Les éditions Meian précise la date de sortie du manga de Foot Be Blues qui proposera une sortie simultané des 5 premiers volumes le 6 décembre prochain au prix de 6.95€ le tome.
Synopsis : Ryû Ichijô, un jeune garçon passionné de football, rêve de pouvoir un jour porter les couleurs du Japon.
À l'aide de ses meilleurs amis, les jumeaux Yûto et Yuki, il désire gagner son premier tournoi pour participer aux nationales ! Les recruteurs s'arrachent ce garçon considéré par tous comme un jeune prodige qui "sent l'odeur des buts". Mais parfois, il suffit d'un malheureux coup du sort pour que tout s'écroule un beau jour.
Le film Mobile Suit Gundam : Seed Freedom aura droit à un préquel nommé Seed Freedom Zero. Il est actuellement en cours de production et le réalisateur Mitsuo Fukuda indique que la moitié des story-boards avaient déjà été réalisés et que le projet est prêt depuis 20 ans.
Les doublages ont d’ores et déjà été enregistrés et d’autres informations seront communiquer ultérieurement.
Ki-oon sortira le 23 janvier prochain le manga Sanda de Paru Itagaki ( Beastars ) dont le premier tome sera proposé au prix de 6.95€. Coté animé , le studio Science Saru ( Dandadan , Devilman Crybaby ) est au commande et est déjà en cours de production.
Synopsis : Quand Kazushige Sanda est menacé de mort par sa camarade de classe Shiori, il prend ça à la légère... jusqu'à ce qu'elle le poignarde réellement ! Son but : pousser le garçon à bout pour qu'il dévoile son identité de père Noël ! Pourtant, ça fait bien longtemps que la fête a disparu et que plus personne ne croit en sa magie. Mais Shiori en est certaine, Kazushige est le dernier descendant de la lignée, et surtout son dernier espoir de retrouver sa meilleure amie, portée disparue... Après tout, le père Noël n'est-il pas censé exaucer les souhaits des enfants ?
Kazushige s'en sort de justesse en se transformant en adulte à barbe blanche et à la carrure de bodybuilder ! Pour autant, il n'a jamais assumé ce rôle légendaire et découvre ce corps pour la première fois... Il n'a aucune idée de ses pouvoirs ni de la manière de les contrôler, mais il accepte d'instinct la mission confiée par Shiori !
A défauts d’avoir des nouvelles de la suite de l’animé , les éditions Delcourt/Tonkam annonce le premier coffret de la partie 7 Steel Ball Run qui arrivera le 4 décembre prochain au prix de 89,95€. La série s’achèvera avec la sortie du second coffret prévu courant 2025 pour un total de 24 tomes.
La première partie de la saison final de Beastars se présente en trailer pour une diffusion le 5 décembre prochain sur Netflix. La partie 2 est prévu courant 2025.
La première partie du film « Mononoke Un fantôme sous la pluie » s’offre un trailer spécial pour sa sortie le 28 novembre sur Netflix.
Synopsis : Au sein du harem d'Edo, deux nouvelles venues se heurtent aux intrigues politiques, aux rivalités et à un esprit vengeur que seul un apothicaire itinérant peut vaincre.
Le super livre Dragon Ball tome 4 arrive le 4 décembre prochain au prix de 32€. Dans ce nouvelle ouvrage , on y retrouve le super dictionnaire de l’univers de Dragon Ball qui concerne les techniques , les lieux emblématiques et objets.
Inspiré du roman éponyme de Tetsuko Kuroyanagi , le film d’animation « Totto-Chan, la petite fille à la fenêtre » sortira prochainement le 1er janvier en France. Réalisé par Shinnosuke Yakuwa (Doraemon no Nobita no Getsumen Tansaki) au studio d’animation Shin'ei Animation , ce long métrage aura deux avant première à la fin du mois ( pour les parisiens) le dimanche 24 novembre 2024 à 20h, et le mardi 26 novembre à 14h au forum des images.
Synopsis : Tôkyô, début des années 1940
Tetsuko, alias "Totto-chan", mène la vie dure à son institutrice qui finit par la renvoyer. Ses parents l'inscrivent alors à Tomoe, petite école éprise de liberté où de vieux wagons font office de salles de classe.
Là-bas, l'expérience de la vie est aussi importante que les leçons. Et grâce à un directeur atypique, Totto-chan réapprend à respecter les autres et à s'estimer elle-même. Elle prend goût à l'étude, assume ses échecs et gagne en autonomie, écrit des haïkus et rêve de danser. Elle comprend aussi ce que sont le racisme et l'intolérance, et découvre la guerre.
Dévoilé lors du festival de Cannes 2024 , le documentaire « Hayao Miyazaki et le Héron » qui dévoile les coulisses de la réalisation du « Garçon et le Héron » sera à découvrir le 22 et 23 novembre dans les salles françaises.
Nouveau visuel et trailer pour la saison 2 de No Longer Rangers qui sera diffusé en avril prochain sur Disney+
La saison 2 de l’anime Toilet-Bound Hanako-kun dévoile un premier trailer pour une diffusion le 12 janvier 2025 sur Crunchyroll.
PS Les trois premiers épisodes de la saison 2 d’Arcane sont dispo et le début est juste totalement dingue !
Hayao Miyazaki et le Héron m’intéressent grandement. Bon, déjà ne serait-ce que parce que n’importe quel documentaire sur ce maître est digne d’intérêt et suffisamment rare pour en faire un événement. Mais en plus, ce film présente des éléments qui, personnellement, m’ont dérangé ou plutôt manqué en tant que spectateur ; aucun de ses autres films ne m’avait provoqué ça.
J’ai eu la sensation qu’il s’agissait d’une autobiographie et d’un deuil qui ne s’assumaient pas pleinement, en ne dévoilant pas tout ce qu’il aurait dû pour qu’on plonge vraiment en profondeur dans la psyché. C’est comme si le côté trop pudique de la culture japonaise empêchait le conteur de vraiment développer le fond de ses personnages (qui sont pourtant ses miroirs). Cela a pour résultat un traitement parfois superficiel des événements et des personnages (qui sont pourtant bien caractérisés). Les scènes choc post-traumatiques sont magnifiquement réalisées, mais au final, elles ne sont pas suffisamment exploitées. On effleure la surface du fond, mais on remonte très/trop vite, là où, dans Chihiro ou d’autres œuvres, il y a une vraie densité.
Mais le maître, c’est lui, donc je le reverrai, et sûrement différemment.
J’ai eu la sensation qu’il s’agissait d’une autobiographie et d’un deuil qui ne s’assumaient pas pleinement, en ne dévoilant pas tout ce qu’il aurait dû pour qu’on plonge vraiment en profondeur dans la psyché. C’est comme si le côté trop pudique de la culture japonaise empêchait le conteur de vraiment développer le fond de ses personnages (qui sont pourtant ses miroirs). Cela a pour résultat un traitement parfois superficiel des événements et des personnages (qui sont pourtant bien caractérisés). Les scènes choc post-traumatiques sont magnifiquement réalisées, mais au final, elles ne sont pas suffisamment exploitées. On effleure la surface du fond, mais on remonte très/trop vite, là où, dans Chihiro ou d’autres œuvres, il y a une vraie densité.
Mais le maître, c’est lui, donc je le reverrai, et sûrement différemment.