit Saint Pierre au deuxième.
-Moi, je venais d'acheter une voiture neuve. Un coupé rouge de toute beauté. Je rentre chez moi après l'avoir garée en bas, je vais jusqu'à la fenêtre pour la montrer à ma femme, et qu'est-ce que je vois ? Un type qui rôdait autour ! Quand il a mis la main sur la portière, la rage m'a saisi ! Pas le temps de descendre mes six étages, alors j'ai attrapé l'armoire et je l'ai balancée sur ce salaud ! Malheureusement, la boutonnière de ma veste s'est prise dans le bouton de la porte de l'armoire, et je suis parti avec.
-Et vous ? fait le portier au troisième.
-Moi, je n'y comprends rien. J'étais au lit avec ma maîtresse. Tout à coup la clé tourne dans la serrure : c'était le mari qui rentrait ! Alors je me suis caché dans l'armoire...

Blague n° 130
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Un homme se présente à un guichet de la Sécurité sociale.
-Quel est votre nom ? demande l'employée.
-Williams... sans P.
-Pardon ?
-Williams... sans P.
-Je ne comprends pas. Vous avez dit Williams...sans P ?
-C'est ça : Williams... sans P.
-Mais... dans Williams, il n'y a pas de P...
-Ça fait trois fois que je vous le dis !

Blague n° 129
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Le professeur est en retard, et les élèves de cinquième font un chahut épouvantable. Alerté, le surveillant général rapplique et trouve la classe sens dessus dessous.
-Qu'est-ce que c'est que ce chantier ? Qui a fait ça ? Je veux que les coupables aient le courage de se dénoncer, sinon vous serez tous punis !
Un élève lève la main :
-C'est moi qui ai lancé de l'encre sur les murs...
Un autre lève le doigt à son tour :
-C'est moi qui ai jeté de la craie dans le couloir...
Puis un troisième :
-C'est moi qui ai jeté du bois par la fenêtre...
A ce moment-là la porte s'ouvre et un gamin entre, couvert de poussière, les vêtements déchirés, les genoux en sang.
-D'où sort-il celui-là ? s'écrie le surveillant. Donnez-moi votre nom !
-Dubois...

Blague n° 128
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Le rédacteur en chef d'un magasine décide de monter un grand reportage sur la vie amoureuse des Français et il charge un jeune journaliste d'enquêter sur la fréquence de leurs rapports sexuels suivant les tranches d'âge.
Le reporter interroge d'abord un garçon de 20 ans qui lui dit : ''M.M.S.'' Puis un homme de 40 ans qui dit aussi : ''M.M.S.'' Vient le tour d'un sexagénaire qui dit également ''M.M.S.'', tout comme la dernière personne interrogée, un vieillard de 80 ans.
Alors le jeune journaliste fait son rapport à son rédacteur en chef.
-Patron, en ce qui concerne la fréquence des rapports sexuels, il n'y a aucune différence, quelle que soit la tranche d'âge. Ils m'ont tous répondu : ''M.M.S.''
-Ah bon ? Et ça veut dire quoi ''M.M.S.'' ?
-Heu...
Et sur ordre de son rédacteur en chef, il repart demander à chacun de ses interlocuteurs ce que signifient les trois initiales M.M.S.
Le garçon de 20 ans répond : ''Matin, Midi et Soir''.
L'homme de 40 ans répond : ''Mardi, Mercredi et Samedi''.
L'homme de 60 ans répond : ''Mars, Mai et Septembre''.
Et le vieillard de 80 ans répond : ''Mes Meilleurs Souvenirs''.

Blague n° 127
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Dans un saloon, deux cow-boys sont assis à une table. Soudain le premier dit à l'autre :
-Tu vois le type là-bas au bar ?
-Lequel ? Ils sont une douzaine.
-Celui qui boit du whisky.
-Ils boivent tous du whisky !
-Qui a une chemise a carreaux...
-Ils ont tous des chemises à carreaux !
-Attends !
Il sort ses deux colts et abat onze consommateurs. Un seul reste debout, hébété.
-Celui-là ! dit le cow-boy. Il a une tête qui ne me plaît pas...

Blague n° 126
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Une dame énorme, monstrueuse, avec des bajoues et un triple menton, arrive chez le médecin et lui dit :
-Docteur, j'ai très mal à la gorge...
-Nous allons examiner ça, répond le médecin. Ouvrez la bouche et faites : Meuh...

Blague n° 125
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En rentrant des champs, un paysan croise sur le chemin qui mène au village un homme très élégant qui le salue en disant :
-Eh bien, mon brave Mathieu, tu me reconnais pas ?
L'autre se frotte les yeux :
-Mais cré nom ! C'est le Françoué... Ben dis donc, mon gars, t'as l'air d'un monsieur...
-S'il te plaît, ne me dis plus ''Françoué''. Désormais on m'appelle François. Je suis parti comme tu le sais à la ville, et j'ai fait fortune, ce qui me permet d'avoir une vie de rêve. J'ai une maison magnifique. Le matin au réveil, je monte sur la terrasse. Puis je prends mon petit-déjeuner, j'appelle mon agent de change pour donner mes instructions pour la Bourse, je prends mon bain, je vais me promener. A l'heure de l'apéritif, je monte sur la terrasse. Ensuite déjeuner, quelque fois petite sieste sur la terrasse, coup de téléphone à mon agent de change pour savoir comment était la Bourse. Le soir, apéritif sur la terrasse, ensuite dîner, et puis s'il fait chaud, avec un beau ciel étoilé, je reste longuement sur la terrasse avant d'aller dormir. Tu vois que j'ai une vie plutôt agréable...
-Ben ça oui !... fait le paysan.
A peine rentré chez lui, il dit à sa femme :
-Marie ! Tu devineras jamais qui je viens de rencontrer ? Le Françoué !
-Et qu'est-ce qu'il devient, ce feignant de Françoué ?
-Ce feignant, comme tu dis, c'est devenu quelqu'un. D'abord, c'est plus Françoué, c'est François. Et sa femme, c'est plus la Thérèse, c'est la Terrasse...

Blague n° 124
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Un éminent astrophysicien, prix Nobel, fait une tournée de conférences dans les universités. Un jour il dit à son chauffeur :
-Édouard, j'ai une migraine épouvantable. Vous allez me remplacer.
-Mais, monsieur, c'est impossible ! Je n'y connais rien...
-Vous n'aurez pas besoin de comprendre quoi que ce soit. Voilà le texte intégral de mon exposé, vous n'aurez qu'à le lire.
Le chauffeur fait la conférence et tout se passe bien. Mais quand il a terminé, un étudiant lève la main.
-Professeur, il y a quelque chose que je n'ai pas compris: pourquoi la théorie de la relativité d'Einstein confirme-t-elle que l'univers est en expansion constante ?
Et le pseudo-conférencier dit :
-Jeune homme, la réponse est tellement simple que je vais laisser mon chauffeur vous la donner...

Blague n° 123 (une devinette, dans ce cas)
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Quel est le point commun entre un curé et un sapin de Noël ?
Spoiler :

Blague n° 122
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Un prédicateur américain, qui prétend faire des miracles, s'adresse à son auditoire.
-Alléluia, mes frères ! Prions le Seigneur pour qu'il guérisse nos frères qui souffrent ! Y a-t-il parmi vous quelqu'un qui voudrait être guéri par la prière ?
Un paralytique s'avance, appuyé sur ses béquilles.
-Quel est ton prénom, mon frère ?
-Tony. J'ai eu la poliomyélite quand j'étais petit...
-Tony, va derrière cet écran, nous allons prier pour ta guérison. Y a-t-il quelqu'un d'autre ?
-M... m... moi ! Je m'a... m'appelle Ro... Roro... Robert ! Je... je suis... bè... bè...
-J'ai compris, Robert, tu es bègue. Va rejoindre Tony !
Toute l'assemblée se met à prier, à chanter, à taper des mains, et au bout de 10 minutes, le prédicateur en transe s'écrie :
-Le Seigneur vous as entendus ! Tony, jette tes béquilles !
Et de derrière l'écran, les deux béquilles volent.
-Robert, parle-nous !
Et toujours de derrière l'écran, l'autre dit :
-To... To... Tony est tombé !

Blague n° 121
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Une famille a une véritable passion pour les histoires drôles. Et comme depuis des années ce sont toujours les mêmes, ils ont décidé, pour gagner du temps, de les numéroter. Ainsi, quand l'un d'eux en raconte une, il ne dit plus que le numéro et chacun se souvient de l'histoire.
Pour le repas de communion du gamin, toute la famille est réunie. Au dessert, le cousin dit :
-72...
Et toute la table hurle de rire.
-38 ! fait le tonton.
Les rires redoublent.
-14 !
C'est du délire.
Alors le communiant, qui ne comprend pas très bien de quoi il s'agit, mais qui veut faire comme tout le monde, se lève en criant :
-52 !
Et son père lui retourne une paire de gifles en lui disant :
-Je t'apprendrai à raconter des cochonneries le jour de ta communion !



Dans le même genre, j'en avais une autre:
Ce sont 2 membres de la même famille qui se racontent à nouveau des blagues...
-27 !
-Ha ha,pas mal... Eh, 18 !
-(rires) Ah oui : 27593 !
-Ha ha, je la connaissais pas !

Blague n° 120
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Revenant d'un rendez-vous à l'extérieur, un P.D.G. arrive au bureau et demande à sa secrétaire :
-Il y a eu des appels pour moi ?
-Un seul, monsieur.
-De qui ?
-Attendez... un certain Sanchez. Non... MacGregor ! Finalement je crois que c'était Werner... ou alors Rinaldi. Enfin je ne sais plus... Je n'ai pas bien compris le nom. On entendait mal parce qu'il appelait de loin.
-D'où ?
-Du Brésil. Ou plutôt des États-Unis, à moins que ce ne soit de Hong-Kong, ou peut-être de Suède. Mais ça pouvait aussi venir d'ailleurs...
-Et qu'a dit ce correspondant ?
-Ça, je m'en souviens, monsieur. Il a dit : ''Si votre patron ne me rappelle pas dans l'heure qui suit, je fais mettre sa boîte en faillite et lui en prison !''

Blague n° 119
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L'institutrice a demandé à ses élèves de faire une rédaction illustrant un proverbe. L'un a fait un récit montrant que ''l'union fait la force'', l'autre a pris comme thème ''qui rit vendredi dimanche pleurera'', etc.
En rendant les copies, la maîtresse dit d'un ton sévère :
-Toto, tu t'es moqué de moi ou quoi ? Je lis ta rédaction :
Hier en me promenant le long de la rivière, j'aperçus soudain un caca vert. Tiens, me dis-je, c'est Albert qui a mangé des haricots verts. Puis je vis un caca noir. Tiens, me dis-je, c'est Édouard qui a mangé du caviar. Ensuite je remarquai un caca jaune. Tiens, me dis-je, c'est Jacquot qui a mangé des abricots. Je ne continue pas plus loin, fait la maîtresse scandalisée. Tu peux me dire quel rapport ça a avec un proverbe ?
-Oui, madame. ''C'est dans le besoin qu'on reconnaît ses amis.''