Suite et fin du reboot de la saga qui a vu le jour sur PlayStation 4 en 2018, voici mon retour sans concessions sur ce God of War Ragnarök qui vient de souffler sa première bougie.
Il y a cinq ans, je découvrais la PS4 en même temps que la franchise God of War avec ce premier opus. J'en ai déjà longuement parlé ici à travers mon test de 2018 sur GK, mais ce fut une claque et un coup de cœur que j'ai aimé au point d'en faire mon premier platine PlayStation. J'attendais donc naturellement sa suite qui fut dévoilée deux ans après, et qui a fini par sortir le 9 novembre 2022. Que valaient les ultimes aventures de Kratos dans les terres nordiques ?
On prend les mêmes et on continue
Ragnarök est une suite dans le sens le plus strict du terme. Avec tous les bons et mauvais côtés que cela implique. Une suite scénaristique d'abord, puisqu'il reprenait pile-poil là où s'était arrêté le premier opus. On entrait directement dans le vif du sujet avec des personnages connus au sein d'un monde déjà exploré, mais pas totalement. Voilà pourquoi il était vivement recommandé d'avoir joué au premier jeu afin d'en saisir tous les enjeux.
Dans sa globalité, j'avais beaucoup apprécié l'histoire avec deux thèmes principaux qui sortaient du lot. Le premier étant le destin, déjà enclenché par la dernière fresque vue à la fin du premier jeu. Soulevant la fameuse notion sur les choix nous appartenant réellement ou non. Pour le second, c'était la vengeance. Chose qui caractérisait déjà le personnage de Kratos dans ses vieilles aventures à Sparte, mais qui s'étendait à davantage de personnages de ce nouveau royaume. Une vengeance d'un peuple entier dirigée vers un seul homme dont je reparlerais plus bas.
En tout cas, ce Ragnarök et par extension son prédécesseur, étaient des mines d'or d'informations et de références au sujet de la mythologie nordique. À travers les personnages, les créatures, les écrits, et les évènements clés. Pour peu qu'on s'y intéresse de plus près, c'est vraiment passionnant.
On y retrouvait le même style de narration qui fut une des plus grandes qualités du premier opus. Avec son plan-séquence toujours aussi maîtrisé dans son exécution, et qui intégrait pour la toute première fois des flashbacks. Même si le tout avait un peu perdu de sa superbe entre les deux jeux. La faute à certains passages interminables où il ne se passait presque rien d'intéressant. D'ailleurs, je trouvais le jeu long dans sa globalité pour ce qu'il devait raconter. Pour ma part, je l'avais terminé en à peu près 50 h en comptant quelques quêtes annexes (de qualité). Mais il aurait pu facilement gagner 10 h au change. Un rythme qui a pris un sacré coup, mais heureusement contrebalancé par des séquences spectaculaires et émotionnelles à l'image du premier jeu.
Concernant le gameplay, c'était toujours aussi efficace et on restait sur les mêmes bases solides. La traditionnelle Hache Léviathan, et les mythiques Lames du Chaos récupérées dans le jeu précédent, se maniaient toutes deux comme avant. Même si hors combat, ces lames pouvaient cette fois servir de grappin pour atteindre des recoins spécifiques. De plus, une troisième arme rejoignait l'inventaire d'une manière très bien intégrée dans l'histoire.
Le bouclier et l'esquive étaient toujours aussi indispensables pour faire face aux hordes d'ennemis ou aux plus coriaces d'entre eux. D'ailleurs pour les combats classiques, autant en 1 contre 1 ça restait gérable tout en sachant que j'avais fait le jeu dans l'équivalent du mode difficile. Autant quand le nombre d'adversaires commence à grimper, ça devenait très vite brouillon, voire carrément frustrant quand on se faisait attaquer de toutes parts.
Pour nous soulager, on pouvait compter sur un de nos binômes qui attiraient l'attention des ennemis sur eux. Des binômes qui se renouvelaient davantage dans ce nouvel opus, dont certains plutôt inattendus. Le plus important étant Atreus que l'on pouvait désormais jouer seul et qui avait lui-même ses propres équipiers. Mais dans des phases qui étaient loin d'être les plus passionnantes. Après coup, je me dis qu'un mode coopération à deux aurait été tout à fait faisable.
Certains combos et coups spéciaux ont même fait leur retour et sont toujours déblocables à travers un arbre de compétences dédié à chaque arme. Dont la Rage Spartiate qui cette fois n'était plus toute seule dans sa catégorie. Ce qui m'amène à dire que cet aspect RPG déjà bien présent dans le premier jeu, où l'on devait améliorer une tonne de statistiques, crafter une tonne d'objets et consorts, là j'ai trouvé que ça faisait vraiment trop. Il n'y avait pas besoin de tout ça pour un jeu dont le but initial est de taper sur tout ce qui bouge. Ça se ressentait particulièrement dans les menus. Encore plus chargés et moins ergonomiques que dans le premier jeu. Je salue quand même la présence de tutoriels intégrés pour mieux s'y retrouver dans ce bazar.
Pas de surprises non plus pour les énigmes qui pour la plupart sont les mêmes qu'avant dans leurs mécaniques. Entre les éléments à geler avec la Hache, ceux à enflammer avec les lames, les coffres à ouvrir en débusquant les runes qui leur servent de serrure, c'était du déjà-vu à tous les niveaux. Ou presque, car une des énigmes récurrentes consistait à faire rebondir la Hache sur des pierres spéciales qui, selon l'angle choisi, pouvait faire ricochet sur d'autres pierres ou des mécanismes hors d'atteinte autrement.
Un autre type d’énigme qui revenait en boucle, était lié à la capacité de notre partenaire à pouvoir créer jusqu'à trois zones circulaires avec des flèches violettes. Le but étant de les relier entre-elles pour conduire l'effet de gel ou de feu vers le mécanisme le plus éloigné. Honnêtement, j'avais pas trouvé ça très intuitif.
Quelques tentatives çà et là, mais ça n’enlevait rien au fait que ces phases de réflexion se répétaient trop souvent. La boucle de gameplay ne se renouvelait pas des masses.
Le bestiaire quant à lui était très similaire à son prédécesseur que je critiquais déjà pour son manque de variété. Même les animations où l'on inflige le coup fatal aux créatures déjà connues étaient calquées avec le premier jeu. Cela dit, j'appréciais les nouvelles menaces venues. Aussi bien à taille humaine qu'à une tout autre échelle. Ce qui m'amène à dire que les boss du jeu sont excellents. Mention spéciale à un canidé d'une taille tout à fait respectable qui m'avait même fait dire "je vais vraiment affronter ça ?"
Sur l'aspect technique, le premier God of War était, et demeure encore aujourd'hui très impressionnant. Et sans surprises, sa suite faisait mieux dans tous les domaines.Tout particulièrement au niveau des textures. L'exemple qui m'avait le plus marqué étant à Muspelheim et son magma au rendu incroyablement réaliste. En termes de direction artistique, c'était juste fabuleux. Nombreux furent les plans et les panoramas à m'avoir décroché la mâchoire.
J'avais apprécié le fait de redécouvrir des contrées déjà connues mais sous un nouveau jour. Comme le Lac des Neuf désormais complètement gelé à cause du climat hivernal du Fimbulvetr qui y règne. Ainsi que des territoires autrefois inaccessibles dans le premier jeu dont Asgard. L'idéal pour se rendre compte de l'évolution est de mettre les deux opus face à face comme la fait cette vidéo comparative ci-dessous par ElAnalistaDeBits.
Mais ce monde aussi beau soit-il, restait malheureusement tout aussi artificiel qu'avant. La "vraie" physique y était quasi inexistante, et les murs invisibles étaient légion et grossiers. Il n'y a rien qui justifie le fait que je puisse emprunter un chemin et pas l'autre alors que la seule chose qui les diffère est leur balisage. Un effort aurait pu être fait à ce sujet, quitte à mettre de vrais murs s’intégrant dans la diégèse du jeu. Comme une barrière naturelle ou une muraille.
Et musicalement parlant, le même compositeur a été gardé et c'était clairement pour le meilleur. Bear McCreary et sa bande nous ont livré une bande-son généreuse surclassant celle de l'opus précédent déjà très qualitative. Regroupant des thèmes globalement dans la même lignée musicale avec de nombreuses cornemuses typiques de la région, et retranscrivant avec brio l'épique et la fin de cette saga incarnée par le Dieu de la Guerre. D'ailleurs, ce n'est pas pour rien si j'ai choisi le morceau intitulé "Ragnarök" ci-dessus. Joué durant le dernier acte du jeu qui fut d'une intensité folle.
Mais mon morceau préféré reste "Blood Upon the Snow". Un des tout derniers de la tracklist. Composé par McCreary et qui est chanté par Hozier. Ce magnifique morceau raconte ni plus ni moins l'histoire de Kratos dans les terres nordiques.
"Ne sois pas désolé, sois meilleur"
Je vais y aller franco. Les personnages de Ragnarök figurent parmi les plus authentiques et les plus humains qu'il m'ait été donné de voir dans ce média. Davantage que son prédécesseur qui élevait déjà la barre bien haute. Même si certains étaient moins exploités, voire carrément anecdotiques (le frère de quelqu'un notamment), les protagonistes et antagonistes brillaient tous par la manière dont ils étaient interprétés par leurs acteurs respectifs, une écriture de très grande qualité, et les émotions multiples qu'ils m'auront fait ressentir. Joie, peine, détermination, et même une profonde envie d'en castagner certains. Dont un doté du don de prescience et qui est très proche d'un certain Odin.
Et je dois dire que j'ai été agréablement surpris de la manière dont il a été traité. Celui qu'on appelle "Père de tout" dans la mythologie nordique, et le principal antagoniste de cet opus où il a fait sa première apparition physique. Ce que j'ai trouvé brillant avec ce personnage, c'est qu'il déconstruisait totalement le mythe du méchant classique. Par sa manière d'être, son discours, et ses ambitions qui étaient loin des clichés que l'on pouvait attribuer à ce genre d'individu. Pour peu qu'on ignorait son passif et le fait qu'il était l'homme le plus dangereux de ce monde, on lui donnerait le bon Dieu sans confession. Et le moment qui m'a convaincu de la supériorité d'Odin survient à la toute fin du jeu où sans spoiler, il était responsable d'un des retournements de situations les mieux amenés que j'ai vu depuis très longtemps dans un jeu vidéo. Je n'avais strictement rien vu venir et j'étais loin d'être le seul dans ce cas.
Un autre personnage intrinsèquement lié à Odin n'est nul autre que son fils Thor le Dieu du Tonnerre. Le cliffhanger de fin du premier jeu où ce dernier surgissait devant la piaule de Kratos et Atreus avec des intentions résolument destructrices. Pour le coup, il a en apparence, tous les traits du méchant classique que son père n'a pas. Sans parler de sa carrure impressionnante même face à Kratos. Faisant oublier le Baldur de l'opus précédent qui compensait son physique plus frêle, par son invincibilité et sa force herculéenne. D'ailleurs le face-à-face entre le porteur du marteau Mjolnir et de la Hache Léviathan fut tout aussi jouissif et phénoménal que l'intro du premier jeu.
Pour les personnages déjà connus, j'appréhendais l'inévitable retour de Freya qui à la fin du premier opus, avait juré de se venger de Kratos et d'Atreus après que ceux-ci aient pris la vie de son fils Baldur. Alors que ce dernier menaçait la vie de sa propre mère. Un choix difficile sachant que Kratos ne pouvait se résoudre à laisser mourir celle qui auparavant avait sauvé son fils d'une mort certaine. Suite à ça, elle changea radicalement au point où l'on peut littéralement lire la haine et le désespoir sur son visage. Et sans trop en divulguer, son évolution était bien traitée et cohérente avec le personnage.
Mention très spéciale à Brok et Sindri, le duo de forgerons nains qui avaient également fait leur retour. Eux que je trouvais sympathiques et un peu rigolos, mais sans pour autant me marquer dans le premier jeu, et qui ont sérieusement pris du galon dans Ragnarök. Surtout Sindri pour qui j'ai eu sincèrement de la peine après tout ce qu'il a dû endurer. À certains moments, je ne l'ai pas reconnu au point où il a même réussi à me choquer par son acte final à la toute fin.
Quant aux deux personnages principaux de l’œuvre, leur évolution fut dans la plus pure continuité du premier jeu. Autrement dit, parfaite de bout en bout. D'abord Kratos, qui sous sa carapace nous a révélé une facette plus sensible de sa personnalité. Aux antipodes du spartiate vengeur et violent des anciens jeux de la série. Il se confiait davantage et était bien plus à l'écoute des autres qu'à l’accoutumée. Cela se ressentait dans la relation parfois tumultueuse, parfois touchante qu'il entretenait avec son fils Atreus qui n'a pas que grandi physiquement, mais aussi mentalement. Le petit garçon un peu naïf qui ignorait tout du monde qui l'entourait jusqu'à sa propre nature, était devenu un adolescent prêt à faire face à tous les dangers et sauver son royaume. Définitivement la relation père-fils la mieux écrite dans un jeu vidéo à ce jour.
D'autres personnages m'ont marqué comme ce cher Mimir dont la simple présence enrichissait considérablement le lore du jeu avec ses innombrables histoires et anecdotes passionnantes. Zenda... Angrboda qui n'avait pas laissé Atreus indifférent, et a complètement changé le destin du bonhomme. L'écureuil Ratatoskr très drôle surtout quand on le narguait avec son carillon. Et tant d'autres qui nécessiteraient un article entier juste pour en parler.
En tout cas si ces personnages demeuraient aussi qualitatifs, c'est surtout grâce aux acteurs et actrices qui ont fait la mocap derrière. Et j'en profite pour féliciter encore une fois Christopher Judge pour son prix amplement mérité aux Games Awards 2022, ainsi qu'à tout le casting pour une performance que je n'oublierais jamais.
God of Backseat
Avant de conclure, coup de gueule sur l'aspect qui m'avait posé le plus de problèmes et qui n'est pas exclusif qu'à Ragnarök. Au fil des années, les jeux vidéos ont beaucoup gagné en accessibilité en devenant plus simples à prendre en mains, plus dirigistes, et avec un challenge bien moins élevé qu'auparavant pour peu qu'on ne pousse pas trop loin. Moi-même je suis partisan de cette évolution au sein de cette industrie. En tout cas jusqu'à un certain seuil que Ragnarök (et beaucoup de productions récentes) avait fait voler en éclats.
Cela vient peut-être de mon âge ou de mon expérience du média, mais je n'en peux plus de cette manière dont on nous tient constamment par la main dans ce genre de jeu. Le cas de Ragnarök était particulièrement flagrant, car j'avais à peine le temps de réfléchir à une énigme que mes compères me donnaient déjà des pistes voire la solution. Alors que je ne leur ai rien demandé explicitement (oui c'est à toi que je pense Mimir, et pas que). Vraiment ça m'a sorti du jeu un nombre incalculable de fois. Et je n'avais rien trouvé dans les paramètres du jeu qui puisse le désactiver. Est-ce que les développeurs ont si peur que ça que l'on décroche de leurs jeux ? Qu'on les abandonne en cours de route de peur d'être bloqué ou frustré alors qu'aujourd'hui n'importe qui peut accéder à internet pour trouver une soluce ? À un moment donné, il s'agirait de laisser les joueurs tranquilles. On arrivait très bien à se débrouiller sans toutes ces aides des décennies avant.
Surtout que Ragnarök était un jeu bien dirigiste dans sa construction tout comme son prédécesseur. Où l'on doit aller d'un point A vers un point B en passant par des sentiers prédéfinis. Je pense aux symboles et flèches directionnelles incrustées de manière absolument pas subtile sur des parois d'escalade pour bien indiquer qu'il faut grimper par là et pas ailleurs. Une mécanique usée depuis tellement longtemps dans le média et qu'il faudrait sérieusement revoir.
Et la cerise sur le gâteau était la matérialisation même de l'aspect dirigiste du jeu qui réside en un certain masque. Qui bien que très important dans l'histoire, n'avait que pour principale utilité que de servir de boussole qui s'illuminait lorsque pointé vers la "bonne" direction. Sans quoi les personnages n'avançaient tout simplement pas. Franchement on aurait pu l'enlever de ces moments que ça n'aurait rien changé à la progression.
Conclusion
Mérité ?
Sur le papier, God of War Ragnarök faisait mieux que son prédécesseur sur tous les aspects. Avec un gameplay toujours aussi bien rodé et enrichi avec la troisième arme. Visuellement plus beau et plus détaillé même sur PS4. Une histoire encore plus prenante et riche en rebondissements. Des personnages plus marquants. Une bande-son bien meilleure, et plus encore. Cela en faisait-il un bon jeu pour autant ? Très clairement, oui. Mais était-il aussi exceptionnel que la presse vidéoludique le disait ? Certainement pas.
Jusqu'au bout, ces deux opus ont tout en commun jusqu'à leurs notes attribuées. Chacun ayant eu à date, un score de 94/100 sur Metacritic (mais avec des notes bien différentes du côté des joueurs). Je l'avais déjà dit pour le premier opus et je répéterais la même chose ici, ces notes sont trop élevées. Ragnarök a certes corrigé des défauts de son prédécesseur et amélioré la formule, mais il n'apportait que trop peu de choses neuves et souffrait encore de problèmes déjà d'actualité en 2018.
Finalement, c'est une bonne chose que l'histoire de Kratos dans les terres nordiques s'arrêtait ici, car on avait frôlé l'épisode de trop. Heureux d'avoir enfin eu le fin mot de cette belle histoire, et de boucler la boucle avec la suite du jeu qui m'a fait acheter la PS4 cinq ans plus tôt. Un immense bravo au studio Sony Santa Monica pour les travaux.
Assez d'accord, ce sont des bons jeux mais clairement pas des incontournables pour moi.
Aussi j'ai trouvé l'épisode de 2016 bien mieux réussi que Ragnarok. Plein de passage interminable (le passage avec Angrboda est bien écrit mais les phases de gameplay sont chiantes au possible et ça dure 2 à 3h!!)
Le combat est aussi moins maîtrisé avec des terrains plus complexes et plus d'ennemis ce qui sur le papier pourrait être bien, mais avec la caméra à l'épaule rend le tout très confus, encore plus que le premier qui était déjà un peu limite.
Sur le papier, God of War Ragnarök faisait mieux que son prédécesseur sur tous les aspects. Avec un gameplay toujours aussi bien rodé et enrichi avec la troisième arme. Visuellement plus beau et plus détaillé même sur PS4. Une histoire encore plus prenante et riche en rebondissements. Des personnages plus marquants. Une bande-son bien meilleure, et plus encore.
Notes trop élevés, le jeu est porté par Kratos et l'acteur qui l'interprète/lui donne sa voix.
Pour moi god of war c'est des combats nerveux, des combos de malade et surtout un rythme effréné.
La j'ai l'impression de tout avoir en version inférieur, les combat son plus moues probablement à cause de la nouvelle direction.
Le Ragnarok est un gros rush alors qu'ils auraient dû commencer par la et prendre le temps de développer tout les évènements qui s'y passent.
Après ya aussi un gros problème d'ennuis sur tout le mieux du jeu où tu te tape des allez retours et t'as pas de téléportation instantané a partir de n'importe quel endroit,je trouve ça vraiment debile par contre.
God of war 2018 était déjà plus rythmé et racontait une histoire plus prenantes avec des bosses je trouve beaucoup plus intéressants.
Bref le 2018 je lui met un bon 8.5/10 celui là un bon 7/10 .
Rien a voir avec les enciens qui sont tous a 9/10
shambala93 Dans le 2 il ya pas que le combat final hein. Je parle de l'ensemble des boss du jeu. Mais bref on sera pas d'accord ça sert à rien de tergiverser 107 ans ^^
thelastone Gow 2018 histoire plus prenante ? Ah d'accord.
shambala93 Totalement d’accord avec toi, après l’intro, il n’y a rien de mémorable.
L’intérêt de cette suite était de continuer sur cette histoire de fresque, de voir Kratos aux aboies surtout après la fin du 1.
Au final on a eu un jeu où les enfants ont le dessus sur les parents, un rythme catastrophique, un Thor qui dégage rien, les rêves de Kratos avec sa femme…Bref, ça n’a rien à faire dans une conclusion, surtout après l’excellent opus 2018 qui avait un ton sérieux et déconcertant du point de vue Kratos.
J'ai mis un peu de temps pour me remettre de cette opus, la pire déception pour moi.
Contrairement à Gow 2018 qui laissait sous entendre une suite bien meilleurs, Ragnarok peine dans ce qu'il propose. Des traversé de royaume interminable avec des combat toutes les secondes, un scénario très oubliable avec un rythme en dent de scie, des enigmes idiotes , des passages absolument surréaliste (merci Atreus), quelques boss sympathoche mais un final et un boss de fin ridicule. Je trouve que la nouvelle arme n'est pas vraiment adapté au style de Kratos, j'aurais préféré le marteau de Thor pour avoir un trio de pouvoir intéressant (feu, glace et foudre)
Au moins Gow 2018 est assez équilibré et plaisant à faire ou à refaire.
Mrpopulus Largement ,c'était plus intéressants de découvrir Atreus , l'histoire de sa mère et ses origines , l'histoire des géants,Kratos qui combat son passé, le lien entre Baldur et sa mère les histoires qui expliquent qui sont Thor et Odin (tellement plus intéressantes que les vrais personnages dans la suite) , l'histoire de Freya et des Valkyries. Le lien entre mimir et Odin et les combats de boss contre Baldur, Atreus qui pète un câble après les révélations de son père ..etc etc
Les moment prenants et intéressants il yen a à foison et se font tout le long de l'histoire.
Dans Ragnarok si je résume t'as Atreus qui tape une crise d'ado (Je suis l'élu je veux me battre ), l'histoire avec sa copine et sa grand mère ou sa tante dont tout le monde s'en branle.
Freya qui veut les buter pour venger son fils.
Les deux nains qui n'apportent rien de nouveau a part vers la fin.
Tyr on dirait une carpe tellement il sert a rien et après quelques dialogues tu comprend direct que c'est un traître.
Odin le pétard mouillé qui cherche un truc qu'on verra jamais car désamorcé par le scénario de merde.
Thor qui aurait pu être tellement plus fidèle à lui même (il est dépeint dans le premier comme un vrai fdp ) ,mais en fait c'est un gros bisounours.
Et le reste des peros bah osef total , le sacrifice du frère de Freya est bâclé ses compagnons servent à rien.
Enfin l'événement principale le Ragnarok est un pétard mouillé ou il se passe strictement RIEN alors que depuis le début c'est sensé établir un réel retournement de situation (on est loins de la chute de l'Olympe et de ce que ça implique).
Ma plus grande déception de ces dernières années. Le jeu est trés moyen et ne brille dans presque aucun domaine. Hallucinant de voir comment il a été encensé alors qu'il ne prend aucun risque et agit surtout comme un gros Dlc avec une histoire beaucoup moins sombre et une fin made in Disney.
Mrpopulus Déjà contrairement à toi j'argumente au lieu de juste dire "Tg j'ai raison " , de plus tu veux comparer les scénarios comment tu veux que je t,explique sans spoil pour te donner des exemples ? Tas pas l'air d'être une lumière désolé de te le dire.
Mrpopulus Et t'as une mémoire sélective lol, c'est toi qui parle d'histoire en premier je répond à ton point c'est tout,sur mon premier commentaire ya pas que ça ..encore faut il que tu lise avant de parler..
thelastone à quoi ça sert que je donne des arguments ? Tu seras de toute façon en contradiction avec ce que j'écris, à partir de là dialogue de sourd.Et pour la dernière phrase t'étais pas obligé de m'insulter.
yanssou Le gameplay, en tout cas celui des combats est excellents. Pour le reste, ya a redire oui notamment ces putains de flèche sigilaire ou tu sais jamais comment ça fonctionne.
Nindo64 si ce jeu est surcoté alors tout les jeux le sont encore pire ceux de nintendo le dernier zelda est une preuve.
le dernier mario encore pire une honte ce jeu et pourtant il a eu 93 metacritic
déception aussi, je suis d'accord avec les points mentionnés par certains. De plus j'ai vraiment détesté jouer un "dieu" aussi faible (galérer contre des asticots, etre bloqué par des bouts de bois, etc), il est badass uniquement dans le voice acting. Tout le concept du jeu (et le premier jeu pareil d'ailleurs) qui ne sied pas tellement à la puissance du perso. Faut reboot à nouveau.
Pour moi le seul truc qui manque, c'est plus combats badass contre des dieux, et un kratos sans pitié comme avant. Pour le reste je trouves le jeu excellent, j'ai pas grand chose a lui reprocher. Certainement pas mon GoW préféré (après, je trouves que la mythologie grecque avait plus de peps dans tous les cas) mais clairement un jeu incontournable pour tout possesseur d'une playstation. Je comprends qu'on puisse etre déçu en tant que fan de GoW, niveau scenar et tout, mais niveau jeu, faut vraiment etre borné pour dire que le jeu merite pas ses bonnes notes ^^
Aussi j'ai trouvé l'épisode de 2016 bien mieux réussi que Ragnarok. Plein de passage interminable (le passage avec Angrboda est bien écrit mais les phases de gameplay sont chiantes au possible et ça dure 2 à 3h!!)
Le combat est aussi moins maîtrisé avec des terrains plus complexes et plus d'ennemis ce qui sur le papier pourrait être bien, mais avec la caméra à l'épaule rend le tout très confus, encore plus que le premier qui était déjà un peu limite.
Totalement d'accord.
Pour moi god of war c'est des combats nerveux, des combos de malade et surtout un rythme effréné.
La j'ai l'impression de tout avoir en version inférieur, les combat son plus moues probablement à cause de la nouvelle direction.
Le Ragnarok est un gros rush alors qu'ils auraient dû commencer par la et prendre le temps de développer tout les évènements qui s'y passent.
Après ya aussi un gros problème d'ennuis sur tout le mieux du jeu où tu te tape des allez retours et t'as pas de téléportation instantané a partir de n'importe quel endroit,je trouve ça vraiment debile par contre.
God of war 2018 était déjà plus rythmé et racontait une histoire plus prenantes avec des bosses je trouve beaucoup plus intéressants.
Bref le 2018 je lui met un bon 8.5/10 celui là un bon 7/10 .
Rien a voir avec les enciens qui sont tous a 9/10
Non, rien que sur les boss ou le bestiaire il l'éclate.
Et le combat final, quelle déception !
Les aller-retours sans fin, la technique jolie mais pas de claque par rapport à 2018…
Me suis fait chier du début à la fin ! Dommage, mais il est temps que Sony se plonge dans des nouvelles ip qui tâchent !
mrpopulus
En aucun cas.
Et honnêtement je comprend pas comment on peut trouver les combats de boss du premier meilleur mais soit
Aucun souvenir du deux, le combat final est d’une médiocrité sans non. Aucun impact ni grandiose.
Même god of war 3 qui a 13 ans lui met une branlée sur ce point.
thelastone Gow 2018 histoire plus prenante ? Ah d'accord.
Il a raison, l’histoire du 2 n’a aucun intérêt.
En réalité le jeu a un goût de 1.5.
C’est un bon jeu fondamentalement, cependant, c’est bon, merci, on a fait le tour, place à de la nouveauté.
C’est exactement la même chose avec Horizon 2.
L’intérêt de cette suite était de continuer sur cette histoire de fresque, de voir Kratos aux aboies surtout après la fin du 1.
Au final on a eu un jeu où les enfants ont le dessus sur les parents, un rythme catastrophique, un Thor qui dégage rien, les rêves de Kratos avec sa femme…Bref, ça n’a rien à faire dans une conclusion, surtout après l’excellent opus 2018 qui avait un ton sérieux et déconcertant du point de vue Kratos.
Contrairement à Gow 2018 qui laissait sous entendre une suite bien meilleurs, Ragnarok peine dans ce qu'il propose. Des traversé de royaume interminable avec des combat toutes les secondes, un scénario très oubliable avec un rythme en dent de scie, des enigmes idiotes , des passages absolument surréaliste (merci Atreus), quelques boss sympathoche mais un final et un boss de fin ridicule. Je trouve que la nouvelle arme n'est pas vraiment adapté au style de Kratos, j'aurais préféré le marteau de Thor pour avoir un trio de pouvoir intéressant (feu, glace et foudre)
Au moins Gow 2018 est assez équilibré et plaisant à faire ou à refaire.
Les moment prenants et intéressants il yen a à foison et se font tout le long de l'histoire.
Dans Ragnarok si je résume t'as Atreus qui tape une crise d'ado (Je suis l'élu je veux me battre ), l'histoire avec sa copine et sa grand mère ou sa tante dont tout le monde s'en branle.
Freya qui veut les buter pour venger son fils.
Les deux nains qui n'apportent rien de nouveau a part vers la fin.
Tyr on dirait une carpe tellement il sert a rien et après quelques dialogues tu comprend direct que c'est un traître.
Odin le pétard mouillé qui cherche un truc qu'on verra jamais car désamorcé par le scénario de merde.
Thor qui aurait pu être tellement plus fidèle à lui même (il est dépeint dans le premier comme un vrai fdp ) ,mais en fait c'est un gros bisounours.
Et le reste des peros bah osef total , le sacrifice du frère de Freya est bâclé ses compagnons servent à rien.
Enfin l'événement principale le Ragnarok est un pétard mouillé ou il se passe strictement RIEN alors que depuis le début c'est sensé établir un réel retournement de situation (on est loins de la chute de l'Olympe et de ce que ça implique).
Tu veux que je continus ?
Et je savais pas qu'un scénario décevant faisait un mauvais JEUX vidéo
mrpopulus "Et je savais pas qu'un scénario décevant faisait un mauvais JEUX vidéo"
Bah c'est un jeu narratif avant tout et puis bon c'est pas la joie aussi niveau gameplay on sent une certaine limite.
yanssou Le gameplay, en tout cas celui des combats est excellents. Pour le reste, ya a redire oui notamment ces putains de flèche sigilaire ou tu sais jamais comment ça fonctionne.
Pour les flèches c'etais plutôt bien utiliser dans le 2018 mais dans celui ci c'est du spam à foison.
Les combats sont plus brouillons dans le ragnarok, et incompréhensible : kratos a moins de coup dans ragnarok qu'il en avait dans celui de 2018.
le dernier mario encore pire une honte ce jeu et pourtant il a eu 93 metacritic