Dominé par Valenciennes (2-3), l'OM a encaissé samedi sa deuxième défaite d'affilée. Sur le terrain, comme en coulisses, le champion de France n'est pas au mieux. Et c'est rien de le dire.

Ce samedi matin, au moment de présenter le déplacement de l'OM à Valenciennes, le quotidien L'Equipe titrait "Droit dans le mur ?". Après la prestation des champions de France à Nungesser (2-3, comme la saison passée), on peut - après quelques hésitations tout de même - faire sauter le point d'interrogation. En coulisses, c'est un sacré pastis. Sur le rectangle vert, c'est à peine plus clair. Ce ne sont pas les deux buts inscrits lors des dix dernières minutes, par Taiwo sur penalty (82e) et A. Ayew (85e) qui réconforteront Didier Deschamps et ses dirigeants. Car si Marseille - dernier ce soir - s'est incliné, c'est avant tout parce qu'il a a affiché trop de lacunes, aussi bien défensives qu'offensives. C'est aussi parce que les joueurs olympiens ont oublié de jouer du retour des vestiaires au dernier quart d'heure.



On l'a compris, l'OM cherche un attaquant d'envergure internationale depuis de longues semaines. A voir la prestation offensive offerte face aux hommes de Philippe Montanier, on ne peut que lui conseiller de se dépêcher. Ne pas cadrer un tir avant la 72e minute de jeu est indigne d'un champion en titre (3 au total à la fin de la partie), qui plus est sous pression après sa défaite inaugurale devant Caen (1-2). Mais le visage affiché dans le Nord amène à se poser d'autres questions. Outre l'atmosphère actuelle au sein du club, clairement de nature à fragiliser le vestiaire, c'est la passivité défensive des Phocéens qui a précipité leur chute. Sur les trois buts encaissés par Steve Mandanda (Danic, 48e, et Pujol, 53e et 62e), la responsabilité d'Azpilicueta et d'Heinze est clairement partagée. Et comme Leyti N'Diaye n'a pas encore l'impact physique d'un Mbia ou d'un Diawara, c'est l'ensemble de l'arrière-garde marseillaise qui a pris le bouillon en seconde période. Devant, l'OM inquiète. Derrière, aussi.



Niang, retour vers le futur

Ce match, Mamadou Niang ne voulait pas le jouer. Une blessure et le Sénégalais pouvait dire adieu aux 4 millions d'euros net par an qui l'attendent à Istanbul (une clause du contrat signé avec Fenerbahçe stipule que celui-ci devient caduc en cas de pépin physique).

Réquisitionné par Didier Deschamps, le capitaine olympien n'a - à aucun moment - semblé disputer cette partie avec le frein à main. Mais l'espace de 57 minutes, on a cru revoir le Niang d'il y a quatre-cinq ans. Particulièrement maladroit, le Sénégalais a eu l'occasion - à plusieurs reprises - d'inscrire son 101e but sous les couleurs phocéennes. A chaque fois, le numéro 11 olympien a fait le mauvais choix.


Il a tout d'abord manqué le cadre alors qu'il avait tout le loisir de placer une tête imparable. Il s'est ensuite trompé de pied au moment de conclure une offrande de Taiwo (25e). Enfin, seul face à Penneteau, il a glissé en voulant servir Valbuena (43e) alors qu'un attaquant en confiance n'aurait eu aucun scrupule à jouer sa carte personnelle. A croire que Niang avait quelque chose à se faire pardonner auprès de ses coéquipiers...

Sorti par son entraîneur avant l'heure de jeu (57e), le futur ex-Marseillais s'est avachi sur le banc, son haut de survêtement sur le visage pour masquer sa déception de quitter l'OM ainsi. Une page s'est tournée. A Marseille, Niang en a vécu des crises. Celle-ci, il la suivra de loin.

Marseille débute la saison par une défaite contre Caen (1-2). Une bien mauvaise entame pour le champion en titre qui jouait devant son public.

On attendait l'Olympique de Marseille, le champion sortant. Et finalement, au Stade Vélodrome, on a vu Caen, un promu sans complexe, dont l'objectif cette saison sera d'éviter de refaire l'ascenseur. Plus de deux mois après son titre, l'OM a donc débuté ce nouvel exercice de la plus mauvaise des manières : par une défaite à domicile (1-2). Ça fait un peu désordre. Cette première copie olympienne est assez brouillonne : manque de rythme, peu de complicité et difficulté de se plonger vers l'avant. L'équipe de Didier Deschamps est encore en rodage, c'est une évidence, alors qu'elle n'a pas bouclé son mercato. Un milieu (Alou Diarra ?) et un attaquant de renom (Fabiano, Gilardino, Suarez ?) sont toujours attendus sur la Canebière. Les attentes sont encore plus grandes à l'issue de ce résultat qui ne peut satisfaire l'ambiteux entraîneur phocéen.



Pourtant, Marseille avait bien débuté. Lucho a allumé la première mèche au quart d'heure de jeu, comme pour confirmer la domination évidente de son équipe. Mais cette emprise sur le jeu s'est estompée au fil des minutes. Caen s'est enhardi, a pris de plus en plus confiance. Nivet (24e), Mollo sur le poteau (25e), Nivet (39e) puis El Arabi ont fait douter la défense olympienne, où officiait le jeune Ndiaye en charnière centrale au côté du taulier Mbia.

Cette domination normande a été récompensée au retour des vestiaires avec l'ouverture du score signée Seube, auteur d'une belle frappe de 25 mètres que Mandanda a mal jugée (52e). Deschamps a alors choisi de miser sur Ben Arfa et Samassa, deux joueurs qui devraient paradoxalement quitter le club dans quelques jours. Mais l'OM est longtemps resté apathique, sans idée, et le ciel a bien failli lui tomber dessus sans un sauvetage somptueux d'Azpilicueta à l'entrée de la surface (57e). C'était bien avant l'égalisation signée... Samassa (78e). Coaching gagnant. L'OM pensait être revenu de l'enfer. Mais c'était sans compter sur l'insouciance caennaise. La jeunesse normande était au pouvoir et elle a gardé les commandes jusqu'au bout avec en prime le deuxième but, celui de la victoire, signé El Arabi (85e), lequel est bien parti pour être l'une des révélations de ce Championnat.



Match que Caen doit gagner dix fois donc logique respecté avec un joueur de Caen El Arabi vraiment tres fort.

Deschamps apres le match a dit que Marseille avait besion de se renforcer mais que le club n'avait pas les moyens de ces ambitions.

En gros L'OM ne sera toujours pas au dessus du football français cette année et que la saison va etre tres dur.

La Ligue de football professionnel a publié vendredi sur son site Internet les calendriers complets de la Ligue 1 et de la Ligue 2 pour la saison 2010-2011. La première journée de Championnat de L1, samedi 7 août, sera notamment marquée par un duel au Stade Vélodrome entre le champion en titre, Marseille, et le vainqueur du Championnat de L2, Caen. A noter que les deux autres promus, Brest et Arles-Avignon joueront également leur première rencontre à l'extérieur, respectivement à Toulouse et à Sochaux.

Voila le calendrier pour le prochain championnat,que dire a part que l'on rencontre encore Bordeaux au debut 4 eme journée puis apres Bordeaux reçoit encore mais Lyon a la 6 eme journées.

je vous laisse voir la suite:







Je n'ais mis que les matchs aller car les matchs retours c'est pareil mais en sens inverse.

Vidéos,photos,chiffres,tout sur le titre de L'OM cette saison dans ce dossier special.



D'abord le résumé du match contre RENNES:

CHAMPIONS !



Vainqueur de Rennes après la défaite d'Auxerre à Gerland, l’OM a été sacré champion de France 2010, au terme d'une soirée inoubliable.

OM 3-1 RENNES
1-0 : Heinze (4e)
1-1 : Briand (38e)
2-1 : Niang (76e)
3-1 : Lucho (78e)

Résumé du match:



Un bonheur tel que les mots manquent. L’OM est champion de France. Au bout d’une interminable attente, l’équipe olympienne coiffe de nouveau la plus belle couronne. La fête pour saluer ce titre s’annonce inoubliable. Elle va durer plus de dix jours.

Au moins jusqu’à OM-Grenoble quand le trophée sera officiellement remis et au lendemain quand les joueurs rassembleront de nouveau leur peuple dans la rue pour un défilé que l’on pressent monumental. Elle se prolongera encore tout l’été quand le « bleu et le blanc inonderont la France » des vacances, comme l’imaginaient les Winners dans la banderole qui barrait le virage sud. De là-haut, Robert Louis-Dreyfus peut être fier et heureux.
Comme nous tous.

Quelques minutes après l’annonce de la défaite auxerroise (saluée comme vous pouvez l’imaginer), Heinze avait projeté son équipe vers le titre. Pourtant rarement préposé à l’exercice du coup-franc, l’Argentin trouva le petit filet et fit exploser le stade (4e). Comme une grenade qui ne demandait qu’à être dégoupillée.

Une ouverture du score aussi rapide aurait pu tout simplifier. Il n’en a rien été. En dépit de quelques situations marseillaises, il ne fut pas illogique de voir Rennes recoller au score sur un centre de Gyan déposé sur la tête de Briand (38e). Les uns trop éloignés des autres, les Olympiens avaient trop joué à l’envers pour maîtriser leur avantage.

Et si les jambes manquaient de justesse, c’est tout simplement que cela gambergeait sec dans les têtes. Tétanisés par l’enjeu, les joueurs de Didier Deschamps ne savaient trop par quel bout prendre ce match, ni cette formation rennaise libérée.

La tension puis la liesse

A la pause, l’OM n’était donc pas champion. Il allait devoir attendre le dernier quart d’heure. Le suspense grimpant, et la tension avec.

Taye Taiwo, qui avait suppléé Heinze peu après la pause, contribua à la transformer en pression positive. D’un bon pétard du gauche qui claqua sur les gants de Douchez. Puis en haranguant la foule. Tout se remit alors à l’endroit. Avec un stade survolté et une équipe qui passait enfin à la bonne cadence.

Notamment grâce à Ben Arfa, dont l’entrée opéra comme un détonateur.
Le forcing paya. Et vite. Après une occasion gigantesque pour Mbia qui manqua sa tête, Niang déchira la nuit. Valbuena avait frappé au but, Douchez n’avait pu que repousser, et le Sénégalais libéra le public (2-1, 76e).

Un stade qui basculait dans l’hystérie sur le troisième but, signé Lucho, depuis l’entrée de la surface (78e), suite à une nouvelle percussion.

L’effervescence gagna dès lors chaque centimètre des gradins. Des chants tous plus puissants que les autres accompagnèrent la fin de la rencontre.

Pour se conclure sur une liesse indescriptible, tant sur le rectangle vert que dans les tribunes. La pluie ne doucha rien. Tandis que le feu d’artifice claquait dans le ciel marseillais, l’équipe paradait sous l’air de «We’re the champions ». Cela faisait si longtemps que l’air de Queen n’avait plus résonné ici. L’OM est champion de France. Répétons ces mots, et sentons monter les frissons…



Puis maintenant continuer avec quelques chiffres:

Dix dates clefs pour un titre:

Remporter un titre de champion est un travail de longue haleine, qui se joue dans de grands matches, mais aussi sur de petits détails.

L’avant-saison:

Pour Didier Deschamps, pas de doute, tout a commencé au mois de juillet, lors des stages de préparation, quand son groupe a pris forme. « Cela se joue déjà à ce moment-là, quand j’ai choisi les joueurs. Ceux qui sont restés, ceux que j’ai décidé d’aller prendre, parce que c’étaient ceux qui pouvaient me donner le plus de garanties, sportivement et humainement. » A l’époque, le coach ne pouvait pas être certain du résultat de cette aventure, mais il estime que 60% du travail a été fait à ce moment-là.



8 novembre 2009, Lyon-OM 5-5:

Après la rencontre, on pouvait analyser ce nul de deux façons. Ou il s’agissait de deux points perdus puisque les Olympiens gagnaient 4-2 après avoir été menés deux fois au score. Ou il s’agissait d’un bon point pris, arraché même, dans les dernières secondes. On retiendra finalement la seconde analyse. Ce soir-là, l’OM montrait déjà qu’il ne lâcherait rien, surtout pas face à ses concurrents directs.



23 décembre 2009, OM-Auxerre 0-2:

L’OM ne pouvait pas terminer l’année 2009 sur pire résultat. Sous la pluie, les Olympiens avaient été malmenés par les Auxerrois, surtout en raison de leur propre manque d’implication, reproché par Jean-Claude Dassier à la fin de la rencontre. « Je considère qu’on a fait une bonne première partie de saison, mis à part ce match qui nous plombe un peu tout, estimait Deschamps mercredi soir. Il m’a quasiment fait passer mes pires vacances de Noël… »



Du 3 au 6 janvier 2010, stage à Peralda:

Ces quelques jours en Espagne ont permis au groupe de se remobiliser et de repartir sur de bonnes bases après la trêve hivernale. Ils ont notamment été déterminants pour Mathieu Valbuena. Peu utilisé dans la première moitié de saison, « le petit » deviendra un atout déterminant dans la phase retour. « J’ai su cravacher pour renverser la situation. Cinq mois plus tard, ce que je vis est quand même assez énorme ! » Un état d’esprit est né au sein de l’équipe durant ce stage.



30 janvier 2010, Montpellier-OM 2-0:

indiquait Laure« On a pris un grand coup sur la tête après Montpellier, cette défaite a fait très mal, on avait beaucoup de points de retard, indiquait Laurent Bonnart en début de semaine. Mais on a continué à travailler et on a été récompensés. Cela prouve que le travail et la persévérance paient ». Depuis, l’OM a enchaîné 15 matches sans défaite.



18 mars 2010, OM-Benfica 1-2:

Après un bon nul au match aller, l’OM s’est fait sortir de l’Europa League dans le dernier quart d’heure du match retour. Une cruelle désillusion, mais qui a servi les Olympiens par la suite, avec moins de matches à jouer et donc moins de problème de récupération. « Cette élimination contre Benfica nous permet certainement d’être champion de France aujourd’hui », estime le coach.



21 mars 2010, OM-Lyon 2-1:

Sortis de la coupe d’Europe, les Marseillais se devaient encore plus de ne pas manquer ce grand rendez-vous. La décision s’est faite encore une fois en quelques minutes, à la rage de vaincre. « Trois jours après l’élimination, cette victoire nous a donné encore plus de confiance », indique Deschamps. Avec encore deux matches en retard, l’OM se plaçait ainsi parfaitement pour le sprint final.



27 mars 2010, finale de la Coupe de la Ligue, OM-Bordeaux 3-1:

La victoire au Stade de France n’a rapporté aucun point en championnat, mais elle a offert à l’équipe un énorme capital confiance. Mettre fin à 17 ans sans trophée a joué comme un déclic psychologique. « Cette victoire nous a rendus encore plus exigeants, analyse Laurent Bonnart. Elle nous a donné encore plus faim. C’était une excitation supplémentaire ».



17 avril 2010, Boulogne-OM 1-2:

La victoire, obtenue une nouvelle fois au mental, est venue clôturer deux semaines intenses et 15 points de plus au compteur. Pour le coach, « c’est là qu’on a vraiment fait la différence, sur ces 5 matches en 14 jours. On a réussi à prendre plus de points que de jours ! On a frappé un grand coup, qui nous a permis de prendre le leadership et de ne plus le lâcher jusqu’au bout ».



5 mai 2010, OM-Rennes 3-1:

Le match du sacre. Après avoir ouvert le score dès la 4è minute, les Marseillais se sont fait quelques frayeurs avec l’égalisation bretonne. Heureusement, Niang et Lucho ont offert un dernier quart d’heure de folie au Vél’. Après 18 ans, il fallait bien encore un peu de suspense…



Les chiffres de l'OM:

Champion de France, Marseille a réalisé une fin de saison hallucinante. L'OM, qui n'a utilisé que 23 joueurs, a notamment été énorme loin de ses bases. Le point en chiffres, à deux journées de la fin.



43 : Le nombre de points pris après la trêve:

Un peu poussif en début de saison, seulement cinquième début décembre, Marseille a accéléré après la trêve. Depuis la 20e journée jouée le 17 janvier, l'OM n'a perdu qu'une rencontre de L1 sur 18 matches disputés ! Sur 54 points possibles, les hommes de Deschamps en ont pris la bagatelle de 43. Marseille a réalisé des séries très précieuses, avec notamment sept victoires de suite entre le 21 mars et le 25 avril.


23 : Le nombre de joueurs utilisés:

Pour obtenir son dernier titre en 2008, Lyon avait utilisé 28 joueurs au cours de la saison. L'an passé, Bordeaux n'avait fait appel qu'à 24 membres de l'effectif différents. En 2009-2010, Didier Deschamps a utilisé un groupe encore plus resserré : pour le moment, seuls 23 joueurs ont porté le maillot de l'OM au moins une fois cette saison et sont donc officiellement champions de France. Une bonne nouvelle pour Andrade (un match), M'Bow ou Rool (deux rencontres). Diawara, lui, a été titularisé lors de tous les matches de L1 ! Jamais entrés en jeu, Rodriguez, Ndoumbou ou Riou espèrent être alignés à Lille ou Grenoble.


11 : Le nombre de passes décisives de Lucho:

Attendu comme le meneur de jeu qui manquait à l'OM, Lucho Gonzalez a mis longtemps à confirmer les espoirs placés en lui. A la fin de la phase aller, il n'avait réalisé que... trois passes décisives et marqué deux buts ! Petit à petit, l'Argentin a pris ses marques. Marseille a réalisé une superbe phase retour (voir par ailleurs) et l'ancien milieu de Porto a explosé début avril, réalisant quatre passes décisives en une semaine (Sochaux puis Nice) ! Il est actuellement le meilleur passeur du Championnat et a marqué cinq buts. Mamadou Niang, lui, se bat pour le titre de meilleur buteur (16 réalisations, comme Gameiro).


3 : Le nombre de défaites à l'extérieur:

Marseille, performant à domicile, a été presque injouable à l'extérieur. En 18 rencontres de L1, l'OM ne s'est incliné qu'à trois reprises. C'était à Valenciennes (2-3), à Lens (0-1) et à Montpellier (0-2). Les Olympiens ont la meilleure attaque du Championnat loin de leurs bases (30 buts en 18 déplacements) avec une moyenne proche de deux réalisations par match et ont été solides (19 buts encaissés).


2 : Le nombre de Marseillais expulsé(s) cette saison:

Deux Marseillais se sont fait expulser cette saison : Stéphane Mbia contre Lens (1-0) et Steve Mandanda contre Lille(3-2). L'OM, qui n'a pris que 60 avertissements tout au long de la saison, est en tête du classement du fair-play. Cela prouve que Marseille a rarement été mis hors de position par ses adversaires. Contrôlant très souvent le jeu, les Olympiens ont rarement laissé le ballon à l'adversaire et ont donc plutôt subi les fautes. Ainsi, l'OM a terminé sept matches en supériorité numérique : Alonso (Monaco), Planus (Bordeaux), Tavlaridis (St-Etienne), Adefemi (Boulogne), Apam (Nice), Pelé (Toulouse) et Debuchy (Lille) ont tous été expulsés cette saison face au futur champion de France.

Quelques vidéos:

L'OM champion de France 2010:



Olympique de Marseille (Un Jour à l'OM)(CHAMPION Ligue1 2009/2010) La Fete!



L'OM Champion à Paris ! - Bande annonce:



OM champion 2010 compil des moments forts et humour:



Quelques photos:













La revu de presse du champion:

Après la pluie sur le Vél' hier soir, c'est une pluie d'éloges qui est tombée sur l'OM, ce matin, dans tous les médias.

La Provence : « Champion ! »

Le quotidien régional revient sur la soirée historique et cette victoire grâce à laquelle « ils sont rois de France ! ». Cette neuvième couronne a pourtant été âpre à décrocher. Tout le stade a souffert. Mario Albano insiste sur le fait que « l’OM n’a pu parvenir à ses fins qu’en allant de l’avant (…) Si c’est avec la constitution d’une défense centrale fiable que l’OM a vraiment décollé, c’est en se créant des occasions, et en les mettant au fond, que l’OM a bâti son succès. » Le journal souligne également l’importance des deux Argentins, Heinze et Lucho, tous les deux buteurs. Mais l’heure n’est pas encore à l’analyse approfondie. Comme le rappelle Thierry Muratelle, « depuis 18 ans, nous avions la signification du mot bonheur. Ce matin, il éclaire de nouveau notre quotidien… » Profitons-en !

L’Equipe : « Marseille en feu »

En 6 pages spéciales, le quotidien sportif relève surtout la joie des Marseillais, joueurs, staff et supporters, dans « un Vélodrome de bonheur » pour une soirée qui a conduit « l’OM au paradis ». Outre le résumé de la soirée, on trouve une page savoureuse où Souleymane Diawara présente les champions de France, de Mandanda à Bocaly, y allant de son anecdote sur chacun. Un condensé d’humour comme le Sénégalais sait si bien le manier…



La Marseillaise : « Oh ! Que c’est bon ! »

Le journal régional revient sur la « belle et grande histoire d’amour » qui unit l’OM et son public, depuis 1937 et le premier titre officiel jusqu’à la « nuit d’ivresse » d’hier et ce « final en apothéose ». Le quotidien n’oublie cependant pas la saison mouvementée qu’a vécue le club depuis la nomination de Deschamps, un an jour pour jour avant le sacre. Il rappelle également que l’OM peut remercier Lyon, qui lui a ouvert la voie en battant Auxerre…

Le Parisien : « Enfin ! »

Outre le fil de la soirée, au stade ou dans les bars, le quotidien de la capitale revient sur « le sacre de Deschamps l’acharné ». Un portrait qui raconte la saison de l’entraîneur, ses doutes, ses craintes, mais aussi ses nerfs solides et ses certitudes, surtout dans la gestion des hommes. « C’est dans la maîtrise de son groupe qu’il a excellé » rappelle le journaliste pour obtenir enfin « la plus haute distinction de sa carrière d’entraîneur, débutée en 2001 à Monaco ».

D"autres vidéos:

L'OM Champion de France : Le Vieux Port en Feu !



L'OM Champion de France : La joie des joueurs !



Marseille 3-1 Rennes (champion de france 2009 2010):



OM - Champions (Clip Officiel):

LES GRANDES JOIES DE LA SAISON:



Voila j'espere avoir été assez complet pour vous .

MERCI:

Je dédis les titres de L'OM a Robert Louis Dreyfus pour ce qu'il a fait pour L'OM et ce que sa famille continu de faire.Dommage que ce soit l'année de son déces ou l'on gagne 2 titres.

En l'emportant par 3 buts a 1 contre Rennes MARSEILLE devient le nouveau champion de FRANCE 2010/2011.
Mathematiquement les Olympiens ne peuvent plus etre rejoint grace a Lyon qui la emporté sur Auxerre par 2 buts a 1.






Les buts sont de OM:

HEINZE 3EME
NIANG 76 EME
LUCHO 78EME

RENNES:

BRIAND 38 EME

D.Deschamps : «Cela reste un bon résultat»

«C'est un bon point de pris face à une belle équipe d'Auxerre au terme d'un match de haut niveau même si nous avons eu trois occasions franches. Auxerre en a eu une à la fin. C'était un match solide face à l'AJA qui nous a fait mal cette saison en nous prenant quatre points sur six. Cela ne sent pas mauvais. Nous restons à la même place avec la même différence sur le deuxième du classement. C'est une étape de plus. Au mieux, nous aurions pu avoir un avantage plus conséquent, mais c'est bien. Il y avait un peu de déception dans le vestiaire de ne pas avoir gagné. Nous aurions voulu frapper un grand coup ce soir, mais cela reste un bon résultat pour nous.»




Deschamps : «Une bonne opération»

Même s'il se refuse toujours à parler de titre, Didier Deschamps a avoué que ce point pris à Auxerre était une bonne affaire comptable pour l'OM, qui garde cinq points d'avance.

«Didier Deschamps, satisfait ou déçu par ce nul ?

Nous avons pris un bon point face à une belle équipe d'Auxerre. On a affronté une formation de haut niveau. On a quand même eu les occasions les plus franches, même s'il faut bien reconnaître qu'Auxerre s'en est procuré quelques unes. On a fait un match solide contre une formation qui nous a fait mal cette saison. C'est la seule qui nous a pris quatre points.

Mais pour le titre, ça sent bon quand même non ?

Disons que ça ne sent pas mauvais... On reste à la même place. C'est une étape de plus. Au mieux, on pouvait repartir avec un avantage plus conséquent. Mais bon, c'est une bonne opération pour nous.




Le match est resté assez fermé. Qu'avez-vous apprécié de vos joueurs ?

Je suis satisfait de notre maîtrise lors de la première période. Auxerre est une équipe pas facile à jouer et on ne voulait pas se faire prendre en contre. Pour cela, on avait pris des mesures de précautions. Auxerre n'est pas là par hasard. Ils ont notamment une belle densité physique. C'est quand même la seule équipe contre qui nous n'avons pas marqué de but en deux rencontres.



Vos attaquants ont paru émoussés...

Ils ont eu quelques occasions. Brandao en a eu deux en deuxième période. Mamadou (Niang) et Lucho s'en sont procurées aussi en première. Lors d'un match comme ça, c'est dur d'en avoir. Et puis, si nous avons été émoussés, les autres attaquants en face ont dû vous paraître tout autant. Franchement, Auxerre, c'est du solide.

Qu'avez-vous pensé de l'arbitrage ?

Ce n'était pas facile par rapport à ce qui a été dit avant le match. Il ne faut pas chercher des suspicions. Il n'y a pas besoin d'en avoir. L'arbitre a été bon et il n'y a aucun doute à avoir sur son intégrité, même s'il peut se tromper.

Il s'est quand même trompé sur Brandao (victime d'un coup sur Hengbart et non averti) ?

Ha bon ? Je n'ai pas vu. L'arbitre peut se tromper. Il s'est peut-être aussi trompé sur Pedretti. Mais je suis incapable de juger. Je n'ai pas revu les images. »



L'OM peut-il être champion dès mercredi ?

L’OM et l’AJA maintiennent donc leur écart de cinq points. Si la belle série olympienne est stoppée, ce nul ne change pas grand-chose à la fin de saison des Marseillais. S’ils battent Rennes mercredi au Vélodrome et que les Bourguignons ne gagnent pas à Lyon dans le même temps, l’OM sera champion de France avec 8 points d’avance sur Auxerre. En cas de nul ou de défaite face aux Bretons, les Olympiens resteraient encore leaders à deux journées de la fin avant d’aller à Lille et d’affronter Grenoble au Vél’.

OM 1-0 ASSE : EN SERRANT LES DENTS



Grâce à sa 7e victoire de rang en championnat, l'OM se déplacera vendredi à Auxerre avec toujours ses 5 points d'avance.

OM 1-0 ASSE :
Valbuena (6e)


L’OM n’a pas obtenu un succès de tout repos. Loin s’en faut. Il a fallu serrer les dents, avant de les décontracter pour sourire franchement au coup de sifflet final. Vendredi, les Olympiens se déplaceront à Auxerre avec toujours cinq points d’avance sur leurs dauphins.
Valbuena, lancé par Brandao après une perte de balle stéphanoise, a fait la décision dès la 6e minute. Niang a ensuite touché le poteau de la tête. Mais il s’agira de reconnaître que les Verts auront bien asticoté les Phocéens par la suite. Et jusqu’au bout. Touchant à leur tour un montant (tête de Benalouane), et se voyant refuser (logiquement) un but pour hors-jeu.
Après une période faste et spectaculaire, l’OM progresse désormais à l’arraché. Mais il progresse. Et la fin approche…

En cherchant bien, il doit forcément y avoir un petit nuage dans le ciel bleu azuréen, encore plus dégagé depuis cette victoire - étriquée - sur Saint-Etienne, dimanche (1-0). Peut-être la mauvaise passe de Mamadou Niang, dont le compteur est bloqué depuis le 7 mars dernier, et qui voit Kevin Gameiro lui griller la priorité en tête du classement des buteurs. Ce ne sera quand même pas une telle sardine qui bouchera le Vieux-Port. Non, le Sénégalais n'a pas ménagé ses efforts face à Jérémie Janot (2e, 22e), mais quand ce n'était pas le portier stéphanois qui lui faisait des misères, le poteau adverse s'en chargeait. Au final ce dimanche, comme contre Sochaux, comme contre Boulogne, Marseille oubliera donc la manière pour ne retenir que l'ivresse : au soir de cette 34e journée, les compteurs sont résolument au vert. 13 matches sans défaite série en cours, 35 points pris sur 39 possibles : l'OM de Deschamps, face à l'ASSE de l'ex-Minot Galtier, a répondu à Auxerre, séduisant vainqueur de Toulouse (3-0) plus tôt dans l'après-midi.

Les misères de Payet:

Nettement moins séduisant, Marseille a souffert, donc, malgré une grosse première demi-heure de jeu, rapidement validée au tableau d'affichage par l'ouverture du score de Mathieu Valbuena (6e). Dimitri Payet ratait son contrôle aux quarante mètres, et Brandao en profitait pour décaler l'ancien Libournais, auteur de son 5e but en Ligue 1 cette saison.

Mais l'OM n'arrivait pas vraiment à éteindre une formation stéphanoise bien décidée à ne pas subir. Le turbulent Payet, revanchard, manquait ainsi de quelques centimètres l'égalisation avant la pause (45e+2), ou lors des arrêts de jeu (90e+3). Mis K.-O par les permutations incessantes de Marseille en première partie de rencontre, l'ASSE a toujours pris des risques. A toujours pressé haut, au point d'étouffer un OM plus attentiste à l'heure de jeu, qui ne dut son salut qu'au bout du crampon hors-jeu de Rivière sur l'égalisation toute cuite de Matuidi (64e).

Qu'au poteau de Mandanda, sur une tête de Benalouane (78e). Didier Deschamps, alors de rappeler un à un ses défenseurs à leurs fondamentaux : tenir la baraque. Le triangle d'or Mbia-Diawara-Cissé n'a pas fait la sourde oreille. «Ca fait partie de mon boulot d'être vigilant, de m'assurer que rien n'est acquis pour personne», expliquait-il quelques jours avant le match. L'OM a pris un petit avertissement ce dimanche au Vélodrome. Une brume passagère dans son grand ciel bleu. Gare à ne pas voir l'orage, pardon, la sanction tomber, vendredi prochain, à Auxerre.


Ce soir sans Alex ou Gomis partit chez nos amis Lyonnais la phanthere c'etait L'OM.

A moins d’un mois de la fin du championnat le 15 mai, six équipes sont encore concernées par la course au titre. Si les Olympiens sont actuellement leaders, Auxerre, Lyon, Montpellier, Lille et Bordeaux sont aux basques des Marseillais et le final s’annonce intense. OM.13 vous propose une page spéciale «sprint final» afin de connaître en temps réel l’évolution du classement et des résultats de ces six équipes pour un titre :



1: 68 pts
33 matches joués
61 buts pour
32 buts contre
+ 29


Dimanche 25 avril à 21h : reçoit SAINT-ETIENNE
Vendredi 30 avril à 21h : va à AUXERRE
Mercredi 5 mai à 21h : reçoit RENNES
Samedi 8 mai à 21h : va à LILLE
Samedi 15 mai à 21h : reçoit GRENOBLE


2: 63 pts
33 matches joués
36 buts pour
26 buts contre
+ 10

Dimanche 25 avril à 17h : va à TOULOUSE
Vendredi 30 avril à 21h : reçoit OM
Mercredi 5 mai à 19h : va à LYON
Samedi 8 mai à 21h : reçoit LENS
Samedi 15 mai à 21h : va à SOCHAUX


3: 61 pts
34 matches joués
63 buts pour
35 buts contre
+ 28

Samedi 24 avril à 19h : gagne à LE MANS (1-2)
Dimanche 2 mai à 17h : reçoit NANCY
Mercredi 5 mai à 19h : va à TOULOUSE
Samedi 8 mai à 21h : reçoit OM
Samedi 15 mai à 21h : va à LORIENT

4: 60 pts
34 matches joués
44 buts pour
37 buts contre
+ 7

Samedi 24 avril à 19h : fait match nul à NANCY (0-0)
Dimanche 2 mai à 21h : reçoit LYON
Mercredi 5 mai à 19h : va à SOCHAUX
Samedi 8 mai à 21h : reçoit LORIENT
Samedi 15 mai à 21h : va à PARIS

5: 59 pts
33 matches joués
54 buts pour
35 buts contre
+ 19

Dimanche 2 mai à 21h : va à MONTPELLIER
Mercredi 5 mai à 19h : reçoit AUXERRE
Samedi 8 mai à 21h : va à VALENCIENNES
Mercredi 12 mai à 19h (34e J.) : reçoit MONACO
Samedi 15 mai à 21h : reçoit LE MANS

6:
57 pts
33 matches joués
51 buts pour
33 buts contre
+ 18

Samedi 24 avril à 19h : Défaite à LORIENT (1-0)
Mercredi 28 avril à 19h (30e J.) : va à VALENCIENNES
Dimanche 2 mai à 17h : reçoit TOULOUSE
Mercr. 5 mai à 19h : va à NICE
Samedi 8 mai à 21h : reçoit SOCHAUX
Samedi 15 mai à 21h : va à LENS

Marseille a souffert pour aller gagner à Boulogne-sur-Mer sur un penalty au bout du temps additionnel (2-1). Il est plus que jamais leader.

BOULOGNE 1-2 OM
0-1 : Valbuena (44e)
1-1 : Blayac (82e)
1-2 : Taiwo (90e+4, sp)



Mathieu Valbuena a ouvert la marque pour l'OM à Boulogne.

Marseille a conforté sa place de leader dans la douleur (2-1), samedi à Boulogne-sur-Mer, enchaînant une septième victoire consécutive en championnat, très précieuse au regard du résultat d'Auxerre face à Lorient (4-1).



L'OM maintient cinq points d'avance à cinq journées de la fin. Si ce n'était le retour de Benoît Cheyrou en lieu et place de Charles Kaboré, Didier Deschamps a joué la carte de la continuité pour continuer ce carton plein.



Mais dans la foulée d'un succès laborieux à Sochaux (1-0), a fallu un penalty à la dernière seconde de Taiwo (90e+4) pour venir à bout de l'USBCO.



Les aléas et la longueur du déplacement en direction du Pas-de-Calais - avion jusqu'à Auxerre puis bus et arrivée au Touquet dans la nuit - ont longtemps semblé peser dans les jambes des joueurs olympiens, incapables de se dépêtrer de la toile tissée par de valeureux Boulonnais.



A moins que ce ne soit la peur de mal faire face à l'un des cancres de la classe, ou encore l'habitude de gagner sans briller. Des pertes rapides de balle, un manque flagrant de mouvements, un pressing nordiste incessant et bien peu d'inspiration avec une foultitude de mauvaises passes : durant la première demi-heure, il n'y a pas eu dix-huit places d'écart entre les deux équipes.

Main involontaire de Lachor



Sans se procurer des occasions de but nettes, les joueurs de Laurent Guyot se sont distingués en obligeant l'OM à évoluer en contre, ou avec de longs ballons à destination de Brandao et de Niang.

On ne retenait de la première période que trois situations pour Valbuena, l'homme du match. D'abord une frappe croisée (24e) venant flirter avec la lucarne de Bédénik. Ensuite sur un tir renvoyé dans les bras du portier boulonnais par le poteau (27e). Enfin, ce but salvateur inscrit à la suite d'une belle action en triangle menée en compagnie de Niang et de Lucho (0-1, 44e).

Après ce but du soulagement, l'ennui et l'absence de situations chaudes - à l'exception d'un rush de Brandao (72e) - ont prédominé au stade de la Libération.

Blayac égalisait dans la torpeur (1-1, 84e) avant un final marqué par le penalty accordé par M. Viléo à l'OM suite à une main involontaire de Lachor dans sa surface. Taiwo n'avait plus qu'à transformer en force (1-2).

A noter le match nul entre Bordeaux et Lyon (2 a 2) avec un match qui a tourné a la bagarre de quartier en toute fin de match car sportivement les Lyonnais(Delgado) avaient mis la balle en touche pour un joueur Bordelais(Chamack) et a la remise en touche Bordeaux n'a pas rendu la balle et ait parti directement essayé de marquer.

Reveillere pas tres futé sur ce coup assasine tremoulinass,carton rouge pour les deux car Tremoulinass c'est vengé de ce tacle.

Pour completer le tout juissié aussi a ete exclu lors de cette bagarre general et Chalmé passé a travers en donnant apparament un coup de coude au visage de Pjanić (d'autre dise qu'il l'aurait attrappé par le coup)devrait prendre des matchs de suspention par la commision de discipline.

ATTENTION,LA FIN DE CHAMPIONNAT RISQUE D'ETRE TRES DUR POUR TOUT LE MONDE ET POUR LE TITRE AUSSI!