A. Ayew assomme Nancy



Grâce à un doublé de son international ghanéen, l'OM a remporté un important succès à Nancy (2-1). Les Marseillais, troisièmes, comptent le même nombre de points que Lille, qui accueille Lyon dimanche soir (21 heures).

On disait les Marseillais habités par une motivation toute relative à l'approche de ce déplacement dominical à Nancy. Quatre jours après le très quelconque huitième de finale de Ligue des Champions face à Manchester United (0-0), les évènements les ont pourtant obligés à se replonger très vite dans le quotidien du Championnat.

Car à Nancy, l'OM a été bousculé par des Lorrains engagés dans une course au maintien qui s'annonce pleine d'incertitude. Au bout d'un quart d'heure, les champions de France en titre avaient affiché les garanties d'une équipe finalement beaucoup plus concentrée sur son sujet que ne le laissait supposer la rumeur. Sans Grégorini, auteur de quatre interventions décisives face à Rémy (1ère, 6e), Cheyrou (11e) et A. Ayew, l'ASNL, privée précocement d'A. N'Diaye (12e,) aurait pu enterrer très vite ses illusions. Mais le but de Féret (34e), qui a permis à l'ancien rémois d'étaler toute sa qualité technique, a un peu plus obligé les Phocéens à remettre les mains dans le cambouis. Et A. Ayew, en égalisant lors du temps additionnel (45e + 1) après une action confuse, a remis son équipe dans le sens de la marche.

Mais une semaine après leur déroute lyonnaise (0-4), les joueurs de Pablo Correa s'estimaient capables d'accrocher enfin un des cadors du Championnat. Ils y ont cru de toutes leurs forces quand Diakité pensait avoir inscrit le deuxième but, jusqu'à ce que Taïwo, revenu de nulle part, brise le rêve du jeune milieu de terrain nancéien (58e). Ce match nul face à des Olympiens privés en cours de route de Mbia et Rémy, l'ASNL l'a tenu jusqu'à la quatre-vingt-sixième minute, moment choisi par A. Ayew pour transpercer une défense figée et de battre en deux temps Grégorini (1-2).

L'OM c'est imposé contre St Etienne par 2 buts a 1.



BUT REMY:



BUT LANDRIN:





Gros coup de gueule

Le groupe OM13 viens d'etre victime d'une suppresion de tout les posts depuis le 25 decembre 2010,donc tout le travail fournis,post ect depuis maintenant deux mois on ete supprimé il y a pas longtemps car la semaine derniere sa y ete encore!

Brest 0-0 OM

L'OM n'avance plus. Ca fait maintenant 5 matchs que l'OM n'a plus gagné. 4 points pris sur 15 possibles...
On est trés loin du niveau d'un champion.

Et le terrain pourri n'excuse pas tout. Il faudra absolument s'améliorer en 2011 si on veut que notre équipe nous fasse à nouveau rêver car le niveau actuel est trés préocuppant.

Fait marquant: la blessure de fanni, l'expulsion de Charles Kaboré.

L'OM et Lyon ce quitte sur le score nul de 1 a 1.

De grosses occasions des deux cotes mais pas de finition hormis les deux buts inscrit par Lisandro pour Lyon qui a ouvert le score en fin de premiere mi temps alors que Valbuena lui a repondu en debut de deuxieme periode.

Dimanche soir, Marseille reçoit Lyon pour le compte de la 18ème journée de Ligue 1. À l'instar de Loïc Rémy, l'attaquant actuel de l'OM venu de l'OL, ces joueurs ont connu des fortunes diverses dans ces deux grands clubs.



JEAN DJORKAEFF
Lyon (1958 à 1966 ) puis Marseille (1966 à 1970)
Défenseur latéral, ''Tchouki'' doit autant pour son palmarès personnel à l'un qu'à l'autre Olympique puisqu'il aura remporté une Coupe de France avec Lyon en 1964 et une autre avec l'OM en 1969.
(Photo L'Équipe, Nimes - Lyon, saison 1962-1963)



ALBERT EMON
Marseille (1968 à 1977) puis Lyon (1981 à 1986)
Formé à l'Olympique de Marseille, Emon y jouera sept saisons (Champion de France 1972 et Coupe de France 1972 et 76). L'ancien attaquant, aujourd'hui entraîneur de l'AS Cannes, consentira en 81 à « monter » plus au nord pour passer deux petites saisons à l'OL avant de retourner sous le soleil de la Provence, mais à Toulon cette fois-ci.
(Photo L'Équipe, Lyon-Nice, saison 1981-1982)



JEAN TIGANA
Lyon (1978 à 1981) puis Marseille (1989 à 1991)
En 1978, c'est Aimé Jacquet qui le fait venir du Sporting Toulon à Lyon. Trois années et aucun trophée plus tard, Tigana rejoint son mentor parti sur les bords de la Gironde. C'est là qu'il éclatera véritablement. En 1989, il quitte Bordeaux pour l'Olympique de Marseille de Bernard Tapie avec qui il sera champion en 1990 et 1991.
(Photo L'Équipe, Lyon-Bordeaux, saison 1979-1980)



DANIEL XUEREB
Lyon (1977 à 1981) puis Marseille (1991 à 1992)
Plus de dix ans entre ses débuts à Lyon en 1977 et le crépuscule de sa carrière à Marseille (champion de France 1992). Mais toujours sa moustache caractéristique !
(Photo L'Équipe, Marseille-Nantes, saison 1991-1992)



JEAN-FRANÇOIS DOMERGUE
Lyon (1982 à 1983) puis Marseille (1986 à 198
Après une saison dans le Rhône, le défenseur, champion d'Europe en 1984 avec la France, part pour trois ans à Toulouse avant d'atterrir à Marseille où il évolue pendant deux saisons. Il termine sa carrière par une saison à Caen avant de se reconvertir comme entraîneur.
(Photo Patrick Boutroux, Marseille - Bordeaux, saison 1987-198



FRANÇOIS BRISSON
Marseille (1986 à 198 puis Lyon (1989 à 1990)
Insaisissable dribbleur, François Brisson a connu de nombreux clubs dont le PSG, Lens, Strasbourg, Marseille (1986-oct. 1987), Laval, Lyon (1989-90) et Lille.
(Photo Michel Deschamps, Lyon - Bordeaux, saison 1989-1990)



ALI BOUAFIA
Marseille (1987 à 198 puis Lyon (1988 à 1992)
Le milieu Offensif international algérien (six sélections) a porté les couleurs de l'OM pendant une saison avant de remonter vers le nord, à Lyon puis Strasbourg. Au total, il a disputé 223 matchs en Ligue 1 et inscrit 36 buts.
(Photo Jean-Claude Pichon, Lyon - Marseille, saison 1989-1990)



ABEDI PELÉ
Marseille (1987 à 1993) puis Lyon (1993 à 1994)
Le Ghanéen, triple Ballon d'Or africain, a connu la gloire avec Marseille (championnat 1989, 91, 92 et Ligue des Champions 1993). Mais à la suite de l'affaire VA-OM, il quitte Marseille pour l'Olympique lyonnais où il ne restera qu'une saison.
(Photo Alain de Martignac, Lyon - Marseille, saison 1993-1994)



FRANÇOIS LEMASSON
Lyon (1987 à 1990) puis Marseille (1997 à 1999)
Arrivé à Lyon en deuxième division, il participe à la montée en 1989. Passé ensuite par Caen, Montpellier et Cannes, il arrive à Marseille en 1997 pourdeux saisons et seulement cinq matches joués.
(Photo André Lecoq, Bordeaux - Lyon, saison 1989-1990)



MANUEL AMOROS
Marseille (1989 à 1993 puis 1995 à 1996), Lyon (1993 à 1995)
Après neuf années à Monaco avec qui il est deux fois champion de France, il signe à Marseille. Quatre saisons, trois titres de champion de France et une Ligue des Champions plus tard, il part pour deux ans à Lyon avant de revenir terminer sa carrière en Provence.
(Photo Alain de Martignac, Lyon - Marseille, saison 1993-1994)



PASCAL OLMETA
Marseille (1990 à 1993) puis Lyon (1993 à décembre 1996)
Jamais sélectionné en équipe de France, Olmeta n'en reste pas moins un des plus grands gardiens français. Champion de France et d'Europe avec l'OM, il part à Lyon en 1993, poussé vers la sortie par une jeune gardien nommé Fabien Barthez.
(Photo Nicolas Luttiau, Marseille - Lyon, saison 1996-1997)



BRUNO N'GOTTY
Lyon (1988 à 1995) puis Marseille (2000 à 2001)
Né à Lyon, le défenseur international français débute sa carrière à l'OL avant de partir à Paris où il remporte la Coupe des coupes, marquant en finale. Après un détour par l'Italie, il signe pour une saison à l'OM avant de repartir, vers l'Angleterre cette fois.
(Photo Alain de Martignac, Lyon - Bordeaux, saison 1993-1994)



ÉRIC ROY
À Lyon de 1993 à 1996 puis à Marseille de 1996 à 1999
Éric Roy n'a pas eu de veine. Successivement milieu de terrain de l'Olympique Lyonnais de 1993 à 96, puis de l'Olympique de Marseille les trois saisons suivantes, l'actuel entraîneur de l'OGC Nice et consultant occasionnel pour la chaîne Direct 8 n'a hélas remporté de titre ni avec l'un ni avec l'autre... Un sacré exploit quand on connaît le palmarès des deux clubs.
(Photo Alain de Martignac, Marseille - Lyon, saison 1997-199



DANIEL BRAVO
Lyon de (1997 à 199 puis Marseille (1998 à 1999)
Après avoir quasiment tout remporté avec le PSG, le milieu de terrain a connu les deux clubs vers la fin de sa carrière. Il y passe à chaque fois une seule saison et ne joue que 14 matches avec l'OL (4 buts) et 20 avec Marseille (1 but).
(Photo Didier Fèvre, Lens - Lyon, saison 1997-199



FLORIAN MAURICE
Lyon (1991 à 1997) puis Marseille (1998 à 2001)
Après des débuts prometteurs à Lyon (126 matches, 44 buts), l'attaquant signe au PSG pour une saison puis directement à l'OM où il passe trois ans avant de partir en Espagne, au Celta Vigo.
(Photo Daniel Bardou, Lyon - Marseille, saison 2000-2001)



SONNY ANDERSON
À Marseille de 1993 à 1994 puis à Lyon de 1999 à 2003
Lyonnais emblématique, le Brésilien a marqué à jamais de son empreinte le Championnat français meilleur buteur en 1996, 2000 et 2001) et l'Olympique Lyonnais, où il a joué de 1999 à 2003, marqué 94 buts et gagné, entre autres, deux titres de champion de France (2002 et 2003). Mais, avant de briller à l'OL, Sonny a passé six mois à l'OM, son premier club français. Entre le FC Martigues-OM du 28 novembre1993 et le Lens-OM du 21 mai 1994, il a marqué 16 buts en 20 matches de Championnat avant de rallier Monaco, où sa carrière décolle.
(Photo Daniel Bardou, Lyon - Marseille, saison 2000-2001)



REYNALD PEDROS
Marseille (1996 à 1997) puis Lyon (1997 à 199
Après six saisons à Nantes avec qui il est champion de France en 1995 et termine meilleur passeur de D1 en 1994 et 1995, le milieu gauche des Bleus signe à Marseille où il passe une saison avant de s'exiler à Parme. Il revient en France pour jouer une saison à Lyon avant de retourner en Italie.
(Photo Bernard Papon, Lyon - Chateauroux, saison 1997-199



STEVE MARLET
Lyon (2000 à 2001) puis Marseille (2003 à 2005)
L'attaquant international français a fait les beaux jours du Red star et de l'AJ Auxerre avant d'atterrir à l'OL en 2000. Après une saison et 18 buts marqués, il tente l'aventure anglaise à Fulham avant de revenir en France, à Marseille, où il passe deux saisons.
(Photo Daniel Bardou, Lyon - Marseille, saison 2000-2001)



FABRICE FIORÈSE
Lyon (1995 à 1997) puis Marseille (2004 à 2007)
Le Savoyard a fait ses premiers pas à Lyon avant d'aller gagner du temps de jeu à Guingamp. Passé ensuite par le PSG ou il remporte la même année la Coupe de France et le ballon de plomb (2004), il signe à l'OM dans la foulée. Il ne s'impose pas à Marseille et est prêté au Qatar puis à Lorient avant de revenir, sans pour autant jouer.
(Photo Bernard Papon, PSG - Marseille, saison 2004-2005)



PEGUY LUYINDULA
Lyon (2001 à 2004) puis Marseille (2004 à 2005)
Triple champion de France avec L'OL (2002, 2003, 2004), Luyindula signe à Marseille où il doit pallier le départ de Didier Drogba. Malgré ses dix buts, sa saison ne satisfait pas le club olympien qui le prête à Auxerre puis à Levante.
(Photo Bruno Fablet, Marseille - Lyon, saison 2003-2004)



BENOIT PREDRETTI
À Marseille de 2004 à 2005 et à Lyon de 2005 à 2006
Le moins qu'on puisse dire, c'est que l'actuel milieu deterrain d'Auxerre n'a réussi ni avec Marseille ni avec Lyon. Après une saison en demi-teinte passée à l'OM (2004-05), où il peine à se fondre dans le collectif, Benoît Pedretti ne brillera pas d'avantage à l'OL la saison suivante. Peu performant, il ne réussira pas à gagner une place de titulaire. Il partira avec un titre de champion de France... et le « ballon de plomb » des Cahiers du football.
(Photo Stéphane Mantey, Lyon - Marseille, saison 2004-2005)



SYLVAIN WILTORD
Lyon (2004 à 2007) puis Marseille (janvier à juin 2009)
Champion de France avec Bordeaux (1999) puis trois fois avec Lyon (2005, 2006, 2007) à son retour d'Angleterre, le sauveur des Bleus en 2000 part pour Rennes afin de jouer plus. Après une altercation avec son entraîneur, Guy Lacombe, il est transféré à l'OM où il passe six mois (14 matches, 1 but) avant de tenter de se relancer à Metz, en Ligue 2.
(Photo Jérôme Prévost, Grenoble - Marseille, saison 2008-2009)



HATEM BEN ARFA
À Lyon de 2002 à 2008 puis à Marseille de 2008 à 2010
L'enfant terrible de Châtenay-Malabry fait son entrée en L1 en août 2004 avec l'OL de Paul Le Guen (Nice-Lyon). Les problèmes inhérents à sa personnalité naissent sous l'ère Houllier et son caractère « buté » s'illustre en juin 2008, au moment de son transfert compliqué vers l'OM. Joueur doué mais aux performances contrastées, il multipliera à Marseille les problèmes de cohabitation, avant de claquer la porte du club pour Newcastle, en août dernier.
(Photo Bernard Papon, Marseille - Lyon, saison 2008-2009)



LOÏC REMY
Lyon (2004 à 200 puis Marseille (depuis 2010)
Formé à l'OL, l'attaquant y a fait ses premiers pas en Ligue 1 avant d'aller chercher du temps de jeu à Lens puis à Nice, où il explose (30 buts en 74 matches). Recruté au mois d'août dernier par l'OM, il aura à coeur de briller.
(Photo Jean-Louis Fel, Lyon - Valencienne, saison 2006-2007)

L'om vient d'obtenir le point du nul à Auxerre ( 1-1).
Mais un point qui a un gout trés trés amer.

En effet l'OM vient sans doute de subir un des pires arbitrages de tous les temps.
Un arbitrage par une série d'erreur monumentale qui change complétement la physionomie du match et sans doute du champinnat. ( Selon les dire d'Alonzo commentateur du match sur orange sport).


Alors que l'OM se montrait sous son meilleur jour et mené 1-0 grâce à un but de Remy, les 3 points étaient quasi assurés tant cette équipe d'Auxerre était d'une nullité flagrante. L'OM déroulait et rien semblait pouvoir l'arreter.

Mais c'etait sans compter sur Fautrel l'arbitre du match qui en décida autrement:

- Penalty accordé pour Auxerre pour une faute clairement en dehors de la surface de réparation. Il n'y avait donc pas de penalty. Auxerre égalisa donc injustement.

- Exclusion incompréhensible du défenseur Stéphane M'bia pour une position imaginaire de dernier défenseur. En effet sur l'action M'bia n'est pas dernier défenseur. Heinze se trouvant à 1 m de lui sur la même ligne. De plus sur cette " faute" qui a conduit à un penalty qui n'aurait pas du avoir lieu ( la faut étant à 1 m de l'entrée de la surface) on voit clairement que l'attaquant se jette n'allant pas au contact du defenseur marseillais. Le carton rouge est donc totalement injustifié.

- Des joueurs Marseillais non protégés par l'abitre, par exemple Brandao se fait cisailler ( il sort donc sur blessure : grosse entorse) par une defenseur et aucun carton pour Auxerre.

- Carton rouge oublié pour un vilain geste auxerrois auteur d'un coup de coude volontaire dans la tête d'un marseillais. L'arbitre a sois disant pas vu l'action. Mais les images sont net le joueur devait être exclu comme la reconnu les commentateurs d'orange.

- Penalty indiscutable oublié pour Lucho qui se fait bousculer dans la surface de réparation. Une fois de plus les images parlent pour elles: il y avait penalty.

- Innombrales coups francs accordés pour Auxerre pour des fautes inexistantes de Marseillais. Je pense notamment à ce magnifique tacle sur le ballon de Gaby Heinze.

- Des propos scandaleux de l'arbitre ayant dit à Gignac: "en deuxiéme mi-temps tu vas toucher aucun ballon, on va tout siffler sur toi"


à suivre les réactions des Dirigeants Marseillais qui parlent je cite: " de vol, d'injustice, d'incompétence, d'une partie à 10 contre 12 ( l'arbitre), de maltraitance anti-marseillais "

Pour ceux qui n'ont pas vu le match voila le résumé en vidéo:

Le résumé du match:



Reportage sur Nice-OM:

Le pénalty arreté par MANDANDA:



Emission sur Le match OM-RENNES:



Mandanda : "Un match nul logique"

"C'était un match difficile face à une très bonne équipe rennaise.On a eu quelques situations tout comme eux. Dans l'ensemble le match nul est assez logique. L'important, quand on n'arrive pas à gagner comme ce soir, c'est de ne surtout pas le perdre. On continue à avancer même si on aurait aimé gagner. Les tirs au but, c'est un peu de la loterie, il y a deux côtés, j'ai choisi le bon. Je suis sur la trajectoire, et je l'arrête, tant mieux. Il faut continuer, on fera le bilan en fin de saison".

Antonetti : "C'était un beau match"

"Nous avons un groupe jeune qui avec quelques bêtises aurait pu nous coûter la défaite. On a quand même fait honneur aux couleurs rennaises ce soir. C’était un beau match. On a répondu au combat athlétique qui nous a été posé, et on leur a posé des problèmes. Peut-être qu’avec un peu plus d’expérience, on aurait gagné ce match. Il y a un règlement, on peut discuter de la double peine. Si il y a un règlement, il faut l’appliquer. Il est quand même plus facile de jouer l’OM que d’autres équipes qui se recroquevillent".

Rémy : "Un bon point pour nous"

"Il a simplement manqué un but qui aurait fait la différence. On n'a pas su concrétiser les actions qu'on a eues. On a eu de la chance, que ce soit sur le penalty, ou sur les actions que Rennes s'est procuré. C'est un bon point pour nous ce soir. Espérons que l'on reste en tête jusqu'à la fin. Ça va être compliqué vu les rencontres qui arrivent.
Rennes est une très bonne équipe donc c'est toujours un bon point pour nous. On savait que Rennes n'allait pas venir en victime ici. On va essayer de continuer sur la bonne période que l'on a en championnat pour aller en déplacement à Nice dimanche, et aller gagner".

Anigo : "Le nul est logique"

"Sur l'ensemble du match, on a eu quelques situations de buts que nous n'avons pas converties. Cette équipe de Rennes nous a posé quelques problèmes. Ce soir nous avons un peu ressenti l'enchainement des matches. Il n'y a pas à crier au scandale, le nul est logique.
Il manquait les petits dixièmes de secondes pour enchaîner le geste parfait, pour intercepter les ballons qu'il faut... Cela a été un match difficile contre une équipe de Rennes, qui a très certainement été la meilleure équipe que nous ayons vue cette année au Vélodrome. Toujours en mouvement, beaucoup de vitesse, même si elle est jeune elle a beaucoup de qualités. Elle nous a compliqué la vie. On vire en tête même si ce n'est qu'avec un point. Notre début de championnat n'a pas été si brillant et on est heureux d'être à cette place là à mi-parcours, c'est une bonne chose.
Quand on ne peut pas gagner un match, il ne faut surtout pas le perdre. C'est un point de plus dans notre parcours. Après Toulouse, après Moscou et Montpellier où on a fait un sans-faute, il y a ce petit coup d'arrêt. J'ai presque envie de dire que c'est normal, on enchaine tous les trois jours. Le match qui arrive à Nice sera aussi difficile, mais il faut prendre les points partout, le plus possible et tout le temps.
On verra ce que proposera Nice, mais on y va pour faire un match avec une bonne maitrise technique comme ces derniers temps, mais surtout de l'impact physique pour ramener les trois points, on y va pas pour faire un nul, on y va pour gagner. C'est un derby, cela ne sera pas facile non plus. L'engagement niçois, nous le connaissons et pour eux c'est en quelque sorte le match de la saison. Ils ne sont pas dans une situation des plus confortables donc ce ne sera pas facile pour nous, mais nous avons les moyens d'aller gagner à Nice".

Voici le résumé du match,dsl il y a que les buts et la qualité n'est pas top mais bon pour ceux qui on raté le match c'est toujours mieux que rien.

A noter que Montpellier n'est pas resté comme des plots et a eu des occasions mais Mandanda comme depuis le début de saison a ete tres bon.

Résumé vidéo du match(le bruit derriere la vidéo c'est a cause du feu d'artifice au Vélodrome.)



Les réactions en vidéo: