Faute d'avoir converti ses nombreuses occasions, Marseille concède le nul contre Lorient, emmené par un Audard en état de grâce. Les Phocéens perdent deux points. Lorient a fait preuve de courage et d'une efficacité optimale.
Contraint au nul par Lorient malgré une pluie d'occasions, l’OM reste au pied du podium (4e).
Cela aurait pu et du être une fin d’après-midi tranquille, seulement troublée par un vent à vous glacer le sang.
L’OM a d’ailleurs emprunté pendant une heure le chemin de la simplicité. Dans le bon sens du terme. En étant combatif, et en menant aux points avant de mener au score, par l’inévitable Niang, à la réception d’un centre de Bonnart (42e).
Ce ne fut guère plus compliqué dans le jeu après la pause. Mais à la marque, oui. Koscielny égalisant à la 64e, en reprenant un coup-franc de Vahirua renvoyé par le poteau de Mandanda.
Mais malgré deux occasions immenses pour Diawara et Valbuena, et en raison de plusieurs parades d’Audard devant Ben Arfa et Taiwo, les Marseillais rataient la marche qui devait les mener (provisoirement) tout en haut du podium.
L’OM n’a plus quatre mais trois lièvres à courir à la fois. Rien n’a réussi à cette formation hybride, où seuls 3 titulaires de dimanche débutaient à Bollaert (Mbia, Taiwo et Cheyrou). Affichant plus de mordant, les Lensois prenaient logiquement l’avantage par Jemaa, lancé par Maoulida côté gauche (1-0, 20e).
Alors que la neige tombait de plus en plus fort, le Tunisien récidivait juste avant la pause. De loin cette fois, avec un rebond devant les gants de Mandanda (2-0, 45e).
Malgré les entrées de Brandao (qui ressortira plus tard, blessé) et de Valbuena, le Racing alourdissait le poids des difficultés marseillaises sur une action spectaculaire d’Akalé conclue par Maoulida (3-0, 57e).
Cheyrou, d’un extérieur du gauche à la réception d’un centre de Mbow, réduisait la marque peu après (3-1, 62e).
Ce qui ne remettait pas l’issue de la qualification nordiste en question, en dépit d’un OM plus présent.
Souci musculaire pour Brandao
Didier Deschamps s’est exprimé sur OMtv sur la blessure de Brandao. Entré à mi temps, le Brésilien a dû sortir trente minutes plus tard, victime d’un coup à la cuisse. «Je ne suis pas médecin mais je ne pense pas que c’est un claquage. Il a un souci musculaire. Ça ne va malheureusement pas se régler d’aujourd’hui à demain», a réagit le coach olympien.
Les Olympiens ont maîtrisé leur sujet à Périgueux, s’imposant 2-0 face à Trélissac (CFA2) pour obtenir leur billet pour les 16es de finale de la Coupe de France.
TRELISSAC 0-2 OM 0-1 :
Ben Arfa (15e)
0-2 : Cheyrou (74e)
Sans faire une pile de buts, mais en affichant le sérieux requis, l’OM a assuré l’essentiel dimanche à Périgueux. Un éclair d’Hatem Ben Arfa au terme du premier quart d’heure a convoyé les Olympiens sur le chemin des 16es de finale.
Sur cette voie royale, ils ne connurent pas ensuite de sortie de route.
Il faut dire que les conditions climatiques, qui avaient alimenté la chronique ces derniers jours, furent finalement plutôt enviables compte tenu de tout ce qui aura pu être observé ce week-end. Pas de neige, si ce n’est en bordure du terrain. Et une pelouse, bien verte et moins dure que redoutée, car protégée efficacement.
Naturellement, cela ne fit pas les affaires des amateurs de Trélissac. Eux, qui, auraient pu espérer que les valeurs soient nivelées par des conditions plus précaires.
Et pour bien indiquer qu’il n’y aurait pas une autre surprise après celle créée par Plabennec (National) face à Nice, les Marseillais prirent cette rencontre par le bon bout. En confisquant le cuir, et en usant de leur technique pour créer des décalages.
Dans ce registre, Hatem Ben Arfa n’a pas son pareil. Titularisé dans le couloir gauche, le milieu olympien avait sorti la foreuse. Il en fit un usage destructeur dans la défense trélissacoise. Notamment sur l’ouverture du score.
Deux adversaires restèrent dans le vent. Sur son centre en retrait, il eut ensuite la réussite de voir revenir vers lui le tir d’Abriel. La suite ne dut rien à la chance. Contrôle et pichenette dans un mouchoir de poche, 0-1 (15e). Comme à l’entraînement.
Une action-modèle de ce qu’allaient être les suivantes. Les débordements dans les couloirs se succédant. Ben Arfa était même proche d’un deuxième but sur un centre de Brandao, mais il manquait sa reprise.
Les Périgourdins ne surent pas contrarier cette domination jusqu’au repos. Malgré l’enthousiasme de leurs supporters, ils ne parvinrent pas à pousser suffisamment leurs contres pour véritablement inquiéter une défense où Bonnart palliait l’absence de Taiwo (CAN) et Heinze à gauche. Une arrière-garde que Bocaly (hématome au tibia) dut quitter à la pause, suppléé par M’Bow.
En deuxième période, la différence fut moins nette. Au moins jusqu’au second but olympien. Pendant une grosse vingtaine de minutes, Trélissac joua sa chance, avec tous les moyens du bord. Mais Mandanda n’eut pas de travail. Juste une légère frayeur sur un coup-franc que Noto ne put dévier.
A l’entame du dernier quart d’heure, l’OM acheva de tirer le rideau sur les espoirs trélissacois. Valbuena se faufila sur la gauche pour servir Cheyrou pour une reprise imparable (0-2, 74e).
Plus tard, Brandao aurait pu donner un chouia plus d’ampleur au premier succès phocéen de l’année 2010, mais son tir heurta le montant. A 0-2, le boulot était de toute façon déjà fait.
Prochain rendez-vous en Coupe de France, théoriquement dans quinze jours, à Lens ou à Compiègne (CFA).
Une petite news en plus de l'équipe sur Mancini:
L'OM attend Mancini
Les négociations entre l'OM et l'Inter Milan au sujet du transfert d'Alessandro Mancini vont reprendre ce lundi. «Nous avions décidé d'un commun accord de suspendre nos liaisons ce week-end pour jouer nos matches respectifs, explique le directeur sportif du club, José Anigo dans les colonnes de L'Equipe. C'est un joueur qui prend le temps d'étudier les contrats. C'est un peu plus long que prévu, mais d'ici à mercredi, nous devrions êtres fixés». Anigo n'exclut pas de se rendre lui-même à Milan pour débloquer le dossier.
Encore une année sans titre. Des joueurs fénéants sans aucune hargne. Des dirigeants et joueurs pétant plus haut que leur cul en prédisant une victoire de l'om sur lyon. Des actions brouillons. Un enorme fouttage de gueule de la part des dirigeants. ( la liste n'est pas exhaustive)
Et voila plus de 15 années que ça dure! Raz le bol...
Les supporters du club ne mérité pas ça. Diouf , anigo , dreyfus cassez vous!
Malgré le froid et l'heure ( j'ai des examens demain trés tôt) je suis là pour vous annoncer les résultats du match qui opposait L'om à Besançon pour le compte des 32 emes de final de la coupe de france. ( bon ok j'etais devant ma télé dans un salon chauffé a 20°c)
L'om a gagné ! mais on peut féliciter les joueurs de besançon qui ont faillit infliger une correction aux marseillais comme l'année derniere face à Quarquefou.
Zubar nous a ressortie une de ses fameuses zubardesquerie en marquant le premier but pour besançon ( contre son camp)
L'om dominé par la suite mais sans marquer. Il fallut donc attendre la 83eme minute pour que M. Cailleux ait la gentillesse de siffler un penalty pour l'om pour une main dans la surface. Ce que Taiwo transforma en un but pour l'om.
On eu donc droit a 2 x 15 minutes de prolongations qui aboutirent à la fameuse séance des tirs aux buts tant redoutés par les tireurs et gardiens, surtout que la temperature ( - 10 °c) plus le terrain verglacé, ne sont pas les meilleurs conditions pour ce genre d'exercice.
Mandanda stoppa le tir de je ne sais plus qui et Cheyrou fit son job en transformant la balle de match en victoire pour l'om.
ouf!!!!! Maintenant on espere que FC Lyon se qualifiera pour se rattraper ( en terme de plaisir ) d'un sommet de l'ennuis en championnat la derniere fois.