Donc voilà, hypé par la sortie imminente (à l’époque) de
DBFighterZ et censé patienter à cause d’une sombre histoire d’anniversaire, j’ai décidé de terminer le run que j’avais entamé il y a de ça quelques temps pour finir de revoir
l’intégralité de la saga DBZ, dans un délire nostalgique évident, mais pas que.
Alors, au niveau de la version utilisée, il m’aura fallu du temps avant de trouver ZE version collector. Mes
recherches internétiennes m’auront donc finalement poussé dans les bras
Spoiler :
d’un joli rip
de la fameuse DRAGON BOX américaine, à ce jour la version la plus propre qui soit de la série (dispo en DVD mais plus éditée, d’où les prix WTF à plusieurs centaines d’euros sur Ebay) qui
conserve le ratio original en 4/3. Couleurs restaurées, voix japs, aucune censure, tous les génériques et résumés sur chaque épisode, on est dans le fin du fin. Seul bémol pour les frenchies que nous sommes : faut se taper des sous-titres en anglais. Mais d’une, ça va, l’anglais je le parle couramment, et de deux, bon les dialogues de DBZ quoi. Pas besoin d’un dessin.
NB : Depuis ce run je suis en train de changer mon fusil d’épaule pour la version blu-ray de la série, de laquelle je m’étais d’abord écarté pour cause de recadrage 16/9. Alors certes, on "perd" les bords de l’image, et oui, du coup, les cadrages originaux ne sont plus respectés. Mais je me suis dit qu’après tout, DBZ, c’était pas non plus l’œuvre de Stanley Kubrick, quoi, et que si les recadrages sont faits correctement, ça peut donner des trucs très bien (j’en veux pour preuve les récents blu-ray des classiques de Disney). C’est vrai que le plein écran, sur les TV d’aujourd’hui, est appréciable, tout comme le sont les sous-titres français, voire les voix françaises - aussi mauvaises soient-elles - si je veux pouvoir faire découvrir ça aux gosses un jour. Et l’image est hallucinante. Alors oui, ça fait moins connoisseur et plus mainstream, mais c’est une bonne façon de regarder cette série aujourd’hui. Bref…
1) La saga des Saïens
J’inclus
Raditz,
Nappa et
Vegeta dans tout ça. Ce début de DBZ est, selon moi, toujours aussi bon. Certes, les dessins n’ont pas encore le trait qu’ils auront à la fin de la série (Végeta ressemble quasiment à un autre perso), mais cette reprise de Dragon Ball, censée à la fois expliquer
la force surhumaine de Son Goku et doucement passer le relais à sa progéniture reste très efficace. C’est d’ailleurs fou de voir que le combat contre Raditz se gère en
deux épisodes, là où les combats finaux de la série en prendront
plus de quarante (
!!). La relation de Piccolo et Son Gohan est aussi touchante qu’au premier jour. D’ailleurs, j’ai vu qu’il existait une statuette top classe qui célèbre le sacrifice de Piccolo - sans doute l’un des plus beaux moments du manga - pour, là encore, plusieurs centaines d’euros. Snif, je suis pauvre. Je sauvegarde juste la photo sur mon ordinateur alors.
2) La saga Freezer
C’est la meilleure partie de DBZ. Oui, cet avis n’engage que moi, et c’est sans doute parce que c’est celle dont je me souviens le plus dans mon enfance (j’ai l’impression qu’il y avait que cette partie qui tournait en boucle au club Dorothée). Mais sans rire : il y a un scénario, les Dragon Ball font partie intégrante de l’histoire (ils en constituent le
Mac Guffin, exactement comme au tout début de la série),
Freezer est un méchant démentiel, sorte de
Hitler de l’espace, aussi puissant que cruel. L’alliance entre
Vegeta et nos personnages principaux fait sens, d’ailleurs ces derniers ont un vrai rôle à jouer, et ne constituent pas les habituels faire-valoir qu’ils deviendront par la suite. Que ce soient
Son Gohan,
Krilin, ou
Piccolo, leurs trajets sont passionnants à suivre, leurs combats prenants juste comme il faut : ils sont puissants, mais pas trop, ils doivent s’accrocher, être rapides, faire preuve de courage en attendant que
Jés… euh
Son Goku revienne pour les sauver.
Le retour de Son Goku est d’ailleurs génial, même si, technique de narration à répétition, il se retrouvera
de nouveau écarté momentanément de l’intrigue pour revenir (encore !) sauver tout le monde.
La légende du Super Saïen faisant monter une attente de dingue durant toute la saga, la première fois qu’on le voit effectivement devenir Super Saïen face à Freezer… Extraordinaire, tout simplement. Mention spéciale à
la notion du temps, qui continue plus que jamais d’être relatif dans DBZ (Einstein avait raison !), avec les fameuses cinq minutes de Freezer qui s’étirent sur… sept épisodes ! De vingt-deux minutes chacun. Je vous laisse faire le calcul.
3) La saga Cell
Premier couac qualitatif en ce qui me concerne. D’un côté, toute l’introduction de cet arc tient du génie : l’apparition mystérieuse de
Trunks, le délire sur les voyages temporels à la Cameron (on sent que Toriyama a adoré
Terminator), le mystère de
Cell, sa traque des cyborgs - qui du coup passent de méchants à victimes... L’écriture globale non seulement tient la route mais en plus
passionne de bout en bout.
Le problème, c’est l’échelle de force. Il ne fait toujours aucun sens, dans mon esprit, que des « robots » créés par un simple être humain, aussi génial soit-il,
soient plus forts encore que le Hitler de l’espace dont on parlait plus haut. Z’allez me dire
« mais cherche pas, vieux, c’est DBZ. » Non mais d’accord, on n’est pas en train de lire du Victor Hugo, j’entends, mais quand même. Un peu de cohérence, même dans une saga à la con, ne fait pas de mal.
Freezer nous a été représenté comme
l’ultimate bastard de l’espace, un tyran qui asservit les galaxies, détruit des planètes d’un mouvement de l’index (!!), et des robots terriens (ok,
« cyborgs ») seraient plus forts que lui ? La surpuissance de
Cell n’a pas non plus le moindre sens… Sauf à la limite si on considère qu’il utilise des cellules de Super Saïen pour, justement, les dépasser. Mais qu’importe : si Freezer s’était pointé sur la terre, pas besoin de Goku et ses potes, en fait, c’est bon, Gero lâche ses
pitits robots et ils vont botter le cul du despote interstellaire.
Bon après, évidemment que
comme tous les kids, j’ai été transporté, à l’époque et encore lors de ce nouveau visionnage, par
la colère de Gohan, sorte de réécriture, au fond, de la colère de Goku face à Freezer. Rien que le moment où Son Goku, le héros, « abandonne » pour céder la place à son fils… Ça c’est énorme.
4) La saga Buu.
Le grand n’importe quoi. Faut se l’avouer. Mais c’est pas pour autant qu’on kiffe pas, hein ! Mais on sent bien que Toriyama, nageant dans le pognon tout en gardant en permanence un flingue braqué sur la tempe par son éditeur, voulait avant tout se faire plaisir. Déjà :
en retrouvant l’humour qui caractérisait le début de sa série. Les premiers épisodes qui s’occupent juste de Gohan
à la fac et
en super-héros sont, à ce titre, un régal. Ah oui, je l’assume :
j’adore les filers, en général. Ils n’ont aucune autre prétention que d’être drôles et de nous faire passer un bon moment. Et d’étirer la série pour se faire encore plus de blé, bien entendu. Mais autant quand on était gosse, un filer pouvait nous faire péter une durite, parce qu’il y avait pas d’autre épisode avant la semaine d’après, autant là, quand on se refait une intégrale, on ne raisonne pas de la même façon :
« Balancez, les gars, envoyez du filer. Je m’en fous, j’ai du temps et tous les épisodes ! ».
Alors,
la saga Buu a ceci de spécial pour moi qu’elle correspond justement au moment où je me suis retrouvé au collège, avec cours le mercredi matin, et donc plus aucune possibilité de voir ma série préférée (alors que mon frère, ce ***** pouvait continuer à les mater tranquille et à me faire baver !). De toute façon, si je dis pas de bêtise, le club Do’ n’a jamais fini la diffusion de la série, donc on peut enfin boucler la boucle.
Et j’écrivais :
c’est n’importe quoi. Quand on voit
Goten et
Trunks, enfants, devenir Super Saïen également, ça ne nous les fait pas voir comme des génies du combat. C’est juste que, de façon pire encore que dans l’arc précédent,
l’échelle de force n’est plus du tout respectée. Je veux bien que ces deux gosses soient
surdoués en arts martiaux. Mais on nous a expliqué par A + B que le
Super Saïen était un truc très dur à faire sortir de soi, qui demandait
une colère monstre pour se manifester la première fois, colère qu’il fallait ensuite
apprendre à maîtriser et à
refaire surgir sur commande. Là, euh… c’est quoi leur colère, à eux ? Ils passent leur temps à se marrer et à faire n’importe quoi ! Mais bon, je ne crache pas dans la soupe, je les adore, leur transformation également.
Le méchant,
Buu, a par contre beaucoup plus de sens que
Cell, niveau rapport de puissance. Là, c’est compréhensible qu’il soit
« plus fort encore que tous les méchants précédents » puisqu’on parle d’
une force mystique qui touche au divin (comme plus tard dans le film
Battle of Gods), donc à un niveau supérieur à tout ce que l’univers a connu jusque-là. Le méchant est d’autant plus drôle, et bien pensé, qu’
il n’est pas en soi manichéen : il n’est méchant que parce qu’on lui a dit d’être méchant.
C’est un enfant, en tous cas au début. Problème dans tout ça :
c’est bien trop long. Très vite, dans cet arc, il n’y a plus du tout de scénario, juste un combat interminable.
Mais vraiment interminable. Le méchant ne peut pas mourir, renait à chaque fois, se transforme mille fois. Même
Son Goku le dit à la fin
« Tu t’es tellement transformé que ça m’a presque saoulé. »
Bon point :
le traitement de Végéta, qui trouve une résolution qui justifie toute son écriture depuis le début. Sa rivalité le rend fou, sa sacro-sainte fierté (qui le définissait entièrement jusque-là) finit par laisser place
à une humanité insoupçonnée (lui qui semblait père par accident va finalement se comporter comme tel en sauvant son fils), et il reconnaît enfin
le vrai statut de héros de Son Goku. J’ai aimé que ce combat final soit justement
fair-play : on arrête les transformations, les fusions et les conneries.
Son Goku Vs Buu. Un guerrier contre un autre. Chacun à leur maximum. Alors vous me direz : Son Goku qui priait deux heures avant pour que Vegeta fusionne avec lui,
« seule chance de vaincre Buu »,
choisit au final de se démerder seul, et s’en sort très bien. Mais bon, genre ils sont dans l’autre monde, il peut se lâcher, tout ça… En tous cas ce combat est génial.
Et Satan qui sauve le monde entier, bien joué Toriyama !
Quelle série géniale. Oui, ok, on a les
« nostalgia google ». Sans doute. Mais peut-être pas tant que ça, au fond. Quand je vois le succès de
DB Super (que je n’ai pas encore vu - et oui, je sais que c'est critiquable, apparemment) auprès des jeunes, je me dis que la bande de Goku et ses potes marche toujours aussi bien sur le public d’aujourd’hui (d’où le fait de récupérer une version blu-ray pour la faire voir à une nouvelle génération).
Bon, c’est pas tout ça, mais le speedrun n’est pas fini. Là je suis en train de mater
les films (et la vache ! Y’en avait plein que je ne connaissais pas, en fait !), puis je passe à
DB GT (j’assume, me tapez pas, je vous ai dit que j’aimais les filers !), que je n’ai encore jamais vu. Et seulement après tout ça,
DB Super. Oui, y’en a encore pour un moment ! Souhaitez-moi bon courage ! Donnez-moi votre énergie ! Genkidam… euh, ok, je sors.
(NB : mon combat préféré reste un combat finalement sous-estimé dans la série : celui de C-17 contre Piccolo. Je ne sais pas ce qu’ils ont eu à la Toeï à ce moment-là, si d’un coup le budget s’est ramené ou autre, mais ce combat est juste exceptionnel, dans l’intensité, l’animation, les cadrages. Un gros morceau de baston épique qui symbolise parfaitement toute la frénésie de ces affrontements titanesques qu’on adore. Rematez-le, vous verrez, c’est juste énorme.)
Et vous, c’est quoi votre passage préféré de DBZ ? (DBZ hein, pas GT ou Super !)
Concernant Dragon Ball Z l’arc cell, l’apogee de Gohan mon avatar a la base j’hesiter avec Gohan SS2.
Et bordel Vegeto/Gotenks le retour en grâce de Gohan des annimation au top !!
Mon meilleur mommet, c'est vraiment l'arc Boo....
Toute cette tension sur Neptune, Gohan qui s'ennerve contre Sporo et son évolution, la déclaration de Videl, le monologue de Bejita, l'emmerveillement de Goku contre son ennemi, SSJ3, Vegeto, l'arrivée de Oub, la fin de la série.... ect ect
C'est normal, Kid Buu est moins fort que Buuhan #débatdelamort
Debat clos.
Sinon pour la version Dragon Box US que t'avais choppé, est ce qu'il y a aussi une piste audio avec la version anglaise de Funanimation (avec les musiques de Bruce Faulconer) ? J'ai choppé presque tout les versions "Ocean Dub", mais j’aimerai bien aussi me chopper cette version et j'ai pas envie d'acheter les Blu Ray US (16/9 donc)
Cette scène où krilin lui envoie une pierre est cultissime... un grand moment d’emotion et une belle pause pour un manga où les perses n’existent que pour. Goku était cool avant.
Maintenant c’est Un batard égoïste prêt à sacrifier la terre pour ses délires batonnifiques
J'ai mis plus de deux ans à me refaire DB et DBZ.
J'avais pas d'arc préféré avant de me les refaire mais comme toi c'est l'arc freezer que j'ai le plus apprécié.
Ils apportent quoi de plus tes DVD américains que notre edition dragon box française ? J'ai l'impression que elle aussi était en 4/3.
Sinon + 1 millaird pour ton analyse ,c'est un peu comme ton cerveau et le mien était en total raccord
non,sérieux tout ce que t'as dit sur l'arc sayen ,freezer ,cell et Bou
Je suis entièrement d'accord avec toi point par point alors que normalement il y a toujours des points là ou discuter mais là rien
Bref osef très bon article
C'était ma vie DBZ avant !
Un bon retour sur le coter fun de toriyama, tellement frais.
Pour l'arc cyborg et boo aussi d'accord mais y a des tres tres gros moment dans ses arcs qui les rends donc vraiment bon, dbz aura tjr des problemes de coherence niveau puissance mais c'est pas trop grave par rapport a se que je vois dans dbs.
Pour moi 1 freezer, 2 cell , 3 bou, 3sayens ,4 gt , 5super , 6brolette dbs
Le combat sangoku vs petit buu
C'est le combat final de tout dbz, le combat de la dernière chance. Le plus classe en plus, c'est que ce n'est pas le combat entre les deux êtres les plus puissants de la série à ce stade ( il y a eu sangohan et vegeto avant). En fait dans ce combat, qu'importe la puissance, c'est l'enjeu du combat. Et tu fais bien de le souligner, C'est Satan qui sauve le monde
Et ça c'est classe, car aussi fort soient il, sangoku et vegeta n'ont jamais réussi à fédérer le monde entier pour eux, la vraie force de satan vient de sa capacité à fédérer. Et tout d'un coup, ce perso ridicule, le plus faible de toute la série vient de donner le plus gros coup de pouce de l'histoire de la série.
Et puis, goku contre buu, sur la planete des dieux, avec tout l'univers qui s'attarde de l'issu du combat, avec vegeta et le gros buu. Purée!!!
Et dernier chose, le petit buu, c'est vraiment le mal à l'état le plus pur qu'il soit.
Le combat C17 vs Picolo
Là aussi, je trouve que ce combat avait une putain d'intensité. Il y a une sorte de course contre la montre face à la montée en puissance de Cell. Picolo n'avait pas le choix, il était à ce stade le meilleur rempart.
Et c'est la première fois qu'un perso de dbz tenait tête à un cyborg.
Les z warrior vs nappa
C'est le combat avec le plus d'émotion et avec le plus de carnage. Nappa en gros bourrin sayan, une sorte d'adulte daron de la même famille que goku, c'était super impressionnant.
Et le massacre qui s'en est suivi: tenshinhan, yamcha, chaozu, picolo.
On comprends parfaitement le cri de detresse de Krilin à la fin.
sangoku, sangohan, krilin et yajirobe vs vegeta
Pareil qu'avec nappa, ça n'arretait pas. Sangoku qui fini en lambeau, un vegeta increvable, des transformations en gorille à gogo. Tout le potentiel des sayans que nous voyons depuis dragon ball se retrouve là.
Sangoku vs freezer
Parce que freezer était trop fort. J'aime ce combat jusqu'au super sayan de goku. La je trouve qu'il y a une perte d'intensité.
Il faut attendre Buu pour monter encore plus haut, vers un probleme divin
Tu apprécieras DBGT lorsque tu commenceras DB Super.
Pour la version bluray, les dernières en date (pas les péraves qui s'étaient arrêtées en chemin) n'ont pas été recadrées bêtement au centre comme avant, et la restauration de l'image est telle que franchement, je "passe" sur le sacrilège du recadrage. Mais c'est très subjectif
Et la sortie de DBFighterZ, ainsi que l'avancée de DBSuper (que j'ai toujours pas vu, mais qui s'est mis à m'intriguer de plus en plus) ont ravivé la flamme, et j'ai repris à la saga Cyborg / Cell pour enchaîner jusqu'à la fin, au rythme de trois ou quatre épisodes par jour, moins en semaine, plus en week end. Et c'est passé tout seul en quelques mois
Là je suis passé aux films ! Et je les ai bientôt fini, d'ailleurs (tiens je ferai un article aussi, pour le coup).
Et le fait que Goku la joue cool jusqu'aux Cell Games... Ou encore quand tout le monde trouve le fight de Goku et Cell "hallucinant" alors que Gohan ne comprend pas ce qui étonne ses amis... Comment ça te hypait trop pour la suite !!
leonr4 Merci pour l'appréciation, ça fait toujours plaisir, l'ami !!
Ah et GT est enorme hein, du meme niveau que la serie principale tout en reussissant l'exploit de proposer un univers totalement different. Et la facon dont ils retravaillent totalement le caractere de certains personnages pour proposer quelque chose d'a la fois different et excellent, ca tient du genie...Clairement dans le top des meilleures saisons de la serie a mes yeux, ca n'a juste rien a voir avec l'autre daube de Super faut pas abuser c'est le jour et la nuit.
Par contre je me rappelle pas avoir entendu d'explication particulière sur là transformation en super guerrier, quand les petits ce transforme en SS j'ai pas ressenti de "n'importe quoi" dans un sens négatif en tout cas (j'ai pas vue à la suite les épisode faut dire)
DB gt moi je retiens surtout les transformations
Et dbs je voulais mis mettre avec le manga mais même la les dessins sont indigne je trouve je vais avoir du mal