description : Music Génération c'est le groupe portant sur la Musique.
Pop, rock, blues, RAP, RNB... Tout est présent !
A vous de faire vos propres selections !
Et comme on dit, LISTEN !
Nom du groupe: Motörhead
Pays: Royaume-Unis
Date de formation: 1975
Nom de l'album: Aftershock
Date de sortie de l'album: 21 octobre 2013
Genre: hard-rock, heavy metal
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Après l’Apocalypse, le néant, la survie des rats et de quelques hommes hagards au milieu d’un immense désert de dévastation, il existera encore Motörhead . La bête la plus effrayante du rock aura raison du temps, des guerres, de la folie des humains. Le monstre est devenu dieu, déjà quelques années après sa création. Sa vénération s’est perpétuée à raison de la sortie des albums. La discographie de Motörhead est désormais dantesque. Difficile de tout se remémorer. Un disque fait par la bande à Lemmy Kilmister ouvre obligatoirement les portes de la nostalgie. Beaucoup vont accorder en priorité leur idolâtrie aux anciens ouvrages issus du trio de la mort Lemmy, Eddie, Philty. D’autres se diront qu’il n’y a pas que le passé du groupe à mettre à l’honneur. Parmi les derniers efforts, il y en a qui méritent aussi de figurer dans leur panthéon, tels « Kiss of Death » ou même le « The Wörld Is Yours » de 2010. Certains reprochaient à ce dernier de ne pas être innovant, de se baser avant tout sur la tradition. On leur rétorquera qu’il ne s’agit aucunement d’une formation de prog ou expérimentale (bien que Lemmy Kilmister doit se rappeler de son expérience space chez « Hawkwind »). Motörhead fait du Motörhead, et le fait bien.
Peu avant la sortie du « The Wörld Is Yours » on craignait alors le coup de fatigue dans le trio, Lemmy en tête. Il est vrai que le chant de ce dernier s’avérait de plus en plus limité depuis « Hammered ». Si la voix a perdu de son agressivité, la basse de l’artilleur est toujours restée aussi efficace. Le groupe fait de nouveau confiance à Cameron Webb pour son 22ème album, comme depuis près de dix ans maintenant. Il est devenu pour ainsi dire un habitué de la maison. Tout s’écoulerait donc comme un long fleuve tranquille. Ils ont déjà eu l’occasion de dissiper toutes les craintes à leur égard. On ne laisse pas non plus présager des divers changements qui pourraient à terme s’avérer une prise de risque totalement inutile, un suicide même. Ils savent ce que leurs fans attendent. Eux ne veulent que du rock n’roll. Pas un de ces vieux rock n’ roll des temps jadis. Mais plutôt, celui que l’on connaît de nos chers britanniques, un rock n’ roll dévastateur qui vous écrase la poire. Il semblerait bien, que vous allez encore vous prendre une mandale avec « Aftershock ».
Trois ans d’attente, près de 40 ans d’existence, et un son qui botte toujours autant. En plus, ils vous servent la sauce littéralement d’entrée cette fois avec un « Heartbreaker » bien viril. On peut dire que ça déménage avec une rythmique survitaminée. Le seul inconvénient à relever, si s’en était vraiment un, serait un chant pas entièrement dans la lignée de la prodigieuse fougue élaborée par les instruments. Seulement le refrain changerait la donne. C’est décidément l’impétuosité qui marquera cet album, comme le ferait un fer rougi sur la peau d’un veau. « Coup de Grace » va conforter le dynamisme de l’explosif « Heartbreaker ». Ce ne s’illustre pas dans une grande subtilité, mais la puissance n’a que des atouts chez le groupe. On se rappelle de la vigueur des premiers ouvrages de la formation. D’ailleurs chose troublante on croit détecter l’ombrage de l’illustre « Ace of Spades » sur le non moins survolté « End of Time ». Le jeu direct et rapide de « Going to Mexico » comme de « Paralysed » nous remémorera la bête du passé. C’est en grande partie grâce à l’excellente dextérité de sieur Phil Campbell, que pour la performance vocale du boss Lemmy.
Il est curieux de constater que le guitariste vole purement et sans ambiguïté la vedette au seigneur Kilmister. Il s’adonne à fond, portant désormais à deux mains l’édifice au détriment d’un Lemmy moins incisif vocalement, peut-être rattrapé par le temps. (ainsi que par la drogue, l'alcool et son train de vie démentiel depuis les années 60! ) Le morceau « Do You Believe » résume à lui seul la situation. Le rock n’roll déjanté produit en grande partie par la guitare affriolante de Phil sème le chant du leader. Heureusement, ce dernier résiste à la confrontation en faisant usage de sa basse. C’est une combinaison à deux (guitare et basse), à haut niveau et sur très haute tension, qui va électriser un « Queen of the Damned » jouissif. « Knife » renvoie lui aussi l’image d’une parfaite cohésion avec ses riffs particulièrement tranchants. On salue encore la grande réactivité de Phil Campbell, affichant aisance et détermination. Il n’y aura vraiment que pour « Silence When You Speak to Me » qu’il y aurait franchement à redire du rôle des instruments, tellement le titre est bateau dans son rythme, poussif et beaucoup trop axé sur la répétition.
« Silence When You Speak to Me » est issu des quelques morceaux mid tempo du volume. On y compte aussi « Death Machine » et son groove rampant. C’est assurément la basse grésillante qui y mène la danse. Celui-là ne se montre toutefois pas aussi entrainant et plein de vie que « Crying Shame », prenant les allures boogie d’un « ZZ Top » en bonne forme. Les britanniques persisteront dans ce style joyeux, confiant, avec un bien sage « Keep Your Powder Dry ». Comme Motörhead n’aime pas faire les choses à moitié, et qu’il leur faut en plus varier au possible les vitesses, le caractère de leurs chansons, ils se décident à alourdir le tempo, le rendant languissant pour des ballades comme ils savent les concocter. « Lost Woman Blues » est la première à entrer en scène, nous plongeant dans une ambiance feutrée, sexy. Lemmy prend alors des airs de Joe Cocker, du moins jusqu’à l’accélération finale. Il se montre parfait, remarquable dans ce genre de situation. On refait connaissance avec le blues plus loin sur « Dust and Glass ». C’est vrai que ça ne fait pas de mal un peu de volupté dans ce monde de brutes.
Après un tel coup il faudra se relever. Le fan de Motörhead a depuis beaucoup côtoyé le plancher, à raison des disques de ses fameux idoles. « The Wörld Is Yours » avait remis du baume au cœur après la légère baisse de régime de « Motörizer ». « Aftershock » fait de nouveau taire certains spéculateurs téméraires, en misant cette fois sur le jeu expert de Philip Campbell. Le guitariste du trio prend les devants et s’impose de la plus belle des manières, parvenant même à faire fleureter la formation avec sa lointaine époque. On retient également que le groupe a fait le choix de titres courts, quitte à en proposer davantage sur l’album (composé de 14 pistes). Un choix assez judicieux qui évite de tomber dans la redondance, mais qui ne permet cependant pas de délivrer de morceau réellement phare. On songera probablement au démonstratif « Heartbreaker » pour tenter de contredire cette affirmation. Il n’en reste pas moins que dans un combat entre Motörhead et vous, ce sera toujours à vous de vous incliner. Ce rapport des forces est toujours valable en cette fin d’année 2013.
Björk est une musicienne, chanteuse, compositrice et actrice islandaise.
difficile de lui définir un genre en particulier, les influences sont multiple : pop , electro , punk , jazz , Trip hop, ...
bref une Artiste ... une vraie !
Ras le cul de Lil Wayne et ses pyjamas de baltringue sur scène, de la vantardise dégueulasse de Kanye West qui se prétend le plus grand musicien de tout les temps, de la poésie à la con de Maitre Gims qui pousse la chansonnette plus qu'il ne rap, ou des querelles de gosses entre ces mongoliens de Booba, Lafouine et Rohff? Déstresse mec! Voilà du bon rap US qui va te mettre bien!
Du rap US percutant mené par un supergroup (non pas que le groupe soit forcément "super", mais on appelle un groupe ''supergroup'' à partir du moment où les mecs sont super nombreux, voyez ) originaire de Philadelphie: Army of the Pharaohs.
Avec à leur tête le respecté Vinnie Paz du collectif Jedi Mind Tricks, Army of the Pharaohs, calqué sur le concept des déjà bien connus Wu-Tang Clan de la East Cost pond une série de flow guerrier, à l'esthétique soigné, au punchline qui envoi chapeauté d'une instru qui pulse, ne lésinant pas le moins du monde sur un beat lourd et rythmé. Pour "Bloody Tears" ici présent, c'est pas moins de 4 MC qui se succède pour donner de la voix. Dans l'ordre: Planetary, Doap Nixon, Demoz (aussi pour le chorus) ,et en dernier le maître incontesté du collectif: Vinnie Paz en personne!
Vous l'aurez reconnu, le sample est tiré de la fameuse piste "Bloody Tears" de l'OST de la saga vidéoludique mythique Castlevania!!
Incisif, avec une mélodie entêtante, de la rime qui se laisse écouter, un gratin de voix qui déroule sans trembler du menton pour un ensemble très gangsta-rap ("die motha fucka die!!"), la modernité du son en prime.
Sacré groupe que ce Monster Magnet, gang de porte-flingues du New Jersey qui auraient troqués leurs Beretta chromés pour des bongs fumants. Sacré type que ce Dave Wyndorf, figure de proue de la formation, espèce de rejeton aussi dégénéré que viril de Lemmy Kilmister. Il faut dire qu’on manquait de ce genre de gangs maudits menés à la trique par des êtres à l’esprit délabré, culbutant des titres d’un space rock massif et exterminateur. Même si un certain Soundgarden, fin des années 80, commençait déjà à taper à la porte!
Cerveau dérangé mais suffisamment lucide et inspiré d’une bête en mutation permanente, Wyndorf n’aura de cesse d’affiner les contours de sa création, usinant une musique de moins en moins déstructurée, de plus en plus efficiente. Jusqu'à arrivé en 1995 avec l'album Dopes to Infinity, probablement l'une des pièces de stoner rock les mieux conçues de touts les temps.
Ravageur et bravache, appuyée sur un riff reptilien et entêtant, bien graisseux et qui s'emmerde clairement pas avec la finesse, la voix subversive de Wyndorf commence à faire couler la blanche poudreuse dont il s'est empiffré juste avant dans notre lob d'oreille. Et le trip prend juste comme il faut. Tempo lent, voix plaintive, avec effet psychédélique en prime, et c'est vers 2minutes10 qu'on se voit transporté dans une autre galaxie, avec des néons multicolores et des genre de canards géants roses de l'espace qui se font des fellations entre-eux, tout en fumant des gros pétards d'acide. Mais rassurez-vous, c'est tout à fait normal, c'est ça, Monster Magnet.
Bien qu'assez peu connu et injustement rejeté par le public américain au milieux des années 90 (pourtant, ils sont ricain!), Monster Magnet est plutôt populaire en Europe (surtout au UK et en Allemagne) et l'apparition de ce titre: Look to Your Orb for the Warning (merci beaucoup, j'y penserai ) dans la BO de The Matrix (parfait pour illustrer le caractère subliminal et carrément psychédélique de l'expérience de la vie dans un système tel que la Matrice) en 1999 leur a fait bénéficier d'un regain de popularité. D'autant qu'un relativement joli succès commercial les avaient déjà récompensés de leur travaux en 1998 avec l'album Powertrip et le single Space Lord.
Frank Vincent Zappa est un musicien, guitariste et satiriste américain. Durant sa carrière musicale de 33 ans, Zappa a été l'un des musiciens-compositeurs les plus prolifiques de son époque, réalisant plus de 60 albums, la plupart constitués de compositions originales.
Il est aussi un guitariste renommé, ainsi qu'ingénieur-producteur ayant réalisé et produit quasiment tous ses enregistrements depuis ses débuts en 1966.
Son travail d'avant-garde est un mélange de styles musicaux très différents (notamment de musique contemporaine, musique expérimentale, rock, jazz-rock fusion, blues, doo-wop, musique électronique), mêlé d'une satire sociale teintée d'humour décapant, parfois graveleux, et d'absurde.
Cradle of Filth est un groupe de metal extrême britannique fondé par Darren White (Daz), Jon Richard, Paul Ryan et Daniel Lloyd Davey, alias Dani Filth en 1991. Au cours de leur carrière, leur genre a évolué, débutant avec du Death metal et se dirigeant progressivement vers un style de black metal. De nos jours, Cradle of Filth est couramment qualifié de groupe de Metal extrême.
On se retrouve pour la sortie de l'album Christmas With love de Leona Lewis! Disponible pour 8,99euros sur Itunes et 9,99 euros en support physique et cet album est composé de 10 morceaux.
alors voici toute la liste et j'espère que vous apprécierez En tout cas cet album est déjà mien sur Itunes et bientôt en support physique (écoutez au moins le 9ème morceau! )
promis la prochaine fois je mettrai autre chose que du Leona Lewis^^ mais sortie de l'album c'était obligé!
1er morceau, "One More Sleep", Vraiment pas mal!
2ème morceau, "Winter Wonderland" morceau sympa mais sans être exceptionnel(le "raté" de l'album pour ma part, dommage la musique commençait vraiment bien...puis après ça ne passe plus aussi bien...)
3ème morceau , "White Christmas", et là on entre vraiment dans le coeur du sujet, allez Noël fait péter le champagne!
4ème morceau, " Your Hallelujah", un rythme léger mais lourd dans le coeur, magnifique...
5ème morceau, "Christmas(baby please come home)" , un morceau qui met l'ambiance, allez tout le monde sur la piste et on se bouge les fesses
6ème morceau, " Mr.right" musique ultra fun, j'adore, vraiment!
7ème morceau, "O Holy Night", peut-être le second morceau décevant, on dirait qu'elle retient sa voix et le morceau n'a pas vraiment le temps de se lancer, il est trop court...dommage...
8ème morceau, "I Wish It Could Be Christmas Everyday" , joli morceau mettant également l'ambiance malgré le début assez lent,
9ème morceau, "Ave Maria", ET LA! OH MY GOD! MAGNIFIQUE! SPLENDIDE! SUPERBE! GENIAL! MERVEILLEUX! désolé non juste somptueux, je me tais et je vous laisse écouter cette merveille...
10ème et dernier morceau, la classique et mélancolique "Silent Night" magnifiquement repris!
Pour finir une petite critique, album vraiment réussi malgré le morceau Winter Wonderland qui aurait pu être vraiment mieux et O Holy Nights où l'on dirait qu'elle retient sa voix, les autres morceaux y a pas grand chose à redire, c'est du tout bon! L'album vaut vraiment son petit prix, donc si vous aimez,n'hésitez pas à l'acheter
Bonne écoute et j'espère que Leona Lewis aura du succès avec cet album!
Rage Against the Machine est un groupe de metal américain créé en 1990 à Los Angeles. Leur musique est principalement une fusion de metal et de rap, avec des influences funk et punk.
Polvo est un influent groupe de noise rock dont la carrière a débuté dans les années 1990, originaire de Chapel Hill, Caroline du Nord, États-Unis. Le groupe est dirigé par le chanteur/guitariste Ash Bowie et le guitariste Dave Brylawski. Eddie Watkins joue de la batterie et Steve Popson joue de la basse.