Aprés la large victoire des Marseillais ( 3-0) contre sainté, voici les réactions des joueurs et des dirigeants:

NIANG:

«On a fait un bon match même si on s’est mis un peu en difficultés. On est restés bien en place et on a la chance de marquer ce but qui nous libère. Ensuite, on a déroulé pour mettre le but du KO. Ce soir, nous sommes contents. Il y a beaucoup de concurrence devant car on a des joueurs offensifs de qualité avec Brandao, Koné, Ben Arfa, Valbuena, Wiltord et Samassa. Cela fait du monde mais on travaille dur l’entraînement. On essaie de mettre au fond à chaque fois que l’on a une occasion. On fait également les efforts défensifs en se replaçant. On essaie de freiner les offensives pour que nos défenseurs puissent se replacer».

GERETS:

«On est mal parti, Saint-Etienne a pris le match en main. On le savait puis on a pris les choses en main. En seconde période, on aurait pu marquer trois buts de plus. C’est pas cher payé pour Saint-Etienne. C’était bon. En jouant en 4-2-3-1, on savait qu’Ilan serait libre chez eux mais Valbuena aussi chez nous. On a pris le dessus après le but. Après le changement de Valbuena, Ilan n’était plus dans le match car M’Bami était sur lui. C’était plus facile pour jouer en contre».

ANIGO:

On a vu un bon match ce soir, ici ou devant la télévision, avec beaucoup de situations offensives de part et d’autre, une meilleure gestion de notre part en seconde période. Je crois que l’on est en train de monter en puissance depuis quelques matches. On est solides et surtout très solidaires avec un groupe qui est un bon groupe. On est sur de bons rails et il ne fallait pas manquer ce virage car quand on vient ici, ce n’est jamais facile, malgré le classement de Saint-Etienne. On a fait une performance de bon niveau. Je voudrais féliciter tout le monde et dédier cette victoire à Pape (Diouf) qui est sur un lit d’hôpital. J’aurais aimé qu’il soit avec nous car ce soir c’était agréable..


VALBUENA:

On a gardé nos valeurs et nos principes malgré un premier quart d’heure difficile. On a su faire face. On marqué les trois buts en seconde période, cela prouve la force et l’orgueil de cette équipe. On s’appuie sur un collectif et une assise défensive qui est très bonne. Tout le monde défend pour l’équipe et on sait que l’on va se procurer des occasions. En première période, nous en avons eu mais pas Saint-Etienne. Il fallait mettre au fond nos opportunités. On s’appuie sur un bloc-équipe qui fait notre force.
Il fallait faire face lors du premier quart d’heure. C’était un match important pour eux car ils jouent pour le maintien. En seconde période, on a travaillé collectivement et ça a payé. On reste sur notre lancée. J’aurais voulu marquer ce soir mais l’important c’est la victoire, On est toujours deuxièmes, à un point de Lyon».


CHEYROU:

«En première période, c’était le round d’observation. On avait la maîtrise du jeu sans être vraiment dangereux mais Saint-Etienne n’a pas eu d’opportunités non plus. On a maîtrisé notre sujet. Après le penalty, c’était plus facile, on a fait tourner, il y avait plus d’espaces et on s’est fait plaisir.
Taye Taiwo me met un bon contact en profondeur, je fais un crochet sur Bayal car il pensait que j’allais centrer du pied gauche, j’ai la réussite, je vois Brandao, je centre et après il a plus qu’à la mettre au fond.
Nos attaquants marquent des buts, ils ont fait un travail de l’ombre extraordinaire. On travaille beaucoup et c’est pour cela que l’on marche bien. On attaque et on défend ensemble. On est plus fort quand on est ensemble. On parle des attaquants ce soir, mais il faut voir que l’on n’a une nouvelle fois pas encaissé de but. Cela fait un moment que cela dure et quand on regarde dans les grands championnats, ce sont les équipes qui prennent le moins de buts qui sont en haut. Tout le monde fait le boulot dans ce sens, les attaquants aussi et c’est grâce à eux que l’on prend moins de buts».

Voici le résumé du match qui permet a l'OM de revenir a 1 point de Lyon avec deux buts de Niang et un de Brandao.

L'om se devait de continuer sur sa belle lancée d'avant la trêve, surtout que les cadors du Championnat avaient tous gagnés.

Seulement, les marseillais avaient devant eux une équipe désireuse de prendre au moins un point pour s'extirper de la zone de relégation.

Score finale: OM 3-0 ASSE. Magnifique.
Malgré 20 premières minutes pourries pour les marseillais. Ceux ci ont su répondre présent en seconde mi-temps Par des buts de Niang ( doublés) dont un sur penalty et un but de Brandao de la tête.

A noter que L'om repasse meilleur attaque du championnat!

Lyon et les autres sont prévenus!

Voila le résumé du dernier match de championnat contre l'OM.

04/04/09 - ASSE-OM

Une plongée dans le Chaudron vert attend Lorik Cana et ses partenaires dimanche, au sortir de la dernière trêve internationale. Pour s’accrocher aux basques lyonnaises, ils viseront le sans-faute chez des Stéphanois aux abois.


ST ETIENNE-OM
Ligue 1 - 30e journée
Dimanche à 21h00
Stade Geoffroy-Guichard
Arbitre : M. Kalt
En direct sur Canal+


« Si tu gagnes tout jusqu’à la fin, tu es champion ». Le football peut-il être aussi simple que cela ? Non, bien entendu. Surtout, quand il reste encore neuf journées.
Mais, cette formule d'Erik Gerets cette semaine n'avait rien de simpliste. Elle permet de rappeler que son équipe a plus les cartes en main que le classement ne le laisse entrevoir.
Certes, avant de jouer contre l'ASSE, ses Olympiens accusent un retard de quatre points sur les Lyonnais (victorieux au Mans, 1-3, samedi). Mais, ils les reçoivent en mai. Aussi, en accomplissant un 100% entre aujourd’hui et le terme de la saison, ils décrocheraient la timbale. Sacré happy end.

« Nous sommes dans une situation où tout dépend de nous », a donc renchéri le technicien belge avant le rude déplacement forézien, annonçant qu’il allait « préparer chaque match comme si celui-ci nous permettait de tout gagner ».
Erik Gerets et ses hommes s’avancent donc vers la fin de la saison à visage découvert. « Je sais que je prends le risque de me faire taper sur la gueule en affirmant viser le titre, mais j'assume », a maintenu l’entraîneur marseillais, quand certains de ses homologues cherchent à calfeutrer leurs ambitions que rendent pourtant légitimes leur classement.

Avec Brandao

Le groupe de l'OM

Gardiens
Mandanda, Riou
Défenseurs
Taiwo, Mears, Hilton, Civelli, Rodriguez, Zubar
Milieux
Cana, Cheyrou, Kaboré, Mbami, Valbuena, Ben Arfa
Attaquants
Niang, Koné, Samassa, Brandao, Wiltord
Parler ainsi, c’est aussi une manière de placer tout un groupe devant ses responsabilités, au commencement d’un mois d’avril qui clairsemera peut-être les rangs des prétendants.
Et la première étape n’est pas la plus vilaine. « Saint-Etienne, c'est un gros déplacement, dans un stade mythique et une ambiance fantastique, devant une formation qui, selon moi, n'est pas à sa place. Ce sera un match très tendu... », a annoncé Lorik Cana. La première phrase du capitaine aura laissé transpirer l’excitation du groupe olympien, à l’approche de cet autre grand classique hexagonal.
Un groupe où Zenden fera défaut (en plus de Bonnart et Ziani), mais dont Brandao (entorse) fait bel et bien partie. Alors que les options d’Alain Perrin auront également été réduites par les absences de Benalouane (suspendu), Dabo, Perrin, Sauget et Matuidi (blessés).
Il y a deux ans, l’équipe entraînée par Albert Emon était venue à St Etienne décrocher la 2e place. En 2009, la formation marseillaise plongera de nouveau dans le bouillonnement du Chaudron avec l’espoir d’y pêcher trois points. Soit de solides raisons de continuer à croire à son potentiel de gravir une marche de plus. Celle qui installe au sommet.

Laurent Oreggia
Echos
Sans le Président
Pape Diouf ne rate jamais un match des Olympiens, à domicile, comme à l’extérieur. Il ne sera pourtant pas présent dans le Forez. Et pour cause, il a du être hospitalisé d’urgence samedi à son retour de Dakar pour une infection oculaire (lire par ailleurs).
En passant par la case Marseille
Contrairement à ce qu’ils avaient fait lors de leur précédent déplacement européen où ils n’étaient pas rentrés à Marseille après leur victoire au Parc mais avait pris directement le chemin d’Amsterdam, les Phocéens seront lundi de retour à la Commanderie. Ils s’envoleront pour l’Ukraine mardi, après un ultime entraînement en Provence le matin.
La demande de Gerets à la presse
« Tu ne peux pas ouvrir un journal en ce moment sans lire quelque chose sur mon avenir », a déploré Erik Gerets devant la presse vendredi. « Il y a trop d’attention là-dessus. J’aimerais bien que ce s’arrête pendant un petit moment. Mes joueurs ont besoin de se concentrer sur leur boulot ».


L'adversaire


Si Landrin fait bien partie du groupe, Alain Perrin doit se passer des services de : Benalouane (suspendu), Dabo, Perrin, Sauget et Matuidi (blessés)
La stat
75%Le pourcentage de victoires de l'OM depuis l'arrivée de Brandao à Marseille, soulignant ainsi l'impact de son travail de l'ombre dans les résultats phocéens.
Auparavant, de la 1ère à la 21e journée, le pourcentage était de 43% (source France Football).

La phrase
C’est le genre de match que j’adore. Je paierais pour avoir 20 ans de moins et être sur la pelouse. Tu sens l’adrénaline dans ton camp car tu as la possibilité de jouer en Europe et de lutter pour le titre. Qu’est-ce qu’il y a de plus beau ?."
Erik Gerets

Contre Nantes, l'OM n'a cette fois ci et pour une fois pas raté le coche en s'imposant 2 a 0 en bonifiant du coup la victoire aquise au parc contre Paris dimanche dernier.Ce qui permet de mettre la pression a Lyon et au PSG qui eux jouerons demain!!!

MARSEILLE SUR SON NUAGE

En attendant Lyon-Sochaux, dimanche, Marseille s'est emparé provisoirement de la tête contre Nantes (2-0). Les Olympiens comptent deux points d'avance sur Bordeaux, facile vainqueur du Havre (3-0). Dans le bas du tableau, rien ne va plus pour Nancy battu par Monaco (0-1).
L'OM a pris provisoirement la tête grâce à deux buts de Civelli et Brandao. (Reuters).
Dix ans que Marseille attendait ça : se retrouver en tête de la L1 après vingt-neuf journées de Championnat. Cette première place conquise contre Nantes (2-0) reste toute relative - Lyon aura l'occasion de repasser devant en cas de succès contre Sochaux, dimanche -. Mais elle a suffi à faire chavirer tout le peuple marseillais. Souvent sevré de spectacle à domicile cette saison, le Vélodrome a apprécié de voir ses protégés renouer avec le succès après deux nuls consécutifs à "la maison". Leur prestation s'inscrit dans la lignée de celles livrées à Paris (3-1), puis à Amsterdam (2-2), en Coupe de l'UEFA. C'est un message fort adressé à la concurrence, pour reprendre les termes de Lorik Cana après la victoire de ses troupes au Parc des Princes. Pour la première fois cette saison, l'OM n'a pas tremblé au moment de dépasser le roi Lyon. Après une première période maîtrisée, quoi que pauvre en occasions, les joueurs d'Eric Gerets ont fini par avoir raison du bloc nantais sous l'impulsion de l'intenable Boudewijn Zenden. Comme face au PSG, le Néerlandais s'est montré à son avantage en délivrant deux passes décisives pour les têtes de Civelli (55e) et Brandao (58e). Sur le banc au coup d'envoi, il confirme les propos de son entraîneur qui assurait il y a peu ne plus voir de différence de niveau entre les titulaires et les remplaçants. Le Sorcier Belge, tout sourire en quittant la pelouse, attend désormais de savoir qui occupera la première place lorsqu'il lira son journal, lundi matin.

Un bon résumé du clasico d'hier!










Allé L'OM!!!



PSG 1-3 OM : E-N-O-R-M-E !
15/03/09 - PSG 1-3 OM

L’OM a signé une éclatante et retentissante victoire dimanche soir au Parc des Princes. En plus de remporter le Clasico, les Olympiens reviennent à un point du leader lyonnais !

E-N-O-R-M-E. Remporter une telle victoire en terre hostile dans un match doté d’un tel enjeu ne mérite pas d’autre qualificatif.
C’était le match à gagner. Parce que c’était le grand classique du championnat. Parce qu’il y avait une revanche à prendre après la première manche. Parce que la déroute lyonnaise à Gerland deux heures plus tôt avait placé plus haut encore le sommet.
L’OM l’a fait. Brillamment. N’ayons pas peur des mots. L’équipe phocéenne a signé dimanche soir sa plus belle victoire au Parc des Princes depuis… Depuis quand ? Aussi loin que puisse fouiller notre mémoire, on n’a pas souvenir dans les 15 dernières saisons de succès à Paris plus maîtrisés que celui-là.


Le jeu

Le jeu en pivot de Brandao fut un calvaire pour la défense parisienne, tout comme l'activité de Zenden sur la gauche, et les percussions de Valbuena. Il y avait une classe d’écart entre les deux formations. Et cela a sauté aux yeux dès les premiers ballons. Une évidence. Placé haut sur le terrain, les Phocéens ont tout simplement confisqué le cuir. Moins de dix minutes, et déjà les tirs pleuvaient en direction des buts de Landreau. Anesthésié par l’enjeu et pris de cours par le pressing marseillais, le PSG ne rendait pas coup pour coup. Loin s’en faut. Il courait le plus souvent après le ballon. Et quand ils l’avaient, les Franciliens voyaient leurs transmissions coupées net le plus souvent.
Aussi, l’ouverture du score, aussi belle soit-elle, n’en apparut pas moins parfaitement logique. Brandao remisait en talonnade ( !) sur Zenden. L’infiltration du Hollandais laissait la défense parisienne sur place, tout comme sa frappe du gauche qui s’en allait caresser le petit filet dans un grand cri de bonheur dans la zone visiteuse (0-1).

L’abattage de Cheyrou et Cana au milieu, et le travail de harcèlement de Valbuena étouffaient ensuite toute réaction. Et quand ce n’était pas suffisant l’axe Civelli-Hilton venait écarter le danger. Il aurait du en être ainsi jusqu’au repos. Mais sur une de ses sporadiques actions offensives, le PSG égalisait. Hoarau exploitait la règle du hors-jeu de position pour déstabiliser la charnière marseillaise par une course-écran qui plaçait Giuly en position idéale sur une ouverture de Luyindula. L’ancien barcelonais ajustait son tir, et remettait en selle son équipe (1-1) de façon heureuse.

Tout était à refaire. Mais les mouches avaient-elles changé d’âne ? Pas vraiment. Les Marseillais déroulaient, et déroulaient encore. Donnant le tempo du match, à l’image de cette accélération qui obligeait Camara à sécher Zenden juste avant la limite. Coup-franc, carton rouge. Et sacrifice inutile. La parade de Landreau sur le coup de pied de Zenden revenant pile sur Koné pour le 2e but olympien (54e, 1-2).

Avantage au score + supériorité numérique + domination dans le jeu, ça sentait drôlement bon. Les joueurs d’Erik Gerets le respiraient à plein poumon, quand ils complétaient la marque d’un nouveau but. Koné trouvait facilement Cana plein axe. Contrôle de la poitrine de l’Albanais à l’entrée de la surface et frappe enchaînée au ras du poteau. Quel frisson durant les millièmes de secondes qui s’écoulèrent avant que le tir n’atteigne sa cible ! Et quel tonnerre de joie dans le camp marseillais ensuite !
Il restait moins d’une demi-heure, et à moins de connaître d’étonnantes défaillances dans ce laps de temps, l’OM semblait avoir fait le pas décisif vers son beau succès.
Il n’eut pas de sursaut. Le combatif Mears interdira ceux de Rothen dans son couloir. Et ses partenaires en firent de même chacun dans leur zone, grâce à un quadrillage impeccable. Des Olympiens qui pouvaient bien se laisser griser à enchaîner des passes à 10 sous les Olés de 2000 supporters euphoriques et fiers. La communion se prolongera bien au-delà du coup de sifflet final, au pied de leur tribune.
L’OM a effacé le match aller et affiché ses ambitions pour la fin de saison de façon retentissante. Dimanche soir, l’OM, c’était trop bon. Dans tous les sens du terme…

Parisien, sur les Blogs aussi on vous met 3-1. Jettez les armes vous etes encerclé!!!

zenden:


«Avant le match, je disais que l’on venait dans l’enfer et la seule chose à faire, c’était de rester costaud, tous ensemble et de travailler pour les uns et les autres. C’est ça qui a fait la différence. On est très contents, on a fait ce qu’il y avait à faire, on connaissait les résultats des autres matches. Le championnat est très ouvert».

Mandanda :

«C’est surtout une satisfaction collective car nous avons pris notre revanche sur le match aller et gagner à Paris, cela représente beaucoup. Tout le monde le sait à Marseille. En plus, on recolle au classement. C’est une bonne opération, ce soir.
Avant le match, on sentait tout le monde, concerné, concentré et déterminé à gagner. Pendant la rencontre, tout le monde courait, on jouait bien au ballon. Pendant 35 minutes, on a très bien joué, on n’a pas vu Paris. La victoire est logique.
Le championnat est passionnant derrière comme devant. C’est indécis, on recolle, Lyon n’est plus qu’à un point. Il ne faut pas s’enflammer car il reste encore des matches. On est bien placés et pourquoi pas passer devant».

DIOUF:

«J’étais assez confiant pour ce match même si c’est plus facile à dire après qu’avant mais j’avais senti que nous étions en situation de réussir un bon coup ici. Les joueurs étaient déterminés et bien préparés par leur entraîneur. Chacun était pénétré par l’importance de ce match. Dès les premières minutes, on a imprimé notre rythme, on a joué comme on l’a voulu. On a marqué un but mérité. Des approximations nous ont amenés à concéder un but qui aurait pu nous faire douter. Mais même pas, puisque dès la reprise, nous avons repris le jeu à notre compte et le résultat est mérité.
On ne peut pas gagner un tel match sans un état d’esprit remarquable. Sur le plan tactique, technique et aussi mental, nous étions prêts. Il fallait effacer le match aller qui était resté en travers de la gorge mais il fallait, pour affirmer mes ambitions, obtenir un bon résultat. C’était une non-défaite mais nous avons su gagner.
Disons qu’il n’y a jamais deux sans trois et on peut espérer continuer sur notre lancée mercredi. Nous avons un peu de temps pour savourer notre belle victoire avant de nous replonger dans la scène européenne. Cela ne sera pas simple à l’Ajax, nous serons attendus de pieds fermes mais on se comporte très bien à l’extérieur. J’ai bon espoir de continuer sur cette lancée».

CANA:

«L’important c’est que mon but serve à l’équipe. Cela me tenait à cœur après notre déconvenue du match aller. Il était important de gagner. On a fait ce qu’il fallait malgré l’hostilité du stade. Ce n’était pas facile, on a fait face et on a fièrement représenté le maillot. Les joueurs étaient au courant de l’atmosphère, ils rêvent tous de jouer ce genre de match. On a pris beaucoup de plaisir et quand la victoire est là, c’est grandiose. On a bien géré. Dans la première demi-heure, on a mis Paris en difficulté».


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Mission destruction réussi




Sa y est nous avont relevé l'affront du match allé au Vélodrome en nous imposant par 1 a 3 avec des buts de Zenden , Koné et Lorik Cana voila bonne nuit!