Nous remarquons depuis quelques années maintenant un retour en force des zombies sur nos grands écrans, revenus d'Enfer en odeur de sainteté pour avoir renoué avec le succès. Pour ce qui est de la fesse, en revanche, son succès ne s'est jamais démenti. Alors quand on est un producteur ou un réalisateur un peu malin et que l'on veut se démarquer d'une production qui ne prête en général pas à la bagatelle, à quel constat allez-vous très vite arriver ? Oui, exactement, il faut faire un film sexy avec des zombies ! C'est ce qu'avaient dû se dire l'équipe derrière Zombie Strippers, dont nous vous entretenions il y a quelques temps, et c'est ce qu'ont dû se dire pareillement les créateurs de ce Zombies ! Zombies ! Zombies !, au postulat assez similaire : des filles sexy et des zombies, rien de plus. Et c'est déjà pas mal. Le film nous apprend ainsi qu'il ne faut pas ennuyer les strip-teaseuses car, malgré leur apparence fragile et délicate, celles-ci se révèlent en effet être de vraies furies, pouvant en découdre avec un ours à mains nues ou bien foutre à la porte les gros lourds aux mains baladeuses. Alors, quand une expérience chimique tourne mal et que des hordes de zombies prennent d'assaut le club où travaillent Dakota, Harley et leurs copines, ce n'est pas au videur que revient la tâche de nettoyer la place mais bien à des jeunes femmes dont les tenues sont aussi légères que leurs pétoires sont grosses. Zombies ! Zombies ! Zombies ! est bien évidemment un film réservé au marché de la vidéo (le jour où les multiplexes diffuseront de telles oeuvres, ce sera carnaval !) et, s'il n'est pour l'instant pas annoncé pour le marché français, sachez au moins qu'il sortira en DVD le 9 septembre aux Etats-Unis, puis le 6 octobre prochain en Z2 anglais. Donc ça se rapproche, et tout espoir n'est pas perdu de pouvoir un jour admirer ces jolies demoiselles (des models de diverses revues -ce qui n'implique pas forcément de grands talents d'actrice, mais tant pis- en plus de la starlette de la série Z Tiffany Shepis) en édition française !!!

BA ZOMBIES ! ZOMBIES ! ZOMBIES

Après des années de combat acharné, le nouveau Kassovitz débarque enfin sur nos grands écrans. Le réalisateur de la Haine a-t-il réussit à remonter la pente après le très moyen Gothika et est-ce que l’Amérique lui réussit ?

Toorop est un mercenaire qui a mené beaucoup de guerre. Un mafieux européen lui confie une mission : livrer une jeune fille de Russie jusqu’à News York. Si il réussit, ses antécédents seront effacés et il sera plus qu’un homme dans la foule. Mais que cache cette jeune femme ? Et pourquoi c’est lui qui a été choisi alors que tant de mercenaire serait propice à la situation ? Si le pitch vous rappelle un film, c’est normal, il ressemble fortement au chef d’œuvre de Cuaron, Les fils de l’homme. Tout y est pour que les deux films soient rapprochés : une ambiance apocalyptique, une jeune femme a escorté et un homme qui sait pas vraiment se qu’il fout là. Les points communs s’arrêtent là ! Adaptation du livre Babylon Babies, Babylon A.D. est une œuvre à laquelle Kassovitz tenait beaucoup. Afin de le mener à bout, il a dû en chier ! Notre frenchi partait avec des intentions de colosse mais il s’est très vite heurté à la montagne Hollywood. Rappelons quand même que les producteurs n’ont pas laissé Kassovitz faire se qu’il désirais et qu’ils ont voulu absolument formaté le film pour le grand public. Un tournage épuisant d’après son réalisateur et, de plus, il se murmurait que la tension entre Vin Diesel et Kassovitz était assez fréquent en vu des retards de l’acteur sur le plateau. Quand on sait que notre petit réalisateur avait réalisé l’exercice Gothika juste pour s’attribuer la confiance des producteurs, il y a de quoi se demander si on se foutrait pas un peu de sa gueule ? Et si Kasso n’aurait pas fait mieux de rester en France ?



Laissons de côté tout les incidents « techniques » et penchons nous enfin sur le résultat. Babylon A.D pose son ambiance dés le début, le monde va mal, les gens vivent dehors et les terroristes sont plus présent que jamais, un monde mêlant technologies et pauvreté. Après avoir jouer l’agent secret, le fou de la nuit, la nounou, voilà Vin Diesel en mercenaire solitaire. Pas de problème au niveau de sa prestation sauf, que sa voix est un peu ratée à mon goût. Un doublage un peu trop « racaille » avec un vocabulaire qui va de paire. Michelle Yeoh qui n’était pas trop à sa place dans le dernier opus de La Momie, trouve ici un juste équilibre et est assez convaincante en bonne sœur adepte du kung-fu. Le reste du casting donne l’honneur au français et dans des rôles assez inattendus. Mélanie Thierry en jeune fille porteuse d’un virus ayant un regarde innocent sur un monde qu’elle ne comprend pas, Depardieu en mafieux au gros pif, Lambert Wilson en scientifique et Charlotte Rampling en méchante créatrice de secte religieuse. Les deux hommes s’en sortent pas mal mais la dernière n’échappe pas aux clichés récurrents. Sur un fond de politico-religeux, Kassovitz ne transforme pas l’essai qu’on lui a accordé, il use du genre et propose tous se qui a déjà été fait : bullet time, le héro croit enfin en se qu’il n’a jamais cru et devient gentil, une love story impossible.



Un résultat de 1H40 qui ne va jamais jusqu’au bout de se qu’il propose. Impossible de s’attarder sur les personnages et leur passé. Seul le léger retour en arrière de Toorop nous laisse entrevoir une enfance difficile, un passé de guerre et de débauches. La réalisation reste dans l’ensemble de bonne facture sauf lors des combats, brouillons et mal filmé. Un peu le même syndrome que dans Batman Begins : des fights violents mais filmé de prés, donc illisible par moment. Les scènes d’actions sont par contre bien maîtrisées mais les effets bullet time en tendance à donner un aspect brouillon. Visuellement, il faut reconnaître à Kassovitz d’avoir fourni un travail superbe (le New York futuriste est assez impressionnant, le sous marin de même). Un point noir : la BO. Elle penche d’un côté hip-hop mal branlé qui ne colle pas trop au trip du film je pense.

Babylon A.D est un bon film, pas une référence ou une nouvelle œuvre majeure dans le genre mais malgré la catastrophique direction du projet, on ne pas vraiment bouder devant le résultat. Déçu ? Comment ne pas l’être de tout façon. Trop court, brouillon dans sa narration, illisible dans les combats et expédiant la fin trop vite, c’est sûr, on peut bouder ! Mais Babylon A.D possède ce charme venant d’autre part, un charme non novateur mais contrastant parfaitement l’ensemble du projet et le résultat final, Kassovitz peut en tout acs être fier d’avoir mener son bébé à bout, il s’avère être un divertissement d’honnête facture. Pour un livre jugé « inadaptable », c’est d’autant plus réussit !

Même pas sorti en France et déjà une suite aux Etats-Unis. Le film de Bryan Bertino The Strangers sorti cette année aux Etats-Unis avec Liv Tyler et Scott Speedman, aura en effet une suite. Dans ce film, un couple est traqué par trois dangereux inconnus masqués dans une maison de banlieue isolée. Une sorte de Funny Games moins en huis-clos, basé sur une histoire vraie. Bryan Bertino, également scénariste, avait signé avec ce film son premier long-métrage. C’est la maison de production, Rogue Pictures, qui vient de lui demander de se lancer dans l’écriture d’un prolongement à ce premier film, où on attend à nouveau Liv Tyler devant la caméra. Le début de la réalisation est programmé pour le début de l’année prochaine. La mise en route de ce projet est certainement motivée par le succès du film aux Etats-Unis. Avec un budget de 9M$, le film avait rapporté 54M$ et va enfin traverser l’Atlantique, puisqu’il doit débarquer sur les écrans anglais cette semaine. Les producteurs espèrent ainsi décliner le film sur le modèle d’autres sagas du genre telle que Saw. Bryan Bertino travaille également à l’écriture de Black , un thriller surnaturel., qu’il devrait également diriger. Il est chargé par ailleurs de réécrire le scénario d’un autre thriller, Alone , toujours pour le compte de Rogue Pictures qui devrait encore une fois lui laisser prendre les rênes de ce film. inspiration, quand tu nous tiens...

Alors que George Clooney et Brad Pitt étaient en présentation hier soir du dernier film de Joel Coen et Ethan Coen, Burn After Reading, à la 65ème Mostra de Venise, une autre nouvelle met en lumière monsieur "What Else". L'acteur pourrait bien rejoindre le cast de Up in the Air, le prochain Jason Reitman. Le film serait une adaptation du roman du même nom de Walter Kirn prévu pour être produit par DreamWorks. George Clooney y jouerait un impitoyable responsable des ressources humaines dans une compagnie aérienne américaine. Le projet est toujours rattaché à Montecito Picture Company qui gère la distribution du film avec DreamWorks. Up in the Air, le roman, a déjà eu une carrière en coulisses quelque peu mouvementée. En effet, celui-ci était précédemment rattaché à Fox 200 et Everyman Pictures, la compagnie de Jay Roach. Montecito obtient les droits du livre en 2004 accompagné d'un premier script signé Sheldon Turner (scénariste de The Longest Yard) avec Ted Griffin à la production. Jason Reitman a rejoint l'adaptation juste après Thank You for Smoking, mais il mit sa participation en pause suite à la lecture du script d'une certaine Diablo Cody, Juno ; vous connaissez la suite ... Le réalisateur retourne ainsi au projet Up in the Air d'ici à l'automne prochain pour une sortie pas prévue avant 2009 au plus tôt ; Patience est mère de sûreté !

Spider-Man 4 ouvre ses portes au public ! Enfin presque, Sony Pictures met une enchère des plus alléchantes sur eBay (sortez le porte-monnaie !) et permettra au gagnant de visiter l'ensemble du plateau pendant une journée de tournage. Il pourra également participer à un rassemblement avec tout le casting du film pendant une heure, assister à la première de New York, habillé en conséquence par la production, et fouler de ses pas le fameux tapis rouge. Mais comme toute bonne nouvelle est accompagnée de son lot de doutes, Sony Pictures annonce tout de même que ce quatrième opus n'est pas encore confirmé et précise "Si l'expérience ne peut pas être accomplie, Sony Pictures proposera des visites alternatives sur d'autres films selon les disponibilités." Les enchères se terminent le 5 septembre, l'offre la plus élevée est pour l'instant de 5000 dollars. Ami-lecteur, il est encore temps de participer ... En attendant découvrez un assez beau fake de la chose ^^

Le film choc tant attendu de Pascal Laugier, Martyrs, sort la semaine prochaine chez nous. Mais si je tenais à en parler c'est car 4 petits avants premiers vont avoir lieu. Les petits chanceux qui pourront s'y rendre auront rendez vous :

- Paris : Lundi 1er Septembre / UGC Ciné Cité les Halles / 20h15 (en présence de l'équipe)
- Clermont Ferrand : Vendredi 29 Août / Cinéma Les Ambiances / 20h
- Pau : Lundi 1er Septembre / Méga CGR / 20h et 22h
- Strasbourg : Vendredi 29 Août / Star St Exupéry / 22h
- Buxerolles : Lundi 1er Août / Mega CGR / 20h et 22h15

Les autres attendrons (comme moi) e 3 septembre pour découvrir le film dont la critique pro est unanime à son sujet, tous sont d'accord, c'est un chef d'oeuvre. Oh que j'ai hâte !

Dès son premier épisode, la série The Shield s'est imposée comme un des polars hardboiled les plus prometteurs du paysage audiovisuel américain il y a maintenant plus de six ans. Et force est de constater qu'on fut loin d'être déçus tant par la direction donnée à la série par son créateur Shawn Ryan que par l'interprétation des différents acteurs ayant participé à l'aventure. Benito Martinez fait partie de ces derniers. Six ans durant, il a incarné au sein de la série le personnage de David Aceveida, initialement chef de police du commissariat de Farmington dans la banlieue sud de Los Angeles avant de gagner du galon, de viser et d'obtenir une place de choix à la mairie de la ville. Interviewé par le site américain Movieweb, l'acteur s'est laissé aller à quelques confidences concernant cette dernière saison, dont le tournage s'est achevé en pleine grève des scénaristes sous la direction de Michael Chiklis. Celui-ci, producteur de la série, est également l'interprète du fameux Vic Mackey, son personnage principal. Un fait qui n'était pas si évident pour Martinez quand il a intégré le show à ses débuts : « La première fois que j'ai reçu le personnage, le rôle et tout le reste, j'ai pensé, et c'est cela qui est amusant quand on voit le rôle par les yeux de son personnage, j'ai cru que la série serait à propos de moi, et que cela allait parler de la vie personnelle de David, ses accomplissements, quel homme bon il est, et j'ai toujours vu la série sous cet angle. Une partie de mon cerveau me dit que j'ai tort, que c'est quelque chose d'autre. Mais une autre partie continue de me dire que c'est mon histoire, mon voyage. Quand cela a commencé à se développer et que des complications sont apparues à propos de diverses choses concernant David, faisant des erreurs et volant le vélo d'un enfant en croyant que c'était la bonne chose à faire, ils ont montré beaucoup de merveilleuses choses concernant la nature humaine, pour tous les personnages. Mais j'ai vraiment aimé la manière dont [les scénaristes] ont opéré sur David (...). On ne voit jamais ce genre de choses avec les figures politiques propres sur elles à la télévision. On ne voit jamais les petites erreurs qu'ils font, et les petits défauts qu'ils ont. En faisant cela sur [The Shield], vous avez une perception réelle de qui ils sont, de leur vie, de la personne dans son ensemble. Et encore, au même moment, nos personnages passent leur temps à cacher ces défauts pour que personne ne voie leurs faiblesses. Ils ont fait un travail fantastique et je pense qu'ils ont pris leur pied à le faire ». Qui plus est, la série à également contribué à montrer aux autres chaînes du câble qu'HBO n'avait pas le monopole des bons dramas criminels : « Je ne pense pas que l'on ait changé la nature du genre [mais] je pense que le plus grand effet qu'à eu la série, et qui perdure encore aujourd'hui, a été de produire une série d'une telle qualité sur le câble. Nous avons d'une certaine manière enfoncé les portes en montrant qu'il était possible de produire de la télévision de cette qualité ailleurs que sur HBO. F/X a continué sur cette lancée avec de fantastiques séries dont les derniers exemples sont Damages et Sons of Anarchy qui débute cet automne. The Closer, Saving Grace et d'autres noms qui m'échappent ont également émergé. Je ne sais plus si c'est AMC ou A&E qui a récemment produit Mad Men, mais vous avez un bon nombre de séries merveilleuses qui ne seraient jamais retenues par les Networks. Je pense que c'est ici que réside notre héritage, le fait que nous avons pu ouvrir les limites de ce territoire, et permettre l'avancée de la qualité de l'industrie ». Bien évidemment, la question qui nous brûle les lèvres concerne le devenir de son personnage. Et l'on sera heureux d'apprendre que le sort qui lui est réservé convient très bien à l'acteur. « J'aurais voulu que l'on voit plus David servir la communauté et voir quels changements ses actions ont apporté. Mais vous savez, cela paraît bien maigre par rapport à ce que [les scénaristes] ont réussi à faire. Je dois vraiment dire que je suis content et satisfait du voyage qu'était David (...) A chaque fois que je parle de The Shield, j'en parle de trois perspectives différentes, parce que je suis également un fan de la série. Je suis amoureux des autres personnages, leur parcours, leur travail. Mais en tant qu'acteur, j'adore recevoir un matériel si riche et devoir travailler dessus. En tant que personnage, est-ce que mon parcours s'est achevé ? Sur tous ces niveaux, je dois dire que la septième saison me satisfait pleinement. C'est un de ces moments impressionnants et j'espère que tout le monde l'appréciera autant que nous avons aimé tout mettre en place, et autant que nous sommes fiers de ce qu'ils sont sur le point de voir ». Et afin de faire les choses dans les règles, les scénaristes ont décidé de ne pas achever leur série comme s'est achevée la saga des Soprano. Une nouvelle rassurante pour les fans qui devraient être d'autant plus excités de ne pas subir les affres d'une fin ouverte. « En ce qui nous concerne, nous avons en quelque sorte écrit un livre. Je compare toujours cela à un livre. Nous avons eu des personnages riches, certains sont morts en chemin, mais quand vous achevez un bon livre, vous savez que vous avez satisfaction, au moins concernant certains points. Vous savez que vous avez de l'espoir pour certains personnages dans l'avenir. C'est ce que nous avons fait ; nous avons écrit un bon livre, et c'est un beau chapitre final (...) Nous pouvions encore avoir deux saisons, les scénaristes n'avaient encore qu'égratigné ce qu'ils pouvaient révéler et expérimenter sur certains personnages. Mais nous ne voulions pas finir comme New York Police Blues. Cela continuait sans vraiment avoir de direction et cela s'est arrêté on ne sait où. Nous savions que nous voulions avoir la chance d'une véritable fin, et Shawn a donc déclaré à la chaîne : « Dites nous quand il sera temps d'arrêter, et je m'arrangerai pour que nous ayons vraiment une fin digne de ce nom ». Et quand nous avons débuté la saison, nous nous disions « allez, ça ne peut pas être la dernière ! ». C'est alors que les scripts ont commencé à arriver, et nous commencions à voir des intrigues se fermer de part et d'autre. On se disait « Oh, ça, c'est bon ». On pensait que ça allait dans la bonne direction, qu'il était temps d'achever certaines choses et d'avancer. Donc on ne voulait pas trop en terminer, mais nous avons réalisé que c'était ce qu'il y avait de mieux pour la série, plutôt que de laisser les choses s'éterniser ». On terminera en sachant juste que Mackey et Aceveida font toujours équipe au début de cette nouvelle saison, comme ils le faisaient déjà à l'issue de la précédente « Mais les choses vont très vite se compliquer. Chacun veut que l'autre lui soit utile. L'un dit toujours à l'autre, « je veux bien t'aider mais on fait mon truc d'abord ». On fait cela très vite et les choses dégénèrent rapidement. Donc on commence ensemble mais on ne le reste pas très longtemps ». Alors qu'on attend une apocalypse narrative, on n'aurait pas voulu que les choses se passent autrement.

C'est peu de dire que la strike team de Vic Mackey nous a manqué depuis la courte saison de 10 épisodes l'année dernière, d'autant que cette année verra l'ultime apparition de ces derniers à l'écran. C'est sans doute pour cela qu'après les révélations faites par l'acteur Benito Martinez et le sublime poster promotionnel du show, les nouvelles images issues des épisodes deux et trois de la saison à venir de The Shield nous électrisent autant. Toutes fraîchement tombées mais ne révélant finalement pas grand-chose de nouveau (même si voir Shane et Mackey dans une même pièce a quelque chose de presque mystique), ces nouvelles images montrent que les agressions qui se déroulent à Farmington, foyer du Barn, la fameuse église transformée en commissariat dont nous suivons les péripéties depuis maintenant sept ans, ne sont pas prêtes de diminuer et sont toujours aussi violentes. Ces images permettent également de supposer que les choses tourneront rapidement au vinaigre entre Vic et David Aceveida. Claudette est bien évidemment toujours de la partie, mais il faudra sans doute attendre encore un peu pour savoir qui des personnages déjà croisés dans les autres saisons seront de retour pour un final annoncé comme une véritable galerie de vieilles connaissances. Rendez vous dès le 2 Septembre prochain sur F/X pour en savoir plus, et, on l'espère très rapidement sur Canal +.

Dans la lignée de Paris, Je t'aime sorti en juin 2006 qui regroupe des histoires d'amour de 5 minutes dans différents quartiers, le projet New York, I Love You prend forme avec une équipe de réalisateurs venus de différents horizons, sous la coupe du producteur Emmanuel Benbihy. Derrière la caméra, rien de moins que Yvan Attal, Fatih Akin, Scarlett Johansson, Shekhar Kapur, Mira Nair, Natalie Portman, Brett Ratner, Jiang Wen, etc. Pas de quoi rougir non plus côté acteurs avec : Kevin Bacon, Justin Bartha, Maggie Q, Orlando Bloom, James Caan, Hayden Christensen, Blake Lively, Julie Christie, Bradley Cooper, Chris Cooper, Drea De Matteo, Carla Gugino, Ethan Hawke, etc. Découvrez le teaser ci-dessous :

TEASER NEW YORK, I LOVE YOU

Si tu vas a Rio, n'oublies pas de monter là-haut et de t'afficher si tu peux sur le magazine brésilien SET. C'est sur ce petit air de samba que quatre des super-héros de Watchmen - Les Gardiens dévoilent aujourd'hui leur faciès sur papier glacé. Doté d'un casting impressionnant - Jackie Earle Haley, Matthew Goode, Billy Crudup, Malin Akerman, Carla Gugino, Patrick Wilson, Stephen McHattie, Jeffrey Dean Morgan,Matt Frewer - le film du réalisateur qui n'arrête pas de monter (il s'appelle Zack Snyder pour ceux au fond de la classe) sortira sur les écrans français le 18 mars 2009.