Amies survivantes et survivants, je vous partage mon ressenti sur A.I.L.A, un survival horror brésilien qui vient tout juste de sortir sur PS5, Xbox et PC.
Comme d’habitude, je commence par vous présenter le concept de ce survival horror atypique puis j’enchaîne directement sur ses qualités et ses défauts.
A.I.L.A, c’est quoi exactement. C’est un survival horror où vous incarnez Samuel, un bêta-testeur qui évalue des jeux en développement depuis chez lui. Rien de très excitant au départ, mais tout change lorsque son entreprise lui envoie A.I.L.A, un casque VR nouvelle génération équipé d’une intelligence artificielle intégrée.
Cette IA va vous plonger dans différents mondes, chacun avec son propre style d’horreur et de gameplay.
Ce concept, assez atypique pour le genre, est clairement le plus gros point fort du jeu, car la diversité de ces univers donne toujours envie de découvrir le suivant.
Certains mondes s’inspirent fortement de Silent Hill ou Resident Evil, et les fans de ces licences y trouveront leur bonheur grâce à la quantité impressionnante d’easter eggs cachés un peu partout.
Les passages dans ces mondes sont entrecoupés par des retours dans votre appartement, un peu comme dans Assassin’s Creed lorsque l’on sort de l’Animus. Ces moments plus calmes poussent à fouiller chaque recoin pour comprendre ce qui se trame réellement dans l’histoire.
Le scénario est en plus très réussi. Il regorge de messages subliminaux et de détails cachés qui prennent tout leur sens lors d’une seconde partie. Plus vous approchez du grand dénouement et plus le jeu tente de briser le quatrième mur. La dernière énigme en est l’exemple parfait. Assez complexe sur console malheureusement, mais extrêmement bien pensée. Franchement bravo.
La durée de vie est honnête pour une première découverte. En prenant mon temps et en explorant chaque zone, j’ai mis environ douze heures. Et je conseille réellement de savourer cette première expérience, car la rejouabilité est hélas très faible. Les choix effectués au fil de l’aventure changent très peu de choses et les mondes sont quasiment entièrement linéaires. J’ai obtenu le trophée de platine en deux parties seulement et, en sauvegardant aux bons moments (il n’est pas nécessaire de refaire l’histoire plusieurs fois pour voir les cinq fins donc).
Le plus gros défaut du jeu reste les combats. Ils sont mous et donnent l’impression de tirer avec un pistolet à billes. Les ennemis ne réagissent pas toujours correctement, la visée sur console est bancale, et les affrontements contre les boss sont longs, ennuyeux et parfois buggés.
Le jeu souffre également d’une quantité de bugs impressionnant. Problèmes de son, animations ratées, freezes et autres soucis techniques viennent régulièrement casser l’immersion. Visuellement, le résultat est correct et même sympathique par moments, mais certains décors tombent complètement à plat. La modélisation et les animations de certains personnages semblent sorties d’une autre époque également.
C’est d’autant plus dommage que l’idée de base est géniale et que le récit fonctionne vraiment bien. Avec des combats mieux conçus et une stabilité graphique et technique solide, j’aurais pu lui mettre 7/10. En l’état, c’est beaucoup trop bancal.
Conclusion
A.I.L.A est un survival horror sympathique, imparfait mais clairement créé par des passionnés du genre, et cela se ressent constamment. Je peux pardonner beaucoup, mais je ne peux pas surnoter. Dommage… Dommage...
Note : 6/10
Les + :
- Le concept des multiples mondes
- Très bonne ambiance générale
- Scénario solide et accrocheur
- Les énigmes bien pensées
- Une durée de vie honnête pour un premier run (environ 12H)
- Une tonne de clins d’œil aux plus grands jeux et films d’horreur
- Un beau message autour de l’IA et un quatrième mur en PLS vers la fin
- Les monstres et l’ambiance du dernier monde qui rendent complètement parano
- Le dernier passage dans l’appartement absolument horrible...(dans le bon sens)
Les – :
- Des bugs de partout
- Un manque de finition très visible (PNJ, animations et autres détails)
- Des combats mous et mal conçus
- Les choix ne changent presque rien mis à part la scène finale
- Aucune sensation dans les coups (armes à feu également)
- Combats de boss longs et ennuyeux
- Rejouabilité quasi inexistante
Je vous laisse avec ma petite vidéo test maison sans spoilers (monstres, monde, scénario) d’une dizaine de minutes, si ça vous intéresse les amis. Bon visionnage.
Plutôt que de sortir des modes multijoueur bas de gamme et abandonnés en moins de six mois (coucou Resistance et Re:Verse), Capcom ferait mieux de développer un vrai spin-off de Resident Evil dans le style de la vidéo ci-dessous. Un retour assumé aux angles de caméra fixes et aux décors précalculés.
J’insiste sur le terme spin-off, car la série principale suit désormais la voie de la modernité, et revenir en arrière n’aurait aucun sens. Mais produire un jeu de ce type ne coûterait presque rien aujourd’hui et rapporterait énormément.
Même si la fanbase trentenaire et quadragénaire de Resident Evil n’est probablement plus majoritaire, elle reste néanmoins immense (des millions même). Je suis prêt à parier qu’un million d’exemplaires partirait en quelques jours pour un spin-off de ce type.
Je vous laisse avec la vidéo de la chaîne ROE, qui imagine ce que pourrait être un Resident Evil old school de nos jours en utilisant le R.P.D détruit de Resident Evil Requiem. Bon visionnage.
Je ne sais pas si ça a déjà été partagé, mais pour info, Resident Evil 5 est désormais jouable jusqu’à 4 en ligne en mode campagne sur PC. Malgré quelques bugs, c’est franchement rigolo. Plutôt que de vous montrer une vidéo complète de l’aventure (que tout le monde connaît) je vous ai compilé quelques passages pour vous donner un aperçu (dont du Wesker).
Une nouvelle vidéo overview dédiée au survival horror Code Violet vient d’être publiée sur la chaîne YouTube officielle de TeamKill Media. Au programme, des combats, de la survie, des énigmes et de la gestion des ressources, le tout présenté par l’actrice Alaina Wis qui incarne l’héroïne du jeu.
Code Violet sera disponible le 12 décembre 2025, exclusivement sur PlayStation 5 et uniquement en dématérialisé. Le prix reste néanmoins assez salé malgré le format, avec une édition Standard à 49,99 € et une édition Deluxe à 59,99 €.
Reste à voir si les fans de Resident Evil et Dino Crisis répondront à l’appel.
Pour celles et ceux qui suivent mon blog, vous savez très bien que je suis un amateur de musiques d’ambiance et qu’il m’arrive parfois de vous partager des save room de survival horror. Cette fois, j’écoutais dans mon coin la musique du thème aquatique de DK Country (un de mes jeux préférés de tous les temps).
Hélas, vous savez ce que YouTube m’a recommandé à droite de la vidéo ? Le boss de fin de DK Bananza en vignette…
Franchement, les gens qui balancent les boss de fin comme ça sur les vignettes YT juste pour des vues minables, c'est des gros rats, ils ont aucun respect et il savent très bien ce qu'ils font.
Bon après, c’est DK, un jeu de plateforme, la narration on s’en fiche un peu, mais voila quoi.
Ça vous est déjà arrivé aussi sur YouTube des méga Spoil comme ça ?
Je comptais le prendre fin 2026 (oui je suis patient) avec la Switch 2, quand il y aurait plus de jeux, donc ça fait un peu chier.
Ça m’a également rappelé le spoil du boss de fin d’Evil Within 2, de la même manière, alors que je n’avais joué que deux heures… (qu’est-ce que j’étais deg ce jour-là) ou la fin de God of War 3.
Capcom a une nouvelle fois remercié les joueurs ayant ajouté Resident Evil: Requiem à leur liste de souhaits.
Le titre vient en effet de franchir la barre des 3 millions de wishlists sur Steam, alors qu’il reste encore quelques mois avant sa sortie. C’est du jamais vu pour un survival horror et ce score dépasse largement les précédents jeux de la franchise.
C’est d’autant plus impressionnant que la communication autour du jeu s’est pour l’instant appuyée uniquement sur les deux premières heures, laissant les fans de la série comme les amateurs de survival horror dans un flou total.
Pour rappel, Resident Evil: Requiem sortira également sur Switch 2, le même jour que sur les versions Xbox, PlayStation et PC. Si la dynamique se maintient, le jeu pourrait devenir l’un des plus grands lancements de l’histoire de la franchise le 27 février 2026.
Le survival-horror Liminal Point s’offre un troisième trailer sur sa chaîne YouTube officielle.
Au vu de cette nouvelle bande-annonce, le jeu semble suivre le même chemin que Tormented Souls. On y retrouve une forte inspiration de Resident Evil pour le gameplay et les décors, ainsi qu’une influence évidente de Silent Hill pour le bestiaire.
Le tout est proposé en caméra asymétrique, avec un système d’esquive permettant d’éviter les attaques de certaines créatures.
Concernant la trame de départ, vous incarnez une ancienne étoile montante du rock qui retourne dans la ville d’Ashen Point pour tenter de retrouver Lyra, une membre de son groupe disparue.
Prévu pour 2026, Liminal Point sera disponible sur PS5, Xbox Series et PC.
C’est vraiment un jeu que j’attendais au tournant, surtout que le premier sur Xbox fait partie de mes jeux préférés all-time. C’est donc avec un grand plaisir que je vous partage ce test.
- Avis sans spoilers -
Comme d’habitude, je vais d’abord revenir sur toutes les qualités du jeu puis dans un second temps sur ses défauts.
On commence déjà par Yakumo et son gameplay. Pour moi, c’est une réussite totale. Je m’attendais à un jeune ninja agaçant façon Nero ou Dante du Reboot, avec des insultes et une attitude cool un peu ringarde, mais pas du tout. Il est froid comme la glace et ne parle que lorsque c’est utile. Ça fait un peu Dark Sasuke mais je préfère largement ça au show teen de service.
Son gameplay est divin avec une tonne de coups différents, un mode Carnage qui permet d’éliminer des hordes d’ennemis en one-shot, une agilité et une rapidité d’exécution folles, et de vraies sensations dans le maniement des armes. On n’a jamais l’impression de taper dans le vide comme dans certains jeux. Hormis la caméra et le lock qui font parfois n’importe quoi, c’est un gros 10 sur 10 pour le gameplay des combats.
J’ai par exemple découvert le jeu en Hard, en désactivant toutes les aides modernes, et j’ai bien ramassé comme il faut. Le bestiaire est lui aussi très réussi. J’ai comptabilisé 17 ennemis mineurs sans les variations, 14 boss (tous excellents) et un boss secret.
L’OST est exceptionnelle, notamment durant les combats de boss où la musique s’adapte à l’action à l’écran. Les fans de la bande-son de Metal Gear Rising seront certainement aux anges.
La durée de vie du jeu est très honnête. J’ai mis 17 heures pour en venir à bout en mode Hard avec environ 500 000 game overs, mais en réalité je dirais que le jeu tourne autour des 10 à 12 heures de jeu. Le bon point, c’est qu’une fois terminé, vous débloquerez une tonne de bonus qui donnent vraiment envie de replonger dedans. NG+, nouvelles missions annexes, défis, Ryu jouable, boss secret… c’est du tout bon.
Du côté des défauts, je n’ai pas apprécié les décors ni la direction artistique du titre. Le pire, c’est que l’ensemble affiche des graphismes dignes de la PS3. C’est très moche et indigne d’un jeu current gen. C’est assez paradoxal quand on sait que le premier épisode sur Xbox était en avance sur son temps sur tous les aspects cités précédemment.
Le level design est lui aussi catastrophique, avec des plateformes dispersées ici et là et des niveaux entièrement en ligne droite. Le level design n’a ni queue ni tête, un peu comme celui de DMC Devil May Cry, avec en plus de la peinture jaune partout parce que les développeurs estiment que nous sommes trop bêtes pour suivre une simple ligne droite menant à un boss…
Je suis également déçu du traitement réservé à Ryu, complètement en retrait, coincé une fois de plus avec ses quatre pauvres Ninpos de Ninja Gaiden 2 et son Épée du Dragon. Il doit en plus refaire exactement les mêmes choses que Yakumo dans quatre petits chapitres totalement oubliables.
Pour finir sur les défauts (et là c’est vraiment un reproche de fan), le mode Maître Ninja est ultra décevant. Je l’ai trouvé d’une facilité surprenante à tel point que j’ai dû volontairement me mettre des bâtons dans les roues pour prendre du plaisir à le terminer en activant l’option Désirs de mort et en m’interdisant les objets. C’est un comble pour celles et ceux qui ont connu l’enfer de cette difficulté dans les anciens volets.
Pour conclure Ninja Gaiden 4 est définitivement le jeu d’action de l’année mais il est vraiment triste de constater des défauts aussi énormes alors qu’ils auraient pu être totalement évités. Dommage. Le sans-faute sera peut-être pour le prochain en espérant ne pas devoir attendre encore treize années... En attendant, merci aux quatre mousquetaires (Microsoft, PG, KT et Team Ninja) et surtout, merci pour ta licence, Itagaki. À jamais.
NOTE : 8/10
Les + :
• Yakumo et son gameplay
• De vraies sensations dans les coups (on ne tape pas dans le vent)
• Bestiaire et combats de boss réussis
• Beaucoup de paramètres dans les options pour une expérience moderne ou rétro
• Une OST incroyable
• Une fin grandiose (le meilleur dernier chapitre de la saga)
• Très bonne durée de vie (environ 10 heures, NG+, bonus, défis, etc.)
• Une difficulté à la Ninja Gaiden mais…
Les - :
• … un mode Maître Ninja trop facile pour les anciens
• Un Ryu Hayabusa en mode Rachel dans Ninja Gaiden Sigma
• Un level design sans queue ni tête, saupoudré de peinture jaune
• Graphiquement indigne d’un jeu current gen
• Quelques problèmes de caméra et de lock sur les ennemis
Pour les curieux, voici les notes que j’attribue aux différents volets 3D de la saga :
-Ninja Gaiden = 10/10 (Xbox et Black)
-Ninja Gaiden 2 = 9/10 (Xbox 360)
-Ninja Gaiden 3 = 6/10 (Razor’s Edge)
-Yaiba: Ninja Gaiden = ? (jamais fait, et ça ne me donne envie pour rien au monde…)
Je vous laisse avec ma petite vidéo test maison sans spoilers d’une dizaine de minutes, si ça vous intéresse les amis. Bon visionnage.
Ça en devient presque comique. Le producteur de Resident Evil Requiem vient tout juste de démentir les récentes rumeurs concernant une tenue DLC pour Leon S. Kennedy ainsi qu’une future démo du jeu, qu’un nouveau gros leak fait déjà sensation sur les réseaux.
Et forcément, ça fait du bruit car cela provient de Duskgolem. Selon lui, un DLC majeur serait prévu après la sortie du jeu et mettrait en scène Alyssa Ashcroft (la mère de Grace) en rôle principal.
D’après ses déclarations, le DLC devrait se dérouler avant les événements de Resident Evil Requiem, plus précisément avant le prologue, puisque madame est assassinée à la fin de ce dernier. Reste à voir si tout cela se confirmera, mais en attendant, Duskgolem reste sûr de lui.
Lors d’une récente interview accordée au média Stevivor, le producteur de Resident Evil Requiem, Masato Kumazawa, a clarifié plusieurs points concernant les rumeurs qui circulent autour du jeu.
Selon lui, la rumeur affirmant que Leon aurait été aperçu avec un bandeau sur l’œil, ainsi que celle concernant un prétendu skin de précommande repéré sur le PSN, sont totalement fausses. Masato explique que cette fausse erreur du PSN, largement relayée sur les réseaux sociaux et même par certains sites spécialisés, était en réalité le résultat d’une modification générée par IA.
Il dément également l’existence d’une démo prévue pour la fin d’année ou le début de l’année prochaine. D’après lui, rien n’est en développement de ce côté-là car toute l’équipe est actuellement concentrée sur la production du jeu.
Des propos à prendre au pied de la lettre… ou une manière pour Capcom d’éteindre l’incendie ?
Quoi qu’il en soit, Resident Evil Requiem devrait très probablement donner de ses nouvelles aux Game Awards, avec pourquoi pas un nouveau trailer mettant en scène... Leon.
Le compositeur de Ninja Gaiden 4, Masahiro Miyauchi, a exprimé son mécontentement et sa déception sur son compte X officiel, après l’absence du jeu dans la catégorie Best Score & Music des TGA.
Certains fans n’ont pas hésité à le soutenir et à relayer ses propos (visibles ci-dessous). Masahiro a néanmoins félicité ses collègues pour la nomination du titre dans la catégorie Meilleur jeu d’action de l’année.
Reste à voir si le titre parviendra à décrocher le trophée le 11 décembre.
Eh bien, on dirait que nous n’avons pas été sélectionnés pour la catégorie Best Score & Music aux Game Awards 2025.
Je m’y attendais un peu, mais ça fait quand même mal.
Bref, Next.
Eh bien, pour Bayonetta 3, je n’ai absolument pas le droit d’en dire beaucoup puisque je n’ai composé que la musique de sélection des chapitres lol.
Mais en parlant purement en tant que gros gamer moi-même, j’ai ressenti exactement la même chose que toi (un fan) lorsque Bayonetta 3 n’a pas été nommé pour le Best Score & Music, ça paraissait vraiment bizarre.
Je pense que le plus gros problème, c’est que les jeux d’action « purs » ont tendance à être vus comme de simples « action games », sans rien d’autre qui mérite qu’on s’y attarde, alors qu’ils regorgent d’éléments de grande qualité au-delà de l’action.
Et aujourd’hui, concernant les cérémonies de récompenses vidéoludiques, c’est devenu en gros une guerre de promotion plutôt qu’une compétition basée sur la valeur intrinsèque du contenu (et ça vaut pour pratiquement toutes les catégories).
À ce stade, on a presque l’impression que tout se résume à « qui a sorti son OST sur Spotify ».
C’est sur la chaîne YouTube officielle du jeu que l’on peut découvrir cette nouvelle vidéo, qui met largement en avant son gameplay.
Au programme, de la gestion d’inventaire, une ambiance old-school, des monstres cauchemardesques, des énigmes à résoudre, et le tout sous une caméra asymétrique.
Pas de date de sortie pour le moment, mais comme d’habitude, le jeu est prévu sur PS5, Xbox Series et PC.
Ce survival-horror atypique vous placera dans la peau d’un jeune joueur plongé dans des mondes plus vrais que nature grâce à une intelligence artificielle.
L’originalité du titre repose sur cette IA, qui cherchera en permanence à vous effrayer en modifiant les niveaux afin de repousser vos limites. Chaque niveau adoptera un thème bien distinct, tels que de l’horreur à l’époque médiévale, des séquences d’action où l’on repousse des vagues de monstres armés jusqu’aux dents, l’exploration d’une maison sinistre aux faux airs de Resident Evil 7 ou encore de l’horreur psychologique plus subtile et posée.
Bref, il y aura de quoi faire, même si l’on ignore encore si les différents niveaux apparaîtront selon notre façon de jouer ou s’ils suivront un ordre prédéfini.
L’idée est plutôt sympathique, et le jeu sortira prochainement : le 25 novembre 2025, sur PS5, Xbox Series et PC, au prix de 24,99 €.